Après concertation entre le Président de la République, Félix Tshisekedi et l’équipe de la riposte contre la pandémie de Covid-19, le porte-parole du gouvernement Patrick Muyaya, a dévoilé dans la soirée de ce dimanche 5 décembre 2021, les nouvelles mesures de lutte contre le Coronavirus.

Au-delà de toutes les mesures prises, le Ministre de la santé, le Docteur Jean-Jacques Mbungani, a déclaré que, la vaccination reste le moyen le plus efficace pour lutter contre le Coronavirus en République Démocratique du Congo.

«(…)En toute responsabilité, le gouvernement a pris cette option de réactualiser les mesures, afin de protéger efficacement la population contre la pandémie de Covid-19. Nous appelons la population congolaise à adhérer à la vaccination, car à ce jour, la vaccination reste le seul moyen de barrer la route à cette pandémie qui a tué plus de 6 millions des populations à travers le monde», a-t-il déclaré.

Cet appel du Ministre de la santé, fait suite aux récents rapports de la troisième vague de Covid-19 en RDC. Cependant, Jean-Jacques Mbungani a tenu à préciser quelques statistiques causées par la troisième vague et les mesures barrières y relatives, afin d’inciter la population à la vaccination.

« Nous avons eu trois vagues depuis le début et du fait des contrôles réguliers aux postes frontaliers, nous arrivons à déterminer le nombre des personnes qui sont testées positives. Il faut aussi souligner la prise en charge dans les hôpitaux. Au mois de mai lors de la troisième vague, nous avons eu à notifier 2500 cas par semaine. Nous avions à l’époque une occupation des lits dans les hôpitaux autour de 80% des malades Covid-19. En réanimation nous étions au-delà de 96%», a indiqué le Ministre de la santé.

Et de poursuivre: « avec les mesures qui ont été prises au mois d’août pour diminuer la ccirculation du virus, on s’attendait à la réduction de 5% d’occupation Covid-19 dans les hôpitaux. Actuellement le taux de létalité par rapport à la Covid-19 19 est toujours faible de 1,9% (…)»

Il faut noter que, parmi les nouvelles dispositions prises pour contrecarrer la propagation de la pandémie à Covid-19, le gouvernement de la République a autorisé les Universités et les milieux scolaires à rester ouverts avec le renforcement du strict respect des gestes barrières. Par contre, les églises sont astreintes à réduire le nombre des participants à 50% de leur capacité d’accueil lors des cultes et à respecter les mesures hygiéniques, ainsi que la distanciation sociale.

Bernard MPOYI



La HJ Foundation met gratuitement à la disposition des personnes vivant avec handicap, 500 prothèses. C’était lors du lancement de sa campagne, avec l’accompagnement de « BMVSS Jairpur Foot », le samedi 4 décembre 2021 à Kinshasa au sein de HJ Hospital, qui consiste à prendre en charge la consultation et la fabrication de ces prothèses à cette catégorie de personnes.

Quatre personnes dont trois civils et un militaire bénéficiaires des prothèses, triés dans la foulée, sont passés à tour de rôle pour raconter leur histoire et exprimer leur soulagement quant à cette initiative. Elles ont remercié Harish Jagtani, Président de la HJ Foundation.

« Lors d’un combat, mes jambes ont été atteintes par des balles et je me suis vu amputé. Aujourd’hui, grâce à HJ Foundation, je peux de nouveau marcher et je ne peux que dire : merci », a témoigné un militaire avant d’exécuter quelques pas de danse.

Face à la presse, M. Harish Jagtani a confié que 150 personnes ont déjà bénéficié de ces prothèses dont principalement les militaires. Il a aussi indiqué que cette campagne va se poursuivre dans plusieurs villes du pays dont notamment Goma, Lubumbashi, pour ne citer que celles-là.

Cependant, répondant à une question de la presse, Harish Jagtani n’a pas caché son étonnement quant à la quantité de demande que pouvait générer cette campagne. Pour ce faire, il a promis, au nom de sa Fondation, de faire de son mieux pour redonner le sourire à ces personnes vivant avec handicap en commandant plus de prothèses, y compris pour les gens qui ont des bras amputés.

Hervé Pedro



C’est un programme particulier qui cible directement les populations les plus touchées par les effets du coronavirus à Kinshasa. 25 USD transférés chaque mois directement par mobile money aux personnes dont les ménages ont été durement frappés par les effets induits de la pandémie.

250 000 membres des ménages les plus pauvres et les plus vulnérables de la ville de Kinshasa sont ciblés. Depuis le lancement de ce projet intitulé « Solidarité par Transferts Economiques contre la Pauvreté à Kinshasa (STEP KIN) » financé par la Banque mondiale, en mars 2020, 88 000 personnes ont déjà  bénéficié de la totalité de paiement dans 50 quartiers se trouvant dans 9 communes de la capitale.

Exécuté par le Fonds Social de la RDC, le projet entre dans une nouvelle phase: la mise à l’échelle avec l’enregistrement et le paiement de 200 000 bénéficiaires dont 150 000 avec les partenaires Afrimoney et 50 000 avec Give Directly.

Ce lundi, les représentants de la Banque Mondiale vont rencontrer quelques  bénéficiaires dans la commune de Masina. Ce sera également l’occasion d’expérimenter la technologie utilisée par Give Directly qui assure le paiement de manière instantanée. 

actualite.cd/CC



La dynamique révolutionnaire du FCC décide d’approcher le bureau de l’Assemblée nationale pour des postes à la CENI

La Dynamique progressiste révolutionnaire du Front commun pour le Congo (FCC) s’est réunie samedi 4 décembre à Kinshasa pour examiner le nouvel appel à la candidature lancé par le président de l’Assemblée nationale à l’opposition politique pour les trois postes lui réservée au sein de la commission électorale nationale indépendante (CENI).
 

Selon le porte-parole de la Dynamique progressiste révolutionnaire du FCC, Constant Mutamba, cette décision est motivée par le souci de voir se tenir les élections dans le délai constitutionnel.

« La Dynamique progressiste révolutionnaire du FCC, qui tient à l’organisation des élections démocratiques, transparentes, crédibles et inclusives dans le délai constitutionnel en 2023, estime que l’urgence s’impose désormais pour mettre un terme à l’impasse qui mine le processus de mise en place des animateurs de la CENI, laquelle risque malheureusement de nous conduire droit vers le glissement en 2023, ligne rouge à ne pas franchir », a-t-il expliqué.
 

Dans sa déclaration devant la presse, Constant Mutamba a affirmé que c’est à l’unanimité que les membres de cette dynamique ont pris la résolution d’approcher le bureau de l’Assemblée nationale :

« La Dynamique progressiste révolutionnaire du FCC, décide à l’unanimité d’approcher le bureau de l’assemblée nationale pour s’imprégner des dispositions pratiques de ce nouvel appel à la candidature. La Dynamique progressiste révolutionnaire du FCC, réaffirme sa loyauté et sa fidélité au guide idéologique du FCC, son Excellence Joseph Kabila Kabange, père de la première alternance politique en RDC ».
 

Une autre frange du FCC, dirigé par Raymond Tshibanda, avait déclaré au lendemain de la désignation des membres du bureau de la CENI que le FCC n’y enverrait pas des délégués tant qu’il n’y aura pas consensus sur cette désignation.

radiookapi.net/CC



La Coordinatrice de l’Agence pour la Prévention et la Lutte contre la Traite des Personnes (APLTP), de la Présidence de la République, estime que le vote et la promulgation de la loi portant modification du code pénal et la répression de la traite des personnes est l’un des défis à relever afin que la lutte contre la traite des personnes produise des résultats « profitables à tous ».

C’était lors de la 2ème conférence internationale sur le Tourisme Mémoriel organisé par la Fondation Erick Impion au salon rouge des Affaires Étrangères. Kinshasa du 1 décembre au 3 décembre où la Coordinatrice de l’APLTP a abordé le thème « La traite des personnes en 2021 mythe ou réalité ».

Mme Cécile Rébecca Meta Kasanda a, avant tout, salué l’initiative des organisateurs de ladite conférence celle d’associer l’APLTP à la prise parole.

Dans son exposé, Cécile Rébecca Meta Kassanda a postulé avec des éléments à l’appui de l’existence bel et bien des cas de traite des personnes pour en exclure l’hypothèse d’un mythe.

Tablant directement sur les différents défis à relever pour arriver à des résultats « profitables à tous » en matière de traite en RDC, cette dernière a proposé : « le vote et la promulgation de la loi portant modification du code pénal et la répression de la traite des personnes ; la construction d’au moins cinq centres d’hébergements des victimes de la traite des personnes dans les provinces les plus touchées et dans la ville de Kinshasa ; la sensibilisation d’un grand nombre de personnes sur la traite des personnes ; la dotation des points focaux formés des moyens financiers et des outils de collecte des données de traite en province ».

Toujours parmi les défis, ajoute Cécile Rébeca Meta Kasanda, la formation spécifique des enquêteurs (OPJ et Magistrats du Parquet) des provinces les plus touchées en technique d’enquête et d’investigation en matière de traite des personnes ; le renforcement des capacités des avocats et assistants sociaux dans la prise en charge judiciaire et accompagnement psychosocial des victimes de la traite des personnes; le lancement de la ligne verte pour les victimes et les témoins avec couverture nationale ainsi que la mobilisation des ressources en vue de suppléer à la ligne budgétaire de l’APLTP.

Toutefois la Coordinatrice de cette Agence de la Présidence n’a pas manqué de donner des chiffres obtenus par l’APLTP entre autres dans la campagne « Ensemble dénonçons et combattons la traite des personnes », lancée en 2020 sur toute l’étendue du territoire national et qui a touchée à ce jour à atteint 359 424 personnes dont 184 566 femmes et 174 858 hommes; l’organisation de la formation des acteurs de première ligne sur la traite des personnes (dont 217 personnes réparties par catégorie et province) dans l’objectif de protéger et sécuriser les victimes.

L’APLTP compte, projecte-t-elle, créer en ce mois de décembre, un centre d’appels gratuits pour les victimes et les témoins mais également élaborer une stratégie de communication et de changement de comportement qui sera validé en atelier en ce même mois.

Signalons que l’Agence pour la Prévention et la Lutte contre la Traite des Personnes (APLTP) travaille en collaboration avec d’autres structures de coordination de lutte contre la traite des personnes dans le cadre de la plate-forme des membres de l’ILEA, de la SADC, de la CIRGL et CEAC. Cette plate-forme veille sur la ratification des instruments internationaux des droits de l’homme.

Hervé Pedro



Le Gouvernement vient de rendre public la liste de mesures actualisées pour prévenir contre le nouveau variant « omicron » apparu en Afrique Australe et à la recrudescence de la pandémie dans plusieurs pays du monde.

Ces mesures actualisées et renforcées ont pour objectifs de limiter l’importation de cas infectés, des variants dangereux et d’augmenter la couverture vaccinale dans les populations cibles.

Parmi ces mesures, le gouvernement indique que pour tout accès sur le territoire congolais, le voyageur doit être soumis au test PCR COVID-19 et/ou antigénique rapide réalisé par les services du ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention.

Par ailleurs, pour les voyageurs en provenance des pays à haute circulation de Covid-19, un test RT PCR rapide réalisé aux frontières est strictement obligatoire.

Le gouvernement a également insisté sur le port obligatoire et correct des masques dans tous les espaces publics, notamment les lieux de travail, les écoles, les lieux de culte, les commerces, les banques, les lieux de déroulement des activités sportives, les universités, les hôpitaux, les transports publics, les restaurants, les établissements d’hébergement et tous les édifices publics.

« Il s’agit d’un masque sans ventilation, fabriqué en tissu ou en matière jetable, qui s’ajuste étroitement sur le visage, couvre le nez, la bouche et le menton, destiné à empêcher la contamination par une proximité ou contact entre personnes. Les accessoires en tissu de type: handanas, écharpes au foulards ne peuvent plus être assimilées à des alternatives au masque », précise Patrick Muyaya, porte-parole du gouvernement.

Outre ces mesures, il y a également :

  • Le renforcement des dispositifs de contrôle et de prévention à chaque entrée d’un édifice public impliquant la prise de la température corporelle, le lavage des mains à l’eau et au savon et/ou l’application des gels hydro-alcooliques;
  • Le strict respect de la distanciation physique en tout lieu ;
  • La présentation à la frontière, d’une attestation médicale du test COVID-19 PCR négatif réalisé endéans 72 heures du départ dans le pays d’origine ou de provenance pour tout accès au territoire national,
  • La présentation d’une attestation médicale confirmant le résultat PCR COVID-19 négatif réalisé moins de 72 heures avant le voyage par l’INRB ou dans toute autre formation médicale dûment agréée par le ministre de la Santé publique, Hygiene et Prévention pour toute sortie du territoire national
  • Pour tout déplacement interprovincial, l’obligation au voyageur de détenir une attestation médicale confirmant le résultat PCR COVID-19 négatif établi par l’Institut National de Recherche Biomédicale (INRB) ou par toute autre formation médicale dûment agréée par le Ministre ayant la Santé publique, Hygiène et Prévention dans ses attributions, dans les 72 heures avant le départ. La validité du test en provinces est de 14 jours;
  • La stricte application du couvre-feu de 23H00 à 04H00 du matin est à renforcer.

« Des patrouilles mixtes, de la Police et de la Police militaire, seront régulières et tout contrevenant sera sévèrement puni selon les prescrits de la loi », prévient le porte-parole du gouvernement.

Le variant B.1.1.529 (Omicron) a été signalé pour la première fois à l’OMS en Afrique du Sud le 24 novembre 2021. Au cours des dernières semaines, le nombre d’infections a fortement augmenté, à un moment coïncidant avec la détection du variant B.1.1.529. Les experts estiment que ce variant présente un grand nombre de mutations que le variant Delta.

Selon le drecteur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, Omicron est déjà confirmé dans 23 pays à travers le monde.

Carmel NDEO



Le Tout puissant Mazembe s'est qualifié pour la phase des groupes de la coupe de la confédération-CAF, après avoir réalisé un nul blanc (0-0) dimanche 5 décembre face à Marumo Gallants FC, au Peter Mokaba Stadium de Polokwane.
Les Lushois se qualifient grâce à leur victoire (1-0) du match aller à Lubumbashi.
 
Dans la même compétition, Maniema Union a également réalisé un nul (1-1) face à Pyramids FC au Caire (Egypte). Mais les Unionistes sont éliminés pour avoir perdu au match aller à Kinshasa.
 
Enfin, le Daring Club motema pembe (DCMP) quitte la compétition, malgré sa victoire (1-0) face à l’Union de la Gendarmerie Nationale du Niger au stade des Martyrs de Kinshasa.  
Les imaniens n'ont pas su remonter le score après leur défaite à Niamey (0-2)

radiookapi.net/CC



Le Tout Puissant Mazembe de Lubumbashi a obtenu sa qualification ce dimanche 05 décembre 2021 en Afrique du Sud, au Peter Mokaba stadium de Polokwane. Les corbeaux ont réalisé un nul de zéro but partout face à Marumo Gallants qu'ils avaient battus à Kamalondo sur la note d'un but à zéro la semaine passée en match aller des barrages de la C2 CAF.

En première mi-temps tout comme en deuxième, Mazembe et Marumo Gallants ont tenté d'ouvrir le score sans y arriver. Quelques remplacements intervenus du côté Mazembe, avec l'entrée de Jean Baleke et Rabby Mayombo n'ont pas également permis au club de Kamalondo de prendre le dessus à l'extérieur.

Les corbeaux ont peiné face aux multiples incursions, en toute fin de rencontre des sud-africains avant d'arriver à la qualification. A la 50ème minute, Marumo Gallants va manquer de scorer alors que le portier de Mazembe était battu. Au bout de 90 minutes, le score va demeurer de zéro but partout et Mazembe se qualifie grâce à sa victoire au match aller à Kamalondo gagné par un but à zéro.

José MUKENDI



Elle aurait rêvé de Luambo Makiadi qui lui a demandé de chanter pour le pays et dénoncer la descente aux enfers de son Zaïre. Tshala Mwana a ainsi composé une chanson dans laquelle la reine de Mutuashi a dénoncé certaines pratiques du régime.

Quelques semaines après, c’est le Maréchal Mobutu qui s’est adressé à Mbilia Bel. Le Feu Mobutu, aurait plutôt livré à Mbilia un message d’amour et de soutien au Chef de l’État.

” il m’a dit si le pays ne va pas de l’avant, il ne faut pas s’en prendre au président de la République. C’est plutôt la faute à vous congolais qui ne soutenez pas votre président” a déclaré la star congolaise.

Mbilia Bel affirme que dans son rêve, elle n’a pas reçu que le message du Maréchal Mobutu, mais aussi celui de Tabu Ley et de Luambo Makiadi.

Son maître, Rochereau lui aurait donné un message pour la cohésion entre les artistes musiciens congolais.

Pour les observateurs, c’est donc l’affrontement entre les deux stars féminines de la musique congolaise, une épisode qui marque bien entendu la bipolarisation de la vie politique qui affecte la culture.

Bolangi Ikokota



M. Kaputo Kalubi Alphonse est nommé nouveau Président du Conseil d'administration de la  Société générale des carrières et des mines (Gécamines). Il remplace ainsi Albert Yuma Mulimbi qui occupe ce poste depuis plus d'une décennie. De son côté Mme Kawanda Jeanne Blandine est désormais Directeur général  de la Direction générale des douanes et accises (DGDA). Elle remplace Jean-Baptiste Kabila Kongolo qui assumait l'intérim depuis avril 2020. Ces ordonnances présidentielles ont été lues vendredi 3 décembre 2021 à la Télévision nationale.

Albert Yuma a été confirmé en juin 2020 dans ses fonctions de PCA de la Gécamines lors de l’Assemblée générale ordinaire qui a entériné sa nomination du 29 mai 2019 par l’ordonnance du président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

 

Les personnalités suivantes font également partie du conseil d'administration de l'équipe de Kaputo Kalubi Alphonse :

• Lukama Guy Robert

• Kitenge Kalungu Rubby

• Mpozi Mulumba Tecla

  Muhembo Kitangu Bob

• Madame Kiwewa Malunda Mabonzu Nelly

• Madame Muhema Pahiniye Grâce.

En ce qui concerne la nouvelle cheffe de douanes et assises, elle sera accompagnée de deux directeurs généraux adjoints.

Il s'agit de M. Kabese Bernard qui est en charge de questions techniques et M. Bahuna Jean-Louis en charge de questions financières et administratives.

Auguy Mudiayi et Auguy Mudiayi

A Propos

www.culturecongolaise.com

Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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