Le Syndicat National des Médecins (Synamed) exprime ses inquiétudes par rapport à l'applicabilité du projet de la gratuité de la maternité et soins du nouveau-né lancé par le chef de l'État le 6 septembre à Kinshasa. Dans une interview accordée au Desk femme d'Actualité.cd, le secrétaire général de cette structure sanitaire s'est dit indigné par la manière dont le gouvernement a procédé.

« Ceux qui doivent participer au premier chef dans l'application de cette gratuité de la maternité ne sont pas suffisamment informés ». Que ce soit les infirmiers ou le personnel médical, la pédagogie n'a pas été faite. L'information n'a pas suffisamment circulé et je ne sais pas comment ça va se passer. « C'est vrai qu'on a choisi quelques centres et cela va aussi se faire dans les autres provinces ; il faudra que le personnel médical sache à quoi s'en tenir », a déclaré Jhon Senga.

« Le doute subsiste par rapport aux accouchements difficiles ou aux enfants qui naissent avec des problèmes. » Comme vous le savez, actuellement il y a une bonne partie du personnel de santé qui est en grève, je ne sais pas comment ça va se faire. Même si l'État dit qu'il va payer, on se souvient très bien comment cela s'est passé pendant la Covid, à l'heure actuelle, certaines personnes n'ont jamais été payées.

John Senga en a profité pour formuler quelques recommandations : l'information suffisante aux acteurs principaux commis à la tâche, la disponibilité des moyens pour la prise en charge des personnels soignants, l'augmentation de la somme prévue pour la couverture de ce projet à Kinshasa.

Pour rappel, le Syndicat national des médecins (SynaMed) est un cadre juridique et légal de canalisation des revendications des médecins.

Grace GUKA



Le Président Félix Tshisekedi a assisté, ce jeudi 7 septembre 2023 en la cathédrale Notre Dame du Congo, à une messe célébrée en hommage à la mémoire du Maréchal Mobutu, ancien président de la #RDC ex-Zaïre, disparu il y a 26 ans.

Les proches de l'illustre disparu, les personnalités de la République ainsi qu'une foule nombreuse ont pris part à cette messe de suffrage

" Votre présence à cette célébration montre votre promptitude à être proche des autres à des moments de peine comme de joie », a déclaré l’officiant du jour, l’abbé Yves Koko, à l’endroit du Chef de l’État.

Décédé le 7 septembre 1997 en exil à Rabat, au Maroc où demeure encore à ce jour sa sépulture, le Maréchal Mobutu fut le 2ème Président de la RDC (24 novembre 1965 - 16 mai 1997)

 CC



La Tanzanie rejoint la liste des pays où les citoyens de la République démocratique du Congo peuvent désormais voyager sans visa, aux côtés de 25 autres pays tels que le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, le Cap-Vert, les Comores, Djibouti, l'Éthiopie, le Ghana, la Guinée-Bissau, le Kenya, Madagascar, la Mauritanie, Maurice, le Mozambique, l'Ouganda, la République centrafricaine, le Rwanda, le Sénégal, les Seychelles, la Somalie, le Togo, la Zambie et le Zimbabwe.

Cette décision a été annoncée par l'ambassade de Tanzanie à Kinshasa, dans un communiqué daté du 25 août dernier, qui souhaite faciliter les voyages des citoyens congolais vers ce pays frère.

"L’Ambassade de la République-Unie de Tanzanie en RDC a le plaisir d'informer les ministères des Affaires étrangères congolais que la Tanzanie a révisé sa loi CAP.54 relative à l’immigration, intégrant désormais la RDC dans la liste des pays dont les ressortissants peuvent entrer sur son territoire sans obligation de visa."

Un habitant de Goma qui voyage fréquemment en Tanzanie partage son enthousiasme en ce sens 

"En tant qu'habitant de Goma et voyageur fréquent en Tanzanie, je pense que cette décision d'exempter les Congolais de visa est une véritable aubaine. Cela rendra nos voyages beaucoup plus simples et moins onéreux. Nous n'aurons plus à nous soucier des procédures de demande de visa et nous pourrons consacrer plus de temps à profiter des merveilles que la Tanzanie a à offrir. Je suis ravi de voir que nos deux pays frères renforcent leurs liens grâce à cette initiative," dit-il.

Cette mesure intervient peu de temps après celle prise par le Kenya, qui a également décidé d'exempter les citoyens congolais de visa, renforçant ainsi les liens entre les pays de la région et facilitant les échanges entre les deux nations.

Gloire Balolage 

 


Au cœur de Kinshasa, la culture s'exprime. Elle palpite sur les murs, se lit dans les attitudes, se chante à travers les paroles des rappeurs, se danse au rythme du hip-hop. Ce n'est pas un secret : Kinshasa est en effervescence et ses jeunes sont ses plus fervents ambassadeurs.

Dès que l'on pose le pied dans un quartier urbain de la capitale, on peut sentir l'énergie débordante des jeunes Kinois. Les murs des rues sont des toiles vivantes, constamment renouvelées par les graffitis. Les tenues vestimentaires, les choix musicaux, la façon dont on s'exprime : tout est un hymne à l'art urbain.

Le 2 septembre dernier, ce n'était pas qu'une simple date sur le calendrier. Elle marquait la clôture de la première édition du "Kinshasa Urban Arts Fest" au Centre Culturel de Lemba. Cette journée a transformé le centre en une véritable scène à ciel ouvert. Les murs, préalablement animés par les artistes du collectif Moyindo Tag, racontaient des histoires. Des histoires d'évolution, de changements de perceptions, d'acceptation.

Tata Nizoo, artiste graffeur et tête pensante derrière ce festival, rappelle qu'à ses débuts, l'art urbain était mal vu, perçu comme le fait de marginaux. "Aujourd'hui, les grandes marques collaborent avec des artistes de rue", déclare-t-il, non sans une pointe de fierté.

Les portraits de figures emblématiques, tels que Martha Cooper, Maître Botembe, DJ Kool Herc, Tupac, ou encore Lexxus Legal, ornent les murs. Des figures qui ont façonné, influencé, et défendu les arts de la rue.

Mais la célébration ne s'arrête pas aux murs. Elle vibre aussi à travers les prestations des jeunes danseurs et rappeurs venus célébrer le demi-siècle du mouvement hip-hop. Ces artistes, malgré leur jeune âge, ont rappelé l'essence même de cet art : dénoncer, critiquer, s'élever.

Et, le succès était palpable. Tata Nizoo ne cache pas son enthousiasme, ni ses ambitions pour le futur : "Face à l'affluence, nous avons dû refuser certains artistes. Si les moyens suivaient, cet événement s'étalerait sur plusieurs jours". Toutefois, il reconnaît les difficultés rencontrées, promettant une seconde édition encore mieux préparée.

L'art urbain, né dans les rues américaines des années 60, a fait du chemin. Il s'est propagé, a évolué, et a trouvé un écho tout particulier à Kinshasa. Souvent perçu comme du vandalisme, il est pourtant l'expression d'une jeunesse qui refuse le silence.

À Kinshasa, l'art urbain n'est pas qu'une simple mode. C'est un cri du cœur, un reflet de la rue, une forme d'expression qui réunit et passionne. Et, s'il y a une chose à retenir de tout cela, c'est que la jeunesse kinoise a quelque chose à dire, et elle le dira haut et fort.

Emmanuel Kuzamba



Jules Alingete Key, inspecteur Général des Finances, chef de service était en réunion d’évaluation ce mardi 05 septembre dernier au siège de l’IGF, avec Isidore Kwanja Ngembo, Directeur du Comité National des IXes Jeux de la Francophonie ; réunion au cours de laquelle les deux personnalités ont échangé autour des questions relatives à la mission de l’IGF au sein de cette structure. À en croire Jules Alingete, tout s’est passé normalement et il n’y a pas eu des soupçons quelconques des détournements des deniers publics.

« En ce qui concerne la mission de l’Inspection Générale des Finances, nous voudrions signaler que l’inspection générale des finances a accompagné la direction du comité national des jeux de la francophonie, toutes les opérations financières ont été faites sous le regard de l’IGF et nous pouvons vous affirmer qu’il n’y a pas eu des faits de détournements des deniers publics au niveau de la direction du comité national des Jeux de la Francophonie. Aujourd’hui, nous sommes en phase de terminer cette mission, nous sommes entrain de faire une évaluation en ce qui concerne les biens de la francophonie et les litiges qui existent pour permettre au comité de pilotage d’apurer toutes les opérations de la francophonie», a déclaré Jules Alingete Key devant la presse à l’issue de la réunion.

S’agissant des allégations selon lesquelles Isidore Kwanja aurait détourné des véhicules destinés aux Jeux de la Francophonie, Jules Alingete rassure qu’il s’agissait d’une mauvaise interprétation dans l’opinion.

« Nous voudrions également en profité pour signaler qu’il n’y a pas eu des détournements des véhicules au niveau de la francophonie, c’est juste une mauvaise interprétation des choses au niveau de la presse, tout se passe normalement bien et nous estimons que l’IGF a très bien rempli sa mission d’accompagner les Jeux de la Francophonie qui constitue une grande réussite pour notre pays», a rassuré l’IGF, chef de service.

Pour sa part, Isidore Kwanja est revenu sur les différentes étapes prévues après les jeux de la Francophonie. Les inventaires se poursuivent afin de tout remettre au gouvernement de la République

« Les Jeux sont finis, nous sommes entrain de faire le rapport pour éventuellement remettre tout ce qu’il y a été acheté dans le cadre des jeux de la francophonie au trésor public parceque c’est avec l’argent du Trésor public que tout cela a été acheté, que ça soit les véhicules, tous les matériels, tout ce qui a été acheté dans le cadre des jeux de la francophonie, nous allons faire le rapport et nous allons transmettre cela au comité de pilotage qui a le pouvoir de distribuer ça dans les différents services du gouvernement», a fait remarquer Isidore Kwandja.

Bien avant cette rencontre, Isidore Kwandja avait réagi face aux informations circulant dans plusieurs médias et sur les réseaux sociaux concernant l’interception de 14 véhicules Toyota à la frontière de Lufu, destinés aux Jeux de la Francophonie.

Selon les rapports, disait-il, ces véhicules ont été escortés à Kinshasa pour être remis au gouvernement. Dans sa déclaration, M. Ngembo a tenu à clarifier que le Comité national des IXes Jeux de la Francophonie (CNJF) avait commandé 12 véhicules pick-up Toyota Land Cruiser 4×4 pour renforcer la sécurité lors de l’événement sportif et culturel. L’IGF, qui a travaillé en étroite collaboration avec le CNJF depuis janvier 2022, ainsi que le gouvernement et les autorités de la Police Nationale étaient tous informés de cette commande.

D’après lui, le retard de l’arrivée de ces véhicules à Lufu est dû à un retard dans la commande, obligeant le CNJF à louer d’autres véhicules pour assurer la sécurité durant les jeux. Actuellement, ces véhicules sont retenus à la douane en raison du manque de fonds du CNJF pour effectuer les formalités de dédouanement, entraînant des pénalités journalières.

Kinshasa, capitale de la RDC, a accueilli pendant 10 jours les meilleurs jeunes talents artistes et sportifs francophones lors des IXes Jeux de la Francophonie. Les Jeux de la Francophonie ont été attribués à la RDC le 2 juillet 2019 lors de la 108ème session du conseil permanent de la Francophonie. Prévus en 2021, ils ont été reportés d’abord du 21 au 28 août 2022 suite à la pandémie de Covid-19 avant cette seconde chance.

actuRDC/CC



Ferre Gola séjourne actuellement en Côte d’Ivoire où il a été sur scène ce mardi 05 septembre dans la soirée, devant le public ivoirien en concert live V.I.P à Sofitel Hôtel Ivoire à Abidjan. De passage dans l’émission Génération 2.0 de Trace Côte d’Ivoire FM publiée le 04 novembre dernier sur Elengi ya Congo TV, le Padre a fixé les conditions à remplir pour être citer dans l’une des ses chansons.

A l’en croire, l’on doit payer à partir de 5 milles dollars américains pour que son nom soit cité dans l’une de ses chansons. « Il faut débourser plus de 5 milles dollars pour être citer dans l’une de mes chansons. Mais ça dépend de chaque artiste», avait dit Ferre Gola.

Pour Ferre Gola, la rumba marche ensemble avec le phénomène «Libanga». Il estime qu’une chanson sans dédicace perd sa saveur.

« On ne peut pas chanter une chanson rumba sans citer les noms de gens. Sinon la chanson perdrait son sens », conclut-il.

Actu RDC/CC

 


Quelques jours après la répression sanglante des manifestants non armés à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, le gouvernement central a annoncé tard dans la soirée du 4 septembre, des mesures prises à la suite des auditions menées par la Commission Interministérielle instituée le 1er septembre 2023 par le Président de la République.

Après s’être entretenue avec les forces vives et avoir auditionné les différentes autorités civiles et militaires du Nord-Kivu du 03 au 04 septembre, cette commission constituée notamment des vices-premiers de l’Intérieur et de la Défense a résolu de rappeler à Kinshasa, Constant Ndima, gouverneur militaire et commandant des opérations militaires de cette province placée sous état de siège depuis mai 2021.

Dans le même ordre, Kinshasa a annoncé la suspension du commissaire supérieur principal Bongo Wifema José, commandant en charge des opérations de la ville Goma et du commissaire supérieur Luna Kimanga Martin, commandant en charge des renseignements dans la ville de Goma, tous les deux officiers de la Police Nationale Congolaise ainsi que leur rappel dans la capitale.

À ces deux mesures s’ajoutent:

  • La prise en charge des obsèques des victimes par le Gouvernement;
  • L’organisation des obsèques de l’Agent de Police Principal Kipapa Safari, sauvagement abattu par les membres de la secte;
  • La prise en charge des soins des blessés par la Province du Nord-Kivu;
  • La libération de Kabanza Mugabo Josué, militant d’un mouvement citoyen interpellé le lendemain des manifestations.

Le gouvernement envisage par ailleurs, identifier et fermer toutes les églises non en règle avec la Loi.

« Le gouvernement réitère son invitation aux familles des victimes d’entrer en contact avec l’Auditeur Militaire Supérieur de la Province du Nord-Kivu, afin de dénoncer d’autres faits infractionnels non connus à ce jour », peut-on lire dans cette note parvenue à POLITICO.CD.

La dernière marche voulue pacifique des fidèles de la secte « Uzalendo » a fait au moins 43 morts et une cinquantaine de blessés, selon le bilan officiel. Ils exigeaient le retrait de la Mission onusienne en RDC (Monusco), de la force régionale de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) du territoire congolais et la levée de l’état de siège jugé « inefficace » deux ans après son instauration par le Président de la République, Félix Tshisekedi.

Carmel NDEO



Dans une matinée de réflexion tenue le lundi 04 septembre 2023 à Lubumbashi dans le Haut-Katanga, l'Ordre supérieur épiscopal du Congo (OSEC) a mis en garde la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) face aux propos prononcés par monseigneur Donatien Nshole sur "l'éventualité d'un coup d'État par un leader courageux".

Dans sa déclaration finale et dont une copie est parvenue à la presse ce mardi, l'archevêque Léonard Matebwe Lambalamba, président général de l'OSEC qui l'a signé a indiqué que le "vrai problème de la RDC n'est pas la politique mais le social de la population".

Il a invité le gouvernement de la République à concevoir "une bonne politique" pour créer les emplois, combattre la pauvreté, la famine, offrir des logements adéquats. C'est ce dont, a-t-il poursuivi, le peuple congolais attend.

Par ailleurs, vu le nombre élevé des partis politiques et les églises en République démocratique du Congo, l'OSEC a souhaité au gouvernement congolais de fusionner ces organisations dans le but de remettre de l'ordre dans ces deux domaines.

"Sur le plan politique, l'OSEC a constaté que le pays est envahi par la prolifération des partis politiques et des églises. L'OSEC se pose la question de savoir comment un pays qui a plus de 1.000 partis politiques et plus de 20.000 églises peut se développer et combattre la misère de la population ? Il propose au gouvernement la fusion de certains partis politiques et églises pour remettre de l'ordre dans ce domaine en consultant certaines têtes pensantes du pays", a-t-il déclaré.

Dans la foulée, l'archevêque et docteur Léonard Matebwe Lambalamba s'est dit indigné des propos prononcés par monseigneur Donatien Nshole sur "l'éventualité d'un coup d'État par un leader courageux". Pour le président général de l'OSEC, ces propos sont "attentatoires à la sûreté de l'État".

"En outre, l'OSEC a appris avec indignation que monseigneur Donatien Nshole aurait prononcé des propos belliqueux, attentatoires à la sûreté de l'État et de nature à renverser l'ordre constitutionnel demandant à tout leader courageux de faire un coup d'État au cas où la CENI ne va pas confirmer les résultats des élections qui seront concoctés dans les laboratoires de la CENCO", a-t-il poursuivi.

D'après l'archevêque Léonard Matebwe Lambalamba, si ces propos de monseigneur Donatien Nshole de la CENCO étaient déclarés à l'époque de l'ancien chef de l'Etat Mobutu, l'auteur de ces déclarations serait déjà en prison pour s'expliquer à la Justice congolaise.

Le président général de l'OSEC a souligné que la CENCO ne puisse pas profiter du caractère pacifique du président Félix Tshisekedi pour semer le chaos, embraser tout le pays et renverser l'ordre constitutionnel. Pour lui, "jamais un homme de Dieu n'a tenu un tel discours sur la planète".

Au cas où la CENCO pourrait continuer dans cette démarche, l'Ordre supérieur épiscopal du Congo n'écarte pas l'idée de la traduire en Justice.

"Craignant d'être considéré tous (hommes de Dieu, évêques) comme fauteurs de troubles, l'OSEC met l'auteur de ces propos en garde et promet de le traduire en justice en cas de récidive et prend à témoin toute la communauté tant nationale qu'internationale de le considérer comme responsable de tout éventuel bain de sang ou soulèvement populaire avant, pendant et après les élections de décembre 2023", a-t-il prévenu.

Et de poursuivre : "Par ailleurs, l'OSEC invite tous les leaders des confessions religieuses et les acteurs politiques à véhiculer un message d'amour, de paix, d'unité, de cohésion nationale et de se désolidariser de tous et le chaos dans les officines macabres. Car le Congo saigne et les congolais sont fatigués".

Dans la conclusion de sa déclaration, le président général de l'OSEC, l'archevêque et docteur Sa Grâce Léonard Matebwe Lambalamba a demandé à la CENCO de "changer sa stratégie étant donné que sa politique de déstabilisation, de chaos et de troubles commencée depuis l'époque coloniale avec la trilogie n'a pas marchée".

Dans une émission sur la radio Top Congo FM de Kinshasa, monseigneur Donatien Nshole avait exprimé sa crainte concernant une probable révolution "qui n’attendra qu’un leader courageux, si la Commission électorale nationale indépendante ne comprend pas la pertinence des propositions lui formulées par les évêques membres de la CENCO".

Patient Lukusa, à Lubumbashi

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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