Le gouvernement de la République va prendre des mesures d'encadrement afin de faire respecter la décision portant suspension de la perception de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur les produits de première nécessité. C'est le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, qui l'a annoncé lors de la 51e réunion du Conseil des ministres tenu à Lubumbashi ce vendredi 29 avril sous la direction du Chef de l'État Félix Tshisekedi.

" À la suite des réunions conjoncturelles qu'il a tenues avec les ministres sectoriels et des acteurs socioéconomiques des secteurs concernés et à la suspension de la perception de la taxe sur la valeur ajoutée sur les produits de première nécessité pour une durée de six mois renouvelables, le gouvernement s'emploie à prendre des mesures d'encadrement en vue de d'assurer de leur effectivité ", rapporte le compte rendu de la réunion fait par le porte-parole du gouvernement.

Cette décision du gouvernement va permettre de faire face à la tendance haussière des prix observés sur le marché à la suite notamment de l'impact du conflit russo-ukrainien.

" Le gouvernement s'est engagé à prendre des mesures idoines dans le plus bref délai afin de juguler les perturbations dans l'approvisionnement des produits de première nécessité ", ajoute le compte rendu.

Dans le même registre, bien avant, le ministre des Finances Nicolas Kazadi, a présidé sa première réunion en qualité de ministre intérimaire de l'Economie jeudi 28 avril sur les modalités de la mise en œuvre des arrêtés portant suspension momentanée de la perception de la TVA sur certains produits de première nécessité. Ce, conformément à l'option levée lors de la dernière réunion du comité de conjoncture économique en vue d'apporter des solutions aux chocs externes dûs à la guerre en Ukraine occasionnant au niveau international la hausse des prix des produits pétroliers et céréaliers.

Cette réunion qui a connu la participation du Secrétaire Général à l'économie nationale Célestin Twite Yamwembo et des opérateurs économiques, a abouti à une décision: l'application de nouveaux tarifs après certification des stocks invendus mais déjà frappés par la TVA qui sera remboursée par le trésor public. Cette décision permettra aux opérateurs économiques de baisser les prix de certains produits de première nécessité au profit de la population.

Parmi les modalités d'application des mesures, on peut citer : la notification de la mesure de suspension momentanée de la TVA par la DGI, et la DGDA aux assujettis afin de constater l'application effective de cette mesure assortie d'une date butoir, le dépôt par les opérateurs économiques de leurs structures des prix exemptées de la TVA au Ministère de l'Economie Nationale, la mission de surveillance du marché par le Ministère de l'Economie Nationale.

Clément MUAMBA



Le FPM ASBL représenté par son Directeur général, M. Jean-Claude Thetika a signé, le mercredi 27 avril 2022 à Kinshasa un contrat d'assistance technique avec la Coopérative d'épargne et de crédit Akiba Yetu, représentée par le Président de son Conseil d'administration et son gérant, respectivement M. Claude KASIGWA et M. Henry MUZALIWA.

 

En signant ce partenariat d'assistance technique, le FPM ASBL (véhicule d'assistance technique du FPM) et la COOPEC AKIBA YETU décident de poursuivre leur contribution conjointe à la fourniture d'une meilleure offre de services financiers en faveur des micro petites et moyennes entreprises et des personnes à faibles revenus de la ville de Goma au Nord-Kivu. Il est attendu de ce partenariat trois principaux objectifs qui sont: (i) le développement de la portée des activités (en nombre et en volume); (ii) l'amélioration de l'efficience opérationnelle par le renforcement des capacités des équipes; et (iii) l'amélioration de la notoriété et le positionnement de l'institution sur le marché.

Le Directeur général du FPM explique le choix porté sur la coopérative Akiba Yetu.

"Le FPM étant un fond multibailleur, notre travaille est d'accompagner les institutions financières de manière générale. Nous avons pour mission de les accompagner en mettant en oeuvre des solutions pour les promouvoir au niveau du pays. Nous leur facilitons la tâche pour avoir accès aux crédits. La Coopérative Akiba Yetu a un bon encrage à Goma. Cette troisième convention que nous signons avec Akiba Yetu continue de le renforcer de le cadre de la gouvernance mais aussi à lancer des nouveaux produits et à le soutenir dans le relooking. Nous estimons que cette institution est dans la phase de croissance, elle doit se faire connaître davantage au public", a expliqué M. Jean-Claude Thetika

Créée en 2008, la COOPEC AKIBA YETU est opérationnelle à Goma se veut être un vecteur d'amélioration du bien-être social des populations à faibles revenus. Elle a pour mission d'offrir des services d'épargne sécurisés a ses membres et d'octroyer des crédits à des taux compétitifs, pour lutter contre la pauvreté et promouvoir le développement socio-économique de la population du Nord-Kivu

Le FPM a été créé en 2007 en tant que composante « micro » du Programme d'Appui au Secteur de la Microfinance (PASMIF). Il apporte une assistance technique au secteur financier congolais depuis novembre 2010 sous la forme d'une association sans but lucratif (ASBL) de droit congolais grâce au financement de ses bailleurs de fonds qui sont: la coopération financière allemande (KfW), l'Agence Française de Développement (AFD), la Banque Mondiale et le Programme de Développement des Nations Unies (PNUD/UNCDF).

Jordan MAYENIKINI 



Le rapport d'audit de l'Inspection Générale des Finances (IGF) sur la légalité des allocations et cessions des concessions forestières en RDC, entre 2014 et 2020, commence à produire des fruits.

Tel que recommandé par les inspecteurs de l'IGF dans leur rapport, la vice-première ministre de l'environnement et de développement durable, Eve Bazaiba, a signé un arrêté le 5 avril dernier suspendant à titre conservatoire 12 concessions forestières d'une superficie de 1.966.630 hectares, illégalement attribuées à 5 sociétés dans les provinces de la Mongala, Tshopo, Mai-Ndombe et de l'Equateur par 3 ministres successifs de l'environnement.

5 de ces 12 concessions avaient été attribuées à la société Maniema Union 2 par Claude Nyamugabo entre septembre 2019 et avril 2021. Amy Ambatobe Nyongolo avait vendu 3 concessions à la société Kitenge Lola, 2 concessions à la société FIFOR et une autre concession à la société française CFT, entre mai 2017 et mars 2019. Quant à Franck Mwedi Malila Apenela qui n'était que ministre intérimaire de l'environnement entre mars et septembre 2019, il avait vendu une concession à la société BOOMING.

Concernant le sort définitif de ces concessions suspendues et celui de leurs sociétés bénéficiaires, ils seront déterminés par la commission mixte instituée par le gouvernement dont l'arrêté a été adopté par le conseil des ministres le 15 avril dernier.

Hormis le travail qui sera fait par cette commission qui reste à mettre en place, il y a également une "revue légale" des concessions forestières qui est en cours au ministère de l'environnement et de développement durable, sur financement de l'Union européenne. 

Pour rappel, l'IGF avait indexé dans son rapport d'audit 18 concessions vendues illégalement. Les 6 autres avaient déjà été suspendues fin 2021. D'une superficie de 1,4 million d'hectares, ces 6 concessions avaient été attribuées à la société Tradelink Sarl dans les provinces de la Tshuapa et Tshopo par Claude Nyamugabo en septembre 2020.

Bienfait Luganywa



L’Association des sociétés d’assurance et de réassurance du Congo (ASAR) a indiqué, il y a quelques jours, que le secteur d'assurances a perçu environ 221 millions USD de primes, en 2021. 

Le président de cette structure, Vincent Mwepu, a confirmé ces chiffres mardi 26 mars à Radio Okapi. 

Vincent Mwepu invite ainsi l’Etat à la régulation de ce secteur générateur des recettes pour le trésor public : 

« En 2021, on était à peu près 221 millions USD de primes. Donc, l’Etat a intérêt à bien réguler le secteur d’assurances parce que plus on a de primes, plus on paie d’impôts et l’Etat a plus d’argent d’un côté. Plus, on paie des primes, plus on aura de capitaux pour investir dans des projets, soit déposer dans des banques qui pourront donner plus de crédits à leurs clients ». 

Il estime également que si le secteur d’assurances est bien régulé, il peut générer environ 800 millions USD de primes voire plus pour le pays. 

« Des chiffres que le régulateur nous a présentés, s’il est régulé de manière optimale, on est à peu près à 800 millions USD de primes [d’assurances] et dans trois à cinq ans on peut passer à trois milliards USD », a souligné Vincent Mwepu. 

Un porteur d’assurance est remboursé pour tout sinistre subit et l’Etat en tire dividende. 

La libéralisation du secteur d’assurances remonte à 2019. 

Accord IGF et ARCA 

De leur côté, l’Inspection générale des finances (IGF) et l’Autorité de régulation et de contrôle des assurances (ARCA) décident de se serrer les coudes pour éviter la fuite des capitaux dans ce secteur. 

Cette mutualisation des forces est reconnue dans l’article 286 du Code des assurances en RDC. 

« Quand vous prenez les états financiers des miniers, les sommes payées au titre d’assurance localement vous dites qu’il y a un ça ne va pas. Or tout celui qui œuvre en RDC a l’obligation de payer ses assurances en RDC. C’est parce qu’on a constaté ce problème-là que l’ARCA a sollicité le concours de l’IGF et nous allons le faire », a assuré l’inspecteur général des finances-adjoint, Victor Batubenga. 

Il a par ailleurs précisé que les assurances et les sécurités sociales font parties d’institutions financières non bancaires.

radiookapi.net/CC



Un accord de concession pour la relance effective et la modernisation de la Société commerciale, des transports et des ports (SCTP), ex-ONATRA, a été signé, lundi à la cité de l’Union africaine, devant le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, entre la République démocratique du Congo et le Qatar.

Cet accord fait suite aux engagements pris dernièrement à Doha, au Qatar, entre le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et l’Emir du Quatar.

« Ce qui est fait est dans l’intérêt du pays et de notre peuple », a indiqué le Chef de l’Etat, dans son message lors de la signature de cet accord, précisant que le projet est très ambitieux, car il ne concerne pas seulement le port de Matadi, mais il y aura aussi l’aspect du développement durable et le port de Kinshasa.

Ce projet, a-t-il ajouté, sera exécuté par la société Qatari Méditerranean shipping company s.a, qui est le premier armateur mondial dans le secteur portuaire. Il bénéficiera du financement du fonds d’investissements qatari, Maha capital.

Chérubin Okende, ministre des Transports, a déclaré à la presse à l’issue de la cérémonie, qu’il y a dans cet accord, l’aspect de la modernisation et de la prise en charge de la dette sociale de cette société. « Il est aussi question d’assainir le passif social dans le sens des avantages du personnel, notamment pour une retraite honorable, avec la possibilité d’assainir les effectifs pléthoriques du personnel, tout en donnant un coup de pouce à la réhabilitation et au rajeunissement du personnel de cette entreprise », a-t-il souligné.

La partie congolaise a connu les signatures de Mme Adèle Kayinda, ministre d’État en charge du Portefeuille, Chérubin Okende, ministre des Transports, Mme O’neige N’sele Mimpa, Vice- ministre des Finances et Martin Lukusa Cibangu, directeur général a.i de la SCTP.

M. Julien Boillot, lui, a signé pour le compte de Méditerranean shipping company (MSC) et le Fonds Maha capital.

Stéphie MUKINZI M & ACP/CC

 


Le gouvernement de la République décide de geler la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) sur certains produits de première nécessité, notamment le ciment pour obtenir la baisse des prix sur les marchés en République démocratique du Congo. 

D'après le ministre du Plan qui l'a annoncé à la presse au terme de la réunion du Comité de conjoncture économique (CCE) de ce mercredi 20 avril 2022, à  la Primature à Kinshasa, cette mesure rentre dans le cadre des solutions arrêtées par l'exécutif Nation pour faire face aux effets de la crise Russo-Ukrainienne sur l'économie nationale. 

"La réunion s'est apaisantie essentiellement sur les solutions apportées, vu les chocs externes qu'on reçoit avec la guerre en Ukraine qui a occasionné au niveau international la hausse des prix des produits pétroliers et les prix des produits céréaliers. Nous avons reçu l'information par la vice-ministre des Finances sur le gel de la TVA sur certains produits de première nécessité notamment les ciments, les conserves et beaucoup de produits de première nécessité pour la population, de manière à contenir les prix et à jouer vers la tendance à la baisse des prix", a fait savoir Christian Mwando Nsimba.

Par rapport aux produits pétroliers, il a laissé entendre que le CCE a fait remarquer qu'il ne se pose pas du tout un problème de stock. 

"Nous avons eu le rapport également du ministre des Hydrocarbures concernant la situation du stock au niveau du pays. Il nous fait remarquer que la situation est relativement bonne mais il faudrait qu'une décision soit prise rapidement pour s'adapter à la hausse des prix au niveau international dans la mesure où au mois de janvier, on était à plus où moins 80 dollars le baril, maintenant on en est autour de 110 dollars le baril. Les sociétés pétrolières auront difficile à suivre. Le premier ministre l'a instruit de finaliser les discussions avec les opérateurs du secteur pétrolier et de voir la possibilité d'avoir des importations urgentes et constituer la réserve stratégique pour le pays. C'est le travail qu'il est en train de finaliser", a dit le ministre du Plan.

Le Comité de Conjoncture économique a, par ailleurs, souligné que, sur le plan toujours économique, le taux de change est resté relativement stable autour de 2003 francs congolais pour 1 dollar américain.

Prince Mayiro



Ce jeudi 21 avril, le monde célèbre la journée internationale de la créativité et de l'innovation. Pour cette année, la célébration est axée sur « la croissance économique des nations ». 

Selon un rapport sur l’économie créative publié conjointement par l'Organisation des Nations-Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) et le programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD), la créativité ainsi que l’innovation représentent désormais la véritable richesse des nations. L'innovation, la créativité et l'entrepreneuriat peuvent ainsi donner un nouvel élan à la croissance de masse, à l'économie créative et à la création d'emplois.

A l’occasion, ACTUALITE.CD s'est entretenu avec Tysia Mukuna, entrepreneure congolaise et inventrice de la marque de café « la kinoise », produit d'une plantatioN située dans la commune de Mont-Ngafula à Kinshasa. 

Pour avoir innové dans le secteur de l'agriculture notamment dans la plantation et production de café, Mme Mukuna est d'avis que l'innovation, la créativité et l'entrepreneuriat peuvent être des vecteurs efficaces pour la croissance économique et la création d'emplois.

« ...Si vous mélangez entrepreneuriat, créativité et innovation, vous avez là quelque chose qui peut marquer les esprits dans la manière d'apporter une solution à un problème. L'entrepreneuriat, c'est répondre à une problématique, et quand notre façon de répondre est innovante, elle est alors plus remarquable. Et tout ceci permet aussi d'être dans une longue durée, apporter une innovation qui s'inscrit dans la longue durée (…) », a-t-elle fait savoir.

Tysia Mukuna souligne que le financement n'est pas le principal frein pour entreprendre ni  pour innover. Quand on est porteur d'un projet innovant, conseille-t-elle, la première étape à entamer, c'est la préparation ensuite la mise en place d'un plan d'action bien élaboré et bien défini.

« Beaucoup de personnes pensent que le financement, c'est le principal frein des entrepreneurs. Mais pour moi, ce n’est pas le financement le principal frein. C'est la préparation. Quand je veux parler d'innovation, je veux parler aussi d'être préparé, de savoir où on va pour être dans la longue durée. Donc  ceci demande un plan d'action. J'insiste beaucoup sur ça parce que beaucoup se lancent dans l'entrepreneuriat en disant qu’il leur manque des moyens mais ils ne savent combien il leur faut pour se lancer. Ils ne quantifient pas leur besoin en financement. Alors que c'est la première étape. A partir du moment où on sait quel est notre besoin de financement, on sait où aller pour avoir un financement ou vers  quel organisme se tourner (...) », a-t-elle poursuivi.

S’agissant de son café, Tysia Mukuna fait savoir que « c’est une innovation dans le sens où il pousse à Kinshasa. C'est la première fois que nous avons un café dont la plantation se situe à Kinshasa. On a toujours  entendu cet adage qui disait que le café ne pouvait pas pousser dans la capitale. Il se trouve que oui nous avons une plantation de plusieurs hectares où nous faisons pousser notre café, c'est pour cela d'ailleurs que la marque s'appelle la kinoise, à l'honneur de cette plantation ».

Et d’ajouter :

« Nous avons un goût particulier parce que c'est un café inédit. Surtout nous prouvons avec ce café que le terroir congolais est extraordinaire, que nous avons un sol vraiment unique à son genre et nous pouvons faire de l'agriculture quelque chose qui puisse être un honneur pour le pays, une fierté nationale ».

Outre la ville de Kinshasa, le café « la Kinoise » est aussi distribué dans d’autres villes du pays. « … C'est important de créer une marque congolaise Made in DRC forte, qu'aujourd'hui nous distribuons dans quatre villes du pays : Kinshasa, Boma, Lubumbashi et Matadi », note Mme Mukuna.

La journée mondiale de la créativité et de l'innovation veut rappeler à quel point l'innovation est essentielle pour exploiter le potentiel économique des nations. Elle vise à encourager les gens à générer de nouvelles idées pour faire du monde un meilleur endroit où vivre. C'est aussi grâce à la créativité et à l'innovation que le monde pourra apporter des solutions à certains des problèmes les plus pressants du présent siècle, tels que l'éradication de la pauvreté ou encore la faim. 

Ghislaine KANDA



Les prix des produits pétroliers ont augmenté sur l’ensemble du territoire de la République démocratique du Congo, annonce le ministre de l’Economie nationale, Jean-Marie Kalumba. Selon les arrêtés du ministre signés vendredi 15 avril, l’essence par exemple est désormais vendu à 2 195 USD (1, 09 USD), alors qu’il se vendait à 1995 Fc (0,99 USD), puis 2 095 USD (1,04 USD).

Cette hausse des prix des produits pétroliers concerne toutes les zones d’approvisionnement du pays : Ouest, Est et Sud.

Les prix des carburants à la pompe sont fixés de la manière suivante :

Zone d’approvisionnement Ouest

-Essence : 2.195 FC/Litre

-Gasoil : 2.185 FC/Litre

-Pétrole : 1.800 FC/Litre

Zone d’approvisionnement Est

-Essence : 2.695 FC/Litre

-Gasoil : 2.600 FC/Litre

-Pétrole : 2.150 FC/Litre

Zone d’approvisionnement Sud

-Essence : 2.695 FC/Litre

-Gasoil : 2.690 FC/Litre

-Pétrole : 2.250 FC/Litre.

Au début de la semaine du 11 avril, les pétroliers indiquauent que l’augmentation du prix du carburant à la pompe n’était plus à éviter. Leur président, Emery Mbantshi Bope avait annoncé « d’intenses pourparlers » avec le gouvernement, pour décider du prix qui sera fixé « pour permettre à tout le monde de continuer à travailler normalement ». 

radiookapi.net/CC

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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