Désiré Cashimir Eberande, ministre congolais du numérique, a rappelé la nécessité  pour le pays de disposer des Infrastructures adéquates pour la mise en œuvre du Plan du numérique. C'était au cours d’un briefing organisé, le jeudi 13 avril 2023, par son collègue de la Communication et des médias, Patrick Muyaya.

Il a fait savoir que le ministère du numérique a conclu des partenariats financiers pour réaliser ces infrastructures destinées au stockage des données numériques.

"Il faut disposer des infrastructures. Les investissements dans le numérique, ce sont les investissements rentables. Au ministère du Numérique, nous avons déjà fait valider le projet de la mise en place de Data center national. Nous avons déjà fait des études de faisabilité, il nous ne reste que le budget. Ce genre d’infrastructures ne se négocie pas, ce sont des infrastructures qui coûtent jusqu’à 100 millions USD. Le Gouvernement a levé l’option que s’il ne saura pas financer. il faudrait passer par des partenariats. C’est pourquoi le ministère du Numérique a déjà signé un certain nombre de partenariats avec ceux qui ont accepté de financer avec un montage financier qui permet d’avoir un plan de remboursement de ces investissements", a-t-il expliqué.

Il a également martelé sur la nécessité des moyens pour vulgariser le Code du numérique, « la vulgarisation d’un texte aussi important nécessite des moyens ».

Et de poursuivre : « Nous devrons diversifier les actions de la communication pour sensibiliser la population aux nouvelles innovations qui dérangent par rapport aux principes. Il faudra aussi que les administrations se mettent à jour. Cela amène à actionner dématérialisation de l’administration publique ».

Notons que le Code du numérique a été ratifié par l’Assemblée nationale et promulguée récemment par le Président de la République.

Ce code comprend cinq (5) livres en plus d’un livre préliminaire. Le premier livre pose les règles sur les services des activités du numérique. Le deuxième porte sur les écrits, outils électroniques et prestataires de services de confiance. Le troisième repose sur le contenu numérique, le quatrième concerne la sécurité et la protection pénale des systèmes informatiques. Tandis que le cinquième retrace les dispositions diverses transitoires et finales.

Jordan MAYENIKINI 



Le monde a célébré la quatrième journée mondiale de l’art ce 15 avril. En RDC, le ministère de la culture, arts et patrimoine a choisi de la célébrer en mettant en avant le théâtre et le cinéma. Au centre culturel congolais Le Zoo, un spectacle de contes, lecture-spectacle, poésie, monde, danse, etc. s’est tenu. En plus d’autres activités à travers la capitale et le pays, la ministre de la culture, Catherine Kathungu Furaha, s’est adressée à la communauté culturelle.

Dans son adresse, la ministre a rendu hommage, par le cinéma et le théâtre, à toutes les disciplines artistiques qui éduquent le peuple et diffusent la savante culture congolaise au monde. Le thème choisi était le cinéma et le théâtre au service de l’art pour mettre en lumière l’éducation artistique au service de la société.

« Depuis les années 40 avec le très célèbre Albert Mongita jusqu’à aujourd’hui, l’Art Congolais Classique a quatre-vingts ans d’histoire à valoriser. J’y ajoute les galets du Katanga, l’art rupestre du massif de Lovo au Kongo Central, les dessins des motifs Kuba ou encore les sculptures et masques Chokwe, Pende ou Songye, l’art traditionnel Congolais est bien millénaire », a dit Catherine Kathungu.

Et d’ajouter :

« Ainsi, je lance un appel aux artistes, aux mécènes, aux sponsors, aux producteurs et tout autre amoureux de l’art du secteur privé, de se joindre à moi afin d’installer une grande maison de production musicale, théâtrale et cinématographique. Nous devons travailler, davantage, ensemble, pour la promotion de la Culture, des Arts, dans l’objectif de l’épanouissement de l’homme et investir dans les infrastructures culturelles et la réhabilitation de l’économie culturelle »

Ambassadeurs d’un pays, les artistes représentent, à travers cette journée, un miroir de l’économie et de la vie d’une nation. En RDC, le Président de la République a matérialisé cette idée en octroyant des passeports diplomatiques à certains artistes, dont Koffi Olomidé ou Maître Gims. Voulant ainsi fondé son action internationale sur la base de la culture.

« L’art est dans l’économie du pays et dans la vie sociale un outil de création d’emplois, un outil de l’intégration sociale, un outil de l’amélioration du cadre vital, mais surtout pour notre pays, la RDC, l’art est un vecteur d’éducation, de la cohésion nationale et du vivre ensemble », a ajouté la ministre de la culture.

Pour ce qui est du cinéma congolais, la dernière bonne nouvelle est celle de la sélection du film Agure au festival de Cannes. Il est une coproduction entre la RDC, la Belgique et l’Allemagne. Ce film s’amènera à l’un des plus grands festivals de cinéma du monde avec le drapeau de la RDC.

« La force du cinéma est que c’est un moyen qui permet de communiquer sur un pays, ça voyage, ça va dans plusieurs pays, ça se montre à des millions de personnes. Pour la première fois, on va avoir le drapeau de la RDC qui fera les marches, cela avec un film, c’est énorme », disait Emmanuel Lupia, à ACTUALITÉ.CD

Un autre acteur du secteur cinématographique congolais, Tshoper Kabambi, initiateur du Festival International de Cinéma de Kinshasa a noté que du point de vue du travail de ceux qui évoluent dans le secteur du cinéma, le septième art se porte bien en RDC.

« Le cinéma congolais émerge, il y a des post-productions qui émergent, on a des films qui font le tour du monde. Ça va faire au moins 4 ans que des films congolais sont au festival de Cannes mais pas seulement, aussi dans d’autres festivals. Il y a des formations, il y a de nouveaux cinéastes qui naissent avec des films très intéressants », a-t-il dit.

Emmanuel Kuzamba

 



La ville de Kinshasa va accueillir la 2ème édition du Festival Africain des arts Martiaux (FADAM) prévue du 17 au 24 juin 2023, au stade des martyrs de la Pentecôte.

Cette grande organisation internationale que parraine le chef de l'État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo par l'entremise du ministre des sports et loisirs Claude-François Kabulo Mwana Kabulo, va sans doute marquer l’histoire des arts martiaux en République Démocratique du Congo.

FADAM réunit 5000 athlètes pour 30 disciplines, et 1000 artistes de plus de 60 pays. Il se déroule tous les deux ans, et a pour objectif de promouvoir la diversité des arts martiaux.

Cet événement va compromettre les chances du déroulement du méga concert de l'artiste musicien Ferré Gola programmé, le samedi 24 juin prochain, au stade des martyrs de Kinshasa. Jusque-là, aucune communication n'est faite concernant le report de cette prestation scénique.

Il est à noter que, deux grands acteurs des films d'action, Jackie Chan et Jean-Claude Van Damme prendront part à cette 2ème édition du FADAM.

Makabi Gratis



En dehors de la carte d’électeur, les Congolais pourront obtenir, dans un futur proche, la carte nationale d’identité.

Lors de la réunion du Conseil des ministres du vendredi 14 avril 2023, le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a annoncé que les préparatifs concernant la réalisation de cet axe du programme gouvernemental vont bon train. 

À partir de mi-2023, note le compte-rendu de cette réunion, les premières cartes nationales d’identité seront délivrées au peuple congolais.

« Le chef du gouvernement a attiré l’attention de tous les intervenants dans le processus de mutualisation des opérations, à savoir : la Commission électorale nationale indépendante (CENI), l’Office national d’identification de la population (ONIP), le Bureau central du recensement (BCR), et l’Institut national de la statistique (INS) de jouer chacun son rôle », rapporte ce compte-rendu.

Signalons qu’à ce jour, seules la carte d’électeur et le passeport font office de la carte nationale d’identité pour les Congolais.

mediascongo.net/CC



La plénière a tablé sur les recommandations du député Prosper Bukasa, interpellateur du DG de la SNEL. 

Elle a décidé par vote à main levée d’approuver trois de quatre recommandations dont la révocation du DG de la SNEL pour « incompétence et manque de vision claire  dans la gestion de l’entreprise».

Par contre, la plénière s’est opposée à la recommandation relative à la reprise des fonctions des directeurs « licenciés abusivement », selon Prosper Bukasa.

La plénière s’est appuyée sur les explications du DG de la SNEL qui a fait comprendre qu’ils sont en congés et que pour ceux qui étaient au cabinet de son prédécesseur, il a décidé de réduire l’effectif.

Les recommandations de l’interpellateur sont:

- Que le gouvernement mette un plan de redressement de la SNEL; 

- Que le gouvernement paie toutes les créances à la SNEL;

- Que tous les directeurs limogés sans respect de la loi soient repris sans délai ;

- Que l’Assemblée opte pour la révocation du DG de la SNEL dans 48 heures 

Selon l’article 198 alinéa 2 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, le bureau va transmettre ces recommandations approuvées aux autorités compétentes.

Berith Yakitenge



L’Union sacrée fait salle comble et des places s’y taillent encore pour tous ceux qui souhaitent rejoindre la famille politique du chef de l’Etat. Certes, l’engouement est réel et les fidèles du régime y prospèrent, même si de plus en plus de kabilistes quadrillent l’équipage du navire. Cependant, tous ceux qui s’affichent sous Béton ne nourrissent pas forcément les mêmes ambitions.

Certains, plus fidèles à Félix Tshisekedi, se concentrent sur le second mandat du président de la République. Ils y accordent une priorité d’énergie, d’actions et de pensée. Une deuxième catégorie s’y niche pour échapper à tout hasard d’insécurité politique qui pourrait les exposer à des poursuites judiciaires. Là où l’IGF fourre son nez partout, fouille dans le passé et alerte sur des dossiers dormants de malversation, mieux vaut se tshisekediser. Le troisième groupe d’adhérents de l’Union sacrée est composé des opportunistes à la quête de moyens de survie facile. Cette dernière famille des tshisekedistes qui forme la plus longue file des signataires de la charte fondatrice de la méga plateforme est composée de ceux-là qui s’y précipitent pour figurer sur le tableau de répartition des paquets de campagne. Puisqu’il y en aura certainement dans quelques semaines, dans quelques mois.

Six patrons, un seul boss

Sept gros poissons règnent en dignitaires incontournables de l’Union sacrée en soutien à Félix Tshisekedi : Bahati, Kabuya, Mboso, Kamerhe, Bemba et Sama. Chacun semble méditer sur sa trajectoire. Des multicolores et des tshisekedistes purs s’y accordent. L’objectif étant de rafler un score électoral insoupçonnable aux élections qui pointent à l’horizon. D’aucuns se demandent toujours comment Félix Tshisekedi gère-t-il les contractions internes, les ambitions divergentes lorsqu’on sait que tous ne partagent pas forcément les mêmes valeurs politiques. Si les présidentiables Kamerhe et Bemba n’ont pas encore dit leur dernier mot, il est illusoire de croire que Modeste Bahati a mis ses ambitions en berne. Il est un cacique imprévisible qui ne compte que sur des déceptions de parcours pour rebondir et tangenter. Une simple incompréhension dans l’ancienne majorité de Kabila avait suffi pour qu’il prenne ses distances. Dans cet aréopage d’initiés politiques, Félix Tshisekedi n’a pas fini de travailler.

Veiller aux dissensions et limiter les dégâts

Peu importe ce qui se raconte autour de sa personne, Augustin Kabuya Tshilumba aura été le seul leader clairvoyant qui a courageusement averti les sociétaires de l’Union sacrée sur d’éventuelles catastrophes du parcours de la plateforme. “Il y aura des problèmes, le plus important sera de les régler en famille”, a-t-il conseillé le jour de la signature de la charte de l’Union sacrée. Car, a-t-il, indiqué, “les problèmes commencent”. Déjà, la composition du présidium n’arrange pas tout le monde. Certains leaders qui voyaient Vital Kamerhe hors-jeu ne digèrent toujours pas son intégration magistrale au gouvernement et au présidium. Il en est de même de Jean-Pierre Bemba Gombo, leader du MLC dont l’élévation a quelque peu refroidi les inconditionnels de Félix Tshisekedi dans le grand Équateur. Même à l’UDPS, toutes les sensibilités n’attendaient pas forcément d’assister à l’actuelle configuration de l’Union sacrée.

Tshisekedi tiendra-t-il intacte la machine jusqu’au scrutin de décembre ?

Tout est possible et rien n’est impossible en politique, dit-on. Tshisekedi s’attend à tout et serait suffisamment préparé à tous les cas de figure. Germain Kambinga du parti “le Centre” a partagé une réflexion de grande profondeur : “Gagner l’élection de 2023, c’est obtenir entre 7 et 8 millions de voix. J’ai toujours dit que celui qui gagnera est celui qui aura la meilleure organisation et le plus grand maillage. Avec Bemba, Kamerhe, Mbusa, les kimbanguistes et la jeune garde qu’il a positionné dans les hautes fonctions, le président a une avance certaine. Si l’opposition n’arrive pas à s’unir et à devenir une machine à gagner, il ne faudra pas s’étonner que le président gagne le doigt dans le nez. Il ne faudra pas tromper le peuple ensuite en criant à la tricherie. Il faut s’organiser ou accepter la défaite à venir”. Une analyse lourde de sens. Cependant, la sortie de l’Union sacrée met la puce à l’oreille de l’opposition dans sa grande diversité.

diaspora/CC

 


De 2023 à 2026, le centre culturel Plateforme contemporaine s'investit encore plus dans l’accompagnement des artistes congolais. Un programme spécial dans ce sens a été élaboré et présenté mardi 4 avril dernier. Cette structure veut donner un coup de main au secteur culturel qui est “abandonné” alors que les talents sont à retrouver dans tous les coins de rue. Cet accompagnement s’étendra d’un bout à l’autre des projets qui seront retenus.

Des résidences seront accordées aux artistes dont les projets en nécessiteront. Cela avec les centres culturels partenaires de la plateforme contemporaine tels que le centre culturel congolais le Zoo à Gombe, le Tarmac des auteurs à Kintambo et l’atelier Losa à Ngaliema. Le programme s'est déroulé, au siège de la plateforme contemporaine, devant la communauté artistique bien représentée par des artistes de différentes disciplines et opérateurs culturels. 

Les étapes à suivre pour bénéficier de ce programme d’accompagnement commencent par le dépôt de candidature. Il se fait par la boîte mail « This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it. » ou verbalement au siège de la plateforme contemporaine, à Beau marché, dans la commune de Barumbu. Une fois sélectionné, la deuxième phase est celle de la recherche. Pendant 3 mois, l’artiste se documente, fait des recherches et travaille d’abord dans son milieu habituel avec un suivi de l’équipe de la plateforme contemporaine.

Une première restitution est prévue avant l’étape d’après. C’est en ce moment que le projet sera validé. Alors commencera la résidence de création pendant 3 mois également. Une restitution devant un public restreint composé d’experts, opérateurs culturels, partenaires et autres artistes se fera de nouveau.

Par la suite, la plateforme contribuera, avec son personnel administratif, à la constitution du dossier professionnel du projet. Elle a mis en place un package d’accompagnement administratif pour permettre d’élaborer de manière professionnelle le projet en présentant les outils qu’il faut, dont le rapport de la résidence.

En fin de compte, la plateforme contemporaine prendra aussi en charge la promotion du projet pour alimenter les possibilités de soutien de celui-ci. Pour cette douzième année d’existence de cet espace culturel et de fourniture de services d’accompagnement aux artistes, un accent très particulier sera mis sur les projets des femmes qui occuperont les 70% des projets qui seront retenus.

Très peu de projets des femmes ont été soutenus par la plateforme depuis plus de 10 ans. Beaucoup de temps, le rapprochement et l’accessibilité ont été des éléments déterminants pour réussir à faire évoluer celles qui ont soumis des projets, fut un temps. Elle compte rééditer, s’il le faut, ce mécanisme pour en arriver à des projets portés de bout en bout par les femmes.

« Après 12 ans d’existence, nous n’avons accueilli que 4 ou 6 projets de femmes. Et 2 ont évolué et ont eu un accompagnement différent. Ça nous a demandé beaucoup de temps et de patience. Nous nous sommes dits de mettre en place la même stratégie pour les femmes parce qu’elles sont assez lourdes. Elles font des propositions mais souvent n’arrivent pas au bout de leurs projets. L’idée est d’avoir des programmations des festivals où on sent la présence de la femme », a indiqué Dada Kahindo, directrice exécutive de la plateforme contemporaine.

Largement aidée administrativement par la plateforme contemporaine, pour émerger dans sa carrière artistique, Orakle Ngoy, rappeuse, ne se dit pas satisfaite de la situation de la femme artiste congolaise mais accueille chaleureusement la nouvelle de l’accent particulier mis sur les projets des femmes.

« C’est dans le contexte de ma pensée. Mon idée n’est pas que je sois la seule à être soutenue. Mais aussi que ces femmes-là artistes autour de moi, puissent aussi avoir le soutien. C’est une magnifique idée car nous allons atteindre le sens de nos objectifs », a-t-elle dit.

La plateforme contemporaine est un centre culturel qui accompagne financièrement, administrativement et techniquement les artistes de différentes disciplines. Également dans la production et les résidences. Elle a une particularité par rapport aux autres centres culturels, celle de ne pas créer d’œuvres artistiques. Elle existe à Kinshasa, depuis 2011.

Elle a déjà accueilli des projets d’arts plastiques, notamment dans le cadre de la biennale Yango et du laboratoire Kontempo. Cependant, dans ce nouveau programme de résidence, sont les plus attendues, les œuvres de photographie. Pendant tout le mois d’avril, les opérateurs culturels, les artistes ou groupes d’artistes peuvent postuler. La plateforme contemporaine mettra en place des moyens pour que ce programme d’accompagnement soit effectif.

Emmanuel Kuzamba



Dès les premières minutes de l'annonce du décès inopiné du député UNC John Ntumba, ce mercredi 12 avril à Kinshasa, le Président national du parti, alors déjà à son cabinet de travail au ministère de l'économie, s'est rendu directement à HJ Hospital pour rendre les premiers hommages à la dépouille et consoler la famille. 

Fondu en larmes, Vital Kamerhe a donné les instructions pour que les premières dispositions soient arrêtées afin de ramener le corps à la morgue de l'hôpital du cinquantenaire, en attendant les programmes détaillés des obsèques.

Une perte énorme pour sa famille biologique dont il était le pilier et aussi une grande perte pour le parti. 

Le député John Ntumba était non seulement ami, mais aussi un collaborateur de premier rang du Président National Vital Kamerhe. Il a pris part à toutes les tractations politiques avant la création de la plateforme Cap pour le Changement (CACH) depuis Nairobi jusqu'à apposer sa signature, au nom du Président national, sur la charte créatrice de l'Union Sacrée il y a à peine quelques jours. 

Le Président de l'UNC invite ses cadres et militants, en ce moment de deuil, d'adopter une attitude de recueillement et manifester leur solidarité à la famille biologique éplorée.

opinion-info/CC

 

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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