Le dossier portant attribution, par le Directeur de cabinet du chef de l’Etat Monsieur Guylain Nyembo, du marché des plaques d’immatriculation à une société privée, Maximum B, a suscité des réactions de toutes parts. 

Voici une mise au point sur l’étendue du marché que couvre ce dossier. Toutes choses restant égales, par ailleurs, le marché de la Présidence de la République n’empiète nullement sur les compétences et les attributions de la DGI qui gère traditionnellement le dossier des plaques minéralogiques pour le grand public et qui va continuer à le faire.  

Le cas de la Présidence est spécifique, au même titre que le ministère des Travaux publics qui gère l’immatriculation des véhicules du Service transport administratif (STA).

En effet, le marché de la Présidence est revêtu d'un caractère très sécurisé. Ainsi de tout le temps, les plaques minéralogiques de la Présidence en RDC n'ont jamais été gérées par la DGI, tout comme les plaques IT et diplomatiques.

En définitive, « Le directeur du cabinet du Chef de l'Etat Monsieur Guylain Nyembo n’a pas ravi à la DGI son marché sur les plaques minéralogiques », par contre, il va s'occuper exclusivement des plaques de véhicules de la Présidence de la République.

 Floride Zantoto



Adrien Bokele Djema, ministre de Pêche et élevage, annonce le processus d'acquisition des bateaux de pêche en République démocratique du Congo.

Ce membre du gouvernement Congolais l'a fait savoir dans une correspondance datée du 1er décembre 2021 qu'il a adressée au premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde dont une copie est parvenue à la rédaction de 7SUR7.CD, le lundi 10 janvier 2022. 

En effet, dans ce document le ministre de Pêche et élevage a sollicité une provision de 15.000.000 USD pour l’achat des bateaux de pêche dans le pays.

« J’ai l’honneur de vous approcher pour solliciter une provision de 15.000.000 USD ( Dollars Américains Quinze millions) en vue d’acquérir deux (2) chalutiers pour la pêche à la côte maritime et 4 petits bateaux de pêche pour les eaux intérieures principalement pour les lacs Tanganyika et Albert (2) et le Système du fleuve Congo (2) », peut-on lire dans cette correspondance du ministre Adrien Bokele adressée au chef du gouvernement Congolais, Jean-Michel Sama Lukonde.
                 
À en croire le ministre Bokele, l'acquisition de ces bateaux de pêche va permettre d'augmenter la production du poisson, satisfaire les besoins des populations en protéines animales et résorber le plus rapidement possible le déficit alimentaire national.

Cela va aussi, poursuit-il, « réduire la dépendance de la RDC aux importations de produits halieutiques » comme le souhaite le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Pour y arriver, Adrien Bokele affirme avoir élaboré un programme minimum d’urgence de relance de la Production Animale et Halieutique dont le coût pour l’acquisition des bateaux de pêche est estimé à 15 millions USD ».

La même source ajoute que le processus de passation des marchés en vue de l'acquisition rapide de ces instruments de pêche va bientôt démarrer.

« Etant donné que ce besoin est aussi exprimé dans la Loi de finances 2022, mon ministère compte déjà engager le processus de passation des marchés, sous votre leadership, avec la Direction Générale de Contrôle des Marchés Publics (DGCM) pour obtenir l’Avis de Non Objection dans les 60 jours pour que ce marché soit engagé et payé au courant du premier trimestre de cette année 2022 », précise cette correspondance du ministre Adrien Bokele Djema.

Par ailleurs, le ministre de Pêche et Élevage a fait savoir que c'est la Société Congolaise des pêches (SOCOPE) qui devra utiliser ces bateaux de pêche.

Jephté Kitsita



La commission nationale des mercuriales des prix des produits exportés du ministère du Commerce note une augmentation de prix d’une tonne de cuivre sur le marché international pour la période allant du 10 au 15 janvier 2022. La tonne du cuivre se négocie à 9.706,50 contre 9.600,50 USD de la semaine dernière de cette année, soit une hausse de 105,9 de plus. Cela ressort d’un communiqué reçu samedi 08 janvier dernier signale l’ACP.

D’autres produits miniers, renseigne la même source, tels que le zinc, l’or et l’argent connaissent notamment une hausse des prix sur le marché international pour la même période. Ils se vendent respectivement à 3.624,65 USD; 58,71USD et 0,75 USD contre 3571,65 USD; 58,45 USD et 074 de la semaine passée.

Le cobalt et l’étain, par contre, observent une baisse des prix sur le marché pour la période sous examen d’après la même source. Le cobalt se négocie à 69.688,00 contre 69.955,00 USD et l’étain à 39.630 contre 39.777,00 USD de la semaine passée.

Par ailleurs, le produit minier comme le tantale connait une stabilité de prix sur le marché international pour la même période.

D’après le même communiqué, la commission nationale des mercuriales des prix des produits agricoles exportés note également une légère augmentation de prix sur le marché international d’un kilogramme de café arabica pour la période du 10 au 15 janvier 2022. Il se négocie à 4,08 contre 4,06 USD de la semaine passée du même mois.

Contrairement au café arabica, un kilogramme de café robusta et celui de cacao observe une légère baisse de prix sur le marché en se vendant respectivement à 2,30 contre 2,31 USD  et 1,29 contre 1,30 USD de la semaine passée. Et cela, d’après la période du 10 au 15 janvier 2022.

Des produits forestiers tels que le caoutchouc, la papaïne, l’écorce de quinquina, poudre de totaquina, le sel de quinine ainsi que la rauwolfia, connaissent une stabilité de prix  pour la période allant du 10 au 15 janvier 2022. Ils se vendent respectivement à 0,87 USD, 15,47 USD, 1,8 USD, 52,80 USD, 89,76 USD et 1,50 USD.

Christian Malele



Si elle pouvait être contée, l'histoire dirait qu'il était une fois, au cœur du pays-continent appelé “République Démocratique du Congo”, une centrale hydroélectrique avait été aménagée à 110 Km de Kolwezi, chef-lieu du Lualaba, l'une des quatre provinces formant le Grand Katanga considéré comme le poumon minier du pays. “Ce projet est un appui au projet minier de SICOMINES issu de la Convention de collaboration entre la RDC et la Chine pour réaliser les infrastructures pour un développement socio-économique de la RDC. C'est également le premier grand projet d'infrastructure énergétique dans la région du Grand Katanga au Congo (RDC) depuis plus de 60 ans”, relève-t-on du document intitulé  "Un Projet Hydroélectrique Extrafin est réalisé : Une Coopération Gagnant-Gagnant Sino-congolaise".

Le lancement de ce projet permet aujourd'hui, renseigne-t-il, “de remédier efficacement à la pénurie d’électricité à SICOMINES dans sa phase II de son developpement et les environs”.

​Le document dont question souligne, au demeurant, : “Que ce soit pour la conception, la construction, la fabrication d’équipements, l’installation et la réception de toute la chaîne, le projet a pleinement exploité les avantages techniques et les expériences de la construction d’infrastructures en Chine, peut effectivement promouvoir la construction de l’infrastructure au Congo (RDC) et favoriser le développement coordonné de l’économie régionale”. 

Et ajoute : “L'achèvement de la Centrale hydroélectrique de Busanga deviendra sûrement un modèle pour le marché de l'hydroélectricité et les infrastructures en Afrique, et deviendra un projet modèle international pour la coopération et l’intérêt commun win-win entre la Chine et le Congo (RDC) ”.

​L'intérêt de la lecture est la présentation chronologique entre 2008 et 2021. Ainsii, en 2008, à la suite du refus poli des partenaires occidentaux d'accepter la formule proposée par les autorités congolaises “ Infrastructures/Exploitation minère”, la Chine approchée en second lieu accepte de relever le défi. D'où signature, entre le gouvernement de la RDC et le Groupe d'entreprises chinoises, de la « Convention de collaboration relative au développement d’un projet minier et d’un projet d’infrastructures en République Démocratique du Congo ».

Il se fait que le projet minier est confronté au déficit de fourniture en énergie électrique. Réaliser un barrage hydroélectrique capable de fournir et de garantir l'approvisionnement permanent de cette énergie devient un impératif. Aussi, en mars 2010, pendant que la RDC commence depuis 2008 à bénéficier du fruit des premières infrastructures avec les voies de communication, les écoles, les hôpitaux et que la SICOMINES n'a encore rien produit, les parties concernées signent conjointement le protocole d'accord relatif à la construction du barrage de Busanga.  

​En 2015, après en avoir examiné le rapport de l'étude de faisabilité, les experts du ministère de l'Energie et Ressources Hydrauliques de la RDC émettent le document dit d'approbation. Enn février 2016, l'Agence congolaise de l'Environnement délivre le Certificat Environnement. D'ailleurss, 2016 est une année charnière en ce que la RDC, China Railway Resources Group Co. Ltd (CRR) et PowerChina Resources Limited (PCR) signent “l’Accord de Joint-venture relatif à la construction et à l’exploitation de la Centrale hydroélectrique de Busanga”, en même temps que naît la Sino-Congolaise Hydroélectrique de Busanga Société Anonyme (SICOHYDRO).

​En août de la même année est signée entre le ministère congolais de l'Energie et Ressources Hydrauliques et la SICOHYDRO “le Contrat de Concession relatif à la production de l’énergie électrique au site de Busanga sur la rivière Lualaba dans la Province du LUALABA”.

 

​En novembre 2017, alors que depuis 2008 la RDC continue de voir des infrastructures accroître en diversité, en quantité et en qualité, démarrent finalement les travaux de construction de Busanga avec sa puissance d'installation de 240 MW.
 
Fiche technique et Réalisations connexes
 
​Et en 2021, les travaux s'achèvent sur un coût élevé à USD 656 millions, projet totalement financé par la partie chinoise, la fiche technique étant présentée dans le document cité ci-haut. Retenons au moins que la concession d'exploitation du projet est de 30 ans et que plusieurs ouvrages auxiliaires sont apprêtés : route d'accès, ligne électrique de construction combinée, route coté rive gauche et droite, usine de production de sables

​“Depuis 2018, avec la mise en œuvre complète des quatre principaux projets de barrages, l'usine, tunnels de dérivation et installations d’équipements mécaniques et électriques, la construction du projet a progressé à pas de géant. Dans le but de construire une centrale électrique de classe mondiale offrant ' une sécurité, une qualité et une efficacité élevées', le projet vise à obtenir le Prix Luban, la plus haute distinction du secteur de la construction en Chine, ainsi que des prix de renommée internationale”, souligne le document.

Busanga, œuvre d'envergure
 
​Le Grand Katanga comptait jusque-là 4 barrages importants alimentant premièrement l'industrie minière et, secondement les cités environnementes, en l'occurrence les centres urbains, périurbains et ruraux. Il s'agit de Nseke, Nzilo, Mwadingusha et Koni.

​Nseke avait été construit en 1957 avec une capacité de production de 260 MW réduite cependant à 195 MW. Nzilo en 1952 avec une capacité de production de 100 MW réduite toutefois à 75 MW. Mwadingusha en 1930 avec une capacité de production de 71 MW pour n'en délivrer que 24. Koni en 1955 avec une capacité de production de 42 MW mais n'en délivre que 14. Aussii, bien que dernier arrivé, le barrage de Busanga a la capacité de 240 MW  en production et en fourniture.
 
Quoi de plus normal que dans son document, SICOMINES S.A. affiche sa fierté et son optimisme en mettant en évidence le fait que “La Centrale hydroélectrique de Busanga étant d’envergure, la grande coentreprise sino-congolaise SICOHYDRO S.A. assume activement ses responsabilités sociales et applique le concept de concertation, co-construction, partage et développement coordonné ensemble », et cela avec pour conséquence de “promouvoir la modernisation du développement économique industriel régional”. Ceci en amont.
​En aval, le barrage Busanga vise à “ promouvoir l’augmentation des emplois locaux”, ce d'autant plus que “Le projet a activement encouragé la gestion de l’emploi localisé, résolu plus de 3.000 emplois, formé des compétences opérationnelles, augmenté les niveaux de revenu et amélioré les conditions de vie ”. 

​Mais, l'essentiel pour la population locale est de voir son environnement amélioré : construction d’un nouveau village doté d’installations publiques comme une école, un hôpital, des routes, des puits d’eau potable etc. auxquels s'ajoutent des fonds d’indemnisation spéciaux ayant complètement modifié le cadre et les conditions de vie des habitants à délocaliser.
 
Premier méga-projet à entrer en production sous son mandat
 
​Fait essentiel à retenir : le projet étant achevé et dès sa mise en production, la garantie de voir le barrage fournir de l’électricité SICOMINES à toutes les provinces et villes environnantes. 

“Il deviendra le moteur du développement durable de l’économie régionale”, signale le document.

​Il est indiqué pour l'heure de rappeler que le 18 décembre 2021, lors de la cérémonie de clôture de la 5ème conférence nationale sur l'énergie organisée par la Fédération des entreprises du Congo (FEC) à Lubumbashi, la SICOHYDRO a été primée “Société de développement exceptionnelle 2021” pour la construction de la Centrale moderne hydroélectrique Busanga.

​Le premier grand projet depuis 65 ans dans le Katanga. Le Président Félix Tshisekedi y attache une importance méritée parce qu'en prévision de son inauguration, il y a détaché un de ses conseillers pour suivre de près l'évolution des préparatifs. Busanga, c'est tout à fait normal, est le premier méga-projet hydroélectrique à entrer en production sous son mandat.

7sur7.cd/CC



Le Gouverneur de Kinshasa, Gentiny Ngobila va signer, dans les prochains jours, un contrat avec le groupe turc Albarayk spécialisé dans le traitement de déchets. L’annonce a été faite après avoir échangé avec ledit groupe  Conakry (Guinée) le week-end dernier.

Le traitement de déchets fait partie de secteurs prioritaires de la politique environnementale du gouvernement congolais. D’ailleurs, le pays l’a inscrit dans sa Contribution Déterminée au niveau national (CDN) dans le cadre de la COP26.

La ville de Kinshasa génère plus 8000 tonnes de déchets essentiellement plastiques chaque jour pour un total d’environ 3 millions de tonnes par an.

Auguy Mudiayi



La Cour des comptes a été instituée par l'ordonnance loi du 6 février 1987 fixant sa composition, son organisation et son fonctionnement. Elle dispose d’un pouvoir général et permanent de contrôle de la gestion des finances et des biens publics ainsi que de ceux de tous les établissements publics définis à l’article 3 de ladite ordonnance-loi. Cependant, la mise en œuvre pose toujours problème.

« L’application de la loi organique sur la Cour des comptes permettra de faire de grands pas, mais à condition que le nombre de magistrats augmente. On peut se donner comme objectif qu’à la fin du mandat de Félix Tshisekedi qu’il y ait au moins 500 magistrats au lieu d’une dizaine », a dit ACTUALITE.CD Florimond Muteba, PCA de l’Observatoire de la dépense publique (ODEP) au cours de l’émission Transparence. 

Il y a aussi les provinces. Dans son rapport sur la reddition des comptes de l’exercice de 2020, la Cour constate qu’en ce qui concerne les investissements en provinces et dans les 145 territoires, sur 848 projets retenus pour lesquels le budget était de 69,9 millions de dollars, 13 seulement ont connu un début d'exécution, financés à 42 millions, soit 60,04%.

« Qu’on installe toutes les chambres au niveau des provinces parce que là-bas le contrôle pose également un sérieux problème. Augmenter le nombre de magistrats et les former, les payer correctement et donner plus de moyens de fonctionnement à cette cour », ajoute le PCA de l’ODEP.

La part de l’Etat est toujours minimal.

« Le bâtiment actuel de la Cour est un don de l’Union européenne. Son équipement est financé par un projet multi-bailleurs. Les rapports d’audits que nous voyons, c’est un appui du PNUD où est la part de l’Etat Congolais. La communauté internationale comprend que pour aider ce pays, il doit être géré correctement. Il faut des instruments de contrôle ». 

actualite.cd/CC



Le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya s'est exprimé sur l'arrivée des chinchards commandés en Namibie et vendus à bas prix depuis le 24 décembre dernier à Kinshasa. Il a vanté ce prix juste et la promesse tenue du gouvernement. 

Pour lui, la commande faite par le gouvernement va contraindre les importateurs de ces produits à baisser également les prix sur le marché. 

"C'était une promesse du gouvernement. L'enjeu pour nous ce n'est pas de vendre les chinchards à des bas prix ou à des prix réels mais l'enjeu premier pour nous c'est de nous assurer que les produits vendus aux congolais c'est des produits qui sont vendus au juste prix parce-que ça fait autant d'années que nous savons tous que la plupart des importateurs surfacturent et qu'il y a dans la structure des prix des éléments qui ne devraient pas y figurer. On a commencé les discussions avec les opérateurs d'abord dans le secteur aérien, il y a eu des avancées, les prix des billets ont baissé mais la conversation est un peu plus difficile avec les importateurs mais entre temps parce que nous parlons toujours du Peuple D'abord, il y avait un besoin impératif par rapport aux périodes de festivité de pallier au plus pressé et c'est ce qui a été fait avec le ministère de l'économie nationale", s'est félicité Patrick Muyaya jeudi 30 décembre 2021.

Et de poursuivre :

"Lorsque nous étions sur terrain avec le Premier Ministre, les mamans sont venues nous dire les autres importateurs ou Libanais commencent à vendre au même prix que nous, pour nous l'objectif est atteint parce que nous voulons que les prix soient justes et là ils ont baissé les prix sans exonération, sans une quelconque conditionnalité. C'était une solution conjoncturelle, on verra dans les structurelles comment on va améliorer".

Le gouvernement de la République Démocratique du Congo via le ministère de l’économie nationale milite pour le “juste prix” des produits de première nécessité sur le marché afin de protéger les consommateurs. L’objectif, d’après le gouvernement, est de mettre fin aux abus de certains importateurs congolais concernant les prix et veiller au respect de la marge bénéficiaire reconnue par la législation congolaise en la matière.

Clément Muamba



Le Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a encouragé le projet agricole de Nkwadi, réalisé sur le site agricole de Nkwadi, à 45 km de Mbuji-Mayi, qu’il a visité, accompagné de son épouse, pour se rassurer de sa capacité de production.

Selon une source de la Présidence, ce projet agricole se trouve encore dans sa phase embryonnaire et s’inscrit dans le cadre de la vision du Chef de l’Etat de promouvoir l’autosuffisance alimentaire grâce aux initiatives locales modernes.

Ce programme, a-t-elle ajouté, fait recours à la Minière de Bakwanga (MIBA) à travers sa minoterie pour la transformation de la récolte en semoule de maïs de qualité supérieure.

L’objectif de Nkwadi est de produire et fournir la farine de maïs de bonne qualité à la population congolaise en général et celle du Grand Kasaï en particulier. Il a également la vocation de jouer pleinement ce rôle et de faire oublier le « cauchemar de Bukangalonzo ».

En deux ans d’existence, la base agricole de Nkwadi fonctionne grâce au partenariat avec la firme Bio Agri Business ( BAB) qui exécute le projet pour le compte du gouvernement. Il est un programme volontariste du gouvernement national à travers le ministère de l’agriculture.

Des champs de maïs et manioc s’étendent à perte de vue sur ces terres de Tshilenge pour ce projet pilote de transition écologique.

Profitant de la présence du Chef de l’État et de son épouse, le gestionnaire de BAB Kachy Mulumba a fait un plaidoyer pour lui permettre de remplir véritablement sa mission avec des engins modernes.

Stéphie MUKINZI & ACP/CC

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

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