Dadju taquine Gaz Mawete sur son célibat le weekend

À l’occasion de la journée internationale des célibataires célébrée le 11 novembre, Dadju s’est amusé à taquiner son frère Gaz Mawete sur sa situation amoureuse le weekend.

En effet, lorsque l’artiste congolais Gaz Mawete a répondu à un post de talents2kin sur fêtant cette journée dédiée aux célibataires, Dadju n’a pas manqué de répondre avec humour. « On sait que tu es célibataire que du mardi au jeudi, à partir de vendredi nous connaissons », a-t-il écrit sur les réseaux sociaux.

Une référence amicale au fait que Gaz Mawete ne serait plus tout à fait un cœur à prendre quand arrive le weekend. Bien que célibataire, le chanteur congolais a eu par le passé une relation avec la chanteuse Anita Mwarabu, dont est née un fils.

Il s’agit là d’une pique lancée dans la bonne humeur entre Dadju et Gaz Mawete, qui ont collaboré ensemble sur le titre « Mwasi ya Congo » en 2019.

Les deux artistes affichent une réelle complicité, par-delà les plaisanteries sur leur statut sentimental respectif. Preuve que l’humour reste le meilleur ciment des amitiés artistiques.

mbote/CC



Le Conseil d’administration de la Régie des Voies Aériennes (RVA) que dirige le professeur Tryphon Kin-Kiey Mulumba va examiner lors de sa réunion du 17 novembre, le projet de modernisation et de la réhabilitation de l’aéroport international de N’djili. 

Comme l’indique le communiqué de presse de la RVA SA dont une copie est parvenue ce samedi 11 novembre 2023 à la rédaction de 7SUR7.CD, ce projet évalué à 1,2 milliard de dollars américains a été officiellement remis au PCA Tryphon Kin-Kiey Mulumba par le CEO de I'entreprise turque Milvest, porteuse dudit projet, Turhan Mildon, le vendredi 10 novembre dernier. 

Une Commission de travail a été mise en place, rapporte la même source. Celle-ci va, à son tour déposer un rapport sur ce projet, qui sera examiné lors de la prochaine réunion du Conseil d'Administration.

Signalons par ailleurs que le patron de MILVEST a profité de l’audience lui accordée par le PCA Kin-Kiey Mulumba pour mettre fin aux rumeurs qui annonçaient que ce projet occasionnera la fin de travail de tous les agents de la RVA qui prestent à l’aéroport de N’djili.

Le CEO Turhan Mildon a rassuré que les agents de la RVA continueront à travailler. Il a, en outre, fait savoir que ce contrat est bénéfique pour toutes les parties prenantes.

Jephté Kitsita



Contrairement aux trois précédents cycles électoraux, il y aura des débats contradictoires entre candidats à l'élection présidentielle du 20 décembre 2023. C'est Christian Bosembe, patron du CSAC -Conseil supérieur de l'Audiovisuel et de la Communication- qui a fait cette annonce. Ces débats, qui se dérouleront à la RTNC -Radio télévision nationale congolaise-, seront des moments qui permettront au peuple congolais, souverain primaire, de s'imprégner de l'offre politique de chaque candidat Président de la République, pour que, le moment venu, c'est-à-dire lors des élections, il puisse bien se choisir celui ou celle à qui il va confier la gestion de son pays pendant les cinq prochaines années.

Le président du CSAC -Conseil supérieur de l'Audiovisuel et de la Communication-, Christian Bosembe a annoncé, ce mardi 7 novembre, qu'il y aura les débats contradictoires entre candidats à la présidentielle du 20 décembre.

Christian Bosembe a indiqué que le CSAC va dévoiler officiellement ce vendredi 10 novembre, l'organisation de ces débats.

À en croire le président de cette institution d'appui à la démocratie, les débats auront lieu sur la RTNC, la présence physique de tous les candidats est vivement souhaitée.

Pour rappel, le CSAC a finalement répondu favorablement à la demande des quelques candidats Président de la République, dont Martin Fayulu, qui réclamaient un débat contradictoire pour l'élection présidentielle, afin de permettre au peuple congolais, souverain primaire, de cerner les projets de société de chaque aspirant au fauteuil présidentiel.

Fadi Lendo



Au parti présidentiel, pas question de glissement. Même pas d'une seule seconde. L'UDPS -Union pour la Démocratie et le Progrès social- ne jure que sur la tenue des élections à la date prévue, le 20 décembre prochain. Augustin Kabuya, président ai et secrétaire général de cette formation politique au pouvoir, l'a fait savoir au terme d'un meeting. Il invite même les militants de passer la nuit à la belle étoile, devant le bâtiment abritant la Centrale électorale, au cas où les scrutins n'étaient organisés à la date prévue par le chronogramme électoral.

Le secrétaire général de l'UDPS -Union pour la Démocratie et le Progrès social-, Augustin Kabuya a  demandé  aux  militants de son parti, de ne jamais accepter une quelconque prolongation des élections du 20 décembre prochain.

Au cours d'un meeting qu'il a animé, Augustin Kabuya a déclaré que, dans la mesure où tous les candidats Président de la République ont été acceptés par la CENI et la Cour constitutionnelle, il ne voit pas pourquoi on peut parler d'une prolongation.

" Le 20 décembre, nous irons tous aux urnes pour nous départager. N'acceptons jamais la prolongation", a-t-il exhorté les militants.

Et d'ajouter :
" S'il y a report même d'un jour, nous irons passer nuit à la CENI".

A l'en croire, pendant cette législature, certains se sont réclamés être "Président élu", une raison de plus pour eux de ne pas avoir peur des élections.

Ce dernier a demandé aux militants du parti au pouvoir de  garder  leur  bande, afin de  donner une majorité à Félix Tshisekedi et  un second mandat".
 
Fadi Lendo


Les affrontements entre les FARDC et le M23 sont en cours dans la région de Kilolirwe (territoire de Masisi). Les rebelles ont investi la région la veille, selon les sources d’ACTUALITE.CD. La coalition des miliciens locaux appelés wazalendo est également en contribution au front de Kilolirwe. Les sources de la société civile locale renseignent que les rebelles du M23 tentent de récupérer les entités qu'ils avaient abandonnées suite à la pression des Wazalendo qui les combattent depuis plusieurs semaines.

Le matin de ce jeudi, il a été rapporté l'intervention de l’aviation des FARDC alors que les Wazalendo combattaient au sol. Ces derniers bloquent la récupération, par le M23, de nouvelles localités, dans le but de lancer un assaut sur Sake, à 27 Km de Goma. 

Sur l'axe Bukombo, dans la chefferie de Bwito (territoire de Rutshuru), des affrontements sont signalés, depuis le matin, entre les wazalendo et le M23. Ici, les “miliciens patriotes” veulent bloquer toute avancée du M23 vers le site de la société minière du Kivu (SOMIKIVU) et aller en renfort aux leurs dans le Masisi. 

Cette reprise des affrontements, depuis quelques jours, provoquent de nouveaux déplacements des habitants des groupements de Bambo, Tongo et environs, dans la chefferie de Bwito, territoire de Rutshuru. Ce mercredi, le bilan provisoire de la reprise des hostilités faisait  état d'au moins six morts et plus de 18 blessés, suite aux obus largués par les belligérants. Isaac Kibira, fonctionnaire délégué adjoint du gouverneur dans la chefferie de Bwito lance le cri d'alarme. 

« Les affrontements de ces derniers jours font rage ici à Bwito. Les habitants qui étaient à la paroisse de Bambo et environs, se réfugient en brousse. D'autres prennent la direction de Kibirizi et environs. Nous sommes en pleine saison pluvieuse et la population souffre énormément. Nous craignons que des bombes larguées pèle mêle puissent alourdir le bilan auprès de la population », dit Isaac Kibira, représentant de l’autorité provinciale dans la chefferie de Bwito. 

Jonathan Kombi, à Goma



Un procès aux assises a été ordonné lundi 6 novembre dernier en France contre Roger Lumbala, ancien chef d'un groupe rebelle de République démocratique du Congo, qui sera jugé pour complicité de crimes contre l'humanité commis dans son pays en 2002-2003, a appris mercredi 8 novembre l'AFP de source proche du dossier.

Un juge d'instruction spécialisé du tribunal judiciaire de Paris a ordonné que cet ancien député d'opposition et ancien ministre congolais, arrêté en France fin 2020 et incarcéré depuis, soit également jugé à Paris pour participation à un groupement formé en vue de la préparation caractérisée par un ou plusieurs faits matériels de crimes contre l'humanité, selon l'ordonnance de mise en accusation dont a eu connaissance l'AFP.

Viols, exécutions sommaires, enlèvements, mutilations et cannibalisme

Pendant la deuxième guerre du Congo (1998-2003), Roger Lumbala, ancien député d'opposition aujourd'hui âgé de 65 ans, dirigeait le RCD-N, groupe armé fondé en 1998 qui avait son fief au nord-est du pays. Dans cette région, des chefs de différentes factions rivales, dont le RCD-N, se battaient pour contrôler les richesses naturelles et obtenir une légitimité sur la scène politique nationale. Selon plusieurs rapports des Nations unies, les hommes du RCD-N se sont alors rendus coupables de viols, exécutions sommaires, enlèvements, mutilations et cannibalisme dans l'Ituri, principalement contre les ethnies Nande et Twa (Pygmées).

Roger Lumbala avait réfuté ces accusations dès un premier rapport de l'ONU en 2003. Selon le juge d'instruction, Roger Lumbala a donné «des ordres pour commettre une pratique massive et systématique de tortures ou d'actes inhumains» et fourni «le ravitaillement nécessaire aux auteurs des faits».

Viols, exécutions sommaires, enlèvements, mutilations et cannibalisme

Pendant la deuxième guerre du Congo (1998-2003), Roger Lumbala, ancien député d'opposition aujourd'hui âgé de 65 ans, dirigeait le RCD-N, groupe armé fondé en 1998 qui avait son fief au nord-est du pays. Dans cette région, des chefs de différentes factions rivales, dont le RCD-N, se battaient pour contrôler les richesses naturelles et obtenir une légitimité sur la scène politique nationale. Selon plusieurs rapports des Nations unies, les hommes du RCD-N se sont alors rendus coupables de viols, exécutions sommaires, enlèvements, mutilations et cannibalisme dans l'Ituri, principalement contre les ethnies Nande et Twa (Pygmées).

Roger Lumbala avait réfuté ces accusations dès un premier rapport de l'ONU en 2003. Selon le juge d'instruction, Roger Lumbala a donné «des ordres pour commettre une pratique massive et systématique de tortures ou d'actes inhumains» et fourni «le ravitaillement nécessaire aux auteurs des faits».

Il aurait laissé «les combattants placés sous son autorité commettre ces crimes» et son «absence de réaction» aurait permis «la réitération d'une pratique massive et systématique» d'«exécutions sommaires au préjudice de personnes civiles», de «tortures ou actes inhumains», de «viols constitutifs de tortures», de «vols ou pillages et de réduction en esclavage de plusieurs parties civiles».

Roger Lumbala est notamment accusé d'avoir laissé ses hommes commettre ces atrocités lors de l'opération dite «Effacer le tableau», lancée en octobre 2002 avec son allié, le Mouvement de libération du Congo (MLC) de Jean-Pierre Bemba, visant à détruire d'autres groupes armés, mettre la main sur les richesses naturelles et contrôler un maximum de territoires. En 2014, l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) avait refusé de lui accorder l'asile en raison de soupçons sur sa participation à des violations des droits humains en RDC au début des années 2000, et l'avait signalé à la justice en 2016, déclenchant une enquête pénale.

/CC



Me Jacquemain Shabani, le conseiller principal du chef de l’Etat au collège politique et processus électoral et coordonnateur de sa campagne électorale, a reçu mardi 7 novembre 2023 une délégation des chefs coutumiers venus du Kongo-central, rassurer leur soutien au président Félix Tshisekedi.

Cette rencontre entre Me Jacquemain Shabani et ces chefs coutumiers et chefs de terre s’est déroulée au quartier général de l’équipe de la campagne électorale de Félix Tshisekedi à Gombe.
 
L’objectif de leur déplacement, a expliqué leur porte-parole, était de réitérer le soutien des autorités traditionnelles et coutumières du Kongo central au président Félix-Antoine Tshisekedi, qu’ils appellent affectueusement leur neveu et à qui, ils comptent donner un second mandat pour pouvoir lui permettre de parachever des ouvrages qu’il a initiés à travers tout le pays. 

À la faveur de ce face à face avec le co-coordonnateur de l’équipe de campagne du président de la République, le chef de la délégation, renseigne une dépêche de la cellule de communication de cette équipe, a remis un cahier de charges qui reprend les désidératas des chefs coutumiers du Kongo central.  

« Les chefs coutumiers disent avoir des yeux pour voir et constater que la gratuité de l’enseignement et le programme de développement local, les PDL 145 T est une réalité sur l’ensemble de leur province. Cette volonté manifestée de Félix TSHISEKEDI lui vaut un second mandat insistent-ils avant de l’inviter à faire plus lors de son second mandat pour le bien être de la population », lit-on dans la dépêche. 

La reconnaissance en dignité des grands leaders Bakongo en l’occurrence l’ancien Président Joseph Kasavubu, et le prophète Simon Kimbangu, à en croire cette source, reste marquée dans la mémoire de tout Né Kongo comme une preuve que Félix Tshisekedi est bien celui qui travaille pour restaurer au peuple congolais sa dignité longtemps bafouée par des ennemis de la patrie.

Remerciant ses hôtes pour la confiance et le soutien réitérés au pré Tshisekedi, Me Jacquemain Shabani les a promis de faire part de leur cahier de charges à qui de droit.

Notons que désignés il y a peu à la tête du binôme qui pilote la campagne électorale du candidat Félix Tshisekedi, Me Jacquemain Shabani et madame Acacia Bandubola ont pris leur quartier et sont depuis quelques jours à l’œuvre pour la réélection de l’actuel chef de l’Etat à la présidentielle du 20 décembre prochain.

Jephté Kitsita



C'est un vide juridique qui vient d'être comblé. Car, jusqu'à présent, en RDC -République démocratique du Congo-, faute d'une Loi portant création de l'ordre des héros nationaux, on ne savait pas comment élever un compatriote au rang de héros national, pour les services héroïques rendus à la Nation. Autre Loi votée, c'est celle relative à la création de l'ordre national du Léopard.

Le premier vice-président de l'Assemblée nationale, André Mbata Mangu a réussi, à la séance plénière de ce mardi 7 novembre, à faire voter presqu'à l'unanimité, soit 341 voix sur 346, ses deux propositions de Loi, dont l'une portant création de l'ordre des héros nationaux et l'autre relative à la création de l'ordre national du Léopard. 

La loi portant création de l'ordre des héros nationaux, d'après son auteur, va permettre au Président de la République d'élever au rang des héros nationaux des personnalités historiques comme Kimpavita, Simon Kimbangu et Étienne Tshisekedi.

Il faut noter que feu Président Laurent Désiré Kabila et le défunt Premier ministre Lumumba conservent cette dignité dans l'histoire de la République Démocratique du Congo.

Fadi Lendo

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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