La nouvelle du décès de l'artiste chorégraphe Lambert Moke connu sous le pseudonyme de Lambio Lambio est tombé comme un couperet.

Décédé dans la nuit du mercredi 17 au jeudi 18 mai 2023, à l'hôpital du cinquantenaire, de suite d'une crise cardiaque, Lambio Lambio dit " Ndoki ya Ndombe" a su marqué son temps dans le monde musical, précisément celui de la danse avec " les fioti fioti" et "les Nionions"

 Natif de Matete, il rejoint son ancien mentor, Papa Wemba, dans l'au-delà, 7 après la disparition de ce dernier à Abidjan 

La soixantaine révolue, celui qu'on appelait affectueusement "Ndoki ya Ndombe" a fait un parcours exceptionnel aux côtés de Papa Wemba. Vers le début des années 2000, il crée le groupe de danse "Fioti Fioti" au sein de Viva la Musica, plus tard il créa un autre dénommé "Nionions"

Gratis Makabi



Chaque 17 mai est célébré comme journée de la libération et des FARDC en République démocratique du Congo. Elle est déclarée chômée et payée. Cette date rappelle aussi la fin du mobutisme.

En effet, le 17 mai 1997, les soldats de l’AFDL, une coalition rebelle, faisaient leur entrée triomphale à Kinshasa après sept mois de guerre partie de l'est de la RDC. Cet événement mettait ainsi fin à 32 ans de règne du Maréchal Mobutu.

Les soldats de l’Alliance, communément appelés "Kadogo", sont entrés à Kinshasa à pied dans sa partie Est. L’affrontement tant redouté dans la capitale entre les rebelles et les forces loyales à l’ancien régime n’eut pas lieu.

Samedi 17 mai 1997 au matin, les habitants des communes de Masina et Kimbanseke s’étaient massés le long du Boulevard Lumumba pour voir de plus près ces petits soldats chaussés des bottes en caoutchouc qui avaient réussi à chasser du pouvoir le président Mobutu.

Laurent-Désiré Kabila, ancien porte-parole de l'Alliance, devenait alors président de la République, rebaptisé République Démocratique du Congo. Il sera assassiné le 16 janvier 2001 dans son bureau à Kinshasa. Son fils Joseph Kabila qui lui a succédé à partir du 26 janvier 2001 restera au pouvoir jusqu’au 24 janvier 2019, date de l’installation de l’actuel président, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Anciennement célébrée comme fête de la libération en référence à cette entrée à Kinshasa des "Kadogo" les Congolais célébrèrent, depuis mai 2019, chaque 17 mai “la révolution et les Forces armées de la RDC (FARDC)”.

CC

 



Les droits de retransmission en clair des IXes Jeux de la Francophonie prévus du 28 juillet au 06 août de cette année à Kinshasa, capitale de la RDC, sont attribués à la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC). 

Une entente pour la production TV et la couverture médiatique de cet événement sportif et culturel a été signée le mardi 16 mai 2023 entre le Comité National des Jeux de la Francophonie (CNJF) et la RTNC. Les deux parties ont été représentées par Isidore Kwandja et Sylvie Elenge, respectivement directeur national des Jeux et directrice générale de la télévision nationale.  

Désignée Radio Télédiffuseur Hôte (RTDH), la chaîne publique tient les rênes de la médiatisation des IXes Jeux de la Francophonie sur l'échiquier national. Elle proposera une série de programmes pour accompagner le processus de préparation de ces Jeux et une diffusion en streaming gratuit pendant les 10 jours. 

« C'est un jour important qui marque le véritable début de la campagne que nous devons tous faire pour l'appropriation de ces Jeux. La RTNC sera le diffuseur hôte. C'est-à-dire qu'elle elle produira le signal qui sera mondialement repris par toutes les chaînes partenaires. La RTNC, c'est aussi cet outil qui doit nous permettre de suivre la préparation de nos athlètes et artistes pour que les Jeux puissent être compris dans ce qu'ils représentent comme opportunité pour nous. Avec les Jeux de la Francophonie, la télévision nationale doit avoir l'occasion de faire rêver et de démontrer la grandeur à la fois sportive et culturelle de notre pays », a déclaré le ministre de la Communication et médias et porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya. 

Pour permettre à toutes les populations des pays francophones de pouvoir suivre cet événement sportif et culturel considéré comme le plus grand depuis le « combat du siècle » entre Mohamed Ali et Georges Foreman en 1974 en RDC, le CNJF entend nouer des partenariats avec d'autres médias nationaux et internationaux à forte audience. 

« Je suis très content que nous ayons signé cette entente qui est une porte ouverte aux partenariats avec d’autres médias nationaux pour une large couverture des Jeux de Kinshasa. Maintenant que nous venons de signer avec la RTNC comme diffuseur officiel au niveau national, nous serons en mesure de signer avec le CIJF afin que nous puissions faire la promotion des Jeux sur les plans national et international. C'est d'ailleurs pour cette raison que jai invité les médias à nous accompagner dans l'organisation de ces Jeux », a indiqué Isidore Kwandja, directeur du CNJF. 

De son côté, la directrice générale de la RTNC s'est montrée optimiste quant à la capacité de la chaîne publique à relever ce défi. 

« Nous avons le personnel technique qu’il faut pour assurer le travail attendu. Ensuite, il y a tout un programme de formation qui a déjà débuté. Nous avons de partenaires qui viennent de l’extérieur comme des consultants internes qui viennent renforcer le personnel en capacités, surtout que c’est du matériel neuf, une nouvelle technologie que nous n’avions pas. Donc, il faudra coacher l’équipe à l’utilisation à bon escient de ces matériels », a souligné S. Elenge. 

Outre P. Muyaya, le ministre des Sports Francois-Claude Kabulo Mwana Kabulo, la ministre de la Culture Catherine Kathungu Furaha et le vice-ministre des Affaires étrangères Crispin Mbadu ont pris part à cette cérémonie. 

Merveil Molo



La Banque mondiale a dû interrompre le financement de projets humanitaires et de développement au Congo d'une valeur totale de 1 milliard de dollars en raison de la dissolution par le président Tshisekedi du Fonds social pour la RDC et de la création d'un autre fonds du même nom. Des discussions sont en cours entre l’institution internationale et les autorités en vue de trouver des mesures transitoires, mais les conséquences se font déjà sentir sur le terrain.

Le 4 mai, le président Tshisekedi a dissout le fonds social pour la RDC par ordonnance et en a créé une autre en raison de "l'évolution du cadre juridique régissant les établissements publics" et des "impératifs de fonctionnement et d'efficacité", selon les textes lus ce jour-là à la radio et à la télévision nationales congolaises.

La présidence de la RDC et la Banque mondiale n'ont pas commenté les 91 millions de fonds injustifiés.  

“Une catastrophe pour les victimes”

En attendant, des dizaines de projets et d’activités, notamment de prévention des violences sexuelles comme ceux de la Fondation Panzi du Dr Denis Mukwege ont été impactés. "C'est une catastrophe pour les victimes", a déclaré le Dr Denis Mukwege, annonçant l'arrêt de son programme d'aide aux victimes de violences sexuelles dans la province du Tanganyika, où au moins 60 victimes par mois étaient orientées vers le programme de la  Fondation Panzi. Il affirme avoir été prévenu "quelques jours avant" que les dépenses engagées dans le cadre de son programme au Tanganyika ne seraient plus remboursées à partir de la fin du mois d'avril. "Les patients que vous avez opérés quelques jours avant, que leur dites-vous ?", a ajouté Mukwege. « On a complètement arrêté depuis fin avril. Récemment encore, Ocha m’avait demandé de prendre en charge des victimes de violences sexuelles, j’ai dû refuser car on ne peut plus se faire rembourser les fonds engagés », explique le docteur Silas Hasimi, coordinateur des activités de la Fondation Panzi dans la province du Tanganyika. 

D’autres institutions bénéficiaires ont confirmé à ACTUALITE.CD l’arrêt ou la suspension de certains programmes en attendant la fin des discussions entre le gouvernement congolais et la Banque Mondiale, faute de fonds ou de remboursements.

Un amateurisme au sommet de l’Etat?

"La situation du Fonds social de la République démocratique du Congo démontre l'amateurisme au sommet de l'Etat et les pratiques de mauvaise gouvernance qui caractérisent le régime actuel", a commenté Valery Madianga, directeur général du Centre de Recherches en Finances Publiques et Développement Local (Crefdl), une organisation congolaise spécialisée dans l'audit des finances publiques. "Il y a manifestement une volonté de dissimuler l'utilisation de 91 millions de dollars qui n'a pas été justifiée jusqu'à présent", a-t-il ajouté, rappelant qu'il s'agissait d'une structure gérée par la présidence de la République et que d'autres scandales avaient déjà entaché cette institution sous Félix Tshisekedi.

Quatre des principaux candidats de l'opposition aux élections présidentielles avaient écrit le 10 mai au directeur général du Fonds monétaire international, avec copie aux dirigeants de la Banque mondiale et de la Banque africaine de développement, pour demander un "audit des ressources allouées" par ces institutions internationales, justifiant cette demande par le manque d'impact de ces fonds pour la population congolaise.

Sonia Rolley

 


Un Iliouchine 76 quitte l'aéroport de Moanda, près de Gbadolite, pour Lomé. Pour une dernière demeure, le Maroc.

Joseph Désiré Mobutu a passé ses derniers 5 mois d'exil au Maroc avant de succomber des suites du cancer à Rabat. Le Maroc a été un fidèle soutien de l'ancien président zaïrois. Retours sur ses derniers mois d'exils discrets au Maroc, marqués par la détérioration de son état de santé.

À la mi-mai 1997, à son arrivée au Maroc Joseph Mobutu passe quelques jours dans le nord du pays à Tanger. Très vite, son état de santé le pousse à se rapprocher de la capitale et à s'installer quelques semaines avec son entourage dans un hôtel de la petite ville balnéaire de Skhirat, à 25 km au sud de Rabat. Ce n'est qu'à la fin du mois de juillet que l'ex-président congolais est admis à l'hôpital Avicenne à Rabat.

À l'époque les autorités marocaines l'assuraient : le séjour de Joseph Mobutu devait être bref. Hassan II pourtant était l'un des plus fidèles soutiens du maréchal. Fervent défenseur de l'unité congolaise, le roi du Maroc avait envoyé à deux reprises, en 77 et 78, des soldats marocains pour venir en aide au régime du président zaïrois.

Pendant ce temps son entourage composé notamment de ses deux épouses et compagnes, les jumelles Bobi et Kosia ainsi que leurs enfants, vivaient discrètement et sous bonne garde dans l'une des villas de Hay Riad, quartier huppé de la capitale, fréquentée par les diplomates et les expatriés. Aujourd'hui sa garde rapprochée continue de vivre au Maroc en toute discrétion, tandis que les membres de sa famille s'y rendent de manière occasionnelle.

À sa mort en 1997, Joseph Mobutu est enterré dans le carré chrétien du cimentière de Rabat. Régulièrement visitée par ses proches mais aussi des anonymes, la sépulture est toujours impeccablement entretenue. Sur le caveau en marbre noir et blanc figurent les initiales de MSS pour Mobutu Sese Seko, Mobutu le Guerrier. En 2007 le président Kabila avait donné son accord pour un rapatriement de sa tombe. Mais la mesure à ce jour n'a pas été appliquée.

RFI/CC



Il y a 26 ans, jour pour jour, le maréchal Mobutu était contraint de quitter la capitale de l’ex Congo-Belge pour Gbadolite (nord-ouest du pays) alors que les armées Rwando-Ougandaises étaient aux portes de Kinshasa.

A 10h30 de ce vendredi 16 mai 1997, alors Rédacteur en chef à l’Agence Zaïre Presse (AZAP), j’étais à la rédaction lorsque j’ai entendu au loin des gyrophares et des sirènes couverts par des hués. C’était le passage du convoi du président du Zaïre qui roulait à vive allure pour l’aéroport de Ndjili. C’est, du moins, ce que me souffle un des combattants de l’UDPS stationné aux abords de l’immeuble de l’AZAP.

Effectivement c’est la fin du mobutisme. Mobutu a été lâcher par son armée et son rêve de mourir au Zaïre comme président de la République s’évanouie ! Les Américains l’ont lâché. Les négociations entre lui et Laurent Kabila, sous l’égide de Nelson Mandela et d’Omar Bongo, à bord de l’« utenica », ont échoué. En plus, l’ancien Sergent de la Force Publique a été rongé par deux cancers :  prostate et colon.

Donc l’enfant de mama Yemo a perdu ses soutiens occidentaux, est terrassé par la maladie, abandonné par son armée et divorcé avec son peuple, n’avait que le chemin de l’exil qui l’a amené dans son dernier demeure à Rabat.

Le 17 mai 1997, les « Kadogo », sommet de l’iceberg des soldats des armées rwandaise et ougandaise, entrent à Kinshasa en libérateurs. Les Kinois exultent. Mobutu, c’est fini. Laurent Kabila s’auto-proclame président du pays rebaptisé République Démocratique du Congo.

Ali Kalonga



Ce dimanche 14 mai 2023 a marqué 21 ans, jour pour jour, que les armées de la rébellion du RCD-Goma, vivement soutenue par le Rwanda, ont massacré plus de 300 civils à Kisangani, le 14 mai 2002. Des corps de certains d’entre eux ont été jetés dans la rivière Tshopo, d’après des témoins et des rapports des organisations des droits de l’homme.

Les ONG de défense des droits humains de Kisangani et d’ailleurs ont dénoncé et documenté, au risque de leurs vies, ces graves crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Grâce à leurs efforts, Human Rights Watch et les Nations Unies par le biais de la Rapporteuse Spéciale sur les exécutions sommaires et extrajudiciaires Asma Hangiri, ont été dépêchés à Kisangani et ils y ont mené leurs propres enquêtes qui ont abouti aux mêmes résultats environ 300 morts civils, des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis.

Pour Dismas Kitenge, président du Groupe Lotus, une organisation non gouvernementale basée à Kisangani, les commanditaires de ces tueries sont toujours impunis, vaquent librement à leurs occupations et se retrouvent même dans les institutions du pays, occupant des hautes fonctions.

« Jusqu’à ce jour, des auteurs et exécutants de ces crimes odieux sont vivants et beaucoup d’entre eux sont dans les institutions de la république : armée, parlement et gouvernement », a-t-il dit, dans un communiqué du Groupe Lotus, à l’occasion de 21 ans d’impunité des massacres de Kisangani par le RCD, transmis à POLITICO.CD

À l’en croire, beaucoup d’acteurs de la société civile de Kisangani ont été menacés de mort, contraints à la clandestinité, d’autres ont été exfiltrés et ils se sont réfugiés au camp des casques bleus de la MONUSCO, situé à l’ex résidence du Gouverneur de la province, pour avoir dénoncé ces massacres, citant nommément les auteurs.

En plus, Kitenge regrette que durant de nombreuses années, précisément plus de 21 ans, des victimes de ces crimes graves des massacres des civils de Kisangani le 14 mai 2002 et de vaillants et audacieux acteurs de la société civile de Kisangani sont jetés dans les oubliettes de la République.

Pour lui, il est temps de rendre hommage à ces nombreuses victimes, aux acteurs de la société civile, notamment Dr. Abisa, Abbé Jean-Pierre Badidike, François Zoka, Gilbert Kalinde, Pierre Kibaka, Pr. Jean Otemikongo Mandefu, Pr Faustin Toengaho, Blaise Baise Bolemba, Dismas Kitenge, Guy Verhaegen et d’autres.

« Merci aux vaillants de la MONUSCO de Kisangani qui ont contribué à la documentation de ces crimes graves et lesquels ont porté assistance à ces acteurs de la société civile en danger (Défunte Mme Lisa MbeleMbongo, M.Sylvain Mudimbi Masudi, Luc Henkimbrant, Louis Marie Bouaka, etc… », a-t-il ajouté.

Et de conclure : « Rien ne sera oublié. Appliquons aussi le pilier des poursuites judiciaires pour donner corps à la véritable justice transitionnelle en RDC ».

Serge SINDANI

 

 

SINDANI



Une vingtaine de journalistes audiovisuels, de la presse en ligne et des acteurs de droits humains de Lubumbashi ont été formés sur l'évaluation des outils de surveillance et mécanisme de protection à l'approche des élections de décembre 2023 en République démocratique du Congo.

Organisé du vendredi 12 au samedi 13 mai 2023 à Lubumbashi par l'Union nationale de la presse du Congo (UNPC) section du Katanga grâce à l'appui technique d'Internews en République démocratique du Congo, plusieurs thématiques développées ont tourné au tour de la nouvelle loi de la presse en RDC.

Selon Gilbert Kyungu, vice-président de l'UNPC/Katanga, des mesures seront mises en place pour pouvoir sécuriser davantage les journalistes dans cette partie du pays.

"On va continuer les échanges pour permettre d'avoir une petite structure qui pourrait nous permettre de mener des actions dès lors qu'il y a des alertes. Merci aussi à Internews qui nous a appuyé techniquement", a-t-il déclaré au micro tendu par 7SUR7.CD.

A l'issue de cette formation de deux jours, plusieurs recommandations ont été proposées non seulement pour les journalistes mais aussi pour l'Union nationale de la presse du Congo et du Conseil supérieur de l'audiovisuel du Congo. Il s'agit de :

- Vulgariser la nouvelle loi auprès des journalistes, des politiques et militaires ;

- Vulgariser le plan d'action des Nations-unies sur la sécurité des journalistes par l'UNPC ;

-  Faire un plaidoyer auprès des conseils de sécurité (national et provincial) pour la sécurisation des professionnels des médias ;

- Sensibiliser la conscience professionnelle du journaliste ;

- Assurer régulièrement les unités et connexion internet des journalistes par leurs maisons de presse  ;

- Aux professionnels des médias, de toujours surveiller leurs arrières ;

- Aux journalistes,  de ne pas négliger une menace quelconque et surtout le dénoncer ;

- Documenter les incidents de sécurité  ;

- Travailler en collaboration avec les consœurs et confrères ;

- Réactiver le travail entre les journalistes et d'autres organismes de droits de l'homme.

- Actualiser le système d'alerte en initiant les journalistes à l'utilisation du système NEMO, qui permet de localiser et d'identifier la personne qui est en danger pour lui venir en aide, au moyen d'un logiciel ;

- Au gouvernement, d'élargir la redevance dans les médias privés qui remplissent les conditions ;

- Créer une unité de protection au sein de l'UNPC pour analyser minutieusement les cas d'atteinte à la liberté de la presse ;

- Insister sur la signature des contrats des journalistes avec leurs employeurs, par l'inspection du travail.

Il est à noter que le CT Maurice Kitoko, enseignant à l'université de Lubumbashi, Richard Mulumba, représentant provincial du CSAC, maître Jonas Mulumba, activiste des droits humains et Gaston Nyembwe, expert en question de sécurité au bureau conjoint des Nations-Unies pour les droits humains ont développé plusieurs sujets dans cet atelier.

Patient Lukusa, à Lubumbashi

A Propos

www.culturecongolaise.com

Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

Derniers Articles

Newsletter

Rejoignez notre newsletter et recevez des news dans votre boîte de réception. Nous ne vous enverrons pas de spam et nous respectons votre vie privée.