C’est au cours du vingt-troisième conseil des ministres qui s’est tenu le vendredi 8 octobre que le ministre de la communication et médias, Patrick Muyaya, a présenté aux membres du gouvernement le projet de la tenue prochaine des états généraux de la communication et médias.

D’après Patrick Muyaya, ce projet a pour but notamment de jeter un regard rétrospectif sur les pratiques de la presse et de la régularisation des médias en République démocratique du Congo, afin de dégager les perspectives d’avenir au moyen d’un dialogue proactif et inclusif entre les parties prenantes.

Au cours de ces assises, il sera question de dégager des propositions des réformes pertinentes touchant au régime juridique des médias en général et de la presse en ligne en particulier, au statut du journaliste, à la dépénalisation des délits de presse qui pourra être précédée par un moratoire dont les modalités d’encadrement fera l’objet d’une concertation entre le Gouvernement et les organisations professionnelles, à la modernisation des médias publics, aux défis de la presse congolaise.

Selon le ministre Patrick Muyaya, ces états généraux de la communication et médias, contribuera à donner un nouvel envol à la presse congolaise et au rayonnement de la démocratie dans un écosystème qui permet le plein exercice de la liberté de la presse

Le Ministre de la Communication et Médias a informé le Gouvernement qu’il procédera incessamment à la mise en place d’un Comité d’organisation, à la convocation des travaux ; et à la mise en place du Comité de suivi des recommandations et conclusions des états généraux de la communication et médias.

Après débat et délibérations, ce dossier a été adopté par les membres du gouvernement.

Placées sous le haut patronage du Président de la République Félix Tshisekedi, ces assises auront pour thématique principale : « les médias congolais : quelles perspectives à l’ère du numérique et des enjeux et défis du développement durable ».

Bernard MPOYI





Gentiny Ngobila était en meeting populaire vendredi 08 octobre à la Place Sainte-Thérèse, dans la commune de Ndjili. A la tête de Kinshasa depuis avril 2019, il a défendu son bilan et a promis la construction des infrastructures. L’une des ses grandes promesses concernent le lieu de ce meeting. 

« Nous devons protéger ce terrain. Ce n’est pas que pour le meeting. Le président de la République avait fait une promesse. Un stade sera érigé ici », a t-il dit.

Il a même un calendrier d’exécution du projet: « Le stade sera construit dès l’année prochaine et sera achevé avant la fin du mandat. Ce terrain est important pour nous ». 

Gentiny Ngobila annonce aussi que des habitations aux alentours de terrain seront détruites.

« Tous ceux-là qui ont construit juste à côté doivent déguerpir. Nous allons casser ces maisons qui ont été construites de façon anarchique ».

Dans un autre registre, il a promis des emplois, des industries et d’autres infrastructures dont un pont qui va relier Kingabwa à Masina. 

Auguy Mudiayi



Les Léopards de la RDC se sont envolés ce vendredi 8 octobre (à 10h10 TU) vers Antananarivo, où ils affronteront les Bareas de Madagascar, le dimanche 10 octobre, lors du match de la quatrième journée-groupe J des éliminatoires de la Coupe du Monde de la FIFA-Qatar 2022.

Selon la FECOFA, vingt-quatre joueurs, les membres du staff technique, les officiels ainsi que quelques journalistes ont pris place à bord de l’avion Ethiopian Airlines, affrété par le gouvernement congolais. L'attérissage est prévu ce même vendredi.

La RDC, qui se relance dans la course pour le second tour de ces éliminatoires, devra encore rééditer l'exploit de jeudi, en s'imposer cette fois-ci chez les Malgaches.

Après 3 journées, le classement du groupe J se présente comme suit :

1. Benin 7 points (+2)
2. RDC 5 points (+2)
3. Tanzanie 4 points
4. Madagascar 0 point (-4). 

 radiookapi.net/CC

Eliminatoires-Mondial 2022 : les Léopards se sont envolés vers Antananarivo



Annoncée le 04 octobre sur toute l’étendue de la RDC, la rentrée scolaire 2021-2022 n’est effective notamment dans les écoles catholiques. Plusieurs enseignants des écoles conventionnées catholiques n’ont pas repris le chemin d’écoles et conditionnent la rentrée par l’accomplissement de différentes promesses faites par le gouvernement.

Pour cette nouvelle année scolaire, les chevaliers de la craie blanche tapent une fois sur la table pour l’amélioration effective de leurs salaires de manière graduelle et autres avantages notamment les soins de santé.

En réaction, l’archevêque de Kinshasa, le Cardinal Fridolin Ambongo estime que l’église catholique n’a aucune part dans cette série de grève. Pour lui, il s’agit d’un conflit entre les employés et leur employeur.

« Ce qui se passe actuellement n’a rien à avoir avec l’église catholique. C’est un conflit de travail entre un employeur, qui est l’État, et ses employés, qui sont les enseignants. Donc, il ne s’agit pas d’un conflit entre l’État Congolais et l’église catholique », a-t-il réagi devant la presse, Jeudi 07 octobre à Kinshasa.

Fridolin Ambongo dénonce cependant des “insultes” à l’endroit de l’église catholique. « Il y en a qui font des mauvaises lectures. Quand on est dans un cas comme celui-là, beaucoup se mettent à insulter l’église catholique, le cardinal, les évêques. Je crois que nous descendons très bas avec cette culture », regrette le cardinal.

Et d’indiquer : « la grève, à moins que l’on me prouve le contraire, est un droit constitutionnel dans notre pays. On ne peut pas intimider quelqu’un parce qu’il fait la grève ».

Par ailleurs, l’archevêque de Kinshasa appelle au dialogue franc entre les grévistes et le Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique en vu de trouver des solutions palliatives.

Serge Sindani



Au cours d’une séance d’échange à bâton rompu avec la presse ce jeudi 07 octobre, le ministre de l’enseignement supérieur et universitaire Muhindo Nzangi accompagné de son collègue de la communication et médias Patrick Muyaya a apporté les éclairages nécessaires sur les grandes réformes amorcées dans son secteur consécutivement aux recommandations des états généraux.

Brossant l’état de lieu de son secteur cinq mois après son arrivée, Muhindo Nzangi renseigne avoir “circuler dans la moitié du pays pour se rendre compte de comment fonctionnent les universités et établissements supérieurs du pays.

Le constat qui se dégage est qu’il y a inadéquation entre la formation dispensée et les demandes du pays. Ainsi, 80% de ces formations sont orientées vers les sciences humaines et seulement 20% pour les sciences techniques”

Et d’ajouter, “grâce aux Etats généraux organisés il y a trois semaines à Lubumbashi dans la province du Haut-Katanga, les participants ont formulés 329 recommandations regroupées en 8 thématiques” parmi lesquelles, il cite :

La loi cadre de l’éducation nationale qui a épinglé les grandes reformes à opérer dont l’arrimage au système de LMD (Licence, Master et Doctorat) dès l’année académique prochaine.

Dans ce premier point, il est aussi question de faire un diagnostic sans complaisance du secteur, établir une cartographie de l’ESU avec à la clef le constat unanime de l’invisibilité de plusieurs établissements.

Le patron de l’ESU a aussi insisté sur l’accent particulier qui doit être mis sur les métiers. “Au Katanga par exemple, une province à vocation minière, on n’y trouve pas d’écoles qui forment sur les metiers de mines. Mon souhait est qu’on forme des jeunes gens sur base de référentiel, c’est donc l’une de grandes réformes à entreprendre pendant mon mandat” à t-il dit à la presse.

Avant de préciser que la viabilisation des établissements est une priorité majeure surgit en ce qui concerne les facultés techniques et sanitaires comme la médecine et la pharmacie. C’est ce qui l’a poussé à procéder à l’assainissement des établissements. Avec comme conséquence “la fermeture de certaines facultés de médecine”. A ce sujet, le ministre indique que des solutions sont envisagées pour les étudiants dont les facultés s’inscrivent dans la logique des établissements intermédiaires. ”Les étudiants seront réorientés vers les établissements viables, les établissements intermédiaires seront placés sous la tutelle d’un autre juge viable”.

Numérisation de la gestion de ressources de patrimoines des universités. A ce niveau, il est question de mettre en œuvre le plan du numérique déjà adopté. “Bientôt, nous allons faire un tour dans les universités pour passer à la numérisation du nombre d’étudiants, du personnel administratif, des enseignants et tous les services qui vont avec telles que des bibliothèques numériques” a indiqué le ministre volontariste.

La promotion de valeurs.
Sur ce point précis, l’idée est de lutter contre les anti valeurs. “Il s’est installé depuis un temps de pratiques non désirables dans les universités. Des actes d’anti valeurs tels que le phénomène de points sexuellement transmissibles, vente des syllabus”.

Les états généraux ont constaté que plusieurs “infrastructures datent encore de l’époque coloniale alors que le nombre d’étudiants ne cesse d’augmenter. À travers les 20 dollars payés régulièrement par les étudiants chaque année, nous allons réhabiliter les établissements” renseigne le ministre et d’insister “il faut que cet argent serve réellement au renouvellement des infrastructures universitaires”.

Pour ce qui est des enseignants, “nous ne pouvons pas exiger la qualité de l’enseignement sans que le gouvernement ne puisse fournir d’effort” a plaidé le ministre. Ainsi ils se sont mis au travail pour l’amelioration de conditions salariales des enseignants qui demeure “une priorité” pour Mohindo Nzangi.

Au chapitre des annonces, il sied de noter que “pour ce mois d’octobre, 393 nouveaux docteurs vont être payés pour ce mois et 276 restants les seront au mois de novembre” a annoncé le ministre.

Par ailleurs il a indiqué que pour décourager l’affluence dans les facultés de droit, médecine, sciences politiques et autres, “une hausse des frais dans ces facultés est envisagée. Alors que des bourses seront disponibilités pour les facultés des métiers”. En outre, une école de mines verra le jour à l’Université de Kolwezi. La relève académique était aussi évoquée, une plaidoirie sera menée au niveau du gouvernement pour assurer un rajeunissement du corps enseignant.

Concernant la contribution de 15 et 20.000$ reçu par pour l’organisation des états généraux de l’enseignement supérieur et Universitaire, la ministre précise que “ces assises ont concernés tous les acteurs du secteur, et chacun à son niveau était appelé à contribuer d’une manière ou d’une autre, bien que le gouvernement a débloqué l’argent en retard, certains fonds sont aussi venus des partenaires comme l’UNESCO”.

Stéphie MUKINZI



Le prix Nobel de littérature 2021 a été attribué au romancier tanzanien Abdulrazak Gurnah, a annoncé l’Académie suédoise, jeudi 7 octobre. L’auteur, connu notamment pour son roman Paradise (1994), a été récompensé pour sa narration « empathique et sans compromis des effets du colonialisme et du destin des réfugiés pris entre les cultures et les continents », selon le jury. Son œuvre s’éloigne des « descriptions stéréotypiques et ouvre notre regard à une Afrique de l’Est diverse culturellement qui est mal connue dans de nombreuses parties du monde », a expliqué le jury.

Ce prix est une surprise et de nombreux critiques et éditeurs ont confessé qu’ils ne connaissaient pas l’écrivain, absent de la liste des pronostics, même comme simple outsider. Son propre éditeur en Suède, Henrik Celander, a expliqué à la presse suédoise qu’il n’aurait jamais imaginé qu’il décroche le Graal littéraire. Quand l’Académie suédoise a appelé, « j’ai cru à une blague », a même confié Abdulrazak Gurnah.

Né en 1948 sur l’île de Zanzibar, Abdulrazak Gurnah est arrivé au Royaume-Uni en tant que réfugié à la fin des années 1960. Il est l’auteur de dix romans, dont Près de la mer (2001), et de nouvelles. Il vit à Brighton et enseigne à l’université du Kent.

Les réfugiés d’Afrique « ne viennent pas les mains vides »

Abdulrazak Gurnah a appelé l’Europe à voir l’arrivée des réfugiés venus d’Afrique comme une richesse. « Beaucoup de ces gens qui viennent, viennent par nécessité, et aussi franchement parce qu’ils ont quelque chose à donner. Ils ne viennent pas les mains vides », a affirmé l’écrivain dans une interview à la Fondation Nobel, appelant à changer de regard sur « des gens talentueux et pleins d’énergie ».

Jusqu’à sa récente retraite, il était professeur de littérature anglaise et postcoloniale à l’université du Kent, à Canterbury, où il était un fin connaisseur de l’œuvre du Nobel de littérature nigérian Wole Soyinka et du Kényan Ngugi wa Thiong’o, qui figurait parmi les favoris pour le Nobel cette année. Il est le premier auteur noir africain à recevoir la plus prestigieuse des récompenses littéraires depuis Soyinka, en 1986. L’an passé, c’est la poétesse américaine Louise Glück qui avait été sacrée pour son œuvre « à la beauté austère ».

La Tanzanie a aussitôt salué cette distinction. « Vous avez sans aucun doute rendu justice à votre profession, votre victoire est celle de la Tanzanie et de l’Afrique », a déclaré sur Twitter le porte-parole du gouvernement, à l’adresse du natif de Zanzibar, cet archipel situé au large des côtes tanzaniennes.

Parmi les 118 lauréats en littérature depuis la création des prix, 95, soit plus de 80 % sont des Européens ou des Nord-Américains – la France, à elle seule, s’est vu décerner 13 % des prix. Ils sont 102 hommes au palmarès pour 16 femmes. Depuis 2012 et le Chinois Mo Yan – et jusqu’à Abdulrazak Gurnah –, seuls des Européens ou des Nord-Américains avaient été sacrés, et l’audace s’était plutôt manifestée dans l’éclectisme du genre – comme Bob Dylan en 2016. C’est la deuxième fois en trente-cinq ans qu’un auteur noir africain reçoit le prix Nobel de littérature après le Nigérian Wole Soyinka en 1986.

Les dix précédents lauréats du prix Nobel de littérature

  • 2020 : Louise Glück (Etats-Unis)
  • 2019 : Peter Handke (Autriche)
  • 2018 : Olga Tokarczuk (Pologne)
  • 2017 : Kazuo Ishiguro (Royaume-Uni)
  • 2016 : Bob Dylan (Etats-Unis)
  • 2015 : Svetlana Alexievitch (Biélorussie)
  • 2014 : Patrick Modiano (France)
  • 2013 : Alice Munro (Canada)
  • 2012 : Mo Yan (Chine)
  • 2011 : Tomas Tranströmer (Suède)

Le Monde avec AFP

 


En battant jeudi 7 octobre au stade des martyrs de Kinshasa les Barea du Madagascar (2-0), les Léopards de la RDC se relancent dans la course pour la qualification au mondial Qatari 2022 dans la zone Afrique, après deux sorties soldées par des matchs nuls.

Les fauves Congolais qui menaient à la pause grâce à Chadrac Akolo ont contenu les assauts des malgaches jusqu’à la pause.

Après les citrons, les Léopards de la RDC ont poussé et obtenu le deuxième but grâce au penalty transformé par Dieumerci Mbokani. La RDC enregistre sa première victoire en cette phase éliminatoire. Les Léopards se relancent dans ce groupe et ce, en présence du chef de l'Etat, Félix Tshisekedi.

Le Madagascar pour sa part a essuyé sa troisième défaite de suite. Éric Rabesandratana qui a pris la tête de la sélection malgache cherchera à grappiller ses premiers points le 10 octobre prochain lors du match retour à Antananarivo.

En attendant cette 4e journée, le classement se présente comme suit :

1. Benin 7 points (+2)
2. RDC 5 points (+2)
3. Tanzanie 4 points
4. Madagascar 0 point (-4)

 Ali Kalonga (avec radiookapi.net)



Le gouverneur de la ville de Kinshasa Gentiny Ngobila Mbaka sera en meeting populaire ce vendredi à partir de 13h dans la capitale de la République démocratique du Congo. 

L'information a été confirmée ce mercredi 6 octobre 2021 à 7SUR7.CD par la cellule de communication de l'Hôtel de ville de Kinshasa. 

À en croire la même source, le premier citoyen de la ville tiendra son meeting populaire au terrain Sainte Thérèse situé dans la commune de N'djili, en plein district de la Tshangu, un des coins chauds de la capitale. 

Dans le cadre des préparatifs de cette manifestation, l'autorité urbaine appelle ses administrés à y prendre part massivement. 

"Les habitants de la Tshangu, venez nombreux. Ça sera chaud", lit-on dans une affiche du gouverneur qui annonce ce meeting populaire. 

Il sied de souligner par ailleurs que le meeting de Gentiny Ngobila Mbaka, annoncé comme un moment d'échanges avec ses administrés, interviendra un jour avant celui de la coalition de l'opposition LAMUKA, dans la même commune et au même endroit.

Pour leur part, Martin Fayulu et Adolphe Muzito avaient appelé à l'organisation de ce meeting populaire, notamment pour s'opposer à la politisation de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) et à tout glissement en 2023.

Jephté Kitsita



Durant la période allant du 1er juin 2020 au 31 mai 2021, le Bureau Conjoint des Nations-Unies pour les Droits de l’Homme (BCNUDH) a notifié une diminution de 23% des violations des droits de l’homme en RDC. Le BCNUDH l’affirme dans son rapport publié ce mardi 5 octobre à l’occasion du dialogue renforcé sur la situation des droits de l’homme en République démocratique du Congo qui a eu lieu au Conseil des droits de l’homme à Genève.

« Durant la période considérée, le Bureau conjoint a observé une diminution de l’ordre de 23% des violations des droits de l’homme et des atteintes à ces droits liées à l’espace démocratique (664 par rapport à 857 pour la période précédente), ce qui confirme la tendance notée depuis février 2019. Les violations et atteintes documentées ont principalement eu lieu dans les provinces du Nord-Kivu, de Tanganyika, du Kasaï, du Haut-Katanga et du Sud-Kivu, dans un contexte marqué par des tensions au sein de la coalition au pouvoir, des discours de haine de la part de membres de partis politiques, de la société civile et de dirigeants communautaires, et des restrictions aux libertés fondamentales imposées par les autorités provinciales », a dit le BCNUDH dans son rapport.

Le BCNUDH affirme que certaines de ces violations ont été commises dans le cadre de l’application des mesures visant à empêcher la propagation de la COVID-19, y compris celles mises en place dans le cadre de l’état d’urgence décrété entre le 24 mars et le 21 juillet 2020, qui, dans certains cas, a été utilisé comme prétexte pour restreindre l’exercice des libertés fondamentales de manière injustifiée.

« Les acteurs étatiques sont responsables de 84% des violations des droits de l’homme en lien avec l’espace démocratique, par rapport à 16% pour les groupes armés. Les violations les plus documentées concernent les droits à la liberté et à la sécurité de la personne, à la liberté d’opinion et d’expression, à l’intégrité physique et à la vie », a ajouté le BCNUDH dans son rapport.

La majorité des 584 victimes de ces violations et atteintes, d’après le BCNUDH, sont des membres d’organisations de la société civile (255), les autres étant des personnes sans affiliation politique ou associative connue (169), des sympathisants de partis politiques (88) et des professionnels des médias (72).

Thérèse Ntumba

 

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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