Deux agents de la compagnie aérienne Kenya Airways sont arrêtés par le renseignement militaire pour tentative d’exportation de 8 millions USD de la TMB présentés comme « impropres à la circulation » et qui étaient destinés à la réserve fédérale américaine à New-York.

D’après les sources judiciaires, il s’agirait d’une sujet Kenyane et d’un sujet congolais.

« Ces deux agents seraient à la base d’un système visant à faire disparaître 8 millions de dollars américains de la TMB. Ils devront chacun répondre de ses responsabilités devant la justice congolaise. Les examens montreront si l’entreprise est concernée par cette manœuvre ou non», ont dit les sources judiciaires.

Signalons que entassés dans des caisses, les fonds avaient été retenus par les services de sécurité à l’aéroport international de N’djili.

De leur côté, Kenya Airways et l’ambassade Kenyane en RDC se plaignent de n’avoir aucun moyen d’entrer en contact avec les deux agents arrêtés. Selon les dernières informations, l’ambassadeur Kenyan en RDC et quelques cadres de l’entreprise avaient réussi à s’entretenir avec les deux agents arrêtés pendant quelques minutes seulement mais plus rien. Les portables de ces agents ont été confisqués par la DEMIAP, a-t-on appris.

Gaël Hombo



Tribune de Lewis YOLA, Chercheur en Aval et contrats pétroliers

1. Contexte général 

Le prix du carburant en République Démocratique du Congo, dans son administration, a connu plusieurs décadences au cours de ces deux dernières années (2022-2024), tantôt par la volonté du gouvernement central de soulager la surface financière des opérateurs pétroliers d’une part, et d’autre part pour réduire les coûts dûs à la subvention pétrolière.

Par ailleurs, les récurrents ajustements des prix de carburant à la pompe n’ont pas permis l’éradication de subvention, ni contribué au maintien du pouvoir d’achat de la population congolaise. Par exemple, pour l’année 2022 l’Etat congolais a payé une somme approximative de 400 millions USD en raison de subvention pétrolière pendant que le prix de l’essence a grimpé de 2085 FC/L jusqu’à 2845 FC/L durant la même période de 2022.

L’écart entre les objectifs poursuivis en augmentant le prix de carburant en République Démocratique du Congo et la réalité sur terrain sont imputables à un ensemble de raisons qui tiennent à la fois compte du doute persistant au sein de l’opinion sur la véracité de coûts de revient déclarés dans la structure des prix par les opérateurs pétroliers et à l’incapacité technique du gouvernement à contre-vérifier les déclarations des structures des pétroliers.

De ce qui précède nous décryptons la causalité et la conséquence de hausses  récurrentes de prix de carburant observées ces dernières années dans les 3 zones fiscales de la République Démocratique du Congo ainsi qu'une présentation panoramique du cadre légal de la réglementation du prix des carburants en RDC.

2. Analyse factuelle de hausse récurrente de prix de carburant entre 2022 et 2024 en RDC

Dans l’économie libérale, la liberté de fixer le prix des biens et services est sacré par ceux qui en font l’offre, mais ils sont tenus à informer les autorités compétentes pour un contrôle approprié, tel est recommandé dans l’arrêté ministériel n•034/CAB/MIN H/ECO NAT/JK’/2018 portant mesures d’exécution de la loi organique 18-020 du 09 juillet 2018 relative à la liberté des prix et à la concurrence, spécialement en matière des prix.

À cette mesure décrite ci-dessus quelques exceptions ont été accordées dans certains secteurs économiques, notamment le secteur des hydrocarbures, ce qui justifie le système d’un prix fixe administré appliqué à ce jour dans les stations-service.

Bien avant cela, depuis 2001 le gouvernement congolais avait fixé les modalités de révision de la structure des carburants terrestres ainsi que l’instauration d’un comité mixte de suivi de prix des produits pétroliers en vue d’analyser tout élément influençant la fixation des prix de carburant à la pompe. C’est un comité constitué de membres provenant du ministère de l’Economie, des Hydrocarbures, des Finances (DGDA), ainsi que la délégation des opérateurs pétroliers. La présidence du comité est confiée au ministère de l’économie et la vice-présidence au ministère des Hydrocarbures.

Le rôle de chaque ministère ne soit pas clairement défini dans ce comité, ce qui crée dans certains cas la confusion de rôle entre les délégués du ministère des Hydrocarbures et de l’Economie au sein dudit comité, allant jusqu’à pousser les membres de différents cabinets de ministres des Hydrocarbures à affirmer qu’ils ne partagent pas la responsabilité des différentes variations de prix de carburant. Quelle expertise le ministère des Hydrocarbures apporte aujourd’hui dans le comité de suivi des prix des produits pétroliers ? Une question qui mérite les réponses légales et factuelles.

Cependant l’article 5 de l’arrêté fixant les modalités de révision de la structure des prix de carburant stipule qu’à chaque variation à 5% du Prix Moyen Frontière (PMF) et/ou Taux de Change, cela doit influencer le prix à la pompe.

De janvier 2022 jusqu’au 24 avril 2024, la RDC a connu 9 hausses du prix de carburant, ce qui est un record dans l’histoire économique de notre pays, le prix d’essence a quitté de 2085 Fc/Litre jusqu’à 3475 Fc/Litre dans la zone ouest, soit une perte du pouvoir d’achat de 55% de la population. La situation a été pire dans la zone Nord et Sud où une inflation du prix du carburant a été maximale.

Au départ ces différentes hausses étaient justifiées par le conflit Russie-Ukraine, suite à la répercussion pétrolière qu’il avait occasionné dans l’industrie mondiale du pétrole, malheureusement quand on a observé de plus proche la corrélation entre les variations du prix de baril à l’international, un composant essentiel du prix platt’s oil gram (coût d’acquisition) et l’ampleur de hausses de prix carburant constatées en 2022 en République Démocratique du Congo, vous constaterez une illogique que l’Ukraine et la Russie puissent servir d’argument pour justifier toutes les hausses du prix vécues.

Observons:

- Prix moyen baril fin février 2022 : 97$/baril

- Prix moyen baril entre février et mi-avril 2022: 105$/baril

- Prix moyen baril entre mi-avril et fin mai 2022 : 120$/baril

- le 16/ avril/ 2022: 

Suite à la hausse du prix de baril de 97 $ à 105$, soit une variation de 16 %, le gouvernement a fait passer le prix de l'essence à la pompe de 2095 FC à 2195 FC, soit une augmentation de 100 FC qui représente une hausse à la pompe de 5% .

- Le 28 mai 2022: Suite à la persistance de la tendance haussière du prix à l'international 105$ à 120$, soit une hausse de 14 %, le gouvernement avait à son tour  fait monter le prix à la pompe de 2195 Fc à 2345 Fc soit une hausse de 7% à la pompe.

- Le 07 juillet 2022, 1 baril se vendait à 103$ (le gouvernement avait haussé de 100 Fc le prix de carburant en RDC, pendant qu’il y a eu baisse au niveau international et d’autres paramètres structurels sont restés constats).

La hausse de 16% du prix à l'international a fait augmenter le prix à la pompe à 5% au mois d’avril 2022 et la faible hausse du prix à 14% à l'international entre la période avril-mai 2022 a fait augmenter le prix à la pompe à 7%. Où a été la logique lorsqu'une hausse de 16 % a fait augmenter le prix à la pompe de 5% et une hausse de 14% a fait augmenter le prix à la pompe de 7%.

Par les exemples précités nous pouvons observer que la fixation  de prix des carburants en 2022 (hausse) ne répond nullement aux règles initialement préétablies à la matière (PMF, Tx de Change et Volume Commercial) avec risque de compromettre la pertinence de l’existence même du comité actuel de suivi de prix de carburant.

Le 24 avril 2024, le ministre de l’économie a signé un arrêté consacrant la neuvième hausse du prix de carburant entre 2022 et 2024 sans apporter la raison conjoncturelle dans son arrêté, il s’est limité à reprendre la formule protocolaire des arrêtés ministériels à la matière sans mettre à la disposition de l’opinion les tableaux explicatifs de différentes variations ayant motivées la récente hausse, les tableaux qui sont généralement annexés dans l’arrêté consacrant la variation du prix à la pompe.

Dans une situation économique déjà fragile, les congolais sont désormais appelés à trouver 200 FC de plus pour chaque litre d’essence ou gasoil à consommer , cela au risque d’apporter les répercussions inflationnistes de prix d’autres biens et services dans le marché congolais, principalement le prix de transport.

3. Recommandations 

Le prix de carburant est l’élément crucial pour le bon fonctionnement de l’économie nationale, les opérateurs pétroliers sont au courant de cette évidence il se peut qu’ils l’utilisent pour mettre à chaque moment la pression au gouvernement pour satisfaire leur gourmandise quelquefois au détriment du bien être collectif, pour cela nous recommandons ce qui suit au gouvernement :

- Encourager la création d’une autorité de régulation de l’aval pétrolier afin de mieux coordonner toutes les activités de l’importation jusqu’à la distribution des carburants.

- Exiger l’importation de produits pétroliers en pool, cela permettra au gouvernement à maîtriser les différents coûts d’acquisition des carburants à l’international jusqu’à l’arrivée aux frontières nationales.

- Lancer les appels d’offres locaux pour le ravitaillement des institutions publiques et parapubliques afin de permettre au gouvernement de bénéficier des avantages concurrentiels.

- Réformer le système de la structure des prix de carburant actuel afin d’équilibrer les intérêts entre les opérateurs pétroliers et le gouvernement.



La BCC -Banque Centrale du Congo- recrute des consultants individuels chargés de mener l'expertise de ses immeubles et terrains à Kinshasa, dans les Entités provinciales et à Bruxelles.

Dans un avis à manifestation d'intérêt daté du 12 avril courant et signé par la Gouvernaneure Malangu Kabedi Mbuyi, la BCC invite les consultants individuels éligibles à manifester leurs intérêts à fournir les services décrits dans ledit document. Aussi, le même document énumère les exigences en matière de qualification, et indique l'adresse à laquelle les consultants intéressés doivent soumettre leurs manifestations d'intérêt écrites en langue française, au plus tard le 30 avril 2024.

Ci-dessous, lire in extenso l'avis à manifestatio d'intérêt n°004/BCC/CGPMP/MPI/DCB/2024.

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La dette publique de la RDC a dépassé le cap de 10 milliards USD en cinq ans, ont révélé dimanche 7 avril des sources à la Direction générale de la dette publique (DGDP). Pourtant, cette dette publique était réduite en 2010 de 14 à 3 milliards de dollars et maintenue à 3 milliards jusqu’en 2019.

La dette publique a connu une augmentation de 7 milliards entre 2019 et 2024. De ce fait, d’après les prévisions de la DGDP, d’ici les cinq prochaines années, la dette publique de la RDC risque de dépasser les 15 milliards de dollars américains.

La dette publique a commencé à galoper à partir de 2019. Elle est passé de 3 à 10 milliards de dollars, entre 2019 et 2024, affirment des sources à la Direction générale de la dette publique.

D’après les bulletins statistiques de la dette publique paru en mars 2023, le stock de la dette, arrêté au 31 décembre 2022, était évalué à plus de 9 milliards de dollars, soit respectivement 41% de dette intérieure et 59% de dette extérieure.

Cette importante hausse de la dette est due aux dépenses de l’administration publique centrale, supérieures aux recettes publiques observées depuis 2019.

La dette extérieure est contractée directement par l’administration centrale au près notamment de la Banque mondiale, du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque africaine de développement (BAD).

Estimée à près de 6 milliards de dollars, cet argent a couvert entre autres les dépenses publiques liées au financement de la gratuité de l'enseignement primaire.

La dette publique intérieure, quant à elle, s’élève à plus de 4 milliards de dollars. Une partie a servi aux dépenses publiques entrainées par les bons de trésor émis par le trésor public à la Banque centrale.

Le reste n’est constitué uniquement que d’arriérés budgétaires de plus d’un an de l’administration centrale. 

La dette de la RDC avait été allégée, passant de 13,704 à 2,931 milliards de dollars, à la suite de l’atteinte par ce pays du point d’achèvement de l’initiative PPTE (Pays pauvres très endettés), le 1er juillet 2010.

radiookapi.net/CC



L'Inspection générale des finances de la République Démocratique du Congo (RDC) a exprimé sa grande satisfaction suite à l'issue positive des négociations entre la RDC et le Groupement d’entreprises chinoises (GEC), qualifiant l'avenant signé de réparateur des inégalités précédemment décriées. L'accord prévoit notamment l'octroi de 7 milliards de USD pour la construction de 6.000 km de routes nationales, dont 3.000 km doivent être réalisés dans les cinq prochaines années.

Cet aboutissement, salué par l'Inspection générale des finances, a été rendu possible grâce à l'implication personnelle du chef de l'État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, dont l'engagement, dit-elle, a été crucial dans le dénouement de ce dossier avantageux pour toutes les parties concernées.

Le gouvernement congolais et le GEC ont signé jeudi 14 mars 2024 l'avenant N°5 à la convention de collaboration, marquant une étape clé dans le développement conjoint d'un projet minier et d'infrastructures en RDC. Ce nouvel accord, qui reflète l'esprit de la déclaration conjointe entre la RDC et la République populaire de Chine, vise un investissement significatif de sept milliards USD principalement alloué à la construction de routes d’intérêt national et au renforcement de la gestion conjointe de plusieurs projets liés au projet SICOMINES.

L'Ambassade de Chine en RDC s'est félicitée de cette signature, soulignant le caractère "juste, équitable et mutuellement bénéfique" de l'accord, qui répond aux intérêts fondamentaux du GEC tout en offrant à la RDC de plus amples bénéfices de cette coopération. L'ambassadeur chinois en RDC, Zhao Bin, a mis en lumière le résultat des négociations comme un exemple de succès obtenu par le dialogue amical et les efforts inlassables des deux parties, dans le respect du consensus important établi entre les présidents Xi Jinping et Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo lors de leur rencontre en mai dernier en Chine.

actualite.cd/CC



Les entreprises intéressées par l’exploitation d’onze blocs pétroliers du Graben Tanganyika, dans le sud-est de la RD Congo ont jusqu’aux mois de juillet pour déposer leurs dossiers des candidatures.

Selon un communiqué officiel du ministère des Hydrocarbures, Didier Budimbu a décidé de prolonger la date de dépôt des candidatures pour 11 blocs pétroliers du Graben Tanganyika.

« Le ministre des Hydrocarbures porte à la connaissance du Public que, subsidiairement à l’Avis à Manifestation d’intérêt n°003/AMI/GT/COM-ADHOC/MIN-HYDRO/2022 du 28 juillet 2022, les dates limites de dépôt des candidatures sont reportées », a-t-on lu dans ce communiqué.

Le bassin pétrolier du Tanganyika constitué des blocs pétroliers d’Uvira, de Baraka, de Kibanga-Kisoshi, de Kakelwa-Kabobo, de Kabimba, de Mulula-Lubanga, Kalemie, de Kibi-Fatuma, de Mpala, de Moba et de Kituku-Moliro, est l’un des trois bassins sédimentaires de la RDC pour lesquels le Président Félix Tshisekedi avait lancé, le 28 juillet 2022, 30 appels d’offres dont 27 pour des blocs pétroliers et 3 pour des blocs gaziers du lac Kivu.

« Les réserves pétrolières de la RDC pour ses trois bassins – côtier, Cuvette centrale et Rift est-africain – sont estimées autour de 22 milliards de barils de pétrole et 66 milliards de mètres cubes de gaz méthane, capables de placer la RDC au premier plan des grands producteurs de pétrole et de gaz », a estimé le ministère des Hydrocarbures.

Voici la liste et la localisation de ces 11 blocs du Graben Tanganyika :

1- Bloc Kibanga Kisoshi situé dans le territoire de Fizi dans la province du Sud-Kivu;

2- Bloc Kalemie situé dans le territoire de Kalemie dans la province du Tanganyika;
3- Kituku Moliro situé au sud du territoire de Moba en province du Tanganyika;

4- Bloc Mulula Lubanga situé dans le territoire de Kalemie, province du Tanganyika;

5- Bloc Uvira situé dans les territoires d’Uvira et Fizi, dans la province du Sud-Kivu;

6- Bloc Baraka situé dans le territoire de Fizi en province du Sud-Kivu;

7- Bloc Kakelwa-Kabobo, situé entre les territoires de Fizi et de Kalemie dans la province du Tanganyika ;

8- Bloc Kabimba, situé dans le terme Kalemie en province du Tanganyika ;

9 – Bloc Kibi – Fatuma, situé entre les territoires de Moba et Kalemie dans la province du Tanganyika ;

10- Bloc Mpaka situé dans le territoire de Moba dans la province du Tanganyika;

11- Bloc Moba situé dans le territoire de Moba dans la province du Tanganyika.

Silas MUNGINDA



Le chef de l’État Félix Tshisekedi a présidé ce  Jeudi 14 mars 2024 à Kinshasa,la cérémonie de signature du contrat minier revisité avec le Groupement des entreprises chinoises (GEC). 

Il s'agit du 5è avenant de la convention de collaboration conclue en avril 2008.

Lequel avenant permet à la RDC de disposer de 7 milliards USD pour construire 6.000 km  de routes dans 15 ans en RDC en raison de 400 km par an.

Les travaux de construction seront lancés dans un mois à Kinshasa dans le Grand Équateur, au Kasaï-Oriental, au Haut- Lomami et au Lualaba.

Il est prévu la construction en 2023- 2024 d’une première route reliant
Mbudi,UPN,Kimwenza, N'djili-Brasserie, l'avenue Ndjoko à l'aéroport de N'djili. La deuxième route   partira de la  Gombe le long du fleuve à l'aéroport de N'djili.

 La troisième reliera Mbuji-Mayi,Muene-Ditu, Kaniama,Kalemie, Luena à Nguba.

La quatrième  partira de Mbuji-Mayi,Kabinda, Kindu,Bukavu,Goma et la  cinquième  Akula au grand-equateur.

Il sied de rappeler qu en février 2023,un rapport publié par l’IGF mettait en évidence d’Importants décaissements effectués en faveur des entreprises chinoises établies en RDC, mais de très faibles investissements en infrastructures au profit du pays.L’Inspection générale des finances avait ainsi relevé plusieurs cas de déséquilibre dans cet accord qualifié de « contrat du siècle ».

Elle notait une "modicité des investissements des infrastructures " et c’est ce qui a amené à la révision dudit contrat.

Alexis Gisaro, ministre d'État, ministre des Infrastructures et Travaux publics a fait savoir que  cet avenant consacrait  aussi la participation de la RDC dans le capital de SICOHYDRO de Busanga à hauteur de 40% et GEC à hauteur de 60%.

La RDC avait négocié, il y a 16 ans, un contrat avec le GEC prévoyant l'octroi de gisements de cobalt et de cuivre en échange de la construction des infrastructures. En 2023, le  chef de l'État Félix Tshisekedi estimant qu'il ne profitait pas aux intérêts congolais  avait demandé sa révisitation.

Junior Ika



Le directeur général de l'autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé (ARSP), Miguel Kashal Katemb, prend part aux activités du forum minier international PDAC dans la ville de Toronto au Canada. Le DG de l'ARSP interviendra ce mardi 05 mars au cours d'un déjeuner d'affaires organisé par Mines Africa, qui est la chambre des mines Canada-Afrique, sur la législation de la sous-traitance pour le secteur privé congolais.

PDAC 2024 est un forum minier qui réunit chaque année plus de 25 000 participants, parmi lesquels on trouve les responsables des sociétés principales, les grands groupes multinationaux, les investisseurs en provenance de 125 pays du monde.

Ivan Kasongo

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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