Proche de Moïse Katumbi, Chérubin Okende a été retrouvé mort dans sa jeep.Le corps de l’ancien ministre des transports, criblé des balles, taché de sang a été extirpé de sa voiture par la police scientifique en présence des éléments de l’armée, puis acheminé à la morgue. Les causes de sa mort ne sont pas connu. Il a été retrouvé sur l’avenue poids lourd dans la ville province de Kinshasa. Ses proches ont alerté sur sa disparition depuis mercredi 12 juillet 2023.

Sur Twitter, son parti Ensemble pour la République avait dénoncé un « lâche enlèvement » intervenu « au parking de la Cour constitutionnelle ».

L’ancien ministre était dans le viseur de la justice. La Cour Constitutionnelle l’avait invité à présenter un rapport écrit de son patrimoine après sa démission du gouvernement. Le rendez-vous était pris pour vendredi 14 juillet 2023, un jour après celui fixé par la Cour Constitutionnelle.

Selon plusieurs sources, Chérubin Okende était parti à la Cour Constitutionnelle déposé sa lettre en réponse à l’invitation du juge Sylvain Lumu de la Haute Cour. Il aurait été enlevé par des hommes armés. Chérubin Okende fut porte-parole du parti de Moïse Katumbi.

C’est un climat de terreur qui règne dans la capitale et dans certaines villes du pays à moins de six mois des élections. Plusieurs opposants dont Salomon Kalonda, le conseiller spécial de M. Katumbi, le député Mike Mukebayi, aussi membre du parti Ensemble pour la République, l’ancien député et proche de Katumbi, Franck Diongo  sont aux arrêts.

Actu RDC/CC



Sur les douze (12) candidats retenus pour se disputer la victoire finale de la dixième édition du Prix RFI théâtre, un congolais est en lice. Il s’agit de N’Anza Tata avec sa pièce de théâtre “Analogie du vertige”. Les textes présélectionnés l’ont été pour leurs qualités littéraires, dramaturgiques et leur originalité. Ils seront soumis aux votes du jury et le vainqueur sera connu le 24 septembre prochain.

Depuis sa création en 2014, le prix RFI théâtre n’a pas connu de vainqueur congolais de la RDC malgré les présélections. L’année dernière, trois auteurs congolais, Jocelyn Danga Motty, Djo Kazadi Ngeleka et Bibatanko ont tenté de devenir premier à l’emporter sans succès. Cette année encore, la RDC figure parmi les 4 pays, si pas en tête, ayant compté plusieurs candidatures.

N’Anza Tata et son “Analogie du vertige” reste le seul espoir. Sa pièce de théâtre est un portrait tout en finesse de la société congolaise contemporaine. « Chez Mama ni Mama », un bar de Kinshasa, le soir de l’inhumation de la dent de Lumumba enfin rendue à son pays, 61 ans après son assassinat. Des clients de tous horizons confrontent leurs points de vue, la patronne arbitre les débats, Kabukula (le troubadour du quartier) improvise un poème. Peu à peu les langues se délient...

Le Prix RFI Théâtre est une récompense remise par Radio France Internationale (RFI), annuellement, à un auteur francophone d’Afrique, d’Océan Indien, des Caraïbes du Proche ou Moyen-Orient. Ce prix se donne pour mission de valoriser les œuvres dramatiques des auteurs francophones.

Le jury qui sélectionne le meilleur texte est composé d’artistes et de professionnels. Le nom du ou de la lauréat(e) du Prix RFI Théâtre 2023 sera annoncé le dimanche 24 septembre et le prix remis à Limoges, dans le cadre du festival Zébrures d'automne.

Les participants peuvent avoir entre 18 et 46 ans et être originaires de régions francophones. Les œuvres développées dans tous les genres théâtraux en langue française doivent revêtir d'un caractère original et inédit, de toute la Francophonie seule une dizaine sur plus de 13 est présélectionnée pour le vote final du jury.

actualite.cd/CC



Le Vice-premier ministre et ministre de l'intérieur, Péter Kazadi, a lancé les travaux de construction et d'équipement de l'aérogare passagers de l'aéroport de Kananga dans la province du Kasaï-Central le lundi 10 juillet 2023.

Cet édifice, va couvrir une une superficie de 7.600 m² avec une capacité annuelle d'accueil d'environ 750 passagers à l'horizon 2035.

D'après les explications de Alphonse Shungu, Directeur Général de la Régie de Voie Aérienne (RVA), la société Moderne Construction a été choisie par la procédure de gré à gré pour exécuter les travaux dont le coût global s'élève à 32.594.423 $ pour une durée estimative de travaux de 688 jours.

Il ajoute que la construction de cette aérogare, ouvrira au centre-ouest de la RDC, une destination privilégiée pour plusieurs opérateurs ou compagnies aériennes à la recherche de plateforme aéroportuaire à même de contribuer au développement de leurs activités aériennes.

John Kabeya Shikayi, gouverneur de province, s'est réjoui de ce projet, qui vient répondre à la montée du trafic des passagers dans sa région.

"Aujourd'hui, nous sommes fiers d'amorcer ce prestigieux projet pour répondre à la montée impressionnante du trafic des passagers (qui augmente au jour le jour dans la province du Kasaï-Central). Ainsi, voudrais-je au nom de mon gouvernement provincial, apporter tout mon soutien au partenaire Moderne Construction qui, à dater de cet instant va se mettre à pieds d'oeuvre pour faire l'aéroport de Kananga, l'un de plus prestigieux du pays", a-t-il déclaré lors de son adresse à l'assistance.

Le Ministre de Transport, Marc Ekila a pour sa part, exhorté la population à s'approprier ce projet qui va dans son intérêt.

Il sied de noter qu'il ressort de différents discours prononcés à cette activité, que l'aéroport de Kananga a vu ses premiers ouvrages au tour de 1953, aujourd'hui, la photographie actuelle des installations de cette infrastructure présente le paysage d'une plateforme “vétustes”.

Alain Saveur Makoba, à Kananga



Contrairement aux aveux de certains criminels, le gouvernement congolais a catégoriquement démenti les informations faisant état d’un trafic d’organes humains à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo.

Devant la presse dans la soirée du lundi 10 juillet, le vice-ministre de la Santé Serge Olene a souligné que le trafic et la transplantation d’organes humains exigent en amont un certain nombre des préalables pour qu’en aval, ces opérations soient effectuées. D’après lui, la ville de Kinshasa n’a pas d’infrastructures qualifiées pour conserver les organes une fois prélevés.

« Peut-être que les gens parlent de choses qu’ils ne comprennent pas. Une transplantation ou un trafic d’organes demande une infrastructure. Non seulement il faut avoir les infrastructures, il faut avoir des gens expérimentés. Des gens expérimentés pour prélever les organes, mais aussi les conditions de conservation et de transport et ensuite il faut savoir que ces organes qui sont prélevés ont une durée de vie qui est très limitée. Par exemple, quand on retire un cœur, il ne peut survivre que 3 à 4 heures, quand on retire un foie, il ne peut survivre en dehors du corps que 6 heures. Quand on retire un poumon c’est 6 à 8 heures et les reins c’est un à deux jours. Mais ça ne suffit pas. Pour retirer un organe ce sont des chirurgiens et des équipes entraînées et ça ne prend pas moins de 12 heures », a expliqué le vice-ministre de Santé au cours d’un briefing conjoint avec le vice-premier ministre de l’Intérieur Peter Kazadi, et le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya.

Médecin de formation et de profession, Serge Olene a fait comprendre qu’en plus d’infrastructures de pointe et d’une expertise avérée, un certain nombre des tests de compatibilité interviennent avant tout prélèvement d’organes.

Selon lui, à l’heure qu’il est, la RDC n’a ni l’expertise ni les infrastructures nécessaires pour réaliser ce genre d’examens.

« C’est pourquoi je dis que les gens parlent de choses dans les réseaux sociaux, mais ne savent pas de quoi ils parlent. Au moment où on retire l’organe,on doit le transporter directement sinon ça ne va pas survivre. Il faut des laboratoires poussés parce que ce n’est pas n’importe quel organe qu’on va prendre chez son frère qui va marcher chez vous. Il y a ce qu’on appelle la compatibilité HLA (human leukocyte antigen), une molécule qui se trouve dans les globules blancs et pour faire ce test, on ne peut pas le faire ici à Kinshasa. On ne peut pas se permettre de prendre un organe comme on va acheter du pain et ensuite le mettre sur quelqu’un de manière désamourante. Je voudrais ici rassurer que c’est une technologie très poussée pour arriver à faire la transplantation d’organes parce que même chez nous ici , on peut avoir des reins mais pas de la même façon. Il y a ce qu’on appelle des anomalies qui sont viables… Avant même d’arriver au prélèvement d’organes, il y a une série d’examens à faire… Ici à Kinshasa, les laboratoires pour le faire, la conservation c’est très difficile et pour le faire techniquement qu’on ne vous trompe pas, ce n’est pas moins de 6 à 12 heures parfois même à 20 heures. Quand on regarde dans toutes ces conditions, on pense que c’est irréaliste. Soyez rassurés quant à cela », a-t-il affirmé.

« Nous n’avons ni expertise ni plateau technique pour arriver à faire cette transplantation aujourd’hui, nous espérons les avoir mais ça demande des années et des années de formation. Au ministère de la Santé, il n’y a aucune notification au niveau de nos zones de santé », a martelé le vice-ministre de la Santé, Serge Olene.

La population Kinoise vit avec la peur au ventre depuis l’arrestation de 23 civils armés dont 6 jeunes femmes et 4 policiers, auteurs des actes d’enlèvements principalement dans les taxis communément appelés Ketch.

Certains de ces criminels dont la plupart ont été condamnés à la peine capitale, ont avoué qu’après avoir prélevé les organes désirés, les corps des victimes sont enterrés pour effacer les traces. Ce que le gouvernement et la police nationale démentent fermement soulignant que pareil cas n’a jamais été découvert après les enquêtes.

« À ce jour, jamais nous avons reçu un tel cas et nous sommes à la recherche de ces informations. Si cela se fait dans la ville de Kinshasa ou ailleurs, que les victimes se manifestent pour que nous puissions attester », a argué Peter Kazadi.

Quoi qu’il en soit, dans les rues de la métropole congolaise, c’est la méfiance qui caractérise les kinois face aux conducteurs de taxis « Ketchs » même après que les autorités urbaines ont mis sur pied une série de patrouilles mixtes FARDC-PNC et des postes de contrôle à travers la ville pour traquer les criminels.

Carmel NDEO



L'artiste musicien congolais Ferré Gola et sa formation musicale vont prester, ce samedi 15 juillet 2023, au stade Alphonse Massamba Debat de Brazzaville, en ouverture de la 11 ème édition du Festival panafricain de la musique (FESPAM).

Outre le natif de Kinshasa, le chanteur malien Sidiki Diabaté sera aussi sur scène ainsi que plusieurs artistes brazzavillois de renom, au nombre desquels Roga Roga; Tidiane Mario; Diesel Gucci; et le groupe musical les Bantous de la capitale. Une place de choix va être accordée aux artistes locaux. Parmi eux, K-Musica, Levyson Enigma, Davy Kassa, Nestelia Forest, Spirita Nanda, Sam Samouraï, Kibourikiri, Paterne Maestro (MC Baba), Viny Baltazar, Dj Otondo.

Le lancement de ce grand rendez-vous culturel va se faire en présence du président de la République de la République du Congo, Denis Sassou. Pour ce premier jour, les maîtres de cérémonie retenus Claudy Siar de RFI, Florelle Manda du groupe Canal + et le journaliste brazzavillois Bienvenu Boudimbou parmi les maîtres de cérémonie.

Quatre sites sont retenus pour cette édition. Il s'agit du stade Alphonse Massamba Débat, le Palais des Congrès, Kintélé et Mayanga.

La clôture intervient, le 22 juillet prochain, toujours au Stade Massamba Débat, avec comme maîtres de cérémonie le très charismatique Gildas Mayela, le très percutant Papy Soul et la très professionnelle Peggy Ossié.

Pour rappel, Ferré Gola a livré un concert historique, le samedi 24 juin dernier au stade des martyrs de Kinshasa. L'ancien de Wenge Musica Maison Mère et de Quartier latin international a réuni près de 120.000 personnes dans cette grande infrastructure sportive de la République Démocratique du Congo.

Gratis Makabi



L’Etat de droit, ce concept symbolisant la réforme de la Justice en République Démocratique du Congo peine à apposer ses empreintes en dépit de la volonté de son instigateur, l’actuel Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, au pouvoir depuis plus de quatre ans.

Le Chef de l’État congolais estime même que la justice pourrait être considérée comme la tâche d’huile sur son premier quinquennat, lui qui s’est d’ores et déjà déclaré candidat à sa propre succession.

« S’il y a un bémol à mettre sur mon bilan, je ne suis pas satisfait du bilan dans le domaine de la justice. J’ai beaucoup compté sur le pouvoir judiciaire. Comme on le dit dans la bible, la justice élève la nation. Malheureusement dans notre cas, la justice détruit notre Nation. J’ai tout mis en œuvre pour essayer de faire comprendre, surtout aux chefs d’institutions ma vision, mais malheureusement, je n’ai pas l’impression que nous sommes sur le même diapason », a déploré Félix Tshisekedi répondant aux questions des congolais lui transmises sous forme d’une interview par sa porte-parole, Tina Salama.

Accusé d’instrumentaliser la justice à travers des arrestations « arbitraires » afin de taire les opinions hostiles à son pouvoir et des opposants, le président de la République démocratique du Congo a réfuté toute implication dans les démarches visant l’arrestation ou même la libération de certaines personnes.

« Nous récoltons souvent la critique de l’opinion de manière injuste. Par exemple, lorsqu’on met quelqu’un en prison de façon préventive, en attendant son jugement, et qu’on le libère après, on pense toujours qu’il y a l’intervention de l’Etat. Je peux vous le dire devant Dieu, je ne suis intervenu dans aucun cas de ce pays pour demander l’arrestation ou la libération de quelqu’un, jamais. Parce que je veux que la justice soit indépendante », a-t-il argué tout en supputant que les institutions doivent être libres d’exercer leur pouvoir sans contraintes venant de la hiérarchie. « Je pense que cette justice a besoin des réformes », a-t-il martelé.

Des décisions judiciaires s’apparentent au hasard et à la théâtralisation de la justice

Ces nouvelles critiques à l’encontre du pouvoir judiciaire interviennent après celles d’octobre 2022. En effet, lors de la soixante-douzième réunion du conseil des ministres, Félix Tshisekedi avait insisté sur la rationalisation de l’action de la justice dans le renforcement de la gouvernance publique et de l’Etat de droit. Ce rappel à l’ordre survenait après qu’il a constaté des décisions judiciaires qui, dit-il, s’apparentent au hasard.

Félix Tshisekedi avait rappelé lors de cette réunion, le rôle pivot reconnu à la justice dans l’architecture constitutionnelle de la RDC.

Nonobstant, il avait déclaré avoir constaté que, loin de se relever de ses faiblesses pour l’instant, la justice va encore mal s’invitant sur le banc des accusés, à la grande incompréhension et désolation des congolais.

« Chaque jour, dans tous les coins du pays, le peuple assiste abasourdi scandaleusement à des actes ou comportements de certains acteurs judiciaires ainsi qu’à des actions ou décisions judiciaires, à la limite du hasard et de la théâtralisation de la Justice, creusant davantage la méfiance devenue légendaire entre le peuple et la Justice », avait fustigé Félix Tshisekedi précisant qu’au regard des dysfonctionnements relevés tant pour ce qui concerne la Justice pénale, la Justice civile ou administrative qui sont la voie qui mène à la justice est assimilée à tort ou à raison à « un vrai chemin de la croix ».

Ainsi, il avait interpellé le Conseil Supérieur de la Magistrature à se mobiliser pour relever efficacement le défi de la régulation administrative et disciplinaire de la Magistrature.

En sa qualité de magistrat suprême, Félix Tshisekedi avait promis d’ y veiller dans le cadre de ses prérogatives. « Car, face à une telle situation, c’est lui qui devient, pour la population en danger et désespéré, comptable ou coupable de cette inaction ou de l’action désarticulée de la Justice », rapportait le porte-parole du gouvernement Patrick Muyaya, dans son compte rendu.

Pour ce faire, Félix Tshisekedi avait chargé la ministre d’État, ministre de la Justice et Garde des Sceaux de travailler avec le Conseil Supérieur de la Magistrature en activant la passerelle légale du cadre de concertation prévue à l’article 17 du Règlement Intérieur du Conseil Supérieur de la Magistrature afin de proposer une série des pistes de solution rapide.

Ce travail devrait se faire sans enfreindre l’indépendance constitutionnelle du Pouvoir Judiciaire qui bien plus qu’un droit exclusif pour les Magistrats est une garantie reconnue pour les justiciables d’avoir une justice impartiale.

En outre, l’Inspection Générale des Services Judiciaires et Pénitentiaires, comme instrument d’accompagnement du ministère de la Justice avait été enjoint à jouer son rôle de manière efficace.

Le président congolais a menacé de revisiter, au cas où le problème est structurel, les mécanismes légaux ou même institutionnels afin d’insuffler à la justice un nouveau souffle.

Carmel NDEO



Depuis le 30 juin dernier, les inscriptions au prix découverte RFI sont ouvertes aux artistes musiciens d’Afrique, caribéens et de l’océan indien. Il est destiné aux jeunes talents musicaux avec pour but de favoriser le développement de la carrière des artistes ou groupes musicaux professionnels émergents originaires et résidents dans des pays d’Afrique, des îles de l’Océan Indien et des Caraïbes et membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

Le dépôt des dossiers de candidatures se clôture le 31 juillet 2023. Et au plus tard, le 30 septembre, des collaborateurs qualifiés de France Médias Monde effectueront une première sélection d’une soixantaine de candidats. Ensuite, un collège composé de collaborateurs qualifiés de France Médias Monde et éventuellement de personnes qualifiées extérieures, sélectionne 10 finalistes parmi les candidats présélectionnés.

L’annonce se fera au plus tard le 1er novembre 2023. Parmi les candidats finalistes, le jury et les internautes désignent le meilleur candidat ou le lauréat. Cette étape aura lieu, au plus tard, le 31 décembre. 

Le Lauréat du “Prix Découvertes RFI 2023” recevra un prix d’un montant global et forfaitaire de 10.000 €. France Médias Monde fera ses meilleurs efforts pour organiser un concert promotionnel à Paris au plus tard le 31 décembre 2024.

Dans l’esprit du règlement de ce prix, on entend par “professionnels” les artistes ou groupes ayant produit ou fait produire au minimum six (6) titres, et disposant d’un site web et/ou d’une page sur un réseau social ou sur une plateforme de mise disposition de contenus en ligne, où figurent un minimum de six (6) morceaux de musique en écoute, et éventuellement des photos et vidéos.

Tout le règlement est à retrouver sur les réseaux sociaux et sites du Prix Découvertes RFI et RFI musique.

Ce prix a déjà récompensé des artistes tels que Tiken Jah Fakoly, Mav Cacharel, Rokia Traoré, Didier Awadi, Amadou et Mariam, Canjo Amissi ou Maurice Kirya. Ou encore des artistes congolais Céline Banza (2019) et en 2021, Alesh. 

Le jury, composé de professionnels, a, chaque année, à sa tête, une personnalité du monde de la musique telle que Jacob Desvarieux, Youssou N’Dour, Angélique Kidjo, Kery James, Richard Bona, A'salfo ou Fally Ipupa.

actualite.cd/CC



La Radio Télévision Nationale Congolaise a réception des matériels de retransmission de la dernière génération. La chaîne nationale s’apprête à couvrir les IX èmes jeux de la Francophonie et offrir aux téléspectateurs la meilleure qualité de l’image à la télévision.

Samedi 08 juillet 2023, la Directrice Générale de la RTNC a réceptionné le matériel. « Des cars de reportage totalement équipés, des caméras de grande production, lots complets d’équipement dernière génération pour la radio et la télévision », a réagi le ministre de la Communication, Patrick Muyaya présent lors de la cérémonie de remise officielle.

La Directrice en a profité pour lancer une blague : « Fini les images d’échographies ». La Radio Télévision Nationale Congolaise s’apprête à couvrir les IX èmes jeux de la Francophonie. Le tournoi est prévu du 28 juillet au 06 août 2023 à Kinshasa.

Actu RDC/CC

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