Le Wydad Athletic Club de Casablanca a été tenu en échec par le Mamelodi Sundowns d'Afrique (0-0), dans la soirée de samedi 13 mai 2023, au stade Mohamed V, en demi-finale aller de Ligue des Champions de la Confédération Africaine de Football (CAF).

Malgré plusieurs assauts du WAC, l'international arrière gauche congolais Arsène Zola et ses coéquipiers n'ont pas pû violer la cage du portier sud-africain jusqu'au coup de sifflet final. Dans l'autre demi-finale, Al Ahly d'Égypte s'est imposé sur la pelouse de l'Espérance de Tunis (3-0).

Arsène Zola et ses coéquipiers du WAC vont devoir arracher la qualification pour la finale, le samedi 20 mai prochain, à Loftus Versfeld Stadium de Pretoria. La rencontre est prévue à 14h00, heure de Kinshasa.

Gratis Makabi



Fulham FC s'est imposé sur la pelouse de Southampton (2-0), ce samedi 13 mai 2023, en match comptant pour la 36ème journée de Premier League anglaise.

Vinicius a ouvert le score à la 48ème minute de jeu, avant qu'Aleksandar Mitrovic marque le but du break sur une passe de Harry Wilson, à la 72ème minute.

Remplaçant, l'international milieu de terrain congolais Neeskens Kebano a pris la place de Harry Wilson à la 78ème minute de jeu.

Grâce à cette victoire à l'extérieur, Fulham prend provisoirement la 9ème place au classement avec 51 points et revient à 5 unités de la 7ème position synonyme de qualification pour la Ligue Europa conférence.

Neeskens Kebano et ses coéquipiers cottagers recevront Crystal Palace, le samedi 20 mai prochain à Craven Cottage. La rencontre est prévue à 15h00, heure de Kinshasa.

Gratis Makabi

Holocauste au Congo



RÉSUMÉ



Les Plantations et Huileries du Congo (PHC) célèbrent ce 11 mai 2023 leur 112e année de production d’huile de palme en République Démocratique du Congo. Fondées en 1911, les PHC sont aujourd’hui la plus grande entreprise de production industrielle d’huile de palme de la RDC et jouent un rôle clé dans l’économie congolaise en fournissant plus de 7 500 emplois dans les zones rurales du pays.

Plus d’un siècle après sa création, l’entreprise a renforcé sa position dans le secteur grâce à une transformation organisationnelle initiée en 2021 par un leadership congolais, favorisant l’adoption de nouvelles approches innovantes et le recrutement d’une main-d’œuvre diversifiée et qualifiée.

Sous la nouvelle direction de Madame Monique Gieskes, les PHC réinventent leur approche opérationnelle, en mettant l’accent sur la valeur des employés et en s’engageant à leur fournir des conditions de travail sûres et saines, garantissant à la fois le succès des employés et celui de l’entreprise. En 2022, les PHC ont célébré la production de plus de 60 000 tonnes d’huile de palme, soit une augmentation de 35 % en deux ans.

Au-delà des avancées managériales, le 112e anniversaire de la société souligne également l’engagement des PHC envers les communautés locales dans les provinces de la Tshopo, de la Mongala et de l’Équateur où elles opèrent. Conformément à sa vision de créer une prospérité partagée grâce à l’agrobusiness, la société a déjà construit 19 écoles, 9 centres de santé, et plus de 70 forages au profit des communautés locales. En outre, la société fournit des soins médicaux de qualité à plus de 150 000 personnes grâce à ses installations médicales privées, dont 4 hôpitaux, 3 centres de santé et 18 dispensaires.

En célébrant ses 112 ans, la société se réjouit de poursuivre ses efforts en vue de réaliser le potentiel du secteur agro-industriel congolais et de concrétiser la revanche du sol sur le sous-sol.

« La nouvelle vision de l’entreprise donne lieu à…un recadrage et un recentrage qui place l’intérêt des fils et des filles du Congo au centre des intérêts de l’entreprise. C’est-à-dire produire au Congo, pour le Congo et par les Congolais ».

Monique Gieskes, Directeur Général des PHC

 



107 chaînes sont admises à la Télévision numérique terrestre (TNT), depuis, sur 262 répertoriées à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC), dans le cadre de la salubrité médiatique, a appris l’ACP, dans un arrêté signé, mercredi, par le ministre de la Communication et médias.

« En somme pour continuer à émettre à Kinshasa, il faut figurer sur la liste de 107 chaînes admises sur la liste des Editeurs de programme admis à l’exploitation de la télévision numérique terrestre, dans la ville province de Kinshasa et sur la liste de 83 chaînes admises, sur la liste des éditeurs de programme de la ville- province de Kinshasa admis au diffuseur public », a soutenu le ministre Patrick Muyaya.

Et d’ajouter, comme troisième condition : « Avoir un faisceau, car toutes les 41 chaînes répertoriées ayant des laptop déposés au Centre d’émission de Binza, se verront déconnectés ».

Au regard de cette décision, le directeur de cabinet du ministre, le secrétaire général à la communication et médias, l’ADG de la Réseau national de télécommunications par satellite (Rénatelsat) et le Coordonnateur de CNM/ TNT ont procédé, dès mercredi, à la déconnection des médias, non en règle, émettant à Kinshasa.

Cette opération de grande envergure intervient après une longue procédure initiée depuis la mise en place de la commission d’assainissement siégeant au cabinet du ministre et chargée de contrôle de conformité des médias.

En effet, au total, il s’agit de deux arrêtés signés à cette occasion par le ministre de la Communication, Patrick Muyaya.

La première porte sur les Editeurs de programme admis à l’exploitation de la TNT à Kinshasa, tandis que la seconde concerne les éditeurs de programme de la ville-province de Kinshasa admis au diffuseur public, dont 83 chaînes sont admises.

« Dans le cadre de salubrité médiatique, le ministre de la communication et médias avait institué une commission d’assainissement du secteur, afin d’élaguer ceux qui ne sont pas en règle », a expliqué, pour sa part, l’ADG de la Renatelsat.

« Tous les laptopeurs qui viennent semer l’insécurité parce que accédant de façon intempestive et irrégulière sur ce site très stratégique, se verront déconnectées », a-t-il conclu.

Stéphie MUKINZI M.



Une enveloppe de 2.500.000 FC (soit 1.090 USD) du gouvernement central a été remise, mardi, en plus des biens matériels à chaque famille sinistrée du territoire de Kalehe dans la province du Sud-Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), a constaté l’ACP.

« L’aide que vous apporte le gouvernement est constituée d’une enveloppe de 2.500.000 FC par famille,de la prise en charge médicale des rescapés, des sacs de farine, du riz, de haricot, des bidons d’huile végétale, des pagnes et des bâches », a rapporté aux sinistrés, le ministre national des Affaires humanitaires, Modeste Mutinga.

« Un site sera également aménagé pour vous accueillir provisoirement« , a également annoncé Modeste Mutinga.

De son côté, le deuxième vice-président de l’Assemblée nationale, Vital Banywesize, originaire de Kalehe, s’est exprimé en ces termes : « Depuis 2012 jusqu’à ce jour, c’est la sixième fois qu’une catastrophe naturelle nous endeuille. Il nous revient donc de tirer les conséquences et de décider de quitter les sites impropres à la construction ».

Stephie MUKINZI M. & ACP/CC



Le conflit dans la région Est de la RDC doit prendre fin et l’Afrique du Sud est prête à contribuer aux efforts visant à ramener la paix dans la région, a déclaré le président sud-africain, Cyril Ramaphosa. Il s’est ainsi exprimé lundi 8 mai en Namibie, à l’issue du Sommet extraordinaire de la Troïka de la SADC et des pays contributeurs de troupes de la Brigade d’intervention de la MONUSCO. 

Le chef de l'Etat sud-africain note avec préoccupation la détérioration de la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC:

« Nous condamnons les activités des groupes armés illégaux et leur demandons, ainsi qu’à leurs commanditaires, de cesser immédiatement leurs activités. La guerre dure depuis trop longtemps et nous sommes fermement convaincus que le peuple de la RDC mérite la paix et le développement ».

Se confiant au journal sud-africain SAnews, Cyril Ramaphosa, annonce que « l’Afrique du Sud est prête à contribuer à l’élaboration d’instruments régionaux efficaces, qui pourraient aider à stabiliser la situation sécuritaire actuelle qui prévaut dans l’est de la RDC ».

Il dit par ailleurs soutenir « la nécessité d’une planification à long terme ancrée dans l’architecture de paix et de sécurité de la SADC ». 

Selon la présidence sud-africaine, le conflit dans l’Est de la RDC fait l’objet d’une « attention particulière » non seulement lors du sommet de la SADC, mais aussi de la part de l’Union africaine (UA) et d’autres organismes régionaux. 

L’Afrique du Sud est l’un des pays contributeurs de troupes de la Brigade d’intervention de la Force de la MONUSCO, qui avait défait le M23 entre 2012 et 2013.  

radiookapi.net/CC



Young Africans s'est imposé devant Marumo Gallants Football Club (2-0), ce mercredi 10 mai 2023, au stade Benjamin Mkapa de Dar es Salaam, en demi-finale aller de Coupe de la Confédération CAF.

Le milieu de terrain ivoirien, Stephane Aziz Ki a ouvert le score à la 64ème minute de jeu, avant que l'attaquant ghanéen Bernard Morrison marque le but du break dans les ultimes minutes de la rencontre.

Quatre internationaux congolais étaient dans le onze de départ du club tanzanien. Il s'agit entre autres de Fiston Mayele Kalala, Jésus Moloko Ducapel, Rossein Tuisila Kisinda et Yannick Bolasie Litombo. Leur compatriote, Joyce Lomamisa Mutambala était sur le banc, et Djuma Shabani n'était pas sur la feuille de match.

Yanga et sa colonie congolaise vont devoir aller chercher le ticket qualificatif pour la finale, le mercredi 17 mai prochain à Polokwane, en Afrique du Sud. Le match est prévu à 17h00, heure de Kinshasa.

Gratis Makabi



Dans une communication faite, ce mercredi 10 mai, le comité de normalisation de la Fecofa a dévoilé la date des élections avant la fin de l’année en cours.

Le Conor a annoncé, la date de l’assemblée générale élective et extraordinaire de la Fédération Congolaise de Football (Fecofa) pour le samedi 11 Novembre.

En effet, le successeur de Constant Omari sera finalement connu à la tête de cette instance faitière du football congolais.

Ainsi Guy Kabeya, vice-président de Conor, a communiqué aux journalistes l’annulation de l’assemblée générale ordinaire projetée au 20 mai prochain, par le comité intérimaire sortant. Une décision qui annule de facto l’élection prévue à cette même date.

Mais bien avant d’arriver à l’élection du futur nouveau comex de l’instance faîtière du foot congolais, le comité de normalisation a posé un préalable ; les élections à la base. Tout commencera par des élections au niveau des entités urbaines, ligues provinciales, et nationale, bref dans toutes les entités subdélégataires de la FECOFA.

foordcp/CC



Les députés nationaux ont déclaré recevable la proposition de loi modifiant et complétant le code de la famille, à la plénière de lundi 8 mai, après avoir rejeté la disposition relative à la limitation du montant de la dot.

L’auteur de cette proposition de loi, Daniel Mbau, affirme que cette loi comble une lacune importante dans le système juridique congolais, en ce qu'elle fixe d'un bord, le montant limite de la dot et assure, de l’autre bord, la protection légale des héritiers et du conjoint survivant, après la mort de l'un d’eux. 

Après débat, l’Assemblée nationale a envoyé la loi en commission mais n’a pas retenu la disposition portant fixation de la dot à 500 dollars.  

Christelle Vuanga, présidente de la Commission genre, justifie l’envoi en commission de cette proposition de loi :

« Il y a beaucoup de choses à prendre dans cette proposition de loi, c’est pourquoi on l’a envoyée en commission. Mais, moi personnellement je suis contre le prix fixé de la dot. La loi qui était d’un million de francs congolais, aujourd’hui nous sommes d’accord que 500 USD ne valent plus un million de francs congolais, donc la valeur de la dot déprécie également ».

Selon Christelle Vuanga, c’est inconstitutionnel le fait d’avoir confié le pouvoir aux assemblées provinciales et à l’autorité coutumière de réfléchir autour de la dot. 

« Sur le plan du bon sens, la femme n’a pas de prix, elle a une valeur. Et chacun donne la valeur à sa femme en rapport avec ses moyens. On ne peut pas se réveiller un jour et dire voici c’est le montant de la dot. Ce sont les hommes sous d’autres cieux qui donnent la dot, mais si vous allez en Inde, c’est la famille de la femme qui verse la dot. Donc c’est compliqué », conclue-t-elle.

radiookapi.ne/CC

A Propos

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Ali Kalonga

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