Le 27 décembre dernier, le monde de la musique s'est souvenu de l'artiste chanteur, compositeur-interprète Lulendo Matumona alias "Général Defao". Il est décédé le 27 décembre 2021 dans une clinique de Douala, au Cameroun, à l'âge de 62 ans. 

Né le 31 décembre 1958 à Kinshasa, Général Defao était un excellent chanteur et danseur, doublé de talent d’auteur compositeur. Il a débuté sa carrière dans des petits groupes de quartier, avant d’intégrer le groupe Grand Zaiko Wawa de Pepe Felly Manuaku Waku en 1981.

De 1983 à 1991, il a marqué son passage au sein de l’orchestre Choc Stars aux cotés des chanteurs de charme comme Debaba, Carlito, Nzaya Nzayadio, Bengali petit Prince et autres, avant de créer son propre groupe Big Star en 1991.

Amour scolaire, chagrin dimone, hitachi et aimée la congolaise comptent parmi ses chefs d’œuvre.

actualite.cd/CC

 


En vue de renouer la confiance avec sa clientèle, la société nationale d’électricité (SNEL) a présenté le vendredi 30 décembre 2022 à Kinshasa, son nouveau compteur connecté SNEL BOX et son application digitale SNEL et MOI. Les deux produits fonctionnent concomitamment.

Si la SNEL BOX permet le renvoi d’informations sur la consommation du client au niveau d’une plateforme gérée par les techniciens de la SNEL ou un gestionnaire du réseau choisi grâce à une SIM y incorporée, l’application SNEL et MOI, quant à elle, permet au client de connaître la quantité de l’électricité qu’il a consommée et quand, de recevoir sa facture, de la payer et de recharger son compte en ligne par mobile money ou e-banking, ainsi que d’interagir directement avec la SNEL.

A en croire Fabrice Lusinde, directeur général de la SNEL, ces deux produits ont pour but de renouer la confiance avec les clients et d’améliorer la gestion du délestage.

« Nous envisageons d’améliorer la qualité de nos services à travers les innovations que nous allons proposer à nos clients sur l’ensemble du territoire et surtout retrouver leur confiance. Sur ce, nous allons à la fois déployer deux produits. Il s’agit tout d’abord d’un compteur communicant que nous appelons SNEL BOX. Il a une SIM à l’intérieur et un signal GPRS qui renvoie toutes les informations de la consommation au niveau d’une plateforme », a-t-il expliqué.

Et d’ajouter : « L’autre innovation est que nous allons amener la SNEL dans les téléphones de nos clients à travers l’application SNEL et MOI téléchargeable sur Androïd et Appstore. En ouvrant cette application, le client pourra consulter sa consommation, ce qu’il doit à la SNEL, les heures de délestage et autres (…). L’idée est de permettre à chaque client de gérer sa consommation et nous permettre d’éviter la remarque que nous font les clients tous les jours qu’ils paient les factures sans pour autant avoir le courant ».

Ces innovations de la SNEL sont accompagnées par l’agence nationale du numérique (ADN), une structure sous tutelle de la présidence de la République. Lors de la 45e réunion du conseil des ministres, tenue en mars dernier, le président de la République avait exigé « qu’il soit mis en place, d’ici le 31 décembre 2022 au plus tard, un système d’information intégré » pour la SNEL et la REGIDESO. Ceci en conformité avec le 5e pilier du plan national du numérique, projets 43 et 50, validé en septembre 2019.

Pour le coordonnateur de l’ADN, Dominique Migisha, SNEL BOX et SNEL et MOI sont la matérialisation de la vision du chef de l’Etat, qui vise, entre autre, la numérisation des entreprises publiques pour y juguler la fraude.

« L’ADN qui a été créée par ordonnance en août 2022 va accompagner dans la durée la SNEL qui ambitionne de doter l’ensemble de ses clients de ces compteurs intelligents. D’autres pays comme la Côte d’Ivoire et le Sénégal ont réussi ce challenge en 3 ans et c’est exactement ce que la SNEL veut faire. Elle peut compte l’ADN ou l’ensemble de la présidé de la République. Ce projet est la matérialisation de la vision du chef de l’Etat qui veut un pays numérisé, où on a moins de fraude, ou les flux financiers sont maîtrisés et chaque congolais peut bénéficier d’une desserte en électricité », a-t-il dit.

A titre expérimental, la SNEL a déjà installé un compteur à sa direction générale et un autre à l’ADN. En janvier 2023, cent SNEL BOX seront installées à Kisantu, dans le Kongo-Central, et cent autres à Binza Ozone, à Kinshasa. Entre février et mars de la même année, les premiers retours d’expérience client et technique seront effectués avant un déploiement à grande échelle sur l’ensemble du pays. 

Bienfait Luganywa



Le mois de décembre 2022 a été riche en actualité en République Démocratique du Congo. Dans ce numéro, la rédaction de POLITICO.CD vous propose cinq informations saillantes qui ont suscité aussi bien des réactions de satisfaction que d’étonnement au sein de l’agora socio-politique congolaise.

Il s’agit notamment de la publication du livre blanc par le gouvernement congolais; la levée par le Conseil de Sécurité de l’ONU, du régime d’obligation de notification pour l’importation d’armes par le gouvernement de la RDC; l’annonce du vrai-faux retrait des supplétifs de l’armée rwandaise, les terroristes du M23, des positions occupées à Kibumba; la promesse faite par le Président de la République Félix Tshisekedi de construire une université moderne à Mbandaka ainsi que les démissions de trois membres du gouvernement central et un du gouvernement provincial du Haut-Katanga, tous membre de la famille politique de Moïse Katumbi.

Publication d’un livre blanc

Le gouvernement congolais a publié le 09 décembre 2022, le « Livre Blanc » sur l’agression avérée de la RDC par le Rwanda et crimes internationaux commis dans ce contexte par l’armée rwandaise les RDF et le M23. Le Livre blanc répertorie des crimes commis durant la période de novembre 2021 à décembre 2022.

Dans ce document d’une soixantaine de pages, le gouvernement congolais affirme que la véracité de ces faits rassemblés dans ce « Livre Blanc » est établie par des preuves récoltées par des sources dignes de foi, aussi bien les Nations Unies que les organisations non gouvernementales humanitaires et des droits de l’homme.

 

L’objectif de cet ouvrage est de démontrer principalement le caractère avéré de l’agression rwandaise en cours sous toutes ses formes à partir des faits évidents établissant l’implication et la responsabilité inter- nationale du Rwanda.

Levée du régime de notification

Après des longues démarches diplomatiques, le gouvernement congolais a finalement, en date du 20 décembre, obtenu la levée du régime d’obligation de notification imposé à l’Etat congolais lors de l’achat des équipements militaires auprès des fournisseurs.

À Kinshasa, cette résolution du Conseil a été diversement commentée. Le gouvernement congolais a soutenu que cette décision du conseil de sécurité vient « réparer une injustice » qui empêchait l’armée congolaise « d’avoir les capacités nécessaires à défendre la patrie face notamment à l’agression rwandaise sous couvert du mouvement terroriste M23 »

A la présidence de la République, on a salué l’aboutissement d’une « longue et historique » bataille contre son belliqueux voisin, le Rwanda. La porte-parole adjointe du Président congolais, Tina Salama saluait le « Triomphe de la diplomatie « active et agressive » de Tshisekedi.

Le système de notification avait été institué en 2008 pour empêcher la divagation des armes à travers les groupes armés.

Une résolution décrétant l’embargo sur les armes en RDC avait été adoptée en 2000. En 2008, le Conseil de sécurité avait décidé d’appliquer cet embargo exclusivement aux groupes armés, tandis que les fournisseurs du gouvernement étaient soumis à un régime de notification au Comité de surveillance de l’ONU.

Une nouvelle résolution adoptée en juillet dernier a prolongé pour un an ce régime, en ramenant l’obligation de notification à seulement 5 types d’armes, notamment les mortiers, lance-grenades, « systèmes portables de défense antiaérienne (MANPADS), systèmes de missiles guidés antichar ».

Vrai-faux retrait du M23 de Kibumba

Les terroristes du M23 se sont militairement désengagés, vendredi 23 décembre 2022, de leurs positions de la cité stratégique de Kibumba, voie d’entrée de la ville de Goma, conformément au communiqué du muni-sommet tenu à Luanda, le 23 novembre 2022, marquant ainsi une étape importante dans les efforts en cours pour rétablir la paix et la stabilité dans l’Est tourmenté de la RDC. Les terroristes du M23 accusés par Kinshasa d’être soutenus par le Rwanda ont cédé leurs positions de Kibumba à la force régionale.

Cependant, au lendemain du début effectif dudit retrait, les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont déclaré qu’il s’agirait d’un « leurre » pour distraire les congolais avec l’intention manifeste d’occuper la cité de Masisi.

Selon le communiqué, les unités du mouvement du M23 désengagées de Kibumba, au lieu de regagner leurs positions initiales de Sabinyo conformément aux décisions du mini-sommet de Luanda prennent une autre direction pour renforcer les positions de Tongo, de Kishishe et de Bambu, avec « intention manifeste d’occuper le territoire de Masisi ».

La promesse d’une université moderne à Mbandaka

Arrivé mercredi 21 décembre 2022 à Mbandaka Chef-lieu de la province de l’Équateur en marge de la neuvième session de la conférence des gouverneurs qui s’est tenue jusqu’au 23 décembre 2022, le Président de la République a promis de construire une université aux standards internationaux dans cette ville.

Le Chef de l’Etat a même rassuré que les étudiants de la ville de Mbandaka n’auront plus à envier aux universités européennes.

Les démissions des ministres pro-Katumbi

Un autre fait marquant est les démissions inattendues des ministres, membres de la famille politique Moïse Katumbi.

En effet, pour tirer les conséquences de la position de leur parti politique [ Ensemble pour République Ndlr ] qui s’est retiré de l’union sacrée de la Nation, trois de six ministres pro-Katumbi au sein du gouvernement central dirigé par Sama Lukonde ont présenté leurs démissions, qui d’ailleurs ont été acceptées par le Président Tshisekedi. Christophe Lutundula des Affaires Étrangères, Muhindo Nzangi de l’ESU et Modeste Mutinga ont, quant eux, fait allégeance au Chef de l’Etat tout en réitérant leur loyauté à sa vision politique.

Au niveau provincial, c’est Christian Momat qui a démissionné de son poste de ministre du plan, budget, coordination des partenariats public-privés et relations avec l’Assemblée provinciale de la province du Haut-Katanga au sein du gouvernement Kyabula.

Moïse Katumbi qui s’est d’ores et déjà déclaré candidat à la présidentielle de décembre 2023 a indiqué qu’en quittant Tshisekedi, les ministres Mwando, Okende, Kilumba et Momat ont fait le choix d’un autre Congo.

Carmel NDEO



La population de Mbuji-Mayi (Kasaï-Oriental) a recommandé, samedi 31 décembre, au chef de l’Etat de relever la MIBA qui constitue le poumon économique de cette province.

Elle a fait cette recommandation à Félix Tshisekedi qui, depuis deux jours, séjourne dans cette partie du pays.

« Nous attendons l’amélioration de notre vie sociale, le relèvement de la MIBA qui est le poumon économique de notre province, si le chef de l’Etat peut penser à cette société et chercher aussi à créer d’autres pour donner de l’emploi aux jeunes », rapportent des habitants de Mbuji-Mayi.

Des jeunes de cette ville encouragent le président de la République à créer de l’emploi et à soutenir l’entreprenariat des jeunes.

D’autres ont souhaité que Félix Tshisekedi lance les travaux d’adduction d’eau et de raccordement du courant électrique à Mbuji-Mayi.

Le président de la République a même participé à la messe de Nouvel An à la cathédrale Saint-Jean Baptiste de Bonzola dans la commune de la Kanshi à Mbuji-Mayi.

Samedi, il a visité quelques infrastructures en pleine construction dans la ville de Mbuji-Mayi, dans le cadre du programme accéléré de lutte contre la pauvreté et la réduction des inégalités, avant de partager un diner avec sa famille biologique et quelques proches.

radiookapi.net/CC



A quelques heures du nouvel an, l’ambiance est peu festive dans certaines villes de la RDC, dans d’autres les marchés ont été pris d’assaut mais les acheteurs se disaient dépourvus des moyens  pour s’offrir de quoi faire la fête. 

 

A Gbadolite(Nord-Ubangui), contrairement aux années passées, la ville présentait une ambiance moins mouvementée, à quelques heures de la nouvelle année 2023. Plusieurs habitants se disent dépourvus de moyens. Même les fonctionnaires payés ont été excédés par les frais d’étude de leurs enfants. A peine quelques clients ont été visibles le long des pavillons du marché central ce samedi 31 décembre pour les dernières courses.

La plupart font la ronde à la recherche des vivres, des produits vestimentaires ou des articles de décoration.

Par ailleurs, étant donné la flambée des prix, a expliqué le président du cadre de concertation de la Société civile du Nord-Ubangi, plusieurs habitants se sont résignés à ne pas fêter. Ceux-là se sont plutôt apprêtés à aller rendre grâce à Dieu, à leurs lieux de culte, soit ce samedi soir soit  dimanche matin, 1er jour de l’an.

A Bandundu, ambiance mi-figue mi-raisin

L’ambiance est restée aussi morose dans la ville de Bandundu, chef-lieu de la province du Kwilu, ont témoigné certains habitants interrogés par Radio Okapi à cette veille de la nouvelle année. Cependant, au marché central de Mampuya, un engouement était constaté. C’était l’occasion pour certaines commerçantes de faire de très bonnes recettes.  

Sur presque toutes les artères principales de la ville de Bandundu ce 31 décembre 2023, l’ambiance de fête est peu perceptible. Aucune décoration particulière pour marquer les festivités de nouvel an, sauf dans quelques maisons de commerce, par exemple, sur l’avenue Wamba.

« L’ambiance de la fête d’une manière générale, telle que vers Ebico ici, nous ne sentons absolument rien, il n’y a même pas de décoration, il n’y a rien absolument, les gens sont là, et la vie semble être normale comme ça toujours été », témoigne un habitant.

Par ailleurs, le marché central de Bandundu situé dans la commune de Disasi était grouillant de monde. Ce sont des passants, des commerçants ambulants, des parents et d'autres personnes venus pour se procurer certains articles.

Ici, une vendeuse des produits alimentaires affirmait avoir fait de bonnes recettes :

«  Du riz et du haricot coulent très bien. De même que la tomate, l’huile et les jus. Nous vendons très bien parce que c’est la fête ».

Plusieurs bêtes ont été  abattues ce samedi à travers la ville. Des familles se sont cotisées pour acheter une vache et se partager la viande. Ce jour, le prix d’une bête variait entre huit cent mille et un million cinq cent franc Congolais.

Les affaires n’ont pas été bonnes à Kindu

Presque tous les marchés de la ville de Kindu(Maniema) ont été pris d’assaut ce samedi 31 décembre par une foule de personnes à la veille du nouvel an. Certains parents rencontrés par le reporter de Radio Okapi se sont plaint de ne pas avoir assez d’argent pour acheter des habits pour leurs enfants. De leur côté des marchands se plaignaient  également de la rareté des clients. Les grossistes quant à eux regrettaient  qu’il n’y ait pas assez de rotations d’avions et des bateaux pour renouveler leurs stocks de marchandises.

Au marché central de Kindu, certains parents sont venus même de l'intérieur de la province pour se procurer quelque chose pour bien fêter le nouvel an.

Quelques enfants accompagnaient leurs parents, marchant à travers les passages séparant différents étalages, à l’affut des habits pour les uns, des décorations ou des nourritures pour les autres. 

« Je suis venu avec ma maman pour venir chercher les Habits parce que le dimanche c'est la bonne année, les habits d'abord à porter et la nourriture aussi», raconte un enfant.

Plusieurs parents, eux, se sont plaints de n’avoir pas assez des moyens pour s’offrir tout ce qu’ils auraient souhaité avoir. Mais malgré ses faibles moyens, ce parent se dit déterminé à trouver quelque chose pour ses enfants:

«  Oui, effectivement on est là, on n'a pas le choix on est venu accompagner les enfants pour chercher de quoi se vêtir et de quoi à manger le dimanche parce que c'est la fête mais sinon, nous nous forçons seulement parce qu'il n'y a rien (Ndlr pas des moyens financiers) vraiment ».

De leur côté, les vendeurs d'habits déploraient une faible clientèle par rapport à l’année précédente.

« En tout cas pour le moment ici chez nous vraiment il n'y a pas de clients. La fois passée on avait beaucoup de clients ici mais pour le moment il n'y a pas de clients. Les gens passent, ils regardent mais pas d'argent», regrettait un commerçant.

Un autre, vendeur des vivres, se faisait plutôt du souci à cause de l’insuffisance de stocks de produits à la suite, selon lui, du manque de moyens d’approvisionnement.

« Je vends les vivres ici mais nous n'avons pas des stocks. Ni avion, ni bateau, on ne sait pas si on fera comment, nous sommes tellement bloqué ici, que le gouvernement viennent nous aider », a-t-il indiqué

A travers la ville de Kindu, il est difficile ce jour de la Saint Sylvestre de voir des décorations qui témoignent d’une ambiance festive.

Ambiance festive à Lubumbashi

A quelques heures de la célébration de la fête du nouvel an, le centre-ville de Lubumbashi recevait du monde.  C’est notamment aux marchés et dans les magasins.  Pour la circonstance, certains détenteurs des maisons commerciales, ont placé des baffles devant leurs bâtiments distillant de la musique pour attirer la clientèle. Les articles les plus exposés sont entre autres, les vêtements pour enfants et les produits alimentaires.

Pendant ce temps, les marchands pirates étaient le long des principales artères de la ville où ils avaient étalés les marchandises à même le sol ignorant les mesures d’hygiène. Il y en a qui étaient tout autour des tas d’immondices, notamment aux environs du marché centrale mzee Kabila à l’angle des avenues Kasai et Lumumba.

Certaines vendeuses trouvées sur place se sont plaints de voir défiler devant elles plus de contemplateurs que d’acheteurs. Le manque d’argent en serait la principale cause.

Contrairement à ces affirmations, une femme, trouvée en train de faire les achats n’est pas du même avis. Pour elle tout va bien.

Certains agents d’entreprises publiques et privées ont bénéficié d’une gratification des quelques vivres dont les poulets, le riz, l’huile et autres.

Ce samedi, beaucoup personnes faisaient la file devant certaines banques pour retirer de l’argent aux distributeurs mais par moment les coupures intempestives du courant électrique n’étaient pas de nature à arranger les choses.

radiookapi.net/CC



L'artiste musicien, Fabregas va se produire, ce dimanche 01 janvier 2023, à la référence 6/6 à Luanda, en Angola.

Le chanteur congolais va achever son séjour musical au pays de Joao Lourenço, après avoir livré un excellent concert, le samedi 31 décembre 2022, au ciné atlantico.

Fabregas avait largué deux singles intitulés Pays des merveilles" et "Nyongo", en fin du mois de décembre dernier.

Ces deux morceaux annoncent es couleurs du prochain album de l'artiste dénommé "Gomme" qui sera dans le bac, au courant de cette année.

Depuis le début sa carrière solo, Fabregas compte 5 albums. Il s'agit de Amour amour sorti en 2012, Anapipo en 2014, Poison et Antidote en 2016, et Cible en 2019.

Outre ses albums solo, il a enregistré un opus intitulé "Cursus" avec son groupe musical, en 2017.

Gratis Makabi



L'artiste musicien, Fally Ipupa va se produire, ce dimanche 01 janvier 2023, à Cotonou, au Bénin, dans le cadre du dernier concert de sa tournée africaine.

Le chanteur congolais sera la scène béninoise, après avoir livré un concert VIP, le samedi 31 décembre 2022 à Dakar, au Sénégal. Au cours de cette tournée, celui qu'on appelle affectueusement "Aigle" a parcouru plusieurs villes d'Afrique, entre autres Brazzaville, Lubumbashi, Pointe-Noire, Port-Gentil, Libreville, Lome, Yaoundé, Abidjan, Accra et Dimbokro.

Fally Ipupa a livré un méga concert, le 29 octobre dernier, au stade des martyrs de Kinshasa, devant plus de 100.000 personnes venues de quatre coins de Kinshasa, et devenant ainsi le 6ème artiste a avoir livré au moins un concert à la plus grande infrastructure sportive de la République Démocratique du Congo, après King Kester, JB Mpiana, Werrason, Papa Wemba et Bebe Tshanda.

Gratis Makabi



Lancée depuis le samedi 24 décembre dernier, l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs se poursuit normalement dans la première aire opérationnelle.

Cependant, depuis son lancement, une polémique concernant essentiellement la qualité de la carte, l’emplacement de la photo et la qualité de cette photo défraie la chronique et l’agora socio-politique congolaise suscitant un tollé.

Dans ce cadre, la Commission Électorale nationale indépendante (CENI) saisie, a déployé les techniciens par commune en vue de régler ses différents problèmes et d’améliorer le service, assure Jean-Baptiste Itipo, Directeur de communication de la CENI.

« La CENI a déployé une équipe de techniciens qui prend en charge tous les problèmes en vue d’améliorer le service à rendre. Pour l’identification et l’enrôlement des électeurs. Il y a notamment les équipes des informaticiens qui prennent en charge ses différents problèmes par commune », a dit Jean-Baptiste Itipo au cours du journal télévisé de la RTNC.

Concernant la qualité de la carte et de la photo qui l’accompagne, Jean Baptiste Itipo affirme qu’il s’agit d’un problème de compétence des opérateurs de saisie qui n’ajustent pas bien le kit avant de prendre la capture du requérant.

« C’est un problème qui repose beaucoup plus sur la compétence des opérateurs de saisie qui doivent bien ajuster le kit de manière à bien prendre la capture du requérant lorsque le kit n’est pas bien ajusté. Ils doivent attendre jusqu’à ce que le kit lui donne le feu vert pour faire la capture », a-t-il indiqué.

Il a poursuivi en indiquant qu’une carte avec photo mal placée n’est pas valide. Il faut la retourner à l’agent de la CENI et exiger de facto une nouvelle carte qui doit être livrée dans la foulée.

« Une carte comme ça n’est pas valide, on doit la refaire automatiquement. Le problème est que les requérants qui recherchent la petite bête le mettent directement sur les réseaux sociaux il devrait juste retourner la carte et on reprend pour lui », a-t-il ajouté.

Le processus d’identification des électeurs qui est dans sa première phase (10 provinces concernées sur le 26) doit normalement se faire dans un délai de 30 jours selon le chronogramme présenté par la CENI au mois de novembre dernier.

David Mukendi

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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