Jules Alingete Key, inspecteur Général des Finances, chef de service était en réunion d’évaluation ce mardi 05 septembre dernier au siège de l’IGF, avec Isidore Kwanja Ngembo, Directeur du Comité National des IXes Jeux de la Francophonie ; réunion au cours de laquelle les deux personnalités ont échangé autour des questions relatives à la mission de l’IGF au sein de cette structure. À en croire Jules Alingete, tout s’est passé normalement et il n’y a pas eu des soupçons quelconques des détournements des deniers publics.

« En ce qui concerne la mission de l’Inspection Générale des Finances, nous voudrions signaler que l’inspection générale des finances a accompagné la direction du comité national des jeux de la francophonie, toutes les opérations financières ont été faites sous le regard de l’IGF et nous pouvons vous affirmer qu’il n’y a pas eu des faits de détournements des deniers publics au niveau de la direction du comité national des Jeux de la Francophonie. Aujourd’hui, nous sommes en phase de terminer cette mission, nous sommes entrain de faire une évaluation en ce qui concerne les biens de la francophonie et les litiges qui existent pour permettre au comité de pilotage d’apurer toutes les opérations de la francophonie», a déclaré Jules Alingete Key devant la presse à l’issue de la réunion.

S’agissant des allégations selon lesquelles Isidore Kwanja aurait détourné des véhicules destinés aux Jeux de la Francophonie, Jules Alingete rassure qu’il s’agissait d’une mauvaise interprétation dans l’opinion.

« Nous voudrions également en profité pour signaler qu’il n’y a pas eu des détournements des véhicules au niveau de la francophonie, c’est juste une mauvaise interprétation des choses au niveau de la presse, tout se passe normalement bien et nous estimons que l’IGF a très bien rempli sa mission d’accompagner les Jeux de la Francophonie qui constitue une grande réussite pour notre pays», a rassuré l’IGF, chef de service.

Pour sa part, Isidore Kwanja est revenu sur les différentes étapes prévues après les jeux de la Francophonie. Les inventaires se poursuivent afin de tout remettre au gouvernement de la République

« Les Jeux sont finis, nous sommes entrain de faire le rapport pour éventuellement remettre tout ce qu’il y a été acheté dans le cadre des jeux de la francophonie au trésor public parceque c’est avec l’argent du Trésor public que tout cela a été acheté, que ça soit les véhicules, tous les matériels, tout ce qui a été acheté dans le cadre des jeux de la francophonie, nous allons faire le rapport et nous allons transmettre cela au comité de pilotage qui a le pouvoir de distribuer ça dans les différents services du gouvernement», a fait remarquer Isidore Kwandja.

Bien avant cette rencontre, Isidore Kwandja avait réagi face aux informations circulant dans plusieurs médias et sur les réseaux sociaux concernant l’interception de 14 véhicules Toyota à la frontière de Lufu, destinés aux Jeux de la Francophonie.

Selon les rapports, disait-il, ces véhicules ont été escortés à Kinshasa pour être remis au gouvernement. Dans sa déclaration, M. Ngembo a tenu à clarifier que le Comité national des IXes Jeux de la Francophonie (CNJF) avait commandé 12 véhicules pick-up Toyota Land Cruiser 4×4 pour renforcer la sécurité lors de l’événement sportif et culturel. L’IGF, qui a travaillé en étroite collaboration avec le CNJF depuis janvier 2022, ainsi que le gouvernement et les autorités de la Police Nationale étaient tous informés de cette commande.

D’après lui, le retard de l’arrivée de ces véhicules à Lufu est dû à un retard dans la commande, obligeant le CNJF à louer d’autres véhicules pour assurer la sécurité durant les jeux. Actuellement, ces véhicules sont retenus à la douane en raison du manque de fonds du CNJF pour effectuer les formalités de dédouanement, entraînant des pénalités journalières.

Kinshasa, capitale de la RDC, a accueilli pendant 10 jours les meilleurs jeunes talents artistes et sportifs francophones lors des IXes Jeux de la Francophonie. Les Jeux de la Francophonie ont été attribués à la RDC le 2 juillet 2019 lors de la 108ème session du conseil permanent de la Francophonie. Prévus en 2021, ils ont été reportés d’abord du 21 au 28 août 2022 suite à la pandémie de Covid-19 avant cette seconde chance.

actuRDC/CC



Ferre Gola séjourne actuellement en Côte d’Ivoire où il a été sur scène ce mardi 05 septembre dans la soirée, devant le public ivoirien en concert live V.I.P à Sofitel Hôtel Ivoire à Abidjan. De passage dans l’émission Génération 2.0 de Trace Côte d’Ivoire FM publiée le 04 novembre dernier sur Elengi ya Congo TV, le Padre a fixé les conditions à remplir pour être citer dans l’une des ses chansons.

A l’en croire, l’on doit payer à partir de 5 milles dollars américains pour que son nom soit cité dans l’une de ses chansons. « Il faut débourser plus de 5 milles dollars pour être citer dans l’une de mes chansons. Mais ça dépend de chaque artiste», avait dit Ferre Gola.

Pour Ferre Gola, la rumba marche ensemble avec le phénomène «Libanga». Il estime qu’une chanson sans dédicace perd sa saveur.

« On ne peut pas chanter une chanson rumba sans citer les noms de gens. Sinon la chanson perdrait son sens », conclut-il.

Actu RDC/CC

 


Quelques jours après la répression sanglante des manifestants non armés à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, le gouvernement central a annoncé tard dans la soirée du 4 septembre, des mesures prises à la suite des auditions menées par la Commission Interministérielle instituée le 1er septembre 2023 par le Président de la République.

Après s’être entretenue avec les forces vives et avoir auditionné les différentes autorités civiles et militaires du Nord-Kivu du 03 au 04 septembre, cette commission constituée notamment des vices-premiers de l’Intérieur et de la Défense a résolu de rappeler à Kinshasa, Constant Ndima, gouverneur militaire et commandant des opérations militaires de cette province placée sous état de siège depuis mai 2021.

Dans le même ordre, Kinshasa a annoncé la suspension du commissaire supérieur principal Bongo Wifema José, commandant en charge des opérations de la ville Goma et du commissaire supérieur Luna Kimanga Martin, commandant en charge des renseignements dans la ville de Goma, tous les deux officiers de la Police Nationale Congolaise ainsi que leur rappel dans la capitale.

À ces deux mesures s’ajoutent:

  • La prise en charge des obsèques des victimes par le Gouvernement;
  • L’organisation des obsèques de l’Agent de Police Principal Kipapa Safari, sauvagement abattu par les membres de la secte;
  • La prise en charge des soins des blessés par la Province du Nord-Kivu;
  • La libération de Kabanza Mugabo Josué, militant d’un mouvement citoyen interpellé le lendemain des manifestations.

Le gouvernement envisage par ailleurs, identifier et fermer toutes les églises non en règle avec la Loi.

« Le gouvernement réitère son invitation aux familles des victimes d’entrer en contact avec l’Auditeur Militaire Supérieur de la Province du Nord-Kivu, afin de dénoncer d’autres faits infractionnels non connus à ce jour », peut-on lire dans cette note parvenue à POLITICO.CD.

La dernière marche voulue pacifique des fidèles de la secte « Uzalendo » a fait au moins 43 morts et une cinquantaine de blessés, selon le bilan officiel. Ils exigeaient le retrait de la Mission onusienne en RDC (Monusco), de la force régionale de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) du territoire congolais et la levée de l’état de siège jugé « inefficace » deux ans après son instauration par le Président de la République, Félix Tshisekedi.

Carmel NDEO



Dans une matinée de réflexion tenue le lundi 04 septembre 2023 à Lubumbashi dans le Haut-Katanga, l'Ordre supérieur épiscopal du Congo (OSEC) a mis en garde la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) face aux propos prononcés par monseigneur Donatien Nshole sur "l'éventualité d'un coup d'État par un leader courageux".

Dans sa déclaration finale et dont une copie est parvenue à la presse ce mardi, l'archevêque Léonard Matebwe Lambalamba, président général de l'OSEC qui l'a signé a indiqué que le "vrai problème de la RDC n'est pas la politique mais le social de la population".

Il a invité le gouvernement de la République à concevoir "une bonne politique" pour créer les emplois, combattre la pauvreté, la famine, offrir des logements adéquats. C'est ce dont, a-t-il poursuivi, le peuple congolais attend.

Par ailleurs, vu le nombre élevé des partis politiques et les églises en République démocratique du Congo, l'OSEC a souhaité au gouvernement congolais de fusionner ces organisations dans le but de remettre de l'ordre dans ces deux domaines.

"Sur le plan politique, l'OSEC a constaté que le pays est envahi par la prolifération des partis politiques et des églises. L'OSEC se pose la question de savoir comment un pays qui a plus de 1.000 partis politiques et plus de 20.000 églises peut se développer et combattre la misère de la population ? Il propose au gouvernement la fusion de certains partis politiques et églises pour remettre de l'ordre dans ce domaine en consultant certaines têtes pensantes du pays", a-t-il déclaré.

Dans la foulée, l'archevêque et docteur Léonard Matebwe Lambalamba s'est dit indigné des propos prononcés par monseigneur Donatien Nshole sur "l'éventualité d'un coup d'État par un leader courageux". Pour le président général de l'OSEC, ces propos sont "attentatoires à la sûreté de l'État".

"En outre, l'OSEC a appris avec indignation que monseigneur Donatien Nshole aurait prononcé des propos belliqueux, attentatoires à la sûreté de l'État et de nature à renverser l'ordre constitutionnel demandant à tout leader courageux de faire un coup d'État au cas où la CENI ne va pas confirmer les résultats des élections qui seront concoctés dans les laboratoires de la CENCO", a-t-il poursuivi.

D'après l'archevêque Léonard Matebwe Lambalamba, si ces propos de monseigneur Donatien Nshole de la CENCO étaient déclarés à l'époque de l'ancien chef de l'Etat Mobutu, l'auteur de ces déclarations serait déjà en prison pour s'expliquer à la Justice congolaise.

Le président général de l'OSEC a souligné que la CENCO ne puisse pas profiter du caractère pacifique du président Félix Tshisekedi pour semer le chaos, embraser tout le pays et renverser l'ordre constitutionnel. Pour lui, "jamais un homme de Dieu n'a tenu un tel discours sur la planète".

Au cas où la CENCO pourrait continuer dans cette démarche, l'Ordre supérieur épiscopal du Congo n'écarte pas l'idée de la traduire en Justice.

"Craignant d'être considéré tous (hommes de Dieu, évêques) comme fauteurs de troubles, l'OSEC met l'auteur de ces propos en garde et promet de le traduire en justice en cas de récidive et prend à témoin toute la communauté tant nationale qu'internationale de le considérer comme responsable de tout éventuel bain de sang ou soulèvement populaire avant, pendant et après les élections de décembre 2023", a-t-il prévenu.

Et de poursuivre : "Par ailleurs, l'OSEC invite tous les leaders des confessions religieuses et les acteurs politiques à véhiculer un message d'amour, de paix, d'unité, de cohésion nationale et de se désolidariser de tous et le chaos dans les officines macabres. Car le Congo saigne et les congolais sont fatigués".

Dans la conclusion de sa déclaration, le président général de l'OSEC, l'archevêque et docteur Sa Grâce Léonard Matebwe Lambalamba a demandé à la CENCO de "changer sa stratégie étant donné que sa politique de déstabilisation, de chaos et de troubles commencée depuis l'époque coloniale avec la trilogie n'a pas marchée".

Dans une émission sur la radio Top Congo FM de Kinshasa, monseigneur Donatien Nshole avait exprimé sa crainte concernant une probable révolution "qui n’attendra qu’un leader courageux, si la Commission électorale nationale indépendante ne comprend pas la pertinence des propositions lui formulées par les évêques membres de la CENCO".

Patient Lukusa, à Lubumbashi



C'est une unième reconnaissance pour la Présidente de la Fondation GRAME, Madame JULIE NSUELE MANIKA d'être honorée parmi les personnalités qui se distinguent en République Démocratique du Congo.
Le samedi 31 A à oût 2023, lors d'une soirée de Gala à l'hôtel du fleuve, Mme Julie NSUELE MANIKA, a été honorée de recevoir le Prix "WOMEN LEADERSHIP " au Women add Value Recognition Award, une haute distinction décernée par ICHANGE NATIONS, une structure Américaine qui récompense les personnes qui ont produit des changements monumentaux dans la vie de personnes ou de systèmes à travers le monde.

En sa qualité de Présidente de la Fondation GRAME, une ASBL qui encadre gratuitement près de 2000 femmes Congolaises par des formations métiers et de renforcement des capacités,  en vue de sortir du cercle vicieux de la pauvreté. 

"Ce prix prestigieux, vient nous encourager sur tant d'effort consentis pour l'amelioration des conditions de vie de nos compatriotes, car nous croyons en une société plus solidaire, remplie d'humanisme". 

Dans son mot à  mon endroit l'Ambassadeur Sir Clyde Rivers Président de ICN a déclaré : «  cela fait quelques temps que nous suivons vos actions en faveur de l'autonomisation de la femme en RDC, ceci démontre votre engagement pour la cause de la femme dans votre pays. C'est très louable ce que vous faites, et nous vous encourageons à faire davantages.
iChange Nations est fier de pouvoir honorer cette femme leader née
". 

iChange Nations est une institution professionnelle qui forme des hommes d'État en équipant, encadrant et en formant des personnes hautement estimées qui ont le désir de changer les nations à travers le monde.  L'organisation cherche à sensibiliser le monde en aidant stratégiquement les nations à éduquer, former et soutenir le processus de construction de la nation conçu pour améliorer la dignité et l'amélioration de la vie humaine.  Cette plateforme internationale se concentre sur l’établissement des relations efficaces pour aider les gens à comprendre la valeur de l’honneur et des droits humains fondamentaux.

Plusieurs autres personnalités ont été primé à ces AWARDS à savoir la Présidente honoraire de la République de l'Équateur, S.E Rosalia ARTEGA, S.E Guy LOANDO Ministre National de l'aménagement du territoire, le Dr Stanislas SULU du centre NGANDA,  Mme Chantal Yelu MULOP, la coordinatrice des services spécialisés du Chef de l’Etat en matière des VBG, Mme Liliane TEMUNI, l'ambassadrice de la croix rouge en RDC, l'artiste Musicien INNOS B et tant d'autres,...

7sur7/CC



La rentrée scolaire 2023-2024 qui a eu lieu le 4 septembre n’a pas concerné tous les enfants congolais en âge de scolarité. 7 millions d’entre eux demeurent non scolarisés, à en croire le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF).

Les raisons de cette situation sont diverses, notamment les violences à l’Est du pays, d’après Grant Leaity, représentant de l’UNICEF en RDC.

« Des dizaines de milliers d’enfants sont privés de leur droit à l’éducation à cause des violences dans l’Est de la RDC et sont ainsi plus exposés aux risques d'abus, de travail et de mariage des enfants », déclare-t-il dans un communiqué envoyé à la presse à l’occasion de la rentrée scolaire.

Cette agence onusienne appelle tous les partenaires éducatifs en RDC à redoubler d’efforts afin de permettre à tous les enfants congolais d’être scolarisés.

« UNICEF appelle à l’engagement de tous les secteurs et des partenaires, à la multiplication des efforts à tous les niveaux et dans tous les domaines pour mieux promouvoir la scolarisation de tous les enfants, y compris dans les zones touchées par la violence », ajoute ledit communiqué.

Et pour les 27 millions d’enfants scolarisés, l’UNICEF demande qu’une éducation de qualité leur soit garantie.

« Il ne suffit pas seulement d’envoyer les enfants à l’école, il faut aussi veiller à ce qu’ils soient bien nourris, en bonne santé et protégés notamment contre les violences pour qu'ils puissent apprendre dans de bonnes conditions et continuer leur cycle scolaire en s’épanouissant pleinement », rappelle Grant Leaity.

Pour l’UNICEF, le maintien à l’école des enfants dépend de plusieurs facteurs sur lesquels l’Etat congolais et ses partenaires doivent travailler.

« La scolarisation et le maintien à l’école des enfants sont influencés par une multitude de facteurs externes, comme la disponibilité de l’eau, l’hygiène et l’assainissement au sein de l'école, la nourriture et des fournitures scolaires de base pour les enfants par exemple. De même, les mariages d’enfants, les grossesses précoces et les violences représentent des freins à la scolarisation et au maintien à l’école. Les filles sont plus susceptibles de se rendre à l’école quand elles ont leurs règles si de l’eau salubre est accessible, ainsi que des installations sanitaires adaptées », conclut l’agence onusienne.

Au cours de la conférence de presse coanimée hier lundi avec son collègue de la communication et médias, le ministre de l'Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST), Tony Mwaba, a déclaré que 708 écoles ont été détruites au Nord-Kivu et en Ituri suite à l’insécurité. 51 autres sont occupées par des déplacés internés, privant par conséquent plus de 300.000 élèves de la scolarité.

Bienfait Luganywa



Le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi a reçu, jeudi 31 août 2023, les lettres de créance des 4 nouveaux ambassadeurs extraordinaires et plénipotentiaires accrédités en République démocratique du Congo. 

Il s’agit notamment de M. Anwar Orthman Barout Albarout Albaroudi des Emirats Arabes Unis, Roxane De Bilderling de la Belgique, Angele-Marianne Van Der Heijden Samura des Pays-Bas et de M. Odd Molster de la Norvège.

Comme l’indique une dépêche de la cellule de communication de la Présidence parvenue ce 1er septembre à la presse, le vice-premier ministre des Affaires étrangères, Christophe Lutundula, la conseillère principale du chef de l'Etat au Collège diplomatique, Katharina Wagner Mbuyi et d'autres personnalités politiques et administratives ont pris part à cette cérémonie.

Reçus à tour de rôle, rapporte la même source, ces diplomates ont exprimé, dans le livre d'or, leur volonté de développer la coopération entre la République Démocratique du Congo (RDC) et leurs pays respectifs.

Bien avant sa nomination en tant qu’ambassadeur en RDC, Anwar Orthman Barout Albarout Albaroudi a été Conseiller auprès du Secrétariat général du Conseil supérieur de la Sécurité nationale dans son pays. Il a également occupé le poste de Conseiller dans la mission des Emirats Arabes Unis auprès des Nations Unies. Il est détenteur d'un master d'Études stratégiques et de Sécurité.  

Roxane De Bilderling a, quant à elle, un master en Interprétation des conférences (français-anglais-espagnol). Elle a exercé la fonction d’ambassadrice de Belgique au Japon et au Kenya. Elle a aussi occupé le poste de Directrice de cabinet du vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères belge. 

De son côté, Angèle Marianne Van Der Heijden Samura était Cheffe de mission adjointe des Pays-Bas en Tunisie et Conseillère en matière de Sécurité à l’ambassade des Pays-Bas en Indonésie et en Thaïlande.

Enfin le nouvel ambassadeur de la Norvège, Odd Molster, était chef de mission par intérim à l’ambassade de Norvège en Espagne et Directeur des Relations diplomatiques et protocolaires au ministère norvégien des Affaires étrangères.

Jephté Kitsita



Révélations troublantes sur une prétendue relation entre Ferre Gola et Rebo Tchulo : Les protagonistes réagissent

Une conversation audio attribuée à Vasco Mabiala, ancien proche de Ferre Gola, a récemment fait surface, suscitant des spéculations concernant une prétendue relation entre Ferre Gola, célèbre chanteur congolais, et Rebo Tchulo, la petite amie d’Innoss’B avec qui elle a eu une fille en 2021. Dans cette conversation, Vasco Mabiala évoque l’implication de Ferre Gola dans la carrière de Rebo Tchulo et prétend que Ferre Gola aurait entretenu une relation amoureuse avec elle. Cependant, Rebo Tchulo a nié catégoriquement ces allégations sur son compte Instagram.

Selon Vasco Mabiala, Rebo Tchulo était initialement soutenue par son entourage, qui souhaitait la produire. Elle était venue dans le studio de Ferre Gola pour travailler sur sa musique et ses projets professionnels. Cependant, selon les propos de Vasco Mabiala, Ferre Gola aurait immédiatement pris le contrôle de sa carrière en devenant son producteur et en lui offrant un logement.

“Rebo est notre petite soeur, on voulait la produire. Rebo était venu pour son studio et ses affaires. Elle a commencé par sortir son premier titre est cela à rapidement marché. Et là directement, le gars (cfr. Ferre Gola) s’est accaparé d’elle comme son producteur, l’a pris une maison et commencer à vivre avec elle.” Raconte Vasco Mabiala.

La conversation audio suggère également que Rebo Tchulo aurait entretenu une relation avec Innoss’B à l’époque, bien que cela ne soit pas présenté comme étant sérieux. Cependant, Ferre Gola aurait mal réagi à cette situation et aurait insulté Innoss’B, le qualifiant de « petit villageois ». Vasco Mabiala affirme avoir dû intervenir pour expliquer à Ferre Gola que Rebo Tchulo était libre de fréquenter qui elle souhaitait, tout comme Ferre Gola avait pris Rebo Tchulo à Fiston Sais sai, un comédien congolais. « C’est à ce même moment là que Innoss’B a commencé a sortir avec elle, mais ce n’était pas encore sérieux.” a dit Vasco Mabiala, avant d’ajouter que “Le gars (Ferre Gola) aussi sortait avec la fille, et l’aimait beaucoup.”

“Lorsqu’il a appris cela, il a gravement insulté Innoss’B en disant, ‘regardez-moi ce petit villageois… J’ai du l’expliquer que Rebo était une femme, de la même manière que tu sors avec elle, elle peut aussi sortir avec un autre, comme toi aussi tu l’as pris du comedien Fiston Sais sai… elle était venu avec son ecole de danse pour un clip, mais tu l’as récupéré’”, a-t il dit.

Dementi de Rebo Tchulo

Cependant, Rebo Tchulo a réfuté ces allégations sur son compte Instagram. Dans un message publié, elle a affirmé n’être jamais sortie avec un autre artiste musicien congolais ou comédien. Elle a également souligné qu’elle avait travaillé avec différentes personnes dans le cadre de ses projets artistiques, mais cela ne signifiait pas qu’elle était en relation amoureuse avec eux. Elle a demandé à ce que son image ne soit pas associée de manière injustifiée à d’autres artistes et a appelé au respect de sa vie privée.

Il convient de noter que les détails spécifiques de cette prétendue relation entre Ferre Gola et Rebo Tchulo ne sont pas clairement établis et sont basés sur la conversation audio attribuée à Vasco Mabiala, dont l’authenticité n’a pas été vérifiée de manière indépendante. Les réactions de Rebo Tchulo et de Ferre Gola doivent également être prises en compte dans l’évaluation de cette affaire.

En conclusion, les révélations sur une prétendue relation entre Ferre Gola et Rebo Tchulo ont suscité de vives réactions. Alors que Vasco Mabiala a partagé des informations dans une conversation audio, Rebo Tchulo a nié catégoriquement ces allégations sur les réseaux sociaux. Il est essentiel de prendre en compte les différentes perspectives et de respecter la vie privée des personnes concernées. La vérité sur cette affaire reste à confirmer, et il convient d’attendre des informations supplémentaires ou des déclarations officielles avant de tirer des conclusions définitives.

mbote/CC

 

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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