L’Assemblée nationale a entériné ce samedi 16 octobre, au cours d’une plénière marquée par des incidents. la désignation des membres de la CENI, dont Denis Kadima en qualité de président de la centrale électorale. 

La commission paritaire chargée d'examiner les dossiers individuels des candidats a présenté son rapport qui a été adopté par la plénière de l’Assemblée nationale. Ce rapport retient, en effet, Denis Kadima comme président de la CENI. 

La candidature de Denis Kadima a divisé les confessions religieuses. L’église catholique et l’Eglise du Christ au Congo estiment que sa désignation a été entourée par des actes de corruption. Les six autres confessions religieuses indiquent qu’il était le candidat idéal pour ce poste, à cause de son expertise.

Sur les 15 postes qui composent la plénière de la CENI, 12 candidats ont été entérinés et trois postes restent à pourvoir.

Si la CENCO et l’ECC n’ont pas approuvé la candidature de Denis Kadima à la présidence de la CENI, le FCC et Ensemble de Moise Katumbi n’ont pas délégué leurs candidats à la CENI.

Selon Christophe Mboso, l’Assemblée nationale s’acquitte ainsi de son obligation. Le Président de la République va signer l’ordonnance d’investiture des membres de la nouvelle Commission électorale nationale indépendante pour qu’ils entrent en fonction.

La liste complète des membres de la CENI se présente de la manière suivante :

  • Kadima Kazadi Denis : président ;
  • Ilanga Lembow Bienvenu : premier vice-président ;
  • Deuxième président à pourvoir (opposition) ;
  • Nseya Mulema Patricia : Rapporteur ;
  • Muhindo Mulemberi Paul : Rapporteur adjoint ;
  • Questeur (à pourvoir)
  • Birembano Balume Sylvie : Questeur adjoint ;
  • Lepemba Pascal : membre ;
  • Boko Matondo Fabien : membre ;
  • Ditu Monizi Blaise : membre ; 
  • Bimwala Roger : Membre ;
  • Ngalula Joséphine : membre ;
  • Bisambu Gérard, membre 
  • Omokoko Asamoto Adine, membre.

radiookapi.net/CC



L'AS V.Club a été battue (2-1), ce vendredi 15 octobre 2021, par Marumo Gallants d'Afrique du Sud, au stade Peter Mokaba de Polokwane, en match comptant pour la manche aller des seizièmes de finale de Coupe de la Confédération Africaine de Football (CAF).

Celimpilo Ngema a marqué les deux buts des sud-africains à la 30ème et 59ème minutes de jeu, avant que l'attaquant des moscovites, Éric Kabwe reduise le score à la 87 minutes de jeu.

Les Vclubiens devront arracher leur qualification, le vendredi 22 octobre prochain, au stade des martyrs de Kinshasa.

Cette rencontre est prévue à 15h00, heure locale.

Il sied de noter que, V.Club compte désormais 3 défaites, 2 nuls et 0 victoire en 5 derniers matchs joués en Afrique.

 Gratis Makabi



Le Tout-puissant Mazembe a accroché le nul vierge (0-0) devant la formation sud-africaine d'Amazulu FC, au Stade Moses Mabhida à Durbanville, dans le cadre de la manche aller du deuxième tour préliminaire de la Ligue des Champions de la Confédération Africaine de Football (CAF).

Les corbeaux ont su garder la cage de leur portier, Munkoro inviolée tout au long de cette rencontre très intense.

Les englebertois pouvaient bien faire mieux, n'eût été les occasions manquées par Jean Baleke et Philippe Kinzumbi.

La team blanc et noir de Lubumbashi recevra, Amazulu FC, le samedi 23 octobre prochain, au stade TP Mazembe de Kamalondo, à 16h00, heure locale.

Gratis Makabi



Au point de chute de la marche de Lamuka (1ère rue Limete) ce samedi 16 octobre, Martin Fayulu Madidi, coordonnateur de Lamuka, a pris la parole devant les nombreux militants qui ont participé à cette manifestation partie de l’avenue Kianza dans la commune de Ngaba.

Le candidat malheureux à la présidentielle de 2018 a projeté un sit-in devant le Palais du peuple au cas où Mboso tenterait un passage en force pour la désignation des animateurs de la centrale électorale.

« Nous mettons en garde le président de l'Assemblée nationale. S'il veut mesurer la taille du peuple congolais, dites-lui qu'il ne le saura pas. Nous avons besoin d'une CENI qui va bien travailler demain, et qui va prononcer les résultats attendus par le peuple. Apprêtez-vous, nous irons au Palais du peuple. Je demande aux policiers de ne pas oser ce jour-là déranger la population car c'est pour l’intérêt du pays. Nous avons besoin de la loi sur la CENI. Nous pouvons nous mettre ensemble pendant au maximum trois jours pour finaliser cette loi. Ensuite, on peut désigner les animateurs mais pas des acteurs politiques. Ces derniers ne sont là que pour surveiller », a déclaré Martin Fayulu devant ses sympathisants.

Le coordonnateur de ce qui reste de Lamuka est revenu sur la polémique  du RAM, qualifié selon lui, "escroquerie".

« Aujourd'hui, vous devez savoir là où se trouve notre pays. Le pays est en train d’être détruit. La première cause, c'est la faim et la misère parce que les personnes qui dirigent actuellement le pays ne savent pas où amener le peuple. Au-delà de la misère, on vient de nous imposer cette affaire du RAM. Nous leur demandons la suppression de RAM très rapidement car étant une escroquerie, un vol. Nous devons nous mobiliser autour de cette question pour obtenir sa suppression. Ne vous fatiguez pas, continuons de dénoncer cela », a déclaré Martin Fayulu devant la foule à l'issue de la marche.

Le Premier ministre Sama Lukonde a indiqué vendredi lors de la réunion du Conseil des ministres, qu’il a bel et bien reçu les recommandations faites par les députés au sujet de la taxe sur le Registre des appareils mobiles (RAM). Et que le gouvernement se prépare à apporter des réponses lors du prochain conseil des ministres.

« En ce qui concerne la question orale avec débat adressée au Ministre des Ministre des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (PT-NTIC), le Premier Ministre a informé le Conseil qu’il a reçu le Rapport écrit du Ministre ainsi que les recommandations des Députés Nationaux sur cette question. Il a rassuré le Conseil que le Gouvernement a bien capté le message de la population et qu’il s’attèle à donner des réponses appropriées. Le dossier est en préparation et il sera soumis aux délibérations du prochain Conseil des Ministres », dit le compte-rendu de la réunion du conseil des ministres.

La taxe RAM est fustigée par la majorité de la population. Les députés ont exigé sa suppression pure et simple. Ils ont aussi exigé la création d’une commission d'enquête pour tracer l’utilisation des fonds générés par cette taxe, 25 millions USD selon le ministre des PTNTIC, 266 millions selon l’ODEP.

Devant la représentation nationale, Augustin Kibassa Maliba, Ministre des PT-NTIC s'est dit favorable à la mise en place d'une commission parlementaire d'enquête en vue de statuer sur la traçabilité des fonds déjà récoltés. M. Maliba a précisé que son ministère ne gère pas les fonds en rapport avec le RAM mais plutôt l'ARPTC en tant que service public doté d'une autonomie financière et administrative ayant des ressources propres qui constituent ses revenus.

actualite.cd/CC

 



Le Premier ministre Sama Lukonde a indiqué vendredi lors de la réunion du Conseil des ministres, qu’il a bel et bien reçu les recommandations faites par les députés au sujet de la taxe sur le Registre des appareils mobiles (RAM). Et que le gouvernement se prépare à apporter des réponses lors du prochain conseil des ministres.

« En ce qui concerne la Question Orale avec débat adressée au Ministre des Ministre des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (PT-NTIC), le Premier Ministre a informé le Conseil qu’il a reçu le Rapport écrit du Ministre ainsi que les recommandations des Députés Nationaux sur cette question. Il a rassuré le Conseil que le Gouvernement a bien capté le message de la population et qu’il s’attèle à donner des réponses appropriées. Le dossier est en préparation et il sera soumis aux délibérations du prochain Conseil des Ministres », dit le compte-rendu de la réunion du conseil des ministres.

La taxe RAM est fustigée par la majorité de la population. Les députés ont exigé sa suppression pure et simple. Ils ont aussi exigé la création d’une commission d'enquête pour tracer l’utilisation des fonds générés par cette taxe, 25 millions USD selon le ministre des PTNTIC, 266 millions selon l’ODEP.

Devant la représentation nationale, Augustin Kibassa Maliba, Ministre des PTNTIC s'est dit favorable à la mise en place d'une commission parlementaire d'enquête en vue de statuer sur la traçabilité des fonds déjà récoltés. S'agissant de sa suppression, Augustin Kibasa a laissé entendre qu'il a déjà soumis la question au niveau du gouvernement et qu’il revient à ce dernier de prendre une décision. M. Maliba a précisé que son ministère ne gère pas les fonds en rapport avec le RAM mais plutôt l'ARPTC en tant que service public doté d'une autonomie financière et administrative ayant des ressources propres qui constituent ses revenus.

actualite.cd/CC



Le report de la plénière « à une date ultérieure » aura duré que quelques heures. Le bureau de l’Assemblée nationale a convoqué une nouvelle plénière ce samedi 16 octobre pour auditionner le rapport de la commission paritaire qui a travaillé sur les candidatures des futurs membres de la Commission électorale nationale indépendante.

La plénière annoncée ce vendredi n’a pas eu lieu « pour des raisons techniques », annonçait le bureau Mboso.

La question de la mise en place du nouveau bureau de la CENI divise la classe politique congolaise. Ensemble pour la République de Katumbi, l’UNC de Kamerhe, le FCC de Kabila et Lamuka de Fayulu et Muzito ont tous plaidé pour un consensus pour désigner les animateurs de la centrale électorale. Ce qui est loin d’être réalisé pour l’instant.

actualite.cd/CC



Amos Mbayo Kitenge a été reconduit ce jeudi 14 octobre à Kinshasa, à la tête du Comité olympique congolais (COC) avec 65 voix sur 70 votants.

Seul candidat à ce poste, le président de la fédération congolaise de handball (FECOHAND) occupe ce fauteuil depuis avril 2010 lors d'une élection partielle, en remplacement de Jean Beya wa Kabeya qui a été radié en novembre 2009 du mouvement sportif congolais pour "mauvaise gestion".

Dr René Ngiebe Mubiala, 4e vice-président du comité sortant, a pris le poste du 1er vice-président au détriment de Boniface Mwawantadi (63/70 votants).

Christian Matata, est le nouveau 2e vice-président du COC. Le numéro un de la Fédération de volley-ball du Congo (FEVOCO), n’avait pas de concurrent à ce poste (65/70 votants).

Le poste de 3e vice-président est revenu à Ferdinand Ilunga Luyoyo. Il a obtenu 35/70 votants au détriment de Jean Beya, battu malgré ses 26 voix.
N'ayant pas atteint le nombre de 35+1, c'est la majorité absolue qui lui a permis de passer. 

Pitchou Bolenge a obtenu 52 voix en battant Freddy L'akombo 12 voix pour la 4e vice-présidence.

Alain Badiashile, lui, a retrouvé le poste du secrétaire général, après l'avoir raté la saison dernière (64/70 votants).

Honoré Mazombo est élu secrétaire général adjoint du COC. 

La composition du bureau COC : 

  •  Pdt : Mbayo ( 65\70)
  • 1er VP: Dr. Ngiebe Mubiala) (63\70)
  • 2e VP: Christian Matata ( 65)
  • 3e VP: Ilunga Luyoyo (35\70) Passe par majorité relative.
  • 4e VP: Pitshou Bolenge ( 52\70)
  • SG: Alain Badiashile (64\70)
  • SGA: Honoré Mazombo (67\70)
  • TG: Roger Bondembe ( 61\70)
  • TGA: François Claude Kabulo (50\70)

MEMBRES /SPORTS OLYMPIQUES INDIVIDUEL

  • José Bolenge (36\70)
  • J.D Oleko (44\70)
  • Bienvenu Matenda (43\70)

radiookapi.net/CC

Kibassa calme le jeu



Le ministre des PT-NTIC, Augustin Kibassa Maliba, s'est dit favorable à la mise en place d'une commission d'enquête parlementaire avec comme mission de faire la lumière sur la gestion ainsi que la traçabilité des fonds récoltés dans le cadre du Registre des appareils mobiles (RAM). C’est l’une des recommandations formulées ce mercredi 13 octobre par le député Claude Misare, auteur de la question orale avec débat

« Compte tenu de son statut légal, jouissant de son autonomie financière et administrative, le ministre ne peut en aucun cas s'immiscer dans la gestion de L'ARPTC.  Compte tenu des initiatives soulevées par les honorables députés nationaux sur la gestion des fonds perçus dans le cadre du RAM et pour la clarification de celle-ci, nous sommes d'avis que l'initiative d'une enquête parlementaire relevant des prérogatives de cette auguste Assemblée ne serait pas mal venue », a dit Augustin Kibassa Maliba dans sa communication. Augustin Kibassa Maliba précise que son ministère ne gère pas les fonds en rapport avec le RAM. 

« Je peux affirmer du haut de cette tribune que le ministre des PT-NTIC n'est pas gestionnaire des revenus du RAM, en effet, créé par la loi n°014/2002 en application à l'article 8 de la loi n• 013/2002 du 16 octobre 2002, L'ARPTC est un service public doté d'une autonomie financière et administrative ayant des ressources propres qui constituent ses revenus. C'est sur base de la décision n°053 /ARPTC/2016 du 22 juillet 2016 du collège de l'ARPTC qui consacre la certification préalable des appareils mobiles au moyen d'un système CR fonctionnant sur base du numéro IMEI que le gouvernement avait décidé de l'implantation du projet RAM », a souligné Augustin Kibassa Maliba.

Et de poursuivre :                     

« Conformément à l'article 22 de la loi créant l'ARPTC, la gestion de celle-ci relève de ces deux organes. Le Président qui est l'ordonnateur des dépenses et le collège qui adopte son budget et décide de son affectation dans le but d'accélérer l'inclusion numérique et le développement du secteur. Nous pouvons citer à son actif le projet syntech sur la collectivité des entités éducatives, le wifi gratuit dans les universités et places publiques et autres projets des grandes envergures à venir ».

Le député national UNC, Claude Misare, avait, dans ses conclusions, recommandé la mise en place d'une commission d'enquête parlementaire sur la gestion et la traçabilité des Fonds déjà perçus.

Les enquêtes de cette commission devront aboutir à établir les responsabilités des personnes impliquées dans ce que Misare qualifie "d'escroquerie étatique" afin qu'ils subissent la rigueur de la loi.

« Je recommande : à l'Assemblée nationale de constituer sans délai une commission d'enquête parlementaire avec comme mission d'étudier la traçabilité de fonds déjà perçus, établir les responsabilités, des auteurs publics et privés impliqués dans cette escroquerie étatique et de le déférer devant les instances judiciaires compétentes », a-t-il déclaré à l'issue de la réplique du ministre Kibassa Maliba ce mercredi 13 octobre devant l'Assemblée nationale.

Par ailleurs, il a recommandé au ministre Augustin Kibassa d'annuler son arrêté du 10 juin 2020 légalisant, selon le député Misare, la taxe RAM.

« Le peuple congolais qui m'a élu, qui a élu le chef de l'État et qui nous suit en ce moment à Kabeya Kamuanga, à Malemba ngulu, à Bukavu, à Boma, à Uvura et sur toute l'étendue du territoire national m'a chargé de vous demander trois choses : annuler votre arrêté ministériel du 10 juin 2020 portant mise en place du système CIER en République démocratique du Congo sans lequel le décret ayant légalement créé la taxe RAM ne serait exécuter, la restitution des crédits prélevés illégalement sans être consenti par le peuple congolais, et enfin la suppression pure et simple de votre taxe RAM », a conclu le député Claude Misare.

De son côté, répondant aux préoccupations de la représentation nationale, le Ministre des PT-NTIC a informé les députés nationaux qu'il a officiellement saisi le gouvernement congolais pour décider de la question de la suspension du Registre des appareils mobiles (RAM) d'autant plus que sa création et sa mise en application ont été discutées et décidées au cours d'une des réunions du conseil des ministres.

Berith Yakitenge/CC

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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