La ville de Kinshasa, représentée par le vice-gouverneur Eddy Iyeli Molangi, et la société chinoise China National Electric Engineering Co. Ltd, par son PDG Zhao Hui, ont signé un mémorandum d’entente (Memorandum of Understanding) sur la valorisation énergétique des déchets de la capitale congolaise, le mercredi 25 septembre 2024.

Ce M.O.U établit un cadre de collaboration entre les deux parties pour définir une politique de gestion des déchets efficace à Kinshasa.

Cette collaboration vise à renforcer la politique de collecte et de revalorisation des déchets afin de les transformer en un moteur de croissance économique et de relever le défi de l'assainissement auquel fait face la capitale congolaise.

À noter que China National Electric Engineering Co., Ltd est classée parmi les 225 meilleures entreprises par Engineering News Record (ENR, USA).

Elle possède une vaste expérience dans la fourniture de solutions clés en main sur mesure et de services à guichet unique pour toutes les chaînes de valeur dans les domaines de l'énergie thermique, de l'hydroélectricité, du transport et de la transformation de l'énergie propre.

actualite.cd/CC



Alors qu’il ne cesse de réclamer l’ouverture de discussions avec le pouvoir de Félix Tshisekedi, l’opposant Martin Fayulu fait une nouvelle fois appel à la cohésion nationale. S’inspirant cette fois de la légende Tabu Ley Rochereau, à travers sa célèbre chanson « Congo lelo ».

Sur les réseaux sociaux ce jeudi, l’ancien candidat à la présidentielle a posté un message d’une courte vidéo dans lequel il cite les conseils donnés dans cette chanson emblématique, appelant tous les Congolais à s’asseoir autour d’une table. Malgré les critiques d’autres figures de l’opposition à son égard, Martin Fayulu maintient son vœu de dialogue pour résoudre notamment la crise dans l’Est du pays.

En choisissant de citer Tabu Ley, l’homme politique et président de l’Ecidé entend sans doute raviver l’idéal d’unité et de paix véhiculé depuis toujours par le défunt maître de la rumba. Il espère sans doute aussi convaincre ses détracteurs, à l’heure où le pays a plus que jamais besoin, selon lui, de rassembler ses forces.

mbote/CC



Dans le cadre de sa mission de revitaliser le secteur sportif congolais, le ministre des Sports et Loisirs de la République démocratique du Congo, Me Didier Budimbu, s’est rendu le 24 septembre 2024, en Azerbaïdjan.

Accueilli par son homologue azerbaïdjanais, Farid Gayibov, le ministre congolais a signé un protocole d’accord marquant une nouvelle ère de coopération entre les deux pays.

Selon une dépêche du ministère des Sports, ce partenariat stratégique vise à mettre à profit l'expertise azerbaïdjanaise, qui a brillé aux derniers Jeux Olympiques de Paris en remportant 7 médailles, dont 2 en or. En s’inspirant de ce modèle de réussite, la RDC entend renforcer ses propres performances sportives et développer ses infrastructures.

Ce protocole d’accord permettra à la République démocratique du Congo de bénéficier des services tels que : L’échange d'expériences,
la formation de ses cadres sportifs, la préparation de ses athlètes en Azerbaïdjan et l'appui de ce pays au développement des infrastructures.

Pour Me Didier Budimbu, ce partenariat va ouvrir de nouvelles perspectives pour les athlètes congolais et leurs encadreurs techniques en appuyant sa vision dans la gestion des infrastructures sportives.

Il sied de noter que lors de derniers Jeux olympiques à Paris, l'Azerbaïdjan a gagné sept médailles, dont deux en or.

Bob Bondo



La République démocratique du Congo et la Chine sont déterminées à matérialiser leurs projets de développement annoncés par le président chinois, Xi Jinping, lors du dernier forum sino-africain de Pékin. C'est dans ce cadre que la vice-ministre des Affaires étrangères, Coopération internationale et Francophonie, Grâce Yamba Kazadi, a reçu en audience, mercredi 25 septembre 2024, l'ambassadeur chinois à Kinshasa, Zhao Bin.

Dans leurs échanges, les deux personnalités ont d'abord fait l'état des lieux de la coopération sino-congolaise, rapporte la cellule de communication du ministère des Affaires étrangères.

« Nous avons discuté de la manière de faire bénéficier la partie congolaise des mesures annoncées par le président chinois  Xi Jinping en début de septembre en faveur de la modernisation africaine », a déclaré le diplomate chinois.

Les deux parties ont réaffirmé leur volonté de soutien mutuel concernant les affaires relatives aux intérêts vitaux des deux pays. Il s’agit du soutien par la Chine aux efforts dans la défense de la souveraineté et de l’intégrité du territoire congolais et pour la RDC du respect du principe de la Chine unique.

« J'ai eu un échange de vues avec madame la vice-ministre des Affaires étrangères sur un large éventail de sujets, d’une  part. Les deux parties ont affirmé  leur volonté de soutien mutuel aux affaires relatives aux intérêts  vitaux de deux parties. Il est question pour la partie congolaise de bénéficier du soutien de la Chine dans la défense de sa souveraineté et de son intégrité territoriale et du soutien du Congo  au principe de Chine unie, notamment sur les questions qui concernent Taïwan.Tout pays ami de la Chine doit absolument rompre ses relations officielles avec Taïwan comme pays indépendant », a-t-il fait savoir.

Dans la même journée, la cheffe adjointe de la diplomatie congolaise a également échangé avec l'ambassadrice du Canada, Maryse Guilbeaul.

Il s’est agi, pour les deux personnalités, de faire le point sur le récent séjour de la ministre des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, du 19 au 20 septembre dernier, au Canada.
La ministre d’État a participé activement à la rencontre des ministres femmes des Affaires étrangères de différents pays, une rencontre enrichissante pendant laquelle elle a eu plusieurs rencontres bilatérales, dont celle avec Mélanie Joly, cheffe de la diplomatie canadienne.

Raphaël Kwazi



Le Président congolais Félix Tshisekedi a réitéré, mercredi 25 septembre à la tribune de l’ONU, la demande de création de deux sièges permanents pour l’Afrique au Conseil de sécurité de l’ONU.

Il juge nécessaire que les Nations unies redynamisent le multilatéralisme par des réformes ciblées, touchant des questions telles que le conseil de sécurité, le droit de véto, le chapitre 7 et le recours à la force.

« A cet égard, tout en saluant l’appui des Etats-Unis, je réitère avec fermeté, au nom de l’ensemble des pays africains, la requête de création de deux sièges permanents au Conseil de sécurité des Nations Unies pour les pays africains », a rapporté Felix Tshisekedi.

Il estime que le Conseil de sécurité de l’ONU devra intégrer des représentants africains parmi ses membres permanents avec toutes les prérogatives leur reconnus, notamment le droit de veto pour garantir une juste représentation géographique.

Pour le chef de l’Etat congolais, il est question de justice pour un continent dont le rôle dans les affaires internationales ne cesse de croître.

Campagne pour la RDC au Conseil des droits de l’homme

Il a en outre rappelé qu’après plus de trois décennies d’absence au Conseil de sécurité, la RDC se porte à nouveau candidate, avec le soutien de l’Union Africaine et de la Communauté de développement de l’Afrique Australe (SADC).

Felix Tshisekedi a assuré qu’une fois élue, la RDC entend jouer un rôle proactif au sein du Conseil de sécurité, participant à la revitalisation de la Charte des Nations Unies et contribuant de manière constructive aux débats et aux actions qui en découlent.

Entre-temps, au pays, la Fondation Bill Clinton pour la paix (FBCP) mobilise les ONG nationales et internationales en vue de recaler l’élection de la RDC au Conseil de l’ONU aux droits de l’homme.

radiookapi.net/CC



Lors de la 79e Assemblée générale des Nations Unies, le président Félix Tshisekedi a réaffirmé l'engagement de la RDC à renforcer sa position sur le marché mondial du carbone. 

"La RDC met en place des instruments juridiques et des dispositifs institutionnels visant à consolider sa place dans ce marché, tout en restant ouverte à des partenariats en conformité avec l'Accord de Paris et ses lois internes", a-t-il déclaré.

Dans son discours, Tshisekedi a également mis l'accent sur l'urgence de reconnaître le lien entre changement climatique, dégradations environnementales et sécurité. Il a appelé le Conseil de Sécurité à établir des mécanismes internationaux intégrant ces questions dans leurs discussions. "La prise de conscience des défis liés à l'instabilité climatique et à l'épuisement des ressources naturelles, souvent à l'origine de conflits armés, souligne l'urgence d'agir ", a ajouté le président congolais.

Avec 152 millions d'hectares de forêts couvrant 67% du territoire national, la RDC dispose d'un immense potentiel pour les crédits carbone, notamment en matière de déforestation évitée. La RDC abrite 8% du carbone forestier mondial et est un acteur clé dans la lutte contre le réchauffement climatique. Le gouvernement a adopté des textes réglementaires pour structurer ce marché. Il y a d’abord l’Ordonnance-Loi N°. 23/007 du 03 mars 2023 modifiant et complétant la loi N°. 11/009 du 09 juillet 2011 portant principes fondamentaux relatifs à la protection de l’environnement. Il y a aussi le décret N°. 23/22 du 14 juin 2023 portant création, organisation et fonctionnement d’un établissement public dénommé Autorité de régulation du marché de carbone en RDC ainsi que l’arrêté interministériel de septembre 2023 des ministères chargés de l’environnement et des finances sur le partage de la quotité du bénéfice des crédits de carbone devant revenir à l’Etat congolais. 

L’année dernière, le président Tshisekedi avait plaidé pour un prix juste du crédit carbone afin de soutenir les pays africains qui contribuent à la conservation des forêts. "Il est incompréhensible que des compagnies et gouvernements investissent des milliards dans des technologies de capture artificielle de carbone à 400 USD la tonne, alors qu'ils ne consacrent que 5 USD par tonne pour la conservation des forêts tropicales", avait-il déjà souligné lors d'un mini-sommet en 2023. Tshisekedi avait également réaffirmé l'ambition de la RDC de sanctuariser 15 % de son territoire, soit 323 623 km², pour la conservation de la biodiversité d'ici 2030. Cela inclut la création de 70 millions d'hectares de zones de conservation, dont 30 millions seront dédiés à la conservation communautaire.

actualite.cd/CC



Dans le but de remédier au problème de déficit de voirie dans la capitale, le gouverneur Daniel Bumba Lubaki, a lancé, ce mercredi 25 septembre 2024, les travaux de construction des avenues Kwilu et Kimwenza à Makala, Wangata dans la commune de Kinshasa ainsi que la réhabilitation de l’avenue Colonel Ebeya à Gombe.

À Makala, où il a lancé les travaux, le premier citoyen de la ville était accompagné du vice gouverneur Eddy Iyeli Molangi et du ministre provincial des infrastructures. Face aux Kinois, l'autorité urbaine a soutenu que la réhabilitation de ces routes permettra de désengorger Kinshasa. 

« Les travaux que nous lançons aujourd’hui permettront de désengorger et de fluidifier la circulation dans la ville de Kinshasa. Nous allons construire 20,4 kilomètres de routes dans cette zone », a-t-il déclaré. 

Le gouverneur Daniel Bumba a invité les Kinois de ce coin à veiller au bon déroulement desdits travaux, inscrits dans la vision du président de la République Félix-Antoine Tshisekedi. 

« Cette route est un don du Chef de l’État, SEM Félix-Antoine Tshisekedi. Elle sera construite en chaussée rigide ou en béton parce que nous voulons que nos routes à Kinshasa aient une longue durée de vie. Accompagnez ces travaux et soyez vigilants. Veillez à ce que tout se passe très bien », a ajouté le gouverneur. 

Après cette étape, l’Autorité urbaine s’est rendue sur l’avenue Wangata pour s’assurer que les travaux de construction ont bel et bien débuté et se déroulent comme il l’a recommandé. Sur les lieux, le patron de la ville a insisté sur la nécessité de livrer cette route avant fin décembre.

Par la suite, le Gouverneur a inspecté les travaux de bétonnage de l’avenue Colonel Ebeya. L’autorité urbaine s’est réjouie de l’évolution desdits travaux. Il a encouragé la société chargée de l'exécution à doubler les efforts pour rendre cette avenue de nouveau praticable. 

Notons que toutes ces quatre routes seront construites en chaussée rigide, dit "béton", suivant les directives du gouverneur de la ville de Kinshasa, Daniel Bumba Lubaki. 

actualite.cd/CC



À l’occasion de la 79e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, l’artiste Fally Ipupa a fait une prestation remarquée. Il s’était déplacé à New York pour soutenir la Recording Academy (Grammys) et l’Université d’Oxford.

Devant l’assemblée onusienne, le chanteur congolais a offert une performance qualifiée d' »exceptionnelle ». Avec sa voix unique et son talent indéniable, il a su marquer les esprits.

Que ce soit pour défendre les droits humains ou promouvoir la musique, Fally Ipupa met toujours son art au service de nobles causes. Il a de nouveau su illustrer son statut de star planétaire dans ce cadre international.

Sa prestation a confirmé tout le rayonnement d’un artiste complet, capable de transcender les cultures et les publics. Même dans une enceinte aussi prestigieuse que l’ONU, il a su éblouir l’assemblée par la magie de sa musique.

Cette apparition remarquée témoigne, une fois de plus, de l’aura immense acquise par Fally Ipupa, qui transporte les foules où qu’il se produise.

Ordi Mande



L'icône du football congolais,Djos Issama Mpeko, a annoncé sa retraite sportive à l'issue de la saison 2024-2025 en cours. Le latéral droit, qui évolue actuellement au FC Tanganyika, a révélé cette nouvelle dans une interview accordée à 7SUR7.CD, ce mercredi 25 septembre 2024 à Kinshasa.

Après une carrière riche en titres et en émotions, notamment avec le TP Mazembe où il a remporté la Ligue des Champions de la CAF en 2015 ainsi que deux Coupes de la Confédération CAF en 2016 et 2017, Mpeko a décidé de transmettre son savoir-faire aux jeunes talents du FC Tanganyika, promu en Linafoot Ligue 1 cette saison.

« Je pense que nous ne sommes pas faits seulement pour les grands clubs. Les petites équipes et cette nouvelle génération ont besoin de notre expérience pour grandir », a déclaré l'international congolais.

C'est cette volonté de partager son expertise qui l'a poussé à rejoindre le FC Tanganyika et à contribuer au développement du club.

Une fois ses crampons raccrochés, Issama Mpeko ne compte pas s'éloigner du monde du football. Il envisage de suivre des formations en management et en coaching afin de poursuivre sa carrière dans les coulisses.

« Le FC Tanganyika est le dernier club pour lequel je vais jouer, et juste après, je vais prendre ma retraite et suivre des formations pour rester dans les milieux sportifs », a-t-il confié.

Issama Mpeko, âgé de 35 ans, laissera derrière lui une carrière exceptionnelle marquée par sa fidélité au football congolais. Son expérience et son leadership ont fait de lui une figure emblématique du football congolais. Bien qu'il envisage de quitter les terrains, sa passion pour le ballon rond perdure, et les amateurs de football congolais pourront continuer à suivre sa nouvelle aventure en tant qu'entraîneur ou dirigeant.

Bob Bondo



La ministre d’État en charge des Affaires Foncières, Acacia Bandubola a procédé, ce mercredi 25 septembre, à la pose de la première pierre pour le lancement de travaux de construction du bâtiment qui abritera le Secrétariat général des affaires foncières-circonscription foncière de Ngaliema.

Ces travaux de construction du bâtiment moderne qui seront exécutés par la Société Modern Construction Sarl, vont durer 15 mois.

Selon l’un des responsables de cette société, l’ouvrage du bâtiment comportera un rez-de-chaussée, 5 étages complètement équipé et connecté à tous les réseaux vitaux.

En son sein, dit-il, l’immeuble comprendra un bureau d’un directeur à chaque niveau ainsi que les services y rattachés; dix bureaux haut standing pour les chefs de département; cinq work station pouvant recevoir plus de 10 personnes pour chaque niveau; un parking d’une capacité de plus de 50 véhicules et deux ascenseurs; deux salles de conférence moderne et plusieurs installations sanitaires.

Prenant la parole, la ministre d’État en charge des Affaires Foncières, Acacia Bandubola a salué la vision du Chef de l’État, Félix Tshisekedi celle de transformer et rendre le pays plus beau qu’avant.

À cet effet, elle dit joindre son action à celle de la Première ministre qui, d’après elle, imprime au jour le jour la marque d’amélioration de la Gouvernance administrative orientée vers la gestion axée sur les résultats.

«Lors de ma prise de fonctions le 13 juin 2024 et après un état des lieux des différentes circonscriptions foncières que j’ai eu à mener pendant deux mois, l’un des constats amers qui s’en est dégagé est que la plupart des circonscriptions foncières de la RDC sont dépourvues d’un bâtiment administratif propre, abritant différents services d’appoint leur permettant de réaliser les missions leurs dévolues, suivant la loi du 20 juillet 1973 portant régime général des biens, régime foncier et immobilier et régime des sûretés. On trouve des circonscriptions foncière locataires, sans bureau, et d’autres squattant les immeubles appartenant aux tiers. La politique de la débrouille est le lot quotidien de beaucoup de circonscriptions foncières», a fait savoir la ministre d’État en charge des Affaires Foncières, Acacia Bandubola.

À l’en croire, cette situation est encore pire à l’intérieur du pays. Ce qui est d’autant plus paradoxal est que ce service gère les terres du domaine privé de l’Etat.

«Malheureusement, même le Secrétariat Général aux Affaires foncières qui se trouve dans la Ville de Kinshasa, siège des institutions, connaît ce même problème. En effet, pendant plus de 40 ans, le Secrétariat Général a squatté un immeuble appartenant à une succession bénéficiant d’un jugement de déguerpissement. C’est chaque matin que l’on se demandait quand viendrait ce déguerpissement. Devant cette réalité plusieurs Gouvernements qui nous ont précédé, ont tenté d’apporter solution à cette problématique, mais sans succès», a-t-elle laissé entendre.

C’est ainsi que, dit-elle, en date du 06 février 2024 a été pris l’arrêté ministériel 0067/CAB /MIN.AFF.FONC/2024 portant déclaration d’utilité publique et ordonnant l’expropriation des parcelles n°32.183 et n°15.030 du plan cadastral de la commune de Ngaliema, ville de Kinshasa et attribuant ainsi au Secrétariat Général des Affaires Foncières la parcelle de terre où nous nous trouvons, pour y ériger un bâtiment S+R+5 pouvant recevoir non seulement le Secrétariat Général des Affaires Foncières mais aussi, la Circonscription Foncière de Ngaliema.

D’après Acacia Bandubola, les conditions dans lesquelles les constructions seront réalisées en ce lieu, sont le fruit des études approfondies et conséquentes et ce, sur pied d’un contrat de partenariat gagnant-gagnant avec la Société Modern Construction SARL et qui ont pris en compte de manière prompte, tous les aspects techniques de la traversée des rails à travers une construction moderne dont la conception permettra de garantir, non seulement les espaces techniquement envisagés pour cette fin, mais aussi, la sécurité des usagers, il y a donc lieu d’appesantir l’opinion quant à ce, et de faire d’une pierre deux coups de cet espace.

Christian Okende

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