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Pour la dixième fois, la fête du livre aura lieu dans la ville de Kinshasa. Un des rendez-vous incontournable de la littérature et des livres en général, la fête du livre aura lieu du samedi 17 au samedi 24 février dans différents lieux de la capitale congolaise. Le thème choisi pour cette édition est “les femmes à l'œuvre”.

La programmation de cette année fait la part belle à l'oralité avec plus d'une quinzaine d'artistes nationaux et internationaux invités. Au menu de cet incontournable rendez-vous initié par le Pôle Eunic, lectures, spectacles, ateliers, librairie éphémère, pour tous les publics. La journaliste, biographe, essayiste, éditrice et productrice française Laure Adler est la marraine de cette édition.

Des lieux culturels tels que Espace Masolo, Editions Miezi, tongo Elamu, Académie des beaux-arts, Aw’art, l’Institut Français de Kinshasa et bien d’autres recevront des activités liées à cet évènement culturel. Également, des écoles telles que Lisanga, Liziba, Mboloko, Baraka, Les loupiots, etc. enregistreront-elles des activités de la fête du livre avec des élèves.

Les soirées des étoiles qui offriront des scènes littéraires nocturnes relèvent des innovations de cette édition. Elles se feront autour des auteurs invités pour des lectures, poétique, sonore, dramatique ou conversation publique.

Des auteurs tels que Fann Attiki, Rim Battal, Diaf Bykrian, Guer2mo, Yann Kumbozi, Emmanuel Mabondo, Elodie Ngalaka, Nelly Tshela sont au programme des activités de cette dixième édition.

actualite.cd/CC



Encore un peu moins d’un mois, le tout nouveau prix littéraire dénommé “Lumumba” fermera ses portes. Organisé par dans le cadre du festival Buku qui a lieu à Kinshasa, le prix a également le soutien de la fondation Lumumba, dirigée par Roland Lumumba, fils de cette figure mythique de la politique congolaise et africaine.

La création de ce prix littéraire a pour objectif de récompenser les écrivains qui mettent en avant le combat de Patrice-Emery Lumumba, premier Premier Ministre de la RDC et héros national. Le fil conducteur de son combat était l’émergence de la conscience des peuples, le panafricanisme et l’unité du continent africain, le droit des peuples à l’autodétermination, la promotion et valorisation de la culture et des traditions africaines, la liberté, les droits de l’homme, le développement autonome des peuples, etc.

Immortaliser ces valeurs dans les écrits restent un des moyens les plus efficaces de les conserver pour les générations futures. Selon les initiateurs du prix, il est aussi question de promouvoir la littérature africaine. 

Le Prix Littéraire Patrice-Emery Lumumba récompense un auteur africain ou de la diaspora, pour un roman édité ou en manuscrit ou un manuscrit inédit de recueil de nouvelles. Cette première édition a été lancée depuis la cérémonie de clôture du festival Buku Kinshasa en mai 2023 et la réception des manuscrits se poursuit jusqu'au 1er mars 2024.

Ce prix littéraire comprend une dotation de la somme de 2 500 USD en faveur du gagnant de la catégorie « roman édité », une publication du roman inédit dans une maison d’édition choisie par l’organisateur assortie d’une dotation de la somme de 1 000 USD, une publication du recueil de nouvelles dans une maison d’édition choisie par l’organisateur assortie d’une dotation de la somme de 1 000 USD.

Le Jury est composé de sept membres choisis parmi les personnalités du monde littéraire et culturel de renommée sur le continent africain ou ailleurs. Les critères de cotation qui président à la sélection des nominés et des gagnants sont l’intérêt du sujet, la beauté littéraire du texte, structure et articulation du récit, le rapport du thème à l’héritage de Patrice-Emery Lumumba, l’originalité générale de l’ouvrage.

actualite.cd/CC

 



La journaliste Ange Kasongo Adihe présente  son livre intitulé "Balobaki", la démocratie Congolaise à l'heure des réseaux sociaux, de fake news et de la manipulation, le vendredi 08 démocratie 2023, dans la salle de cinéma de l'Institut Français de Kinshasa.

"Balobaki" tente de revisiter l'usage et l'appropriation des réseaux sociaux par les Congolais pendant la campagne électorale de 2018 en République démocratique du Congo-RDC- et la montée des fake news pendant la période post- électorale. 
Objectivant le phénomène dans un pays où la communication numérique a pris une place prépondérante dans l'espace public, le récit entraîne le lecteur dans l'urgence et la complexité de la traque journalistique à l'heure de la désinformation, de la mésinformation et des complots politiques inhérents aux séquences électorales.

Il importe de signaler que la journaliste, Ange Kasongo Adihe est fondatrice du site de Factchecking.
Elle est passée par l'Agence France-Presse (factuel) en charge du Factchecking en RDC (2019-2020), période post-électorale marquée par la circulation des messages de manipulation et fausses informations. Formatrice en journalisme, Ange organise des ateliers en Factchecking à l'intention des journalistes et étudiants en journalisme. Sélectionnée par l'ambassade des États- Unis en RDC (2022) pour suivre le programme Edward R. Murrow pour Journalistes sur la responsabilité des Médias à l'ère de la Désinformation, Ange Kasongo Adihe est auteure du récit, Les femmes de Pakadjuma, publié en 2019. Elle est co-auteure de l'enquête sur les abus sexuels lors de la riposte Ebola dans l'est de la RDC publiée par la Fondation Thomson Reuters (2021).

Serge Mavungu 



Les activités des neuvièmes jeux de la Francophonie se poursuivent ce dimanche  30 juillet dans les différents sites à Kinshasa. Cette journée marque aussi le début du concours de littérature (nouvelle) dans le volet culturel. 

Le site de la délégation Wallonie-Bruxelles a reçu dans l’avant-midi les délégations des pays qui participent à ce concours. Pour cette première journée, six (6) auteurs ont fait la lecture de leurs œuvres devant le jury et le public, l’entrée étant libre. 

Il s’agit de : 

1. Sewanou Théophile Vodounon (Benin) : “L’homme qui se transforme en fer”

2. Mariam Sere (Burkina Faso) : “Juste cinq minutes”

3. Gioia Frolli (Burundi) : “Initiation”

4. Irène Fernande Ekouta (Cameroun) : “Lettre à Josiane”

5. Pierre André Doucet (Canada-Nouveau Brunswick) : “La couleur des statues grecques”

6. Grâce Minlibe (Côte d’Ivoire) : “Loverdose”. 

La représentante de la Côte d’Ivoire est confiante pour figurer dans le trio gagnant aux termes de la délibération du jury.

« Sans fausse modestie, j’ai quand même produit un texte qui a une valeur littéraire. Aujourd’hui j’ai pu écouter quelques-uns parmi mes confrères et je suis confiante du trio », a dit, à ACTUALITE.CD, Grâce Minlibe, qui fait savoir que son œuvre, Loverdose, « est un court texte qui parle d’une relation toxique», avant d’ajouter que « tous ceux qui vont lire ce texte seront étonnés de la chute par ce qu’on parle d’une relation toxique entre un homme et une femme et à la fin on débouche sur un fléau qui mine la jeunesse aujourd’hui et principalement mon pays, la Côte d’Ivoire». 

Chaque présentation a été suivie de commentaires des membres du jury. Une côte a aussi été attribuée mais est restée encore secret.

« Le jury avait déjà lu le texte. Ici, il était question d’écouter les écrivains, les voir lire leurs propres textes. Ils ont été impressionnants par la manière dont ils sont habités par l’envie et le travail qu’ils vont. C’était un café littéraire absolument impressionnant ce dimanche matin à Kinshasa et qui révèle un peu toute la vivacité du monde francophone », confie, à ACTUALITE.CD, Émilie prophète, écrivaine et ministre de la culture et communication de la République d'Haïti, qui fait office de présidente du jury littéraire de ces jeux. 

Cette séance de lecture spectacle et présentation des œuvres va se poursuivre ce lundi 31 juillet pour se clôturer mardi 1er août toujours à la délégation Wallonie-Bruxelles. Pas moins de dix (10) pays sont attendus pour les deux prochaines journées parmi lesquels Djibouti, Fédération Wallonie-Bruxelles, Gabon, France, Madagascar. 

Le candidat de la RDC absent au pays 

Jocelyn Danga Motty, représentant de la RDC, pays hôte, n’est pas à Kinshasa en ce moment où démarre la compétition. Toutefois, bien que bloqué en France pour des raisons académiques, d’après les organisateurs, il a pu soumettre son texte au jury, qui devrait apprécier. Son œuvre est intitulée “ la nuit et l’soldat”. 

Il est à noter que la finale de ce concours aura lieu mardi 1er août prochain dans la foulée des dernières lectures et présentations des œuvres. Le trois premiers remporteront respectivement la médaille d’or, d’argent et de bronze. 

Japhet Toko 



Le monde du livre et du savoir s’est enrichit, lundi 3 juillet, d’un nouvel ouvrage, intitulé « Inventing an african alphabet ».

Son vernissage a eu lieu à l’Académie des Beaux-arts de Kinshasa.

L'ouvrage du professeur Ramon Sarro est consacré à l’alphabet africain dénommé « Mandombe ».

L’auteur explique la motivation de son livre :

« La raison principale pour laquelle j’ai écrit ce livre, d’abord parce que j’ai tissé une amitié avec l’inventeur de l’alphabet Mandombe… J’ai eu un réel sentiment qu’il fallait écrire ça. Je lui ai dit, Monsieur, il faut que j’écrive un livre sur vous. Ça m’est sorti comme ça. Il m’a dit : on va travailler ensemble. On a commencé à travailler parce que moi j’avais senti, après la première causerie avec lui, que ce qu’il avait à nous dire c’était très important. Ça allait être important pour le public en général, pour les anthropologues, les linguistes, pour ceux qui étudient la religion, l’histoire coloniale … »

D’après le professeur Ramon Sarro, cet ouvrage « met en valeur un patrimoine congolais encore méconnu.

Il nous donne la biographie d’un créateur génial congolais très négligé et met en exergue la valeur de la persévérance et donne un exemple à la jeunesse.

radiookapi.net/CC



Le livre de l’auteur Andy Mukendi, dénommé “Enfants martyrs : inspiré de la vie des enfants souffrant de cancer en RDC” a vu le jour. Il a été présenté pour la première fois vendredi 23 juin, à l’Institut Français de Lubumbashi. Il s’en est suivi une autre présentation à Goma, le 28 juin. L’essentiel de l’œuvre réside dans la sensibilisation sur le cancer de l’enfant, une pathologie dont les cas sont récurrents aux cliniques universitaires de l’Université de Lubumbashi, et dont la prise en charge est inquiétante.

Malgré l’existence d’une unité d’oncologie pédiatrique, aux cliniques universitaires de l’Université de Lubumbashi, qui s’occupe des cas de cancer de l’enfant, Andy Mukendi n’en est pas satisfait. Étudiant en deuxième doctorat en médecine, il côtoie ces enfants depuis un bon moment. Il a pris deux ans pour mettre en place ce projet de livre qui a pour but de récolter des fonds afin de venir en aide à ces enfants et leurs familles.

« Le livre fait de la sensibilisation au sujet du cancer de l’enfant en RDC parce que c’est un concept qu’on ne prend pas suffisamment en compte. On pense que c’est une maladie qui touche une certaine catégorie des gens mais ce n’est pas ça. Ici, on rencontre véritablement ces cas de cancer de l’enfant », a expliqué Andy Mukendi à ACTUALITÉ.CD.

Ce livre est le résultat du travail qui touche profondément son auteur. Avant cela, il a créé l’Asbl “African children’s dream” (le rêve des enfants africains) afin d’assister, sur le plan psychologique, les enfants qui souffrent de cancer. Ils organisent des activités culturelles, rééducation, réadaptation, réinsertion sociale pour ces enfants. Ils ont un programme d’accompagnement psycho social qui regroupe chaque séance, autour d’une quinzaine d'enfants patients.

Le bouquin met en scène les témoignages de tous ces enfants et leurs histoires.

« Le livre a un caractère social, il retrace les parcours et témoignages des familles qui ont connu des cas de cancer. Il y a des histoires de parents qui racontent leurs expériences avec leurs enfants depuis le diagnostic du cancer, la procédure puis l’issue. Dans certains cas, les enfants patients ont perdu la vie et dans d’autres, ils ont été guéris », a ajouté l’auteur.

Le livre “Enfants martyrs : inspiré de la vie des enfants souffrant de cancer en RDC” compte 136 pages et est subdivisé en trois parties, la première, c’est la perception de ce que représente le cancer de l’enfant dans la communauté ; la deuxième, ce sont les histoires vraies qui sont racontées, accompagnées des photos de ces enfants et leurs identités ; la troisième partie, c’est une exhortation, un appel à la participation qui est lancé à la communauté.

Il est à se procurer à Lubumbashi et à Goma. Il arrivera à Kinshasa avant la fin de l’année, selon les prévisions. L’objectif est de promouvoir cette œuvre afin que la cause soit connue, que ce fléau qui tue silencieusement soit, tant soit peu, stoppée. Le livre n’a pas vraiment de prix parce que la santé n’en a pas non plus, précise Andy Mukendi. Mais comme l’œuvre voudrait récolter des fonds, le prix minimal fixé est à 20$, ceux qui peuvent donner plus le font également.

« La RDC n’a pas de programme national de lutte contre le cancer de l’enfant, quand bien même il y a des cas de cancer. Il y a une difficulté de prise en charge. Aussi parce qu’on a jamais écrit sur la situation socioculturelle des enfants qui souffrent de cancer en RDC, il n’y a pas de récit qui retrace ce que ces familles vivent et subissent. Avec la parution de ce livre, ça me propulse encore parce que l’objectif, à long terme, c’est d’avoir un programme national de lutte contre le cancer de l’enfant », souhaite-t-il.

Et d’ajouter :

« Nous sommes au niveau urbain, mais beaucoup de cas que nous recevons ici nous viennent des zones périphériques. Nous pensons mobiliser beaucoup plus d’efforts et de moyens pour atteindre ces zones de Lubumbashi, afin de porter plus haut cette voix et sensibiliser sur cette question de cancer qui touche l’enfant ».

Le cancer est une maladie provoquée par la transformation de cellules qui deviennent anormales et prolifèrent de façon excessive. Ces cellules déréglées finissent par former une masse qu'on appelle tumeur maligne. Pour guérir du cancer, le facteur principal qui rentre en compte est le diagnostic, indique Andy Mukendi. S’il est fait plus tôt chez un enfant, la fréquence de guérison est élevée à plus de 95%. Mais un diagnostic tardif aggrave la situation. Le meilleur programme de lutte contre le cancer est celui de dépistage, qui doit être mis en place par le gouvernement.

Emmanuel Kuzamba



Le monde littéraire a accueilli à bras ouverts ce mardi 27 juin, à partir de la Wallonie Bruxelles, la toute première œuvre de l'esprit du Savant Eddy Malou, intitulée "La Congolexicomatisation". 

Dès sa prise de parole, Eddy Malou a dévoilé son souhait le plus ardent de recycler tous les congolais. "Je suis déterminé à recycler toute la République démocratique du Congo au stade des martyrs. On doit laver tous les cerveaux des congolais", a-t-il déclaré.

À en croire le Professeur Djungu-Simba lors de la présentation de cet ouvrage, le Savant Eddy Malou s'inspire d'une dizaine des langues du monde. En l'occurrence, l'anglais, l'araméen, l'Italien, l'allemand, l'hébreu, le français et les dialectes de la République démocratique du Congo. 

"Eddy Malou procède parfois par la déformation des mots ordinaires. Pour lui, Profiterole nationaliste est synonyme de la gratuité de l'enseignement; et la congolexicomatisation est le fait qu'un congolais arrive à compter sur ses propres efforts, ses ressources.", a fait savoir le Professeur.

À la fin de cette séance littéraire, quelques participants ont acheté l'ouvrage à 100 USD question de soutenir l'auteur ; et l'éditrice Audrey a précisé que le coût d'un ouvrage revient à 20 USD.

Ben



Un événement riche en couleurs, une salle pleine à craquer qui a connu la participation des autorités du Sénat, de l’Assemblé nationale, les députés et Sénateurs et tant d’autres autorités. 

Il est également à noter la présence de certains ambassadeurs des pays africains, mais également des pays occidentaux, les éminents professeurs, des chefs coutumiers et des jeunes de toutes tendance confondus. 

Il s'agissait du vernissage de l’ouvrage intitulé : “Assurer l’émergence de l’Afrique par sa Jeunesse”, écrit par la sénatrice Francine Muyumba.

Le professeur Sénateur Kaumba LUFUNDA, ancien Recteur de l’Université de Lubumbashi a eu à présenter le contenu du livre et le baptême de ce dernier fut assuré par le Doyen de la faculté de droit, le Professeur Andende APINDIA Roger. 

En résumé, l’auteur évoque que les ressources naturelles sont immenses en Afrique, cependant le meilleur atout qu'elle possède, c'est sa jeunesse. Elle indique que "nous ne pouvons pas aider l'Afrique à émerger si nous ne renforçons pas le pouvoir d'action de sa jeunesse en lui apportant tout le nécessaire pour qu'elle joue convenablement sa mission."

Dans son livre, Francine Muyumba aide les jeunes africains à comprendre qu'ils vivent une époque intéressante et qu'ils sont capables de participer à la transformation de leur société. 

L'ancienne présidente de la jeunesse panafricaine, fait remarquer que la jeunesse africaine doit être fière de vivre à ce moment pour pouvoir être utile à leurs nations respectives et y déclencher des progrès majeurs. 

"Et il n'y a rien qui puisse la freiner si elle est consciente de son pouvoir et déterminée à faire la différence dans l'histoire.", indique-t-elle.

Riche d'expériences dans l'encadrement des associations des jeunes, ayant participé à l'élaboration de l'Agenda 2063 de l'Union Africaine et à plusieurs forums internationaux sur les cinq continents du monde pour défendre la cause de la jeunesse, avec tous ses atouts, l'auteure nous propose un diagnostic lucide et des pistes de solutions qui aideront les gouvernements des pays africains, les ministères de la jeunesse, etc., à maximiser le potentiel formidable de la jeunesse africaine dans l'émergence du continent.

L’auteure dans son intervention a eu à remercier les centaines des personnes qui ont répondu présent au vernissage de ce livre, écrivaine qu’elle est devenue, titre qui s’ajoute à celui d’Ambassadrice, d’Avocate et Sénatrice. Elle est également mère et épouse.

actualite.cd/CC


L’auteur s’inspire de la citation de Patrice Emery Lumumba, celle qui veut que les Africains, au nord et au sud du Sahara, écrivent leurs propres histoires de gloire et de dignité.Son ouvrage « la vérité de la vérité des urnes de 2018 », est scindé en 4 volumes, tout simplement parce qu’il était important pour l’auteur de remonter à la genèse de la politique de son pays depuis l’indépendance, afin de mieux expliciter et cheminer au fur et à mesure sa réflexion vers l’alternance politique, obtenue lors de l’élection...



Depuis 50 ans, George Forrest était à la tête d'un empire industriel au Katanga, mais il ne parlait pas. Aujourd'hui, il publie ses mémoires sous le titre Un siècle de rêves, (éditions Cherche Midi). Et il fait des révélations, notamment sur tous les chefs d'États congolais qu'il a fréquentés, de Mobutu à Tshisekedi. L'entrepreneur belgo-congolais s'exprime aussi sur Moïse Katumbi, au moment où celui-ci voit sa candidature menacée par un projet de loi sur la « congolité ». 

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A Propos

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