Journaliste à la RTNC depuis plus de deux décennies, François Kabulo Mwana Kabulo a été nommé au poste de ministre des Sports et loirs de la RDC. L’annonce a été faite jeudi 23 mars, tard dans la nuit, sur la RTNC.

M. Kabulo, journaliste chevronné et président de l’Association des journalistes sportifs de la RDC, animait jusque-là « Sport dimanche » à la chaîne nationale et été commentateur de matchs de la RDC. Il remplace à ce poste Serge Nkonde qui occupait la fonction depuis avril 2021.

FootRDC/CC



Lors de l’actualisation de la liste d’arbitres internationaux de la RDC par la Fédération internationale de football association (FIFA) en janvier dernier, Nzigire Zihindula Rachel (originaire de Goma) a fait son  entrée dans cet univers essentiellement occupé par les hommes. Dans cet entretien accordé au desk femme d'Actualité.cd, elle partage ses ambitions à moyen et long terme.

Bonjour Madame Zihindula. Pouvez-vous nous parler de votre parcours dans le domaine du football ?

Rachel Zihindula : Aussi loin que je puisse remonter dans mon histoire, je peux affirmer que j'ai toujours eu une passion pour le football. A l’école primaire, ma sœur jouait au foot. J’appréciais son talent sur terrain. Plus tard, j’ai intégré les équipes de football au niveau de l’école, puis dans les clubs et ce pendant deux saisons. En 2015, j’ai décidé de prendre une formation arbitrale. J’ai été formée par des instructeurs de Goma. En 2016, j’ai intégré l’équipe des stagiaires, j’apprenais les règles du jeu. Deux ans plus tard, il m’a été confié d’officier un match (un championnat local de première division). C’est à ce moment-là que toute ma carrière a débuté. J’ai joué à la Coupe du Congo en 2022 jusqu’en finale. J’ai été désignée comme arbitre protocolaire (AP). La Linafoot a commencé et j’ai participé comme quatrième arbitre, j’ai officié des grands matchs.  En moyenne, j'ai arbitré cinq matchs pour la Linafoot et tout s’est bien passé. 

Qu’est-ce qui vous a motivé à intégrer ce secteur à prédominance masculine ? 

Rachel Zihindula : j’ai rencontré dans mon parcours des femmes qui évoluaient dans le domaine du football. A la télévision également, je voyais des femmes qui arbitraient des matchs de façon extraordinaire. Tout cela m’a encouragé à me lancer. Je me disais que si elles ont réussi dans ce secteur, il n'y avait aucune pour que je ne puisse pas me lancer. En plus, il n’y avait pas de règles du jeu différentes en RDC. Nous appliquons les mêmes règles qu'au niveau mondial. C’est également ce qui m’a fortifié et encouragé à intégrer ce secteur. 

 

Vous avez arbitré des grandes compétitions, notamment la Linafoot ou la Coupe du Congo de football féminin 13e édition en 2022. Quels sont les éléments qui vous caractérisent sur le terrain ? 

Rachel Zihindula : je ne suis pas plus spéciale que les autres. Je pense que le respect des règles du jeu est notre meilleure arme. L’assurance, la confiance en soi est l’un des éléments qui me caractérisent également. Aussi, un bon arbitre doit être physiquement fort, c’est-à-dire qu’il faut être près des actions, être apte à prendre les bonnes décisions. Dans mon caractère, on peut aussi retrouver ces éléments. 

Au mois janvier, vous avez été classée parmi les arbitres internationales congolaises, reconnues par la FIFA. Comment avez-vous accueilli cette nouvelle ? 

Rachel Zihindula : c’est une nouvelle qui m’a beaucoup surprise. Je ne m’y attendais pas du tout. J’ai été très contente, j’ai reçu la nouvelle avec une grande joie. Je me dis que j’ai évolué dans le domaine du football et qu’à ce niveau, je ne pouvais plus rien prendre à la légère. C’est une reconnaissance et une responsabilité que je dois défendre. 

Comment vous voyez-vous dans les 10 prochaines années ? 

Rachel Zihindula : je me vois en train d’officier des championnats de haut niveau comme la champions Leagues, la CAN,  la CHAN et même la Coupe du Monde. J’y travaille et j’y arriverai. 

Avez-vous des personnes qui vous inspirent dans le monde de l’arbitrage ? 

Rachel Zihindula : Stéphanie Frappart (39 ans, arbitre internationale du football française) et Salima Radhia Mukansanga (34 ans, arbitre rwandaise, première femme à arbitrer en Coupe d’Afrique des nations, la première femme arbitre africaine désignée pour officier un Mondial en 2022), Jean-Jacques Ndala et Olivier Safari (arbitres congolais). Leurs prestations m’inspirent énormément. 

Vous est-il déjà arrivé d’être confrontée aux stéréotypes, préjugés qui entourent les femmes évoluant dans  le domaine des sports ? 

Rachel Zihindula : nous sommes sur un continent où bon nombre de femmes qui évoluent dans le domaine des sports ne sont pas prises en considération. Ceci induit le fait que la plupart des femmes ne sauront pas s’épanouir, ni viser plus haut. Durant toutes ces années, je me suis forgée un caractère basé sur : la discipline, la concentration sur mon travail et mes objectifs, l'humilité et le respect des règles. Sur terrain, le respect et l’application des règles me font respecter.  Je vois de plus en plus de femmes intégrer le secteur sportif, et j’en suis heureuse. La passion pour mon travail d’arbitre est aussi une grande motivation. Ma famille, mon Dieu me soutiennent dans ce métier. 

Le corps des arbitres congolais a perdu le 03 janvier, Marie-Angès Makengi, première dame arbitre en RDC. Au-delà de mettre en lumière les femmes qui évoluent dans ce secteur, que devrait faire le ministère des sports ? 

Rachel Zihindula : c’est une dame qui a ouvert la voie à d’autres femmes dans le milieu des arbitres. Elle était forte et a donné toute son énergie pour son métier. Malheureusement, force est de constater que la RDC n’honore pas les femmes qui évoluent dans le domaine des sports. Madame Marie-Angès Makengi a fait la fierté de ce pays et le ministère des sports devait honorer sa mémoire. Il y a des arbitres qui travaillent durement, s'entraînent au moins cinq jours par semaine, mais lors des séminaires, ils ne seront pas invités ou ne pourront pas y prendre part faute de moyens (transports et autres).  Je proposerais au ministère des sports de récompenser le métier de cette première arbitre congolaise en octroyant un soutien à sa famille (financier ou matériel). La RDC a des talents et il faut que le ministère les repère et les soutienne. C’est également un plaidoyer que je lance au ministère. 

Un dernier mot ?

Rachel Zihindula : je remercie la FIFA, la FECOFA, mes instructeurs, mes formateurs nationaux et internationaux, mes managers. Même au niveau de la province, nous ne bénéficions pas du soutien du ministère provincial des sports. 

Prisca Lokale

 
 


Le capitaine de l'équipe nationale de la RDC, Marcel Tisserand qui évolue présentement à Ettifaq en Arabie Saoudite, a fustigé le traitement lui réservé par la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA) et le sélectionneur Sébastien Desabre, après sa non-convocation pour les matchs des 3e et 4e journées des éliminatoires de la CAN.

Au micro de nos confrères de Canal+, le défenseur international congolais parle d'un manque de respect à son égard, en tant que capitaine de la sélection.

"Ne pas être sélectionné est un fait, ça part d'un point de vue, comme on dit : c'est le choix du sélectionneur. Aujourd'hui, ni le sélectionneur ni la fédération n'ont pris la peine de me téléphoner, sachant que ça fait 10 ans que je suis là. Je trouve ça inadmissible, pour moi c'est un manque de respect", a-t-il dit.

Toutefois, il souhaite tous les bonheurs à l'équipe et à ses coéquipiers et espère qu'ils vont gagner.

Cependant, en conférence de presse d'avant match ce jeudi à Lubumbashi, le sélectionneur Sébastien Desabre a évoqué plusieurs sujets notamment l'état d'esprit de son groupe et pense avoir bien préparé son match, car son objectif c'est prendre des points dans cette double confrontation, et ça commence par la rencontre de ce vendredi.

À la question du cas de Marcel Tisserand, Desabre estime que c'est un choix "purement" sportif et promet de parler au capitaine pour ce manque d'attention.

De son côté, Chancel Mbemba un des cadres de la sélection dit être concentré pour ce match qu'il qualifie de finale. Il précise aussi qu'ensemble avec les autres, ils se sont parlés pour offrir à la RDC cette victoire.

"Nous allons nous battre très dur, nous allons au front et ce match est pour nous la finale. Nous allons tout donner selon les plans du coach bien-sûr afin de pouvoir gagner, c'est important, on est obligé", a-t-il déclaré.

Pour rappel, les Léopards reçoivent les mourabitounes de la Mauritanie vendredi 24 mars à Lubumbashi pour le compte de la 3e journée des éliminatoires CAN Côte d'Ivoire 2023. Le match retour est prévu dans 4 jours en déplacement.

Gede Luiz Kupa



Le président de la chambre de jugement de la FIFA a décidé, le 20 mars, d’infliger à Jonathan Bukabakwa, ancien entraîneur de jeunes dans des clubs des régions de Lipopo et Malebo, membres de l’Entente urbaine de football de Kinshasa (EUFKIN-Lipopo et EUFKIN-Malebo), une interdiction provisoire d’exercer toute activité relative au football (aux niveaux national et international) pour une durée de cinq mois, sur la base de l’article 86 du Code d’éthique. C’était à la suite de la demande de la chambre d’instruction de la FIFA.

 La décision a été notifiée à M. Bukabakwa ce mercredi 22 mars, date à laquelle la suspension est entrée en vigueur.

Rappel des faits

Au début du mois de novembre 2022, de graves accusations concernant des violences sexuelles à l’encontre de mineurs au sein de la Fédération congolaise de football association (FECOFA) ont été relayées par de nombreux médias. Plusieurs entraîneurs de différentes ligues et régions de la RDC ont été accusés d’avoir abusé de mineurs.

En conséquence, la chambre d’instruction de la Commission d’éthique indépendante de la FIFA a ouvert une enquête préliminaire à l’encontre de plusieurs entraîneurs de RD Congo, notamment M. Jonathan Bukabakwa, ancien entraîneur de jeunes dans des clubs des régions de Lipopo et Malebo, membres de l’Entente urbaine de football de Kinshasa (EUFKIN-Lipopo et EUFKIN-Malebo).

Le 16 février 2023, sur la base des informations et de la documentation obtenues au cours de la phase préliminaire de l’enquête, la chambre d’instruction a déterminé qu’il existait un cas prima facie en vertu de l’article 62, alinéa 1 du Code d’éthique de la FIFA. Elle a donc décidé d’ouvrir une enquête officielle à l’encontre de M. Bukabakwa pour de possibles violations de l’article 24 dudit Code d’éthique.

La chambre d’instruction a également demandé à la chambre de jugement de la Commission d’Éthique indépendante d’imposer des sanctions provisoires à M. Bukabakwa conformément à l’article 86, alinéa 1 du Code d’éthique.

radiookapi.net/CC



Après deux journées disputées en 2022, aucune équipe n’est qualifiée ni éliminée pour la CAN 2024. Mais après ces troisième et quatrième journées qui se déroulent du 22 au 28 mars, certaines formations pourraient déjà poser un pied en Côte d’Ivoire. Ou s’en éloigner définitivement.

Deux journées en une semaine et des verdicts qui pourraient tomber à la fin des actes 3 et 4 des éliminatoires de la CAN 2023. Des qualifications déjà en poche ou des éliminations dès la fin de la quatrième journée ? En tout cas, pas moins de cinq équipes, victorieuses lors des deux premières journées, peuvent espérer se rapprocher d’Abidjan en cas de carton plein.

Le Nigeria, le Sénégal, le Burkina, le Mali et l’Algérie sont en effet bien lancés dans la qualification, mais de sérieuses doubles confrontations les attendent. Le Sénégal va notamment se déplacer au Mozambique, 2e de la poule L avec quatre points, au moment où le Mali va avoir fort à faire avec la Gambie dans le groupe G. Le Nigeria aura tout à craindre de la Guinée-Bissau (groupe A), tout comme l’Algérie, du Niger, auteur de deux matches nuls en deux journées (poule F). Le Burkina, lui, sera très attendu par le Togo qui n’a qu’un seul point au compteur.

La RDC en grand danger

Mais les regards seront plus tournés vers la RDC qui est déjà sous haute pression dans le groupe I. Les Congolais ont perdu leurs deux premiers matches des éliminatoires face au Gabon (0-1) et au Soudan (1-2). Ils vont croiser maintenant la Mauritanie (leader du groupe avec quatre points) dans une double confrontation qui s’annonce décisive. Déjà absente de la dernière CAN camerounaise, les Congolais ont quasiment grillé leurs jokers et doivent au moins prendre quatre points lors des deux matches. Le Français Sébastien Desabre, qui a pris la tête des Léopards en aout dernier, va devoir vite viser l’exploit.

L’Égypte de Mohamed Salah devra aussi se remobiliser. L’équipe finaliste de la dernière CAN est dernière de sa poule après une victoire et une défaite. Mais rien d’alarmant pour l’instant pour les Pharaons puisque tous leurs adversaires ont le même bilan dans ce groupe D. Les doubles confrontations Malawi-Égypte et Guinée-Éthiopie vont certainement rabattre les cartes. Ou figer les positions…
 
RFI/CC
 


Joueur de l’Olympique de Marseille entre janvier et septembre 2022, Cédric Bakambu n’est pas parvenu à s’imposer sur la Canebière et il a rejoint l’Olympiakos à l'automne au terme d’un passage express au Stade Vélodrome.

Après des débuts encourageants à l’OM (4 buts en 12 apparitions en Ligue 1 en 2021/2022), l’international congolais est progressivement rentré dans le rang. A l'issue de son départ, il avait réglé ses comptes en accusant le président Pablo Longoria de l’avoir plus que poussé vers la sortie en demandant par exemple à Igor Tudor de le faire jouer comme latéral à l’entraînement. Cette fois, l’ancien Sochalien a fait preuve de plus de diplomatie au moment de revenir sur son expérience phocéenne lundi soir dans l’émission Talents d’Afrique.

Un départ sans regrets

«Ce qui n'a pas marché à l'Olympique de Marseille ? Je pense que c'était le timing. Quand je suis arrivé à l'OM, je ne suis pas forcément au top de ma forme. L'Olympique de Marseille c'est un gros club, il n'y a pas forcément de temps d'adaptation, il faut répondre présent directement, et voilà…», a d’abord expliqué le natif d’Ivry. «Après il y a un gros mercato estival, donc il a fallu prendre des décisions. J'ai échangé avec la direction et je pense que c'était plus préférable que je m'en aille. Et aujourd'hui, je suis content parce que j'ai retrouvé des sensations du temps de jeu, chose peut-être que j'aurai mis plus de temps à atteindre à l'Olympique de Marseille, et peut-être que je n'aurai jamais atteint tout court. Donc il n’y a pas de regrets vraiment… Aujourd'hui, tout le monde est gagnant. Ça se passe bien pour moi, ça se passe bien également pour l'Olympique de Marseille donc, je suis content.»

Meilleur buteur du championnat grec (13 buts) et de retour en sélection pour la double confrontation décisive contre la Mauritanie dans les éliminatoires de la CAN 2023, le Léopard connaît effectivement une période faste.

afrik foot/CC



Seize de 29 Léopards sélectionnés ont posé, depuis ce lundi 20 mars, leurs valises à Lubumbashi, dans le cadre du match contre les Mourabitounes de la Mauritanie.

Cette rencontre de la 3e journée des éliminatoires de la CAN 2023 se joue au stade de Kamalondo.

Selon la FECOFA, les joueurs ayant signalé leur présence sont :

  1. Mukoko Amale
  2. Arsène Zola
  3. Gaetan Laura
  4. Silas Katompa
  5. Aldo Kalulu
  6. William Balikwisha.
  7. Jackson Muleka
  8. Gael Kakuta
  9. Glodi Lilepo
  10. Merveille Bope
  11. Samuel Moutoussamy
  12. Yoane Wissa
  13. Artur Masuaku
  14. Lionel Mpasi
  15. Jordan Ikoko
  16. Aarron Tshibola

Après leurs matches de championnat, respectivement en Grèce et en France dimanche dernier, Cédric Bakambu et Chancel Mbemba sont attendus ce soir.

Fiston Mayele devraient arriver dans la journée alors que le reste du groupe doit atterrir au plus tard mardi.

Seul joueur local sur la liste, Siadi Baggio revient également ce lundi au pays après le match de Mazembe face à Real Bamako, comptant pour la 5e journée de la phase de groupe de la Coupe de la Confédération de la CAF. Alors que les doutes planent encore autour Pelly Ruddock et Joris Kayembe.

Les Léopards, zéro point en deux sorties, sont obligés de gagner la Mauritanie pour se relancer dans la course.

De leur côtés, Les Mourabitounes de la Mauritanie, eux, se regroupent ce lundi. Une séance d'entraînement est prévue à Nouakchott cet après-midi.

radiookapi.net/CC


Cédric Bakambu (31 ans) est de retour dans la tanière. L’attaquant congolais qui s’était retiré de l’équipe nationale en orchestrant un feuilleton houleux, en mai 2022, ouvre une nouvelle fois ses portes à la sélection. L’actuel sociétaire de l’Olympiacos et meilleur buteur du championnat grec (13 buts) vient arborer les couleurs de ses aïeux pour sortir le pays de la pente de l’élimination lors du match RDC -Mauritanie, les 24 et 28 mars.

Cedric Bakambu qui dispose d’arguments convainquant cette saison sera un appui de taille pour Sébastien Desabre et la sélection congolaise. « Sa venue est le début d’un réveil dans le vestiaire congolais», estime l’analyste sportif Charles Mbuya de Canal+ Sports. Il a tout de même relativisé en précisant que le tout se jouera au mental.

Un passé à effacer

Cedric Bakambu, qui annonçait sa retraite internationale après la défaite face au Maroc, lors de la dernière étape avant la coupe du Monde Qatar 2022, voudrait sûrement effacer une séparation qui mettait en mal sa relation avec la RDC. « L’image laissée par Cédric Bakambu au sein de la sélection congolaise ne ressemble pas au grand homme humble et ouvert à la critique qu’il est », déclarait l’analyste sportif Oscar Lary, avant que son collègue, Julien Mombasa, martèle sur le côté « histoire» qui lie Bakambu au Congo.

D’après Julien Mombasa, « Cédric a encore une histoire à écrire avec la RDC ». Le journaliste proche du joueur souligne que « le ras-le-bol, bien que étant justifié, Bakambu était allé trop loin en choisissant de prendre sa retraite internationale.»

Cedric Bakambu, « l’amour domine sur la raison »

« Bakagoal aime énormément la RDC. Il ne peut rien contre son amour pour le Congo, sachant que cela est dans son sang », déclarait le frère de Bakambu, après la nouvelle sélection de l’attaquant avec l’équipe congolaise. En choisissant d’arborer à nouveau le maillot congolais, l’attaquant a grandement conscience de combien la situation autour secteur sportif reste précaire. « Les choses n’ont pas changé et je crois qu’il en a conscience », indiqué Emmanuel Maninga, tout en espérant que le joueur verra son amour pour le pays l’aider à rester à son poste pendant des longues années encore.

FootRDC/CC

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