La Ligue de Tennis de Kinshasa (Litekin) a tenu son assemblée générale extraordinaire et élective. C'était au siège du Comité Olympique Congolais (COC) dans la commune de la Gombe.

C'est désormais Arthur Sossongo qui a conduire au destiné de cette ligue. Il a été élu au poste de président. Il était déjà membre dans le comité sortant. Il aura 4 vice-présidents à savoir : Didier Endolo, Noella Mukendi, Berthold Lokale, Pontien Mukundi. Rigaud Mulopo a été élu comme secrétaire provincial adjoint et Christian Katende comme trésorier général. Les postes secrétaire provincial et de trésorier général adjoint ainsi que les membres sont à pourvoir.

Le nouveau comité s'est assigné comme mission de mettre un accent sur la relève où des tournois hebdomadaires seront organisés pour dénicher les talents. Il cherchera également les moyens pour autonomiser les finances de la Ligue qui est en proie à des sérieux soucis sur ce point.

Le nouveau comité se présente de la manière suivante :

Président: Arthur Sossongo

1er VP: Didier Endolo

2ème VP: Noella Mukendi

3ème VP: Berthold Lokale

4ème VP:Pontien Mukundi

Secrétaire Provincial : À pourvoir 

Secrétaire provincial adjoint : Rigaud Mulopo

Trésorier général : Christian Katende

Trésorier général adjoint : À pourvoir

Membres : À pourvoir

Michel TOBO 



Désiré Cashimir Eberande, ministre congolais du numérique, a rappelé la nécessité  pour le pays de disposer des Infrastructures adéquates pour la mise en œuvre du Plan du numérique. C'était au cours d’un briefing organisé, le jeudi 13 avril 2023, par son collègue de la Communication et des médias, Patrick Muyaya.

Il a fait savoir que le ministère du numérique a conclu des partenariats financiers pour réaliser ces infrastructures destinées au stockage des données numériques.

"Il faut disposer des infrastructures. Les investissements dans le numérique, ce sont les investissements rentables. Au ministère du Numérique, nous avons déjà fait valider le projet de la mise en place de Data center national. Nous avons déjà fait des études de faisabilité, il nous ne reste que le budget. Ce genre d’infrastructures ne se négocie pas, ce sont des infrastructures qui coûtent jusqu’à 100 millions USD. Le Gouvernement a levé l’option que s’il ne saura pas financer. il faudrait passer par des partenariats. C’est pourquoi le ministère du Numérique a déjà signé un certain nombre de partenariats avec ceux qui ont accepté de financer avec un montage financier qui permet d’avoir un plan de remboursement de ces investissements", a-t-il expliqué.

Il a également martelé sur la nécessité des moyens pour vulgariser le Code du numérique, « la vulgarisation d’un texte aussi important nécessite des moyens ».

Et de poursuivre : « Nous devrons diversifier les actions de la communication pour sensibiliser la population aux nouvelles innovations qui dérangent par rapport aux principes. Il faudra aussi que les administrations se mettent à jour. Cela amène à actionner dématérialisation de l’administration publique ».

Notons que le Code du numérique a été ratifié par l’Assemblée nationale et promulguée récemment par le Président de la République.

Ce code comprend cinq (5) livres en plus d’un livre préliminaire. Le premier livre pose les règles sur les services des activités du numérique. Le deuxième porte sur les écrits, outils électroniques et prestataires de services de confiance. Le troisième repose sur le contenu numérique, le quatrième concerne la sécurité et la protection pénale des systèmes informatiques. Tandis que le cinquième retrace les dispositions diverses transitoires et finales.

Jordan MAYENIKINI 



Le monde a célébré la quatrième journée mondiale de l’art ce 15 avril. En RDC, le ministère de la culture, arts et patrimoine a choisi de la célébrer en mettant en avant le théâtre et le cinéma. Au centre culturel congolais Le Zoo, un spectacle de contes, lecture-spectacle, poésie, monde, danse, etc. s’est tenu. En plus d’autres activités à travers la capitale et le pays, la ministre de la culture, Catherine Kathungu Furaha, s’est adressée à la communauté culturelle.

Dans son adresse, la ministre a rendu hommage, par le cinéma et le théâtre, à toutes les disciplines artistiques qui éduquent le peuple et diffusent la savante culture congolaise au monde. Le thème choisi était le cinéma et le théâtre au service de l’art pour mettre en lumière l’éducation artistique au service de la société.

« Depuis les années 40 avec le très célèbre Albert Mongita jusqu’à aujourd’hui, l’Art Congolais Classique a quatre-vingts ans d’histoire à valoriser. J’y ajoute les galets du Katanga, l’art rupestre du massif de Lovo au Kongo Central, les dessins des motifs Kuba ou encore les sculptures et masques Chokwe, Pende ou Songye, l’art traditionnel Congolais est bien millénaire », a dit Catherine Kathungu.

Et d’ajouter :

« Ainsi, je lance un appel aux artistes, aux mécènes, aux sponsors, aux producteurs et tout autre amoureux de l’art du secteur privé, de se joindre à moi afin d’installer une grande maison de production musicale, théâtrale et cinématographique. Nous devons travailler, davantage, ensemble, pour la promotion de la Culture, des Arts, dans l’objectif de l’épanouissement de l’homme et investir dans les infrastructures culturelles et la réhabilitation de l’économie culturelle »

Ambassadeurs d’un pays, les artistes représentent, à travers cette journée, un miroir de l’économie et de la vie d’une nation. En RDC, le Président de la République a matérialisé cette idée en octroyant des passeports diplomatiques à certains artistes, dont Koffi Olomidé ou Maître Gims. Voulant ainsi fondé son action internationale sur la base de la culture.

« L’art est dans l’économie du pays et dans la vie sociale un outil de création d’emplois, un outil de l’intégration sociale, un outil de l’amélioration du cadre vital, mais surtout pour notre pays, la RDC, l’art est un vecteur d’éducation, de la cohésion nationale et du vivre ensemble », a ajouté la ministre de la culture.

Pour ce qui est du cinéma congolais, la dernière bonne nouvelle est celle de la sélection du film Agure au festival de Cannes. Il est une coproduction entre la RDC, la Belgique et l’Allemagne. Ce film s’amènera à l’un des plus grands festivals de cinéma du monde avec le drapeau de la RDC.

« La force du cinéma est que c’est un moyen qui permet de communiquer sur un pays, ça voyage, ça va dans plusieurs pays, ça se montre à des millions de personnes. Pour la première fois, on va avoir le drapeau de la RDC qui fera les marches, cela avec un film, c’est énorme », disait Emmanuel Lupia, à ACTUALITÉ.CD

Un autre acteur du secteur cinématographique congolais, Tshoper Kabambi, initiateur du Festival International de Cinéma de Kinshasa a noté que du point de vue du travail de ceux qui évoluent dans le secteur du cinéma, le septième art se porte bien en RDC.

« Le cinéma congolais émerge, il y a des post-productions qui émergent, on a des films qui font le tour du monde. Ça va faire au moins 4 ans que des films congolais sont au festival de Cannes mais pas seulement, aussi dans d’autres festivals. Il y a des formations, il y a de nouveaux cinéastes qui naissent avec des films très intéressants », a-t-il dit.

Emmanuel Kuzamba

 



La ville de Kinshasa va accueillir la 2ème édition du Festival Africain des arts Martiaux (FADAM) prévue du 17 au 24 juin 2023, au stade des martyrs de la Pentecôte.

Cette grande organisation internationale que parraine le chef de l'État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo par l'entremise du ministre des sports et loisirs Claude-François Kabulo Mwana Kabulo, va sans doute marquer l’histoire des arts martiaux en République Démocratique du Congo.

FADAM réunit 5000 athlètes pour 30 disciplines, et 1000 artistes de plus de 60 pays. Il se déroule tous les deux ans, et a pour objectif de promouvoir la diversité des arts martiaux.

Cet événement va compromettre les chances du déroulement du méga concert de l'artiste musicien Ferré Gola programmé, le samedi 24 juin prochain, au stade des martyrs de Kinshasa. Jusque-là, aucune communication n'est faite concernant le report de cette prestation scénique.

Il est à noter que, deux grands acteurs des films d'action, Jackie Chan et Jean-Claude Van Damme prendront part à cette 2ème édition du FADAM.

Makabi Gratis



L'Olympique de Marseille s'est imposé devant Troyes (3-1), dans la soirée de dimanche 16 avril 2023, au stade vélodrome, en match payant pour la 31ème journée de Ligue 1 française .

Titulaire, l'international défenseur central congolais Chancel Mbemba Mangulu a contesté l'intégralité de la rencontre.

Grâce à cette victoire devant son public, l'OM reprend la 2ème place de championnat avec 64 points, derrière le leader le Paris Saint-Germain qui en compte 72.

Mbemba et ses coéquipiers phocéens se déplaceront sur la pelouse de l'Olympique Lyonnais, le dimanche 23 avril prochain. La rencontre est prévue à 19h45, heure de Kinshasa.



La Confédération Africaine de Football a autorisé l’utilisation du stade des Martyrs de Kinshasa pour les prochaines rencontres continentales.

Cette nouvelle a été annoncée ce vendredi 14 avril, par le Ministre des Sports François Kabulo Mwana Kabulo lors d’une interview accordée à l’ACP.

D’après l’Agence Congolaise de Presse (ACP), le nouveau ministre des Sports et Loisirs a reçu cette autorisation de la CAF après sa mission au Caire en Égypte, siège de l’instance faîtière du football africain.

Pour rappel, la CAF avait interdit en février dernier l’organisation des rencontres de haut-niveau au stade des Martyrs suite aux rapports de ses inspecteurs qui faisaient état de la mauvaise gestion sécuritaire, sanitaire ainsi que des infrastructures de cet entre du football congolais qui étaient à désirer

Notons par ailleurs que suite à cette décision de non-homologuer le stade des Martyrs, les clubs tels que DCMP, Lupopo et Vita Club ont dû jouer leurs rencontres des interclubs de la CAF à l’extérieur du pays.

 actuRDC/CC

 

 

 

 

 


En dehors de la carte d’électeur, les Congolais pourront obtenir, dans un futur proche, la carte nationale d’identité.

Lors de la réunion du Conseil des ministres du vendredi 14 avril 2023, le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a annoncé que les préparatifs concernant la réalisation de cet axe du programme gouvernemental vont bon train. 

À partir de mi-2023, note le compte-rendu de cette réunion, les premières cartes nationales d’identité seront délivrées au peuple congolais.

« Le chef du gouvernement a attiré l’attention de tous les intervenants dans le processus de mutualisation des opérations, à savoir : la Commission électorale nationale indépendante (CENI), l’Office national d’identification de la population (ONIP), le Bureau central du recensement (BCR), et l’Institut national de la statistique (INS) de jouer chacun son rôle », rapporte ce compte-rendu.

Signalons qu’à ce jour, seules la carte d’électeur et le passeport font office de la carte nationale d’identité pour les Congolais.

mediascongo.net/CC



Injustement expulsé par l’arbitre tunisien Sadok, lors de la rencontre comptant pour la quatrième journée des éliminatoires de la CAN Cote d’ivoire 2023, Cédric Bakambu pourrait voir son carton rouge retiré sur décision de la CAF dans les prochains jours.

Le match opposant la Mauritanie à la République démocratique du Congo (RDC) le mois dernier a été marqué par un incident controversé impliquant Cédric Bakambu, l’attaquant vedette de l’équipe congolaise. Alors que le joueur tentait de récupérer le ballon, il a été expulsé par l’arbitre tunisien Sadok pour un prétendu geste violent envers le gardien mauritanien. Cependant, les images vidéo ont clairement montré que Bakambu était innocent et qu’il n’avait commis aucune faute.

Suite à cet événement, la Fédération congolaise de football (FECOFA) a déposé une plainte auprès de la Confédération africaine de football (CAF), demandant la révision de la décision de l’arbitre et la levée du carton rouge infligé à Bakambu. La FECOFA a également fourni les preuves vidéo montrant que Bakambu était victime d’une erreur d’arbitrage.

Depuis lors, la CAF a pris en considération la plainte de la FECOFA et a examiné les preuves vidéo. Selon des sources proches de l’instance dirigeante du football africain, il semble de plus en plus probable que la décision de l’arbitre soit annulée et que le carton rouge de Bakambu soit retiré. Une décision officielle de la CAF est attendue dans les prochains jours.

Pour Bakambu, cette nouvelle serait un grand soulagement. L’attaquant de 31 ans, qui évolue actuellement en Grèce pour l’Olympiakos, est l’un des meilleurs buteurs de la RDC et joue un rôle clé dans l’équipe nationale congolaise. Son absence lors des prochains matchs de qualification pour la CAN 2023 aurait été un coup dur pour l’équipe et ses chances de se qualifier pour le tournoi.

Cette affaire met en lumière l’importance de l’arbitrage dans le football. Les erreurs d’arbitrage peuvent avoir des conséquences graves sur les résultats des matchs et sur la carrière des joueurs. Il est essentiel que les instances dirigeantes du football continuent d’améliorer la qualité de l’arbitrage et de prendre en compte les preuves vidéo pour éviter de telles erreurs.

actuRDC/CC

 


La plénière a tablé sur les recommandations du député Prosper Bukasa, interpellateur du DG de la SNEL. 

Elle a décidé par vote à main levée d’approuver trois de quatre recommandations dont la révocation du DG de la SNEL pour « incompétence et manque de vision claire  dans la gestion de l’entreprise».

Par contre, la plénière s’est opposée à la recommandation relative à la reprise des fonctions des directeurs « licenciés abusivement », selon Prosper Bukasa.

La plénière s’est appuyée sur les explications du DG de la SNEL qui a fait comprendre qu’ils sont en congés et que pour ceux qui étaient au cabinet de son prédécesseur, il a décidé de réduire l’effectif.

Les recommandations de l’interpellateur sont:

- Que le gouvernement mette un plan de redressement de la SNEL; 

- Que le gouvernement paie toutes les créances à la SNEL;

- Que tous les directeurs limogés sans respect de la loi soient repris sans délai ;

- Que l’Assemblée opte pour la révocation du DG de la SNEL dans 48 heures 

Selon l’article 198 alinéa 2 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, le bureau va transmettre ces recommandations approuvées aux autorités compétentes.

Berith Yakitenge



L’Union sacrée fait salle comble et des places s’y taillent encore pour tous ceux qui souhaitent rejoindre la famille politique du chef de l’Etat. Certes, l’engouement est réel et les fidèles du régime y prospèrent, même si de plus en plus de kabilistes quadrillent l’équipage du navire. Cependant, tous ceux qui s’affichent sous Béton ne nourrissent pas forcément les mêmes ambitions.

Certains, plus fidèles à Félix Tshisekedi, se concentrent sur le second mandat du président de la République. Ils y accordent une priorité d’énergie, d’actions et de pensée. Une deuxième catégorie s’y niche pour échapper à tout hasard d’insécurité politique qui pourrait les exposer à des poursuites judiciaires. Là où l’IGF fourre son nez partout, fouille dans le passé et alerte sur des dossiers dormants de malversation, mieux vaut se tshisekediser. Le troisième groupe d’adhérents de l’Union sacrée est composé des opportunistes à la quête de moyens de survie facile. Cette dernière famille des tshisekedistes qui forme la plus longue file des signataires de la charte fondatrice de la méga plateforme est composée de ceux-là qui s’y précipitent pour figurer sur le tableau de répartition des paquets de campagne. Puisqu’il y en aura certainement dans quelques semaines, dans quelques mois.

Six patrons, un seul boss

Sept gros poissons règnent en dignitaires incontournables de l’Union sacrée en soutien à Félix Tshisekedi : Bahati, Kabuya, Mboso, Kamerhe, Bemba et Sama. Chacun semble méditer sur sa trajectoire. Des multicolores et des tshisekedistes purs s’y accordent. L’objectif étant de rafler un score électoral insoupçonnable aux élections qui pointent à l’horizon. D’aucuns se demandent toujours comment Félix Tshisekedi gère-t-il les contractions internes, les ambitions divergentes lorsqu’on sait que tous ne partagent pas forcément les mêmes valeurs politiques. Si les présidentiables Kamerhe et Bemba n’ont pas encore dit leur dernier mot, il est illusoire de croire que Modeste Bahati a mis ses ambitions en berne. Il est un cacique imprévisible qui ne compte que sur des déceptions de parcours pour rebondir et tangenter. Une simple incompréhension dans l’ancienne majorité de Kabila avait suffi pour qu’il prenne ses distances. Dans cet aréopage d’initiés politiques, Félix Tshisekedi n’a pas fini de travailler.

Veiller aux dissensions et limiter les dégâts

Peu importe ce qui se raconte autour de sa personne, Augustin Kabuya Tshilumba aura été le seul leader clairvoyant qui a courageusement averti les sociétaires de l’Union sacrée sur d’éventuelles catastrophes du parcours de la plateforme. “Il y aura des problèmes, le plus important sera de les régler en famille”, a-t-il conseillé le jour de la signature de la charte de l’Union sacrée. Car, a-t-il, indiqué, “les problèmes commencent”. Déjà, la composition du présidium n’arrange pas tout le monde. Certains leaders qui voyaient Vital Kamerhe hors-jeu ne digèrent toujours pas son intégration magistrale au gouvernement et au présidium. Il en est de même de Jean-Pierre Bemba Gombo, leader du MLC dont l’élévation a quelque peu refroidi les inconditionnels de Félix Tshisekedi dans le grand Équateur. Même à l’UDPS, toutes les sensibilités n’attendaient pas forcément d’assister à l’actuelle configuration de l’Union sacrée.

Tshisekedi tiendra-t-il intacte la machine jusqu’au scrutin de décembre ?

Tout est possible et rien n’est impossible en politique, dit-on. Tshisekedi s’attend à tout et serait suffisamment préparé à tous les cas de figure. Germain Kambinga du parti “le Centre” a partagé une réflexion de grande profondeur : “Gagner l’élection de 2023, c’est obtenir entre 7 et 8 millions de voix. J’ai toujours dit que celui qui gagnera est celui qui aura la meilleure organisation et le plus grand maillage. Avec Bemba, Kamerhe, Mbusa, les kimbanguistes et la jeune garde qu’il a positionné dans les hautes fonctions, le président a une avance certaine. Si l’opposition n’arrive pas à s’unir et à devenir une machine à gagner, il ne faudra pas s’étonner que le président gagne le doigt dans le nez. Il ne faudra pas tromper le peuple ensuite en criant à la tricherie. Il faut s’organiser ou accepter la défaite à venir”. Une analyse lourde de sens. Cependant, la sortie de l’Union sacrée met la puce à l’oreille de l’opposition dans sa grande diversité.

diaspora/CC

 

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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