Si elle pouvait être contée, l'histoire dirait qu'il était une fois, au cœur du pays-continent appelé “République Démocratique du Congo”, une centrale hydroélectrique avait été aménagée à 110 Km de Kolwezi, chef-lieu du Lualaba, l'une des quatre provinces formant le Grand Katanga considéré comme le poumon minier du pays. “Ce projet est un appui au projet minier de SICOMINES issu de la Convention de collaboration entre la RDC et la Chine pour réaliser les infrastructures pour un développement socio-économique de la RDC. C'est également le premier grand projet d'infrastructure énergétique dans la région du Grand Katanga au Congo (RDC) depuis plus de 60 ans”, relève-t-on du document intitulé  "Un Projet Hydroélectrique Extrafin est réalisé : Une Coopération Gagnant-Gagnant Sino-congolaise".

Le lancement de ce projet permet aujourd'hui, renseigne-t-il, “de remédier efficacement à la pénurie d’électricité à SICOMINES dans sa phase II de son developpement et les environs”.

​Le document dont question souligne, au demeurant, : “Que ce soit pour la conception, la construction, la fabrication d’équipements, l’installation et la réception de toute la chaîne, le projet a pleinement exploité les avantages techniques et les expériences de la construction d’infrastructures en Chine, peut effectivement promouvoir la construction de l’infrastructure au Congo (RDC) et favoriser le développement coordonné de l’économie régionale”. 

Et ajoute : “L'achèvement de la Centrale hydroélectrique de Busanga deviendra sûrement un modèle pour le marché de l'hydroélectricité et les infrastructures en Afrique, et deviendra un projet modèle international pour la coopération et l’intérêt commun win-win entre la Chine et le Congo (RDC) ”.

​L'intérêt de la lecture est la présentation chronologique entre 2008 et 2021. Ainsii, en 2008, à la suite du refus poli des partenaires occidentaux d'accepter la formule proposée par les autorités congolaises “ Infrastructures/Exploitation minère”, la Chine approchée en second lieu accepte de relever le défi. D'où signature, entre le gouvernement de la RDC et le Groupe d'entreprises chinoises, de la « Convention de collaboration relative au développement d’un projet minier et d’un projet d’infrastructures en République Démocratique du Congo ».

Il se fait que le projet minier est confronté au déficit de fourniture en énergie électrique. Réaliser un barrage hydroélectrique capable de fournir et de garantir l'approvisionnement permanent de cette énergie devient un impératif. Aussi, en mars 2010, pendant que la RDC commence depuis 2008 à bénéficier du fruit des premières infrastructures avec les voies de communication, les écoles, les hôpitaux et que la SICOMINES n'a encore rien produit, les parties concernées signent conjointement le protocole d'accord relatif à la construction du barrage de Busanga.  

​En 2015, après en avoir examiné le rapport de l'étude de faisabilité, les experts du ministère de l'Energie et Ressources Hydrauliques de la RDC émettent le document dit d'approbation. Enn février 2016, l'Agence congolaise de l'Environnement délivre le Certificat Environnement. D'ailleurss, 2016 est une année charnière en ce que la RDC, China Railway Resources Group Co. Ltd (CRR) et PowerChina Resources Limited (PCR) signent “l’Accord de Joint-venture relatif à la construction et à l’exploitation de la Centrale hydroélectrique de Busanga”, en même temps que naît la Sino-Congolaise Hydroélectrique de Busanga Société Anonyme (SICOHYDRO).

​En août de la même année est signée entre le ministère congolais de l'Energie et Ressources Hydrauliques et la SICOHYDRO “le Contrat de Concession relatif à la production de l’énergie électrique au site de Busanga sur la rivière Lualaba dans la Province du LUALABA”.

 

​En novembre 2017, alors que depuis 2008 la RDC continue de voir des infrastructures accroître en diversité, en quantité et en qualité, démarrent finalement les travaux de construction de Busanga avec sa puissance d'installation de 240 MW.
 
Fiche technique et Réalisations connexes
 
​Et en 2021, les travaux s'achèvent sur un coût élevé à USD 656 millions, projet totalement financé par la partie chinoise, la fiche technique étant présentée dans le document cité ci-haut. Retenons au moins que la concession d'exploitation du projet est de 30 ans et que plusieurs ouvrages auxiliaires sont apprêtés : route d'accès, ligne électrique de construction combinée, route coté rive gauche et droite, usine de production de sables

​“Depuis 2018, avec la mise en œuvre complète des quatre principaux projets de barrages, l'usine, tunnels de dérivation et installations d’équipements mécaniques et électriques, la construction du projet a progressé à pas de géant. Dans le but de construire une centrale électrique de classe mondiale offrant ' une sécurité, une qualité et une efficacité élevées', le projet vise à obtenir le Prix Luban, la plus haute distinction du secteur de la construction en Chine, ainsi que des prix de renommée internationale”, souligne le document.

Busanga, œuvre d'envergure
 
​Le Grand Katanga comptait jusque-là 4 barrages importants alimentant premièrement l'industrie minière et, secondement les cités environnementes, en l'occurrence les centres urbains, périurbains et ruraux. Il s'agit de Nseke, Nzilo, Mwadingusha et Koni.

​Nseke avait été construit en 1957 avec une capacité de production de 260 MW réduite cependant à 195 MW. Nzilo en 1952 avec une capacité de production de 100 MW réduite toutefois à 75 MW. Mwadingusha en 1930 avec une capacité de production de 71 MW pour n'en délivrer que 24. Koni en 1955 avec une capacité de production de 42 MW mais n'en délivre que 14. Aussii, bien que dernier arrivé, le barrage de Busanga a la capacité de 240 MW  en production et en fourniture.
 
Quoi de plus normal que dans son document, SICOMINES S.A. affiche sa fierté et son optimisme en mettant en évidence le fait que “La Centrale hydroélectrique de Busanga étant d’envergure, la grande coentreprise sino-congolaise SICOHYDRO S.A. assume activement ses responsabilités sociales et applique le concept de concertation, co-construction, partage et développement coordonné ensemble », et cela avec pour conséquence de “promouvoir la modernisation du développement économique industriel régional”. Ceci en amont.
​En aval, le barrage Busanga vise à “ promouvoir l’augmentation des emplois locaux”, ce d'autant plus que “Le projet a activement encouragé la gestion de l’emploi localisé, résolu plus de 3.000 emplois, formé des compétences opérationnelles, augmenté les niveaux de revenu et amélioré les conditions de vie ”. 

​Mais, l'essentiel pour la population locale est de voir son environnement amélioré : construction d’un nouveau village doté d’installations publiques comme une école, un hôpital, des routes, des puits d’eau potable etc. auxquels s'ajoutent des fonds d’indemnisation spéciaux ayant complètement modifié le cadre et les conditions de vie des habitants à délocaliser.
 
Premier méga-projet à entrer en production sous son mandat
 
​Fait essentiel à retenir : le projet étant achevé et dès sa mise en production, la garantie de voir le barrage fournir de l’électricité SICOMINES à toutes les provinces et villes environnantes. 

“Il deviendra le moteur du développement durable de l’économie régionale”, signale le document.

​Il est indiqué pour l'heure de rappeler que le 18 décembre 2021, lors de la cérémonie de clôture de la 5ème conférence nationale sur l'énergie organisée par la Fédération des entreprises du Congo (FEC) à Lubumbashi, la SICOHYDRO a été primée “Société de développement exceptionnelle 2021” pour la construction de la Centrale moderne hydroélectrique Busanga.

​Le premier grand projet depuis 65 ans dans le Katanga. Le Président Félix Tshisekedi y attache une importance méritée parce qu'en prévision de son inauguration, il y a détaché un de ses conseillers pour suivre de près l'évolution des préparatifs. Busanga, c'est tout à fait normal, est le premier méga-projet hydroélectrique à entrer en production sous son mandat.

7sur7.cd/CC



Le Gouverneur de Kinshasa, Gentiny Ngobila va signer, dans les prochains jours, un contrat avec le groupe turc Albarayk spécialisé dans le traitement de déchets. L’annonce a été faite après avoir échangé avec ledit groupe  Conakry (Guinée) le week-end dernier.

Le traitement de déchets fait partie de secteurs prioritaires de la politique environnementale du gouvernement congolais. D’ailleurs, le pays l’a inscrit dans sa Contribution Déterminée au niveau national (CDN) dans le cadre de la COP26.

La ville de Kinshasa génère plus 8000 tonnes de déchets essentiellement plastiques chaque jour pour un total d’environ 3 millions de tonnes par an.

Auguy Mudiayi



La Cour des comptes a été instituée par l'ordonnance loi du 6 février 1987 fixant sa composition, son organisation et son fonctionnement. Elle dispose d’un pouvoir général et permanent de contrôle de la gestion des finances et des biens publics ainsi que de ceux de tous les établissements publics définis à l’article 3 de ladite ordonnance-loi. Cependant, la mise en œuvre pose toujours problème.

« L’application de la loi organique sur la Cour des comptes permettra de faire de grands pas, mais à condition que le nombre de magistrats augmente. On peut se donner comme objectif qu’à la fin du mandat de Félix Tshisekedi qu’il y ait au moins 500 magistrats au lieu d’une dizaine », a dit ACTUALITE.CD Florimond Muteba, PCA de l’Observatoire de la dépense publique (ODEP) au cours de l’émission Transparence. 

Il y a aussi les provinces. Dans son rapport sur la reddition des comptes de l’exercice de 2020, la Cour constate qu’en ce qui concerne les investissements en provinces et dans les 145 territoires, sur 848 projets retenus pour lesquels le budget était de 69,9 millions de dollars, 13 seulement ont connu un début d'exécution, financés à 42 millions, soit 60,04%.

« Qu’on installe toutes les chambres au niveau des provinces parce que là-bas le contrôle pose également un sérieux problème. Augmenter le nombre de magistrats et les former, les payer correctement et donner plus de moyens de fonctionnement à cette cour », ajoute le PCA de l’ODEP.

La part de l’Etat est toujours minimal.

« Le bâtiment actuel de la Cour est un don de l’Union européenne. Son équipement est financé par un projet multi-bailleurs. Les rapports d’audits que nous voyons, c’est un appui du PNUD où est la part de l’Etat Congolais. La communauté internationale comprend que pour aider ce pays, il doit être géré correctement. Il faut des instruments de contrôle ». 

actualite.cd/CC



Le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya s'est exprimé sur l'arrivée des chinchards commandés en Namibie et vendus à bas prix depuis le 24 décembre dernier à Kinshasa. Il a vanté ce prix juste et la promesse tenue du gouvernement. 

Pour lui, la commande faite par le gouvernement va contraindre les importateurs de ces produits à baisser également les prix sur le marché. 

"C'était une promesse du gouvernement. L'enjeu pour nous ce n'est pas de vendre les chinchards à des bas prix ou à des prix réels mais l'enjeu premier pour nous c'est de nous assurer que les produits vendus aux congolais c'est des produits qui sont vendus au juste prix parce-que ça fait autant d'années que nous savons tous que la plupart des importateurs surfacturent et qu'il y a dans la structure des prix des éléments qui ne devraient pas y figurer. On a commencé les discussions avec les opérateurs d'abord dans le secteur aérien, il y a eu des avancées, les prix des billets ont baissé mais la conversation est un peu plus difficile avec les importateurs mais entre temps parce que nous parlons toujours du Peuple D'abord, il y avait un besoin impératif par rapport aux périodes de festivité de pallier au plus pressé et c'est ce qui a été fait avec le ministère de l'économie nationale", s'est félicité Patrick Muyaya jeudi 30 décembre 2021.

Et de poursuivre :

"Lorsque nous étions sur terrain avec le Premier Ministre, les mamans sont venues nous dire les autres importateurs ou Libanais commencent à vendre au même prix que nous, pour nous l'objectif est atteint parce que nous voulons que les prix soient justes et là ils ont baissé les prix sans exonération, sans une quelconque conditionnalité. C'était une solution conjoncturelle, on verra dans les structurelles comment on va améliorer".

Le gouvernement de la République Démocratique du Congo via le ministère de l’économie nationale milite pour le “juste prix” des produits de première nécessité sur le marché afin de protéger les consommateurs. L’objectif, d’après le gouvernement, est de mettre fin aux abus de certains importateurs congolais concernant les prix et veiller au respect de la marge bénéficiaire reconnue par la législation congolaise en la matière.

Clément Muamba



Le Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a encouragé le projet agricole de Nkwadi, réalisé sur le site agricole de Nkwadi, à 45 km de Mbuji-Mayi, qu’il a visité, accompagné de son épouse, pour se rassurer de sa capacité de production.

Selon une source de la Présidence, ce projet agricole se trouve encore dans sa phase embryonnaire et s’inscrit dans le cadre de la vision du Chef de l’Etat de promouvoir l’autosuffisance alimentaire grâce aux initiatives locales modernes.

Ce programme, a-t-elle ajouté, fait recours à la Minière de Bakwanga (MIBA) à travers sa minoterie pour la transformation de la récolte en semoule de maïs de qualité supérieure.

L’objectif de Nkwadi est de produire et fournir la farine de maïs de bonne qualité à la population congolaise en général et celle du Grand Kasaï en particulier. Il a également la vocation de jouer pleinement ce rôle et de faire oublier le « cauchemar de Bukangalonzo ».

En deux ans d’existence, la base agricole de Nkwadi fonctionne grâce au partenariat avec la firme Bio Agri Business ( BAB) qui exécute le projet pour le compte du gouvernement. Il est un programme volontariste du gouvernement national à travers le ministère de l’agriculture.

Des champs de maïs et manioc s’étendent à perte de vue sur ces terres de Tshilenge pour ce projet pilote de transition écologique.

Profitant de la présence du Chef de l’État et de son épouse, le gestionnaire de BAB Kachy Mulumba a fait un plaidoyer pour lui permettre de remplir véritablement sa mission avec des engins modernes.

Stéphie MUKINZI & ACP/CC



Philippe de Moerloose, entrepreneur belge ayant passé l’essentiel de son temps en Afrique avec comme point d’attache la RDC, fait l’objet des critiques acerbes dans la presse internationale. Des critiques que ses proches attribuent à la mauvaise foi et la jalousie 

L’homme d’affaires belge est à la tête d’un holding (SDA Holding SA) spécialisé dans la distribution des engins agricoles, miniers et de carrière, d’infrastructures et de transport.
Il est aussi propriétaire de African Equities, une société qui détient 100 % de l’Hôtel Karavia (géré par Accor), 100% de Dematco et 50% du Grand Hôtel de Kinshasa (géré par le groupe Accor).
Philippe de Moerloose détient aussi une participation minoritaire de la Grande cimenterie du Katanga SARL (GCK ) 

Il gère aussi la marque John Deere au travers de sa filiale à l’Île Maurice.

Ses activités commerciales ont généré un chiffre d’affaires de 417 millions de dollars de 2004 à 2019 en RDC, c’est près de 25 millions $ de chiffres d’affaires sur une base annuelle 
La RDC représente 5 % du chiffre d’affaire consolidé du Groupe L’Afrique représente quant à elle 35% du chiffre;  les activités de cet homme d’affaires se réalisent dans 26 pays.

Les grandes réalisations de Philippe de Moerloose en RDC

1. Hôtel Karavia. Le rachat et la réhabilitation complète de l'hôtel Karavia à Lubumbashi qui était
dans un état de délabrement total et fermé depuis plusieurs années. Cet hôtel est aujourd'hui
reconnu pour être le seul hôtel 5 étoiles du Katanga géré par le leader mondial dans le secteur
de l'hôtellerie, le groupe ACCOR.

2. Pullman Grand Hotel. Le rachat en 2009 de 50% des parts des Grands Hotels du Congo au groupe hôtelier Intercontinental Hotel Group qui avait décidé de quitter la RDC. Lors du rachat, le bâtiment principal était fermé et la tour d'une capacité de 220 chambres était dans un état de délabrement avancé. Aujourd'hui, le bâtiment principal a été complètement
réhabilité, est géré par le groupe Accor sous l'enseigne Pullman et est sans aucun doute la référence hôtelière à Kinshasa. Le programme de réhabilitation de la tour est lancée. Elle sera inaugurée fin 2022 et accueillera 200 chambres au standard Pullman 5 étoiles.

3. La Grande Cimenterie du Katanga. Grâce à un partenariat avec le groupe cimentier chinois West China Cement, GCK a construit une usine à chaux moderne, de dernière génération, et d'une capacité annuelle de 300.000 tonnes ainsi qu'une cimenterie d'une capacité de 1.200.000 tonnes par an. Cette cimenterie est la plus grosse cimenterie au Katanga et a permis d'arrêter les importations de ciment des pays voisins. Le prix du sac de ciment a diminué de plus de 40% depuis le lancement de la cimenterie. Quant à la chaux, qui était importé par toutes les sociétés minières, cette chaux est aujourd'hui achetée localement évitant ainsi des importations en devises étrangères.

4. Programmes volontaristes agricoles. Dans le cadre des contrats signés avec le Ministère de l'Agriculture, le Groupe de l’homme d’affaires a livré du matériel agricole et tous les services connexes ayant
permis le développement du programme volontariste agricole. Ses sociétés participent activement à la volonté du Chef de l'Etat de la RDC, à devenir une puissance agricole à l'horizon de 2033. 

Le gouvernement de la RDC a signé plusieurs contrats pour la mise en œuvre de projets agricoles volontaristes identifiant les filières agricoles à développer, les centres de production, les infrastructures nécessaires à l'acheminement de ce produit vers les centres de consommation. Des études préalables ont été conduites pour chacun des sites que le programme volontariste agricole a décidé de lancer. Un plan d'affaires précis et détaillé a été
établi par une Commission Interministérielle composée de membres des 3 Ministères
signataires des contrats, le Ministère du développement rural, des Conseillers en matière d'Agriculture de la Présidence et de la Primature. Les sites de Luiza, Nkuadi et Ruzizi sont aujourd'hui en pleine exploitation et commercialisent les cultures de maïs, riz et manioc à des prix bien inférieurs que le prix des matières premières importées. Le ministère de l'agriculture est pleinement satisfait de la collaboration avec le dournisseur d’engins dans le cadre de la
modernisation de la mécanisation agricole.

5.Dematco est une société de construction bien réputée en RDC malgré le fait que cette société est fortement critiquée par la presse belge. C'est pourtant cette même société qui a construit l'ambassade de la Belgique pour le compte du Ministère des Affaires étrangères Belge qui semble aussi  être satisfait des prestations du Consortium belge WILLEMEN et Dematco 
Outre ces réalisations, la société Dematco réalise de nombreux chantiers pour des clients œuvrant dans l'humanitaire
tels que l'UNICEF, la Croix Rouge 

 

Grâce à la mise en œuvre de ces différents projets dans l'hôtellerie, la cimenterie, les projets agricoles et la construction, le groupe de Philippe de Moerloose emploie aujourd'hui des milliers de congolais et offre de très nombreux emplois à des sous-traitants.
Les sociétés de Philippe de Moerloose ont toujours entretenu de très bonnes relations avec le gouvernement de la RDC. Elles n'ont jamais eu le moindre litige dans le cadre de l'exécution de ces contrats et ont toujours livré le matériel aux conditions contractuelles.

Alors, des propos tenus dans certains médias sont tout simplement insultants, non fondés et basés sur des rumeurs anonymes alors qu’il a pris la peine de répondre à plus de 355 questions en présentant tous les détails, en ce compris, les prix et tarifs des différents constructeurs qu’ils représentent 
Ces propos sont vraisemblablement tenus par le fait qu'un entrepreneur Belgo Congolais ayant grandi et débuté sa carrière en RDC a pu être sélectionné deux années consécutives dans le concours belge du manager de l'année.

Qui est Philippe de Moerloose?

Il est né à Bruxelles le 30 juin 1967, le 30 juin étant la date de l'indépendance de la RDC, juste coincidence. A l'âge de 3 ans il a déménagé avec sa famille à Lubumbashi ou il a étudié à l'école belge jusqu'à l'âge de 18 ans. En 1985, il est rentré en Belgique pour suivre ses études à l'ICHEC.
Diplômé en sciences commerciales en 1990,  il a créé directement après ses études la
Société Demimpex  sous forme de société coopérative en mars 1991 avec un capital social de 75.000 francs belges.
Il a  passé l'essentiel de son temps en Afrique durant les 30 dernières années et résidait à Kinshasa 
Nous devons être tous fiers du parcours de cet entrepreneur qui exporte ses qualités de gestion au delà de nos frontières.

CP/ James Kapeta



La RDC va bientôt deux compagnies aériennes nationale. Air Congo, une joint-venture montée avec Ethiopian Airlines, permettra de compléter la flotte nationale qui n’était jusqu’ici portée que par Congo Airways. Chérubin Okende, ministre des transports, voies aériennes et désenclavement, assure que l’arrivée de nouvelle compagnie n’aura pas une incidence négative sur Congo Airways. 

« Plusieurs pays possèdent plus d’une compagnie aérienne. L’Afrique du Sud en a environ quatre et les USA six. Congo Airways gardera sa place. Il n’y aura pas aucun effet pervers sur Congo Airways, bien au contraire. Cela pourra permettre également à Congo Airways de se consolider davantage dans une coopération commerciale qui pourra être envisagée », a dit le ministre à ACTUALITE.CD

Congo Airways attend l’année prochaine de nouveaux avions pour compléter sa flotte. La société développe également ses propres partenariats avec des compagnies étrangères comme Kenya Airways.

De son côté, Air Congo pourra être lancé dès le premier trimestre de 2022 avec sept avions qui serviront au réseau national et aux trafics à l’international.

actualite.cd/CC



Le député national Éric Ngalula Ilunga est monté au créneau pour fustiger la présence des expatriés dans la Zone A, en ce qui concerne le commerce du dimant. 

Se confiant le mardi 28 décembre 2021 à 7SUR7.CD, l'élu de Lupatapata au Kasaï-Oriental estime qu'il faudra, dans les jours à venir, installés les expatriés à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo, pour l'achat et la vente des diamants.

"Dans aucun pays au monde, des étrangers s'installent dans les zones A. Je ne vois pas pourquoi ici il faut autoriser les expatriés à acheter et à vendre les diamants comme le font les Congolais dans la zone A. Comme en Belgique il y a Anvers, comme à Dubaï il y a une bourse où les gens peuvent faire leur business mais pas à l'endroit où on exploite. La prochaine bataille est que les expatriés doivent être installés à Kinshasa pour l'achat et la vente des diamants", a indiqué Éric Ngalula Ilunga. 

Dans la foulée, cet élu de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) met un accent particulier sur la nécessité, voire même l'obligation, de favoriser les autochtones. 

Candidat gouverneur de la province du Kasaï-Oriental, Éric Ngalula Ilunga a, dans ses axes prioritaires, prévu de mener un plaidoyer efficace pour la relance effective et concrete de la Minière de Bakwanga (MIBA) avec le plan de relance de 40 Millions $.

L'élu de Lupatapata entend aussi mener un plaidoyer pour la transformation de la SACIM Sarl en SACIM SA pour que la MIBA Sa reprenne ses parts.

Jephté Kitsita

A Propos

www.culturecongolaise.com

Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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