Le nouveau directeur général du Bureau Central de Coordination, (BCECO) Jean Mabi Mulumba, a officiellement pris ses fonctions ce mercredi 9 février 2022 au terme de la cérémonie de remise et reprise avec le directeur général sortant, Gaspard Kabongo Mukise, jusqu'ici intérimaire.

Cette cérémonie a été présidée par le directeur de cabinet du ministre des Finances Nicolas Kazadi, en présence de plusieurs cadres et agents de ce service public placé sous tutelle du ministère des finances. 

Dans sa prise de parole, le DG Jean Mabi Mulumba a promis d'initier des réformes pour permettre au Bureau Central de Coordination de devenir une agence de développement. 

"Généralement, les gens ont peur des réformes parce que l'on sait d'où on vient et l'on ne sait pas d'où on part. Mais je vous rassure que sans réformes, nous n'y arriverons pas. Et cette réforme je la ferais avec vous le personnel du BCECO. L'objectif de cette réforme c'est de faire aujourd'hui du BCECO une agence de développement. Ça c'est vraiment le souhait des autorités, faire en sorte que le BCECO puisse capter une grosse partie des ressources des partenaires qui viennent car BCECO a les compétences", a-t-il déclaré. 

Tout en insistant sur la nécessité de restaurer la crédibilité du BCECO, Jean Mabi Mulumba a annoncé que les agents signeront dans les jours à venir un acte d'engagement pour respecter le code d'éthique de ce service public. 

"J'ai un mot particulier pour le personnel de BCECO, je vous confirme que je ne viens pas ici pour régler des comptes à qui que ce soit, soyez-en rassurés. Mais ce que j'exige de vous, c'est le respect d'un certain nombre de règles d'éthique et morale. Dans les jours qui viennent, chacun de nous va signer une note d'engagement, où il s'engage à respecter le code d'éthique du BCECO. Tout ce que nous allons faire, c'est dans le respect des lois et des règles", a renchéri le DG Jean Mabi Mulumba. 

Dans la foulée, Jean Mabi Mulumba a promis de travailler de manière transparente. 

"Nous n'aurons rien à cacher. Tout ce qu'on nous confie ce n'est pas à nous. S'il faut publier nous allons publier, s'il faut publier les audits nous allons le faire (...) Le Gouvernement va nous confier des ressources, ou les partenaires, nous devons rendre compte de l'utilisation des ressources qui nous seront confiées, non seulement les ressources financières mais aussi les ressources humaines que vous êtes", a martelé Jean Mabi Mulumba. 

S'agissant du Programme de développement à la base de 145 territoires, Jean Mabi Mulumba a rassuré que le BCECO jouera bel et bien sa partition.

"Aujourd'hui, la haute hiérarchie a confié au BCECO des lourdes responsabilités, notamment l'exécution du projet de développement local constitué de 145 territoires. Et le BCECO a la charge justement de travailler sur 48 territoires. C'est énorme, sur 48 territoires nous aurons à peu près 80 comptables. C'est un grand défi, c'est un grand challenge mais qui n'est pas insurmontable", a-t-il indiqué. 

Pour rappel, c'est le 27 janvier dernier que le président de la République démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a nommé Jean Mabi Mulumba au poste de directeur général du Bureau Central de Coordination. 

Jephté Kitsita



Ce projet financé par la Banque mondiale vise, selon Alain Lubamba Wa Lubamba, représentant du secrétaire général du ministère du Budget, à appuyer directement la mise en œuvre de la gratuité et réduire au maximum le fardeau financier des parents.

« Le projet PERSE veut appuyer directement la mise en œuvre de la gratuité et réduire au maximum le fardeau financier des parents pour que l’enfant congolais au niveau de l’école primaire puisse accéder à l’école publique gratuitement », a indiqué Alain Lubamba wa Lubamba.

Guy Lombela Wembo, coordonnateur adjoint du PERSE, a, devant le Comité constitué des représentants des ministères des Finances et Budget, ceux de la Primature et de la Présidence de la République, présenté le plan et défendu le budget. Il a aussi fait le point sur les activités réalisées jusqu’ici dans le cadre de ce projet, mais aussi les retombées dudit projet.

« Ces ressources vont nous permette d’améliorer le salaire des enseignants, construire de nouvelles écoles et surtout de mettre un système automatisé d’alerte pour que la gestion des enseignants et de nos écoles soit numérisée et que la qualité de l’enseignement sur l’ensemble du territoire dans les villes comme dans l’arrière-pays soit améliorée », a expliqué Guy Lombela Wembo.

radiookapi.cd/CC



Le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi a, ce lundi 31 janvier 2022, lancé les travaux de construction du premier port en eaux profondes de la RDC, en présence notamment des membres du gouvernement Sama, du Chairman du leader mondial en solutions logistiques DP WORLD et du ministre d’Etat Emirati.

La pose de la première pierre par le chef de l'État est intervenue après les discours du ministre des Transports, de la ministre d’Etat du Portefeuille, du gouverneur a.i du Kongo Central,  du ministère d'Etat des Emirats Arabes et celui du chairman de la société DP WORLD.

Dans son mot, le représentant du DP WORLD a défini les objectifs de ce mega projet de 1.2 milliard de dollars américains, celui de faire de la RDC « une force commerciale importante » capable d’accueillir de gros bateaux. 

« Nos objectifs consistent à réduire les coûts et le temps et accélérer le commerce et développer le port de Banana. Nous aiderons à faire accroître l’économie locale et régionale ainsi qu’internationale. Et de permettre à la RDC devenir une force commerciale important », a-t-il déclaré.

Le patron de DP WORLD a souligné que l’érection de ce port est un de plus importants investissements que fait sa firme en RDC. 

« Cet investissement est un des investissements le plus important fait par DP World en Afrique. Ils ont  une preuve de notre confiance, de notre croyance en ce projet énorme pour le pays. C’est pour ceci que nous considérons ce projet comme un investissement à très long terme. C’est un partenariat stratégique avec la RDC », a-t-il martelé.

Il a rassuré sur les retombées économiques et sociales envers les populations locales et la RDC en général.

« Le port de Banana deviendra un port de classe internationale, un port moderne, un port efficace qui va permettre de développer l’économie. Cela permettra d’apporter de la prospérité et un futur commercial aux communautés du Kongo Central et du pays. Nous y dédierons toute notre expertise pour construire le port, créer des corridors nécessaires, développer la technologie nécessaire et développer le port de manière générale grâce à l’expérience que nous avons acquise depuis au moins 20 ans en Afrique. Cela permettra de développer un port en eaux profondes et avec de 18 mètres de profondeur qui sera Capable d’accueillir les bateaux les plus larges », a-t-il renchéri.

Le port pourrait s’agrandir au fur et à mesure que les besoins s’accroissent, a-t-il fait savoir.

« Techniquement, le projet et le terminal à venir pourront accueillir les bateaux les plus larges et auront une capacité d’accueil des conteneurs suffisante. Ce sera un port moderne qui pourra permettre de développer aujourd’hui et dans le futur les besoins du pays. A mesure que le commerce et la demande pourraient s’accroître, le port pourrait être prolongé. Le port de Banana sera une nouvelle porte d’accès au continent africain et attirera les bateaux les plus larges venant d’Asie et d’Europe. Cela renforcera le pays et donnera accès aux marchés internationaux et lui permettre également de pouvoir accroître ses capacités d’export », a-t-il rassuré.

Le port est respectueux de l’environnement et offre des opportunités aux opérateurs économiques, d’après le chairman de DP WORLD.

« Le port de Banana pourra directement et indirectement des emplois et attirera nous l’espérons des investissements étrangers à la fois dans la région et dans le pays. Cela fournira des opportunités de commerce et de développement dans la logistique. Le port pourra se développer dans les standards internationaux et il protégera L’environnement et la sécurité des employés », soutient-il.

Selon le ministre d’Etat Emirati, le projet de port de Banana est le testament de bonnes relations économiques entre la RDC et les Émirats Arabes Unis (E.A.U.). D’après lui, En 2021, les échanges commerciaux entre les deux pays ont 1.4 milliards $. Une hausse de 34% par rapport à 2020, affirme-t-il. Ce qui place la RDC parmi les partenaires importants des EAU en Afrique. Ce projet a-t-il dit est soutenu par son Royaume, qui d’ailleurs est prêt à financer d’autres projets . 

« La cérémonie d’aujourd’hui pour le port de Banana qui va être le premier port en eau profonde de la RDC est un testament des relations économiques importantes entre nos deux pays. Le port qui va être développé en partenariat avec DP WORLD va implémenter des réductions des coûts et une accélération du commerce extérieur de la RDC ainsi que ses exports…. Je suis persuadé que ce projet va apporter des bénéfices majeurs pour la RDC, ses citoyens, et la région.  Le port va créer un corridor de commerce dynamique qui va permettre aux PME de s’épanouir et de se développer », s’est-il félicité.

Le ministre des Transports, Voies de communication et de Désenclavement, Chérubin Okende, a affirmé que ces travaux ainsi lancés vont se clôturer en 2025. A l'en croire, ce port contribuera au désenclavement du pays.

"Le port de Banana permettra au pays de disposer d'une porte de sortie maritime en eaux profondes pour recevoir les grands navires. Sur le plan national, il va assurément engendré le développement d'une zone industrielle et logistique, ainsi que la création des emplois directs et indirects pour de nombreux compatriotes. Sur le plan international, c'est une réponse à l'impératif de se connecter aux voies commerciales mondiales et d'avoir accès à un large éventail de marchés tout en réduisant notre dépendance vis-à-vis des ports des pays voisins", a-t-il déclaré.

A l'en croire, la première phase de ces travaux prévoit la construction d'un quai de 600 mètres et d'une plateforme de stockage de 25 hectares permettant l'accostage des grands porte-conteneurs, soit une capacité annuelle de 322.000 conteneurs et de plus de 1,2 million de tonnes de marchandises.

Prenant la parole, la ministre du Portefeuille Adèle Kayinda a salué le leadership du président Felix Tshisekedi qui, a-t-elle indiqué, a permis la matérialisation de ce projet.

"Le coût de ce projet structurant est estimé à 1,2 milliard de dollars américains sur lesquels la première phase coûtera 350 millions USD. C'est ici que nous exporterons nos minérais, des hydrocarbures, mais aussi la production agricole de notre arrière pays. C'est encore autour de ce futur port de Banana que se construiront des industries de transformation. Le port de Banana est un maillon essentiel de la politique de l'émergence économique qui fera de la RDC", a-t-elle déclaré avant d'appeler les Ne Kongo à s'approprier ce projet.

Dans son intervention, le gouverneur a.i du Kongo Central a affirmé que la construction du port en eaux profondes de Banana vient renforcer la souveraineté de l'Etat congolais. Il a salué la matérialisation de ce projet qui, a-t-il indiqué, resorbera le problème d'électrification que connaît cette ville.

Justin Luemba a profité de cette occasion pour faire part au président de la République des problèmes d'érosion qui menacent actuellement la ville de Moanda.

40 ans après, le Projet du port en eaux profondes prend corps. C’est une convention révisée en 2021 grâce à Félix Tshisekedi qui sert de support à l’érection de ce projet conçu en 1972. 

Orly-Darel Ngiambukulu



Le ministre des Hydrocarbures, Didier Budimbu, salue l'annonce de la construction du port en eaux profondes de Banana dans la province du Kongo Central en République démocratique du Congo. 

Pour Me Didier Budimbu, ce port offrira beaucoup d'avantages dans le secteur des hydrocarbures.

Il l'a dit au terme d'une mission qu'il a effectuée avec ses collègues des Transports, voies de communication et désenclavement, de la Jeunesse, initiation à la nouvelle citoyenneté et cohésion nationale y compris le vice-ministre du Plan à Moanda dans la province du Kongo Central, le samedi 29 janvier 2022 pour préparer l'arrivée du chef de l'État dans cette partie du pays dans le cadre de la pose de la première pierre de construction du port en eaux profondes de Banana.

D'après la cellule de communication du ministère des Hydrocarbures, Didier Budimbu a salué le lancement des travaux de construction de ce port qui aura un impact très positif sur l'économie du territoire national en général et de cette partie du pays en particulier.

La même source ajoute que « Moanda qui se positionne comme un  des poumons du secteur des hydrocarbures bénéficiera à travers cet ouvrage d'un terminal pétrolier avec tout son corollaire : le chargement et le déchargement du pétrole brut et des produits dérivés pour faciliter l'approvisionnement du pays. Une opportunité pour le membre du gouvernement [ Didier Budimbu, ndlr] de rappeler que cette cité balnéaire pourra jouer le rôle du miroir du pays et devenir un centre des affaires à travers ce port ».

Sur instruction du chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, poursuit notre source, la population de cette partie du pays va devoir bénéficier d'une enveloppe de 10 millions de dollars grâce à la signature l'année dernière à Paris, en France de l'avenant 9 de l'exploitant pétrolier Perenco.

Il sied de noter que la signature de cet avenant permet ainsi à la République démocratique du Congo de devenir un des producteurs de gaz. Chose qui permettra une ouverture optimale au monde.

Jephté Kitsita



La problématique de l'accélération de la mise en œuvre des initiatives de valorisation des ressources minières stratégiques de la République démocratique du Congo était aussi évoquée au 37ème conseil des ministres tenu le 21 janvier 2022 par vidéo-conférence. 

D'après le porte-parole du gouvernement, qui a fait le compte-rendu de cette réunion, face à la demande mondiale pour les ressources naturelles de la RDC au cœur des enjeux de la transition écologique, le pays de Lumumba doit développer un modèle de rémunération plus équitable et négocier des compensations proportionnelles à ce qu’elle offre. 

"Pour le président de la République, cela appelle à une redéfinition de la chaîne d’approvisionnement en produits miniers à caractère stratégique, notamment le Lithium, le Cobalt, le Niobium et le Coltan auxquelles il sied de rajouter le Cuivre, du fait de leur demande mondiale au regard de leurs applications industrielles", lit-on dans ledit compte-rendu. 

A cet effet, le président de la République a instruit, sous la coordination du premier ministre, la ministre des Mines, et toutes les structures du Gouvernement impliquées, de présenter dans la quinzaine, un Plan d’action opérationnel permettant l’accélération des initiatives de valorisation des ressources minières stratégiques du pays, et le développement des chaînes de transformation locale.

Félix Tshisekedi a demandé à ce que les projets suivants bénéficient d’une attention soutenue, urgente et conséquente. Il s’agit notamment : 

- Du développement de la filière lithium dans la province du Tanganyika dans la suite des résolutions prises lors du dernier DRC-Africa Business 2021 ayant eu pour objet : « le développement d’une chaîne de valeur régionale autour de l’industrie des batteries électriques, du marché des véhicules électriques et des énergies propres » ;

- Du renforcement de la filière cupro-cobaltifère industrielle, d’une part, et l’assainissement et le développement de la filière cupro-cobaltifère artisanale, d’autre part dans le Lualaba et le Haut Katanga. 

Le chef de l’Etat a insisté pour que la ministre des Mines encadre de manière particulière les actions du Gouvernement Provincial du Lualaba. 

C’est le cas du projet du Centre de négoce de Musompo qui doit être opérationnel dans les meilleurs délais en vue d’assurer la traçabilité et de garantir les conditions socioenvironnementale de la production artisanale, gage d’un accès direct vers les marchés d’approvisionnement des grandes entreprises mondiales de différents secteurs notamment de l’automobile, de l’électronique et de l’énergie.

Jephté Kitsita



Félix Tshisekedi prendra  la tête de la communauté économique des états de l'Afrique centrale ( CEEAC) ce mercredi. Il succèdera au Congolais Denis Sassou Nguesso au cours de la XX eme session de la conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de l’organisation sous-régionale qui s'ouvrent ce mercredi matin à Brazzaville. Le Chef de l’Etat congolais (RDC) est arrivé à Kintele la veille.  

Plusieurs discours sont prévus dont celui de Lounceny Fall, représentant spécial du SG de l'ONU pour l'Afrique Centrale ; de Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l'Union Africaine; de Gilberto da predade Verissimo, président de la Commission de la CEEAC et  l'allocution d'ouverture du président sortant Dénis Sassou-N'gusesso.

actualite.cd/CC



« Le gouvernement a déjà rendu disponible près de 450 000 000 USD dans le budget 2022 », a rassuré jeudi 13 janvier le porte-parole du gouvernement Patrick Muyaya, à l'issue d'une réunion ce jeudi à la Cité de l'Union Africaine.

Selon lui, c'est une importante étape qui vient d'être franchie dans la matérialisation du projet de développement à la base, indique une dépêche de la Cellule de communication de la Présidence.

Une semaine après sa mission d'itinérance à l'intérieur du pays, le Chef de l'Etat Félix-Antoine Tshisekedi a réuni autour de lui, les membres du Comité politique de pilotage du projet de développement la base.

L'objectif de cette réunion était de lever des grandes options d'orientation pour démarrer ce projet.

La construction des routes de desserte agricole, l'aménagement des centres de santé ainsi que la revalorisation du tissu économique figurent parmi les actions phares de ce programme.

Le ministre d'Etat au Plan qui pilote ce projet de développement a présenté au Comité politique de pilotage la matrice du projet, lui qui avait reçu auparavant les représentants de chaque territoire du pays afin d'apporter des amendements et rajustements.

Outre le Président de la république et le Premier ministre, le comité politique de pilotage comprend les ministres sectoriels de l'Economie et des Finances ( Finances, Budget, Economie, Plan), le Développement rural, Aménagement du territoire, Santé, Intérieur et Communication et média.

Le programme de développement à la base est un programme initié dans l'objectif de réduire la pauvreté et les inégalités sociales particulièrement à l'intérieur du pays.

radiookapi.cd/CC



Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), sont déterminées à contribuer à l’autosuffisance alimentaire. Dans ce cadre, le ministère de la défense nationale et anciens combattants a initié un projet allant dans ce sens.

Au cours d’une audience accordée ce mercredi 12 janvier 2022 au Colonel Henry Kasongo chargé de production pour l’industrie agroalimentaire, Fifi Masuka Saini Gouverneur ad-interim du Lualaba, a pris connaissance du projet qu’entend réaliser les FARDC dans le domaine agricole. A cette occasion, l’émissaire du ministère de la défense nationale et anciens combattants porteur de l’initiative, a présenté à l’autorité provinciale, les documents cadastraux de trois mille hectares en vue de la relance de l’industrie agroalimentaire à travers le pays.

Ce faisant, Madame le Gouverneur a.i du Lualaba, a exprimé sa disponibilité à accompagner le ministère de la défense dans ce vaste projet.

Tout en promettant son indéfectible accompagnement, Fifi Masuka a estimé qu’à travers ce projet dont le Lualaba est parmi les provinces pilotes, le chef de l’État Félix Tshisekedi souhaite renforcer l’autosuffisance alimentaire des hommes en uniformes.

Junior Ngandu

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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