De bruits de corruption qui courent faisant état des soupçons de monnayage de voix par les députés provinciaux sont arrivés aux oreilles du Président de la République. Félix Tshisekedi est passé à l’étape de la sanction et garde suspendue, l’épée de Damoclès au-dessus de la tête des députés provinciaux corrompus et des Sénateurs, Gouverneurs et Vice-gouverneurs corrupteurs.

Devant ce fléau qui est devenu monnaie courante pendant les élections indirectes en RDC, le Président de la République, Félix Tshisekedi a tapé le point sur la table en échangeant, ce mardi 12 mars, avec la ministre d’Etat en charge de la Justice et Garde des Sceaux, Rose Mutombo Kiese, à ce sujet pour mettre fin cette corruption à «ciel ouvert».

Selon les informations rapportées par la Présidence, Félix Tshisekedi a, en sa qualité de gérant du bon fonctionnement des institutions, demandé Rose Mutombo d’échanger avec le Procureur général près la Cour de cassation pour qu’il puisse attirer l’attention des différents procureurs généraux sur tous ces bruits de corruption.

Au sortir de cette audience avec le Chef de l’Etat, la ministre de la Justice a indiqué que ce comportement doit s’arreter car, dit-elle, «on ne peut pas continuer à accepter une telle corruption à ciel ouvert».

«Il faut qu’il y ait des sanctions sévères pour tout celui qui sera attrapé en train de monnayer sa voix», a-t-elle declaré.

Pour les récalcitrants, la patronne de la justice congolaise a insisté sur le fait qu’ils ne pourront s’enprendre qu’à eux-mêmes. « Celui qui sera arrêté ne pourra que tirer les conséquences de son comportement».

Alors que la CENI a repoussé les scrutins des sénateurs et gouverneurs respectivement le 21 et le 28 avril prochains, l’opération de dépôt de candidatures pour les deux scrutins a déjà pris fin depuis le 08 mars dernier.

F.Joseph



La chanson « Amour assassin » de Fally Ipupa, issue de son troisième album « Power » sorti en 2013 et dédiée à l’ex-footballeur international congolais Aziz Makukula, vient de franchir le cap des 10 millions de vues sur Youtube.

Et le plus remarquable, c’est que ce titre hommage n’a jamais bénéficié de clip vidéo pour sa promotion. C’est uniquement grâce à la force du son et des mélodies de Fally que « Amour assassin » rencontre un tel écho pls de 10 ans après sa sortie.

Grâce à cette performance, El Maravillosso signe un exploit inédit pour un artiste de sa génération. Jamais un morceau dépourvu de clip issu de son troisième opus personnel et dédié à Aziz Makukula n’avait atteint un score aussi élevé sur la plateforme de streaming musical.

Preuve s’il en en besoin du talent et du génie créatif de Fally Ipupa. Même sans image, ses compositions continuent de séduire toujours plus de mélomanes à travers le monde.

mbote/CC



Si le Gouvernement n'intervient à temps, c'est-à-dire au plus tard ce jeudi 14 mars 2024,dans la paie de la rémunération des toubibs pour le mois de février de l'année en cours, ces derniers, membres du SYNAMED -Syndicat national des Médecins- vont "recourir aux actions syndicales".Alors que les conditions socioprofessionnelles des blouses blanches se détériorent, des suites de l'incertitude sur la date butoir de la paie mensuelle et de l'érosion monétaire à la base de la perte du pouvoir d'achat,le Gouvernement, lui, reste indifférent, silencieux et inactif. Un silence jugé *"coupable" par ces médecins, qui sont exposés "à une précarité indescriptible".

Les médecins membres du SYNAMED ville de Kinshasa montent au créneau. Ils présentent leur indignation et leur inquiétude, face à la détérioration au quotidien de leur situation socioprofessionnelle, sous un silence coupable et inquiétant, ainsi que l'inaction du Gouvernement de la République.

À la base de la dégradation de leur situation socioprofessionnelle, la perte du pouvoir d'achat de leur rémunération, du fait de la dévaluation monétaire, et l'incertitude sur la date butoir pour la paie mensuelle.

"Non seulement la rémunération en franc congolais a perdu plus de la moitié de sa valeur, affectant considérablement le panier de la ménagère, mais encore la date de la paie n'est jamais connue. Plus grave encore, le retard de la paie est devenu une habitude ( AVEC DES IMPLICATIONS FÂCHEUSES SUR LES MÉDECINS AYANT CONTRACTÉ DES CRÉDITS DANS DES BANQUES )", peut-on lire dans un document contresigné par le secrétaire exécutif provincial du SYNAMED ville de Kinshasa, Docteur Patrick Boloko May, et son adjoint chargé de l'administration, études et documentation, Docteur Blaise Lunzayiladio Makiese.

Ces toubibs en veulent pour preuve du retard habituel de leur paie, la non effectivité, jusqu'à ce mardi 12 mars 2024, de la paie de la rémunération pour le mois de février de l'année en cours. Cela, "sans raison ni aucune explication de la part du Gouvernement de la République. Exposant ainsi les médecins à une précarité indescriptible; loyer non payé, incapacité de nourrir la famille, les enfants chassés de l'école..."

En bons légalistes, ces blouses blanches disent se réserver "le droit de recourir aux actions syndicales, si la paie n'intervient toujours pas endéans 48 heures".

Ce qui fait craindre le retour à des grèves de triste mémoire, qui secouent et paralysent la ville et toutes les activités socioéconomiques, avec risque de radicalisation sur toute l'étendue du pays et dans les autres secteurs de la vie nationale.

Ces toubibs en veulent pour preuve du retard habituel de leur paie, la non effectivité, jusqu'à ce mardi 12 mars 2024, de la paie de la rémunération pour le mois de février de l'année en cours. Cela, "sans raison ni aucune explication de la part du Gouvernement de la République. Exposant ainsi les médecins à une précarité indescriptible; loyer non payé, incapacité de nourrir la famille, les enfants chassés de l'école..."

 

Aux autorités compétentes, donc, de faire diligence pour éviter le pire.

Bijou NDJODJI BATEKO



Les Congolais vont devoir patienter pour voir le footballeur belgo-congolais, Cyril Ngonge, rejoindre la tanière des Léopards seniors de la RDC -République Démocratique du Congo-, afin de disputer les éliminatoires de la CAN -Coupe d'Afrique des Nations- 2025, et ceux de la Coupe du Monde 2026.

Le sociétaire de Naples a avoué via le média belge, La DH, qu'il a été contacté par le sélectionneur national de la RDC, Sébastien Desabre, pour rejoindre la sélection congolaise, et qu'il avait encore besoin du temps, pour faire son choix puisqu'il ne s'est pas encore décidé sur sa carrière internationale. 

"Le coach de l'équipe nationale de la RDC m'a contacté, il y a une semaine. Je lui ai dit que mon choix n'était pas encore fait ", a déclaré l'attaquant de 23 ans.

Arrivé au Napoli l'été dernier, en provenance de Hellas Verone, Cyril Ngonge a inscrit un but en quatre rencontres disputées sous les couleurs des Napolitains.

Pour rappel, la sélection congolaise a fini 4ème de la CAN 2023, après avoir été battue par les Bafana Bafana d'Afrique du Sud aux tirs aux buts, samedi 10 février dernier. Elle a été éliminée en demi-finale par la Côte d'Ivoire, vainqueur de la compétition.

Bien avant cela, les Fauves congolais ont terminé en deuxième position du groupe F, avec 3 points, derrière les Lions de l'Atlas du Maroc. Les Congolais ont éliminé les Pharaons d'Égypte et le Syli national de la Guinée, respectivement en huitièmes et quarts de finale.

Il est à noter que les Léopards vont affronter les Lions de la Teranga du Sénégal, en juin prochain, au stade Abdoulaye Wade de Dakar, dans le cadre de la 3ème journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026. La RDC est 3ème du groupe B, avec 3 points, juste derrière le Sénégal et le Soudan qui comptent 4 unités chacun.

Gratis Makabi



Sous tous les cieux, même dans des pays dits de vieilles démocraties, les tractations et autres grandes manœuvres politiques sont engagées au lendemain des joutes électorales, dans le but, en cas de non atteinte de la majorité parlementaire par un quelconque parti ou regroupement politique, de constituer la coalition majoritaire, en vue de la formation du futur Gouvernement.

C'est également le moment pendant lequel la formation politique ayant raflé plus des strapontins à l'Assemblée nationale profite pour réclamer le grand morceau, lors du partage du butin. C'est, d'ailleurs, reconnue de nos jours comme la règle démocratique universelle. 

Et, très souvent, de tels partis politiques vont jusqu'à revendiquer, non seulement le fauteuil du Premier ministre, mais également le perchoir de la Chambre basse du Parlement, ainsi que plusieurs gouvernorats et présidences des organes délibérants de province, en plus des cabinets ministériels stratégiques et juteux au sein de l'Exécutif national.

Ceux qui n'ont pas courte mémoire rameutent encore à l'esprit les vieux -bons ou mauvais, c'est selon- souvenirs de l'ancien parti présidentiel, le PPRD -Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie-, qui, à lui seul, s'était accaparé de tout, avec Augustin Matata Ponyo comme Premier ministre, Aubin Minaku Ndjalandjoko, président de l'Assemblée nationale, Alexandre Luba Ntambo et Aimé Ngoy Mukena d'heureuse mémoire s'étaient succédé à la Défense nationale, Richard Muyej Mangez Mans et Evariste Boshab Mabudj s'étaient relayé à l'Intérieur, Patrice Kitebi aux Finances, ainsi que André Kimbuta Yango et Moïse Katumbi Chapwe, respectivement gouverneurs de Kinshasa et de l'ex- Grand Katanga. Pour ne citer que ceux-là.

À cette époque, pourtant pas si lointaine, n'échappait de nulles lèvres la rhétorique de la gourmandise ni celle de l'égoïsme collées à la peau du PPRD. Normal, diraient d'aucuns. Entendu que le parti présidentiel de l'époque en avait le droit.

Fort malheureusement et contre toute attente, depuis que Kabuya Tshilumba Augustin, dans sa casquette du président intérimaire et du secrétaire général de l'UDPS -Union pour la Démocratie et le Progrès social- [il est aussi Informateur et député national], a déclaré que la Primature, selon les assurances lui faites par le Président de la République, revient de droit au parti présidentiel, les commentaires fusent de partout et vont dans tous les sens.

Au point que les uns taxent l'UDPS d'égoïste qui ne satisfait que ses propres intérêts mesquins, au détriment des autres partis avec lesquels ils se sont battus, pour maintenir le pouvoir, en accordant un second mandat à Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo; et d'autres l'accusent, sans mettre des gants, d'être gourmande, cherchant à s'empiffrer de tout.

Même certains tabloïds, semblables à des feuilles de chou, voire des médias en ligne, s'en mêlent, en publiant des titres pompeux et sensationnels, pour se faire de l'argent ou en se faisant recruter à coups de billets verts par les pourfendeurs de l'UDPS.

Pourtant, ici, contrairement aux ambitions démesurées du parti présidentiel de l'ancien régime, l'UDPS n'entend se contenter que de la Primature, ce qui est démocratiquement légal, laissant le perchoir de l'Assemblée nationale, voire même du Sénat aux autres membres de la coalition majoritaire.

D'où vient alors que certaines mauvaises langues, sans scrupules, taxent l'UDPS d'égoïste et de gourmande ? En ne revendiquant que la Primature, ce qui lui revient, d'ailleurs, de droit, en vertu de la règle démocratique universelle sus évoquée, en quoi est-ce que le parti présidentiel a-t-il péché ? L'UDPS est l'unique formation politique au monde, qui, en dépit du fait qu'elle est en tête de la liste des formations politiques ayant raflé plus des sièges à l'Assemblée nationale, au terme des législatives nationales, n'a pas le droit de jouir des avantages et privilèges qui lui reviennent ?

Autant de questions qui valent tout leur pesant d'or, d'autant plus que sont fausses et injustifiées toutes les accusations portées contre l'actuel parti présidentiel. Des accusations dénuées de tout fondement, et visiblement répandues via une campagne de sape et de dénigrement, dans le seul but de diaboliser et de salir l'UDPS aux yeux de l'opinion nationale, afin que celle-ci puisse l'exécrer et la vomir.

Compte tenu de ce qui précède, l'UDPS n'est décidément pas égoïste ni gourmande. Trêve donc d'exagération.

Bijou NDJODJI BATEKO



À l'occasion de la Journée mondiale de l'audition le 5 mars, centrée sur les problèmes engendrés par les idées fausses et la stigmatisation dans la société, notamment le manque de sensibilisation et d'informations précises auprès du grand public et des professionnels de santé, l'OMS a tenu à rectifier certaines idées reçues erronées concernant les soins des oreilles et de l'audition.

Selon l'OMS, voici les pratiques à éviter pour maintenir une bonne audition :

  • Nettoyer le cérumen ;

Réalité : Les oreilles se nettoient naturellement.

  • Traiter la douleur auriculaire avec un remède maison ;

Réalité : Consultez un professionnel de santé.

  • Utiliser des cotons-tiges pour les oreilles ;

Réalité : Ils sont déconseillés pour le nettoyage des oreilles.

  • Considérer l'écoulement auriculaire comme un léger désagrément ;

Réalité : C'est une urgence médicale.

L'OMS souligne que, à l'échelle mondiale, plus de 80 % des besoins en soins auriculaires et auditifs ne sont toujours pas satisfaits. Les idées fausses profondément ancrées et les attitudes stigmatisantes sont des obstacles majeurs à la prévention et au traitement de la perte auditive. Il est crucial de changer ces perceptions pour améliorer l'accès aux soins auriculaires et auditifs et réduire l'impact de la déficience auditive non traitée.

Thérèse Ntumba



La RDC est toujours confrontée à une insécurité grave dans sa partie Est. Ces hostilités persistantes ont causé d'innombrables pertes humaines, le bilan dépassant sûrement le million depuis près de 30 ans. Face à cette situation, la priorité absolue des autorités congolaises est de trouver une solution.

Depuis son accession au pouvoir, Félix Tshisekedi a mis l'accent sur la diplomatie comme moyen de résolution. Malgré l'évidence du soutien du Rwanda au M23, principal groupe armé responsable des troubles dans cette région des Grands Lacs, aucune ombre de sanction ne pèse actuellement sur le Rwanda, contrairement à la Russie pour son agression de l'Ukraine. Cette situation laisse supposer un soutien extérieur au Rwanda, qui dépasse même les frontières du continent africain. Africain ou non, les Congolais aspirent à une chose : la paix.

De multiples processus de paix ont été tentés sans succès jusqu'à présent. Récemment, le président congolais Félix Tshisekedi a été reçu par son homologue angolais, Joao Lourenço, médiateur de l'Union africaine pour cette crise. Cette rencontre a abouti à un accord de principe pour une discussion directe entre le Président Tshisekedi et le président rwandais Paul Kagame. Cependant, Kinshasa a rejeté l'idée de dialoguer avec le mouvement rebelle M23.

actualite.cd/CC



 
 

L’AS VClub offre son hospitalité, ce mercredi 13 mars, au FC Lupopo au stade des Martyrs de Kinshasa, en match de la 3e journée de la phase de Play Off du championnat national de football de la RDC.

Alors que le même mercredi le TP Mazembe recevra l’AS Maniema Union au stade de Kamalondo tandis qu’à coté de là le stade Kibasa Maliba servira de cadre pour la rencontre SC Don Bosco-Lubumbashi Sport.

Entre-temps, l’As Maniema Union mène la barque avec six unités, suivie du TP.Mazembe (4 points), ex-aequo avec l’AS VClub (4 points), le FC Lupopo (2 points), Les Aigles du Congo (2 points), Dauphins noirs (1 point), Don Bosco (1 point) et Lubumbashi Sport (0 point).

Les deux premiers de cette phase joueront la Ligue des champions de la CAF alors que le troisième sera automatiquement qualifié à la Coupe de la Confédération de la CAF, la saison prochaine.

radiookapi.net/CC



Des athlètes congolais ayant pris part aux XIIIes Jeux africains d'Accra 2024 (Ghana) ont exigé, lundi 11 mars, le paiement de leurs frais de mission avant de retourner à Kinshasa.

Ils ont exprimé leurs mécontentements lors de leurs entretiens devant les médias, dans la capitale ghanéenne.

Ces athlètes regrettent également d’avoir été abandonnés à leur triste sort au pays de Kwame Nkrumah.

« Nous sommes dans le regret total parce que nous sommes arrivés ici le 1er mars avec beaucoup de difficultés. Et depuis qu’on est là, le ministère a autorisé que la fédération puisse prendre des engagements pour qu’on puisse compétir parce qu’on avait des dettes que l’Etat n’a pas payées. A un jour de notre retour à Kinshasa, on n’a rien en main et on nous demande de quitter le village et d’aller dans des hôtels où on ne nous connait pas. Donc on a besoin de notre argent et s’il n’y a pas d’argent, on ne quittera pas Accra », a fait savoir l’entraineure des Léopards dames karaté, Nancy Tshiaba.

Elle se demande également comment, sans moyens financiers, la délégation d’athlètes congolais va quitter le village des jeux pour faite un quelconque déplacement :

« Comment se rendre à des hôtels, où on ne nous connait pas et puis à l’aéroport. Comment est-ce qu’on va quitter ici jusqu’à l’aéroport et partir à Kinshasa, comment est-ce que cette équipe va quitter l’aéroport de Kinshasa pour les mais alors qu’il y a des athlètes qui viennent des provinces. Et puis on a des écoliers parmi nous ».

Ces ambassadeurs congolais aux Jeux d’Accras exigent d’être payés à mains propre et non via les banques.

Intervenant sur la chaine nationale, RTNC, le ministre des Sports, Claude François Kabulo Mwana Kabulo a assuré que ces athlètes recevront leurs frais de mission une fois arrivés à Kinshasa.

radiookapi.net/CC



La CAF -Confédération Africaine de Football- a procédé au tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des Champions, ce mardi 12 mars 2024, au Caire, en Egypte.

Unique représentant de la RDC -République Démocratique du Congo- resté aux interclubs de la CAF, le Tout-puissant Mazembe va croiser l'Atletico Luanda d'Angola. Le match aller est prévu le vendredi 29 mars, à Lubumbashi, et le match retour le samedi 06 avril, à Luanda.

Pour rappel, la team noir et blanc de Lubumbashi a fini deuxième du groupe A, avec 10 points, derrière le Mamelodi Sundowns d'Afrique du Sud, qui a terminé avec trois unités de plus. Les Englebertois ont réussi à finir devant le Pyramids FC d'Égypte, club où évolue l'avant-centre congolais, Fiston Mayele Kalala.

 Gratis Makabi

A Propos

www.culturecongolaise.com

Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

Derniers Articles