Décédé dans la soirée du dimanche 12 décembre dernier, Monseigneur Daniel Nlandu Mayi, évêque émérite du diocèse de Matadi (2010-2021), sera inhumé ce mardi 21 décembre à la Cathédrale Notre Dame Médiatrice de la même ville dans la province du Kongo Central.

Le programme officiel des obsèques rendu public par la chancellerie de ce diocèse prévoit une messe des funérailles ce mardi à partir de 10 heures à l’église Notre Dame de Fatima. Cette célébration eucharistique sera présidée par l’Archevêque de Kinshasa, le Cardinal Fridolin Ambongo Besungu.

Pour des raisons liées à la pandémie de Covid-19 ainsi qu’à l’espace, précise le programme, l’accès à la Cathédrale sera limité.

Seules les personnes ci-après pourront accéder au lieu des obsèques : les prêtres, la famille biologique du défunt, les consacrés (frères, sœurs, et auxiliaires de l’apostolat), les autorités politiques nationales et provinciales, les autorités militaires et de la police nationale, les invités, 1 représentant des chefs et pouvoirs coutumiers, 2 délégués par paroisse de toutes les paroisses du diocèse de Matadi.

Les autres fidèles pourront, quant à eux, suivre la messe à partir du terrain de basketball de l’Institut Mgr Lubaki.

Qui était Mgr Daniel Nlandu Mayi

Il est né le 19 octobre 1953 à Kinshasa où il est aussi ordonné prêtre le 20 avril 1980. C’est en 1999, précisément le 25 mars, qu’il est nommé évêque auxiliaire de Kinshasa par le pape Jean-Paul II. Le 30 janvier 2000il est sacré évêque auxiliaire de Kinshasa par le cardinal Frédéric Etsou Nzabi Bamungwabi.

Pour la suite de son parcours, Mgr Daniel Nlandu a été nommé administrateur apostolique de l'Archidiocèse de Kinshasa le 13 janvier 2007 par le pape Benoît XVI après la mort du Cardinal Etsou. Le 11 novembre 2008, il est nommé évêque coadjuteur de Matadi avant d’être désigné évêque du même diocèse le 21 septembre 2010 pour succéder à Mgr Gabriel kembo Mamputu. Il est intronisé à ce poste le 9 janvier 2011 et est alors le 4ème évêque du diocèse de Matadi.

Sa démission est acceptée par le pape François le 6 mars 2021 pour des raisons de santé. Il est décédé à Matadi (Hôpital de Midema), le 12 décembre 2021.

Japhet Toko



Monseigneur Daniel Nlandu Mayi, évêque émérite du diocèse de Matadi, est décédé dans la soirée de ce dimanche 12 décembre à l’âge de 68 ans, annonce un communiqué de la chancellerie de l’évêché de Matadi.

Il est décédé à Matadi, chef-lieu du Kongo Central. La veille, il a officié aux côtés de Mgr Giraud Pindi à la messe d’action de grâce à l’occasion du centenaire de l’Institut Tumba Dia Zayi, une des écoles de la congrégation des frères des écoles chrétiennes. Plusieurs autorités ont pris part à cette eucharistie dont le chef de l’Etat Félix Tshisekedi, ancien de cet établissement. Le programme de ses obsèques sera communiqué ultérieurement, rapporte le même communiqué. 

Évêque de Matadi entre septembre 2010 et mars 2021, Mgr. Daniel Nlandu Mayi avait présenté sa démission pour des raisons de santé. La démission avait été entérinée par le pape François qui, dans la foulée, avait désigné Mgr. Giraud Pindi comme administrateur apostolique de ce diocèse en attendant la nomination prochaine d’un nouvel évêque.

Né en 1953, Daniel Nlandu Mayi a été nommé évêque du diocèse de Matadi le 21 septembre 2010 en remplacement de Mgr. Gabriel kembo Mamputu et ce, après avoir travaillé pendant 2 ans en qualité d’évêque coadjuteur dans le même diocèse.

En 2007, après le décès du cardinal Frédéric Etsou, il avait été nommé par le Pape Benoît XVI comme administrateur apostolique de l’Archidiocèse de Kinshasa. Poste qu’il a occupé jusqu’à la nomination de feu Mgr Laurent Monsengwo Pasinya comme nouvel Archevêque métropolitain de Kinshasa.

Japhet Toko



Dans un communiqué publié jeudi 2 décembre à Kinshasa, la Fédération Congolaise de Football Association, (FECOFA)  a annoncé le décès du président de la ligue nationale de football féminin (LINAFF), Grégoire Badi Ediba Elonga. 

L'illustre disparu s'est éteint ce même jeudi à l’hôpital Général de Référence de Makala (Ex-Sanatorium).

Grégoire Badi Ediba Elonga est Président de la Ligue Nationale de Football Féminin depuis 2018, après avoir occupé les fonctions de Secrétaire Général de la Fédération congolaise de football association entre 2009 et 2017.

CC



L'homme d'affaires et ancien ministre de la Ville de Pierre Bérégovoy souffrait depuis 2017 d'un cancer de l’estomac.
 

Son état de santé s'était à nouveau dégradé ces derniers mois. Atteint d'un cancer de l'estomac depuis 2017, Bernard Tapie est mort ce dimanche à l'âge de 78 ans.

"Dominique Tapie et ses enfants ont l'infinie douleur de faire part du décès de son mari et de leur père,  Bernard Tapie, ce dimanche 3 octobre à 8h40, des suites d'un cancer", a fait savoir sa famille par un communiqué transmis à BFMTV. "Il est parti paisiblement, entouré de sa femme, ses enfants, ses petits-enfants et son frère, présents à son chevet." La famille précise que le défunt "a fait part de son souhait d'être inhumé à Marseille,  sa ville de coeur".

C'est donc la fin d'un long combat contre la maladie, que l'homme d'affaires aux mille facettes a mené pendant quatre longues années. C'est pour cette raison qu'il avait renoncé, en mai dernier, à se présenter aux audiences de son procès en appel pour escroquerie dans l'affaire de l'arbitrage controversé dans l’affaire du Crédit Lyonnais. "De nouvelles tumeurs sont apparues", expliquait à l'époque son fils Laurent sur BFMTV. "Les chances statistiques à ce stade-là sont épouvantables."

 

Dirigeant d'entreprises, propriétaire d'Adidas, de l'Olympique de Marseille, député des Bouches-du-Rhône, député européen, patron de presse mais aussi animateur télé, chanteur et acteur, Bernard Tapie aura connu plusieurs vies et de nombreux rebondissements, et un passage par la prison. Impliqué dans plusieurs scandales judiciaires, il a été condamné pour corruption, subornation de témoins et fraude fiscale. Et aura ainsi passé 165 jours derrière les barreaux.

En 2016, sa fortune est estimée à 150 millions d'euros, classant ainsi l'homme d'affaires au rang de la 400e richesse française. Pourtant, Bernard Tapie est parti de rien. Petit-fils de cheminot, fils d'un ouvrier et d'une aide-soignante, il est né en 1943 à Paris.

Après une brève carrière de chanteur - "Je ne crois plus les filles avec leurs beaux serments, je ne crois plus les filles ce n'est plus comme avant, je ne crois plus les filles avec leurs sentiments, je ne crois plus les filles mais je les aime quand même" chante-t-il en 1966 sur le 45 tours Passeport pour le soleil d'un certain "Bernard Tapy" - et de pilote de Formule 3, il se lance à 24 ans dans la vente de télévisions. Il ouvre un premier magasin, le revend puis s'embarque dans la création et le rachat d'entreprises.

Les châteaux de Bokassa

Il fait parler de lui pour la première fois en 1979 en rachetant les châteaux du dictateur de la République centrafricaine, Jean-Bedel Bokassa, après lui avoir fait croire qu'ils allaient être saisis par la justice française - châteaux qu'il a par la suite dû rendre à son propriétaire. Dès le début des années 1980, il rachète de nombreuses entreprises, parfois pour un franc symbolique. Comme Terraillon, un des leaders du pèse-personne revendu 33 millions de francs, ou Look, fabricant de fixations de ski, revendu 260 millions.

Bernard Tapie n'hésite pas à se mettre en scène, comme dans une publicité pour les piles Wonder, entreprise achetée pour 30 millions de francs et revendue quatre ans plus tard 470 millions. Dans ce clip, alors que tous les hommes et femmes en costumes qui l'entourent s'effondrent d'épuisement les uns après les autres, il fonce d'un pas assuré et clame le slogan:

"Je marche à la Wonder."

Dans les années 1980, il est incontournable. Il figure dans les vingt premières fortunes de France. Il fonde plusieurs écoles de commerce réservées aux jeunes au chômage ou sans formation - qui fermeront lorsqu'il sera déclaré en faillite - et devient l'une des personnalités préférées des Français. Il fréquente les stars, apparaît régulièrement dans les médias. Son style direct et son franc-parler plaisent. Bernard Tapie est invité dans de nombreuses émissions télévisées, comme Gym tonic.

À la même époque, il reprend le micro avec Réussir sa vie, chanson écrite par Didier Barbelivien. "Réussir sa vie, c'est traverser un océan, sans savoir pourquoi ni pour qui, à l'aventure tout simplement. C'est d'être un président, ou bien n'importe qui, et de prendre le temps d'aider un ami", chante-t-il alors.

Tour de France et recordman

Souvent, les sociétés qu'il rachète sont mal en point. "Redresser des entreprises, j'ai fait ça pendant vingt ans", clamait-il il y a quelques années. En 2012, il affirme avoir racheté 41 entreprises en dépôt de bilan. Mais en réalité, le résultat est plus contrasté. Comme le prouvent les échecs de Manufrance, articles de chasse et de pêche, ou encore Testut, une entreprise de pesage qui l'a conduit à être condamné à deux ans de prison avec sursis pour abus de biens sociaux, rappelle L'Express.

Bernard Tapie s'est aussi passionné pour le sport. Au début des années 1980, il monte une équipe cycliste - La Vie claire, du nom de l'entreprise de magasins biologiques qu'il a rachetée - avec Bernard Hinault et gagne le Tour de France. Quelques années plus tard, il bat le record de la traversée de l'Atlantique nord avec son yatch de luxe, le Phocéa, qu'il vendra ensuite pour solder ses dettes.

Il se tourne aussi vers le ballon rond. À la tête de l'OM entre 1986 et 1993, il fait briller l'équipe marseillaise. Il remporte quatre titres de champion de France, gagne une finale de Coupe de France et décroche la Ligue des champions. Mais l'ère Tapie s'arrête brusquement lorsqu'un joueur de Valenciennes révèle l'existence d'une tentative de corruption.

Plusieurs condamnations

Les affaires judiciaires, un autre aspect de la vie tumultueuse de Bernard Tapie. En 1995, l'affaire du match truqué contre Valenciennes lui vaut d’être condamné à deux ans d'emprisonnement dont huit mois ferme et trois ans d'inéligibilité. Alors patron du club de football de la cité phocéenne, il est reconnu coupable de complicité de corruption et subornation de témoins - il a toujours clamé son innocence. Il passe près de six mois en prison.

Deux ans plus tard, il est à nouveau condamné, cette fois pour fraude fiscale. Au cœur de cette affaire: un navire de luxe appartenant à une filiale de la Financière immobilière Bernard Tapie. En 1998, nouvelle condamnation pour ses pratiques financières lorsqu'il était à la tête de l'OM. Les détournements sont évalués à plus de 15 millions d'euros. Il écope de trois ans d'emprisonnement avec sursis, un peu plus de 45.000 euros d'amende et cinq ans de privation de ses droits civils et civiques.

Autre affaire et pas des moindres: Adidas. Bernard Tapie disait lui-même que c'était "l'affaire de (s)a vie". En 1990, il rachète la marque sportive pour 1,6 milliard de francs. Deux ans plus tard, alors qu'il est ministre, il en confie la vente à une filiale du Crédit lyonnais. La marque aux trois bandes est revendue 4,4 milliards de francs à Robert Louis-Dreyfus. Mais Tapie estime qu'il s'est fait flouer. Il attaque le Crédit lyonnais, qui a réalisé une plus-value sur la vente. Il obtient réparation en 2008 après douze années de procédure: quelque 404 millions d'euros lui sont versés. Mais en mai 2017, nouveau revers pour l’homme d’affaires, qui est définitivement condamné à rembourser cette somme.

Acteur et animateur

Obligé de se reconvertir à la fin des années 1990, étant inéligible et en faillite personnelle, Bernard Tapie s'essaie à la scène. Il joue l'un des deux rôles principaux dans le film de Claude Lelouch Hommes, femmes, mode d'emploi. Il brûle ensuite les planches dans plusieurs pièces de théâtre, dont Vol au-dessus d'un nid de coucou, Oscar ou plus récemment Les Montagnes Russes. Il écrit aussi plusieurs livres, dont Gagner ou encore un roman qui se déroule dans le milieu du football.

En 1998, il enregistre son dernier single avec Doc Gynéco, C'est beau la vie. Bernard Tapie passe aussi par le petit écran. Il anime plusieurs émissions, à la télévision et à la radio, et tient le rôle principal de téléfilms et d’une série policière, Commissaire Valence, diffusée entre 2003 et 2008.

Député, ministre et président?

Parmi les multiples vies de Bernard Tapie: sa carrière d'homme politique. Il s'est illustré à de nombreuses reprises dans sa bataille contre le Front national. Il lui est notamment arrivé d'insulter Jean-Marie Le Pen ainsi que des militants frontistes lors d'un meeting à Orange. En 1989, il devient député des Bouches-du-Rhône sous l'étiquette de la majorité présidentielle de François Mitterrand. Trois ans plus tard, il prend la tête du ministère de la Ville dans le gouvernement de Pierre Bérégovoy. Mais une mise en examen l'oblige à démissionner. Quelques années plus tard, en 1994, il est élu au Parlement européen. Sa peine d'inéligibilité entrave ses ambitions, il est déchu de son mandat.

Après avoir racheté les titres du groupe Hersant médias, dont La Provence et Nice Matin, on lui prête en 2012 des velléités à la mairie de Marseille. "C'est pas une mauvaise idée", jugeait l'ancien ministre Bernard Kouchner. Son éventuel retour en politique fait alors grand bruit: 40% des Marseillais se disent même favorables à sa candidature. Rumeurs qu'il douche rapidement.

Dernier coup d'éclat en 2015, lorsqu'il envisage de postuler aux plus hautes fonctions de l'État: se présenter à l'élection présidentielle. Si aucun des prétendants dans la course à l'Élysée ne lui convient, "j'y vais moi", assure-t-il sur France 2. Il ne sera finalement pas candidat. Mais il concédait alors: "La vie m'a gâté."

Céline Hussonnois-Alaya
 


Madame Bibi Bateme Sophie, épouse du haut représentant du chef de l'État, Kitenge Yesu, est décédée le dimanche 28 juillet 2019 à Bruxelles, en Belgique.

En mars dernier, Kitenge Yezu avait été nommé "Haut représentant et envoyé spécial du chef de l'État". Mobutiste engagé, marxiste-léniniste assumé, il était également passé au RCD et a dirigé la Convention des Républicains, jusqu’en 2018, année de sa retraite de la scène publique, après 59 ans de vie politique.

CC



Gabriel Kyungu wa Kumwanza, figure de la scène politique de la République démocratique du Congo (RDC), en particulier du Katanga, est mort samedi à l'âge de 82 ans, a annoncé son parti dimanche matin.

Il est décédé des suites d'une "courte maladie" en Angola, où il était hospitalisé, a précisé l'Union nationale des Fédéralistes congolais (Unafec) dans un communiqué.

"J'appelle tous les hauts cadres, cadres, combattantes et combattants, à rester calmes, sereins et surtout disciplinés pendant ce moment très difficile que traverse notre cher parti", ajoute le texte, pleurant la mort du "monument national" qu'était Gabriel Kyungu.

Président fondateur de l'Unafec, Gabriel Kyungu wa Kumwanza, surnommé "Baba wa Katanga", était président de l'assemblée provinciale du Haut-Katanga depuis février dernier.

Sous Joseph Kabila, il a été par deux fois président de l'assemblée provinciale du Grand Katanga.

Porte-étendard du fédéralisme, Gabriel Kyungu était aussi parmi les fondateurs de l'UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social), formation d'opposition créée sous Mobutu et actuellement parti au pouvoir, auquel appartient le président Félix Tshisekedi.

Une riche carrière politique qui lui a valu d'être traité par ses détracteurs de traître prêt à lâcher ses alliés par intérêt. 

Son nom a aussi été cité dans des événements sources de tensions persistantes entre "Katangais" et "Kasaïens", quand des Baluba du Kasaï, accusés de voler les emplois des autochtones, avaient été tués par centaines et chassés par dizaines de milliers du Katanga, en 1992. Mais il était paradoxalement considéré ces derniers temps comme un défenseur des Kasaïens, capable d'empêcher certains Katangais de s'attaquer à ces voisins perçus comme des "envahisseurs".

source: rtbf



Cette organisation de défense des droits des femmes basée dans la Province du Sud-Kivu, à l’Est de la République démocratique du Congo vient de perdre la Présidente du Conseil d’Administration de son détachement aux États-Unis d’Amérique.

Selon un communiqué du Prix Nobel de la paix et Responsable de cette organisation la soirée du 16 septembre 2021, NITA EVELE s’en est allée contre toute attente, laissant tout le monde en émoi.

Le communiqué signé par Gynécologue Denis MUKWEGE fait allusion à la famille biologique et professionnelle (des activistes) qui viennent de perdre une vitrine de la lutte pour la réparation des femmes à partir de la capitale américaine.

« Sa disparition constitue une grande perte pour nos familles et nos institutions et nous donne beaucoup d’amertumes » peut-on lire dans le court communiqué du Prix Nobel de la Paix à l’endroit de la brave NITA EVELE. Le Docteur MUKWEGE écrit ses compassions pour la famille de NITA envers laquelle il dit avoir des relations très proches. La triste nouvelle a été confirmée par le siège de la fondation au Sud-Kivu. 

Dans le sillage de suiveurs dans la région du Kivu, les mots manquent  pour exprimer le regret et le vide que laisse cette femme, c’est notamment le cas de certains membres du mouvement pro démocratie « Lutte pour le Changement » où, par exemple, Espoir NGALUKIYE, porte-parole dudit mouvement en ville de Goma dit qu’un baobab du mentorat dans la lutte pour les peuples marginalisés est tombé.

De son vivant, NITA EVELE était aussi la présidente et co-fondatrice de la coalition de pluralistes et patriotes du Congo (COPPAC), un groupe de plaidoyer qui rassemble des congolais de différents horizons dont les membres se consacrent à une opportunité libre et égale à tous les congolais ainsi qu’à l’avancement de la souveraineté de la RDC. 

Avant de quitter la terre des hommes, NITA était également directrice de Congo Global Action, une alliance mondiale d’organisations des droits de l’homme et d’environnement basée aux USA.

Par Gloire MALTHUS



William Damseaux, ancien Directeur Général du Groupe Orgaman, est décédé hier lundi en Belgique son pays d’origine.

William Damseaux régentait tout un empire économique en RDC dans les années 80, allant de l’importation des vivres frais, à l’agro-alimentaire, en passant par la douane, le transport, l’exploitation minière et la construction.

Il est connu pour avoir été le premier à introduire en masse l’importation et la consommation des poissons chinchards, communément appelés « thomson ».

A une époque sous l’ère Mobutu, la Direction générale d’Orgaman servit même de guichet de banque aux caciques du régime, pendant la période de crise monétaire dans les années 80.

mediacongo.net/CC

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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