L'international congolais, Joyce Lomalisa Mutambala est courtisé par la Renaissance Sportive Berkane du Maroc et Azam FC de la Tanzanie.

D'après les informations relayées par nos confrères de footcd, le latéral gauche a communiqué aux dirigeants de Young Africans sa volonté de quitter le club, à l'issue de ce mercato estival.

De son côté, le board de Yanga s'étonne de cette décision au regard des relations qui liaient les deux parties, et envisagerait prolonger le contrat de l'ancien sociétaire de l'AS VClub.

Arrivé au club de Dar es Salaam l'été dernier en provenance de Sagrada Esperança d'Angola, Joyce Lomalisa a remporté le championnat tanzanien et a disputé la finale de la Coupe de la Confédération CAF cette saison avec Young Africans.

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Le Daring Club Motema Pembe (DCMP) a dorénavant une section féminine de football, et ce, 87 ans après sa création par le missionnaire de la congrégation des Scheutistes, le Révérend père Raphaël de la Kethulle de Ryhove.

La cession a été conclue, le vendredi 16 juin 2023, avec l'ASF Espoir de Kinshasa. Les immaculées vont évoluer sous le nom de DCF Motema Pembe.

Fondé 1936 sous l'appellation de Daring Faucon, le DCMP a remporté la Coupe d'Afrique des vainqueurs de coupe en 1994 devant les Kényans de Kenya Breweries.

Les immaculés ont gagné 5 trophées de Ligue Nationale de Football (Linafoot), 14 Coupes du Congo, ainsi que l'Entente Provinciale de Football de Kinshasa (Epfkin) à 20 reprises.

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Les internationaux congolais, Meschack Elia et Jonathan Bolingi pourraient manquer l'affiche qui va s'opposer aux Léopards de la RDC aux Panthères du Gabon, ce dimanche 18 juin prochain, au stade de la rénovation de Franceville, dans le cadre de la 5ème et avant- dernière journée des éliminatoires de la CAN 2023. La rencontre est prévue à 18h00, heure de Kinshasa.

D'après les informations venues de Douala où les Fauves congolais ont effectué leur scène, ces deux anciens sociétaires du Tout-puissant Mazembe ont été touchés récemment à l'entraînement et seraient incertains à 90% pour contester cette rencontre cruciale.

Les poulains du sélectionneur national, Sébastien Desabre vont devoir s'imposer sur le sol gabonais afin de garder leur chance de qualification pour la prochaine fête du football africain. Un match nul va amoindrir les chances des congolais, et une défaite les mettre complètement hors course.

Après 4 journées contestées, la RDC occupe la dernière place du groupe I avec 4 points, derrière le Gabon, le Soudan, et la Mauritanie qui comptent respectivement 8, 7 et 5 unités.

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L’artiste Musicien Fally Ipupa fait tomber les records. L’ancien du groupe Quartier Latin de Koffi côtoient le summun avec son album Formule 7 sur les plateformes de streaming et sur YouTube. Six mois après la sortie de son album Rumba, Fally Ipupa est au cœur de l’actualité culturelle.

Avec 120 millions de vues, l’album Formule 7 propulse davantage Ipupa en hauteur. Les titres Éternité, Bakalos, Marlene et bien d’autres sont consommés par les mélomanes comme des petits pains en temps de crise alimentaire. Décidément, avec Fally, les heures de saveurs sont sans limites.

Actu RDC/CC



Les Léopards de la République Démocratique du Congo (RDC) croisent ce dimanche 18 juin les Panthères du Gabon en match comptant pour la 5ème journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), Côte d’Ivoire 2023.

Les Fauves Congolais sont au vert depuis presque une semaine à Douala au Cameroun pour affûter les griffes en vue de cette importante rencontre qui va déterminer de la suite de leur participation à cette compétition et les soutiens arrivent de partout notamment celui de Jean-Florent Ibenge Ikwange, l’ancien sélectionneur.

« Nous devons être à fond derrière cette équipe pour qu’elle nous ramène les trois points», a-t-il confié à FOOT.CD.

La situation est simple pour les protégés de Sébastien Desabre qui doit l’emporter pour continuer à espérer pour une possible qualification pour la grande messe du football continentale. Un autre résultat autre que la victoire écartera les Congolais à la course à cette CAN.

Michel TOBO



Barbe grisonnante, sourire aux lèvres, Joseph Kabila semble détendu quand il salue ce vendredi les caciques, ceux qui sont restés fidèles après les nombreux départs que lui, son parti et son regroupement politique ont subis. La rencontre se déroule au Mont Ndeke, à Kingakati. 

Les accolades et les photos terminées, en chef de file, il prend place devant ses proches et adopte un ton ferme. Comme il l’avait déjà répété aux rares personnes qui l’avaient précédemment rencontrées, il a dressé un tableau sombre du pays, un pays en crise, a-t-il décrit. Selon les participants contactés par ACTUALITE.CD, il a parlé de la nécessité pour la RDC de survivre, mais n’a pas donné clairement sa position sur les élections. Il a laissé entendre qu’il n’a pas pris sa retraite politique et a promis de s’adresser incessamment à la population.

C’est depuis le début de l’année qu’il hésite à prendre la parole publiquement. Il avait annoncé une rencontre avec quelques journalistes triés sur le volet, le rendez-vous était prévu pour le premier trimestre, mais il ne s’est pas concrétisé.

Les questions qui se posent aujourd’hui au sujet du sénateur à vie semblent simples: quel avenir politique pour l’ancien président ? Va t-il rejoindre la rue comme les autres opposants ? La poignée de mains entre lui et Moïse Katumbi en juin 2022, à Lubumbashi, avait fait le tour du web congolais. Certains voyaient en cette accolade, le signe d’un rapprochement, d’une réconciliation. Cependant, les deux hommes ont gardé leur distance, selon leur entourage. Le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), la formation politique dirigée par Joseph Kabila n’a pas rejoint la dynamique de Lubumbashi. Il n’a même pas participé aux opérations d’enrôlement des électeurs. Quand bien il partage les mêmes critiques contre la Commission électorale, il n’est pas loin d’un schéma du boycott.

« Ceux qui se sont réunis à Lubumbashi sont dans une démarche interne au processus électoral. Ils sont dans un bateau qui a quitté le quai. Nous sommes restés sur la terre ferme. Nous ne sommes pas partie prenante à ce processus électoral », a expliqué à ACTUALITE.CD un cadre du PPRD présent à la rencontre de Kingakati dans les conditions actuelles décriée par le FCC.

actualite.cd/CC

 

 

 
 


Elle a commencé son combat pour les droits des filles à l’âge de 13 ans. Blessing Kasasi voudrait mettre en place un centre qui va axer ses activités sur l’éducation et la promotion des droits et devoirs de ces dernières.  Ce 15 juin, elle s’est entretenue avec le Desk Femme d’Actualité.cd

Bonjour  Blessing Kasasi et merci de nous accorder de votre temps. Pouvez-vous nous parler de votre parcours et vos activités ?

Blessing Kasasi : cela va faire deux ans que je me suis engagée dans la lutte pour la défense et la promotion des droits des enfants en général et en particulier pour l’éducation des jeunes filles et leur leadership dès le bas âge. Je suis élève en deuxième humanité Littéraire au Lycée Tobongisa (Commune de Ngaliema). Je projette de m’inscrire en communication des organisations et des entreprises après mon diplôme d’Etat.  

Défenseure des droits des filles à 15 ans, qu'est-ce qui vous a motivé à intégrer ce secteur ?

Blessing Kasasi : ma motivation est venue d’un constat. En RDC, de nombreuses filles n'ont pas accès à l’éducation malgré les textes juridiques qui existent et garantissent ce droit. Et celles qui avaient l’opportunité d’étudier ont moins de chances d’aller plus loin avec leurs études par manque de moyens et de soutien au niveau de la société. Il y a deux ans, j’ai pris l’initiative de sensibiliser, d’interpeller, de questionner les autorités, les parents et les filles autour des questions de bien-être et des droits des enfants. Les jours avançaient et je me suis rendue compte d’énormes obstacles pour les filles. C’est ce qui m’a permis de définir clairement mon engagement. J’ai également participé à de nombreuses conférences, tables ou ateliers en lien avec les droits des femmes, chose qui a apporté un plus à la définition de mon combat. 

Pouvez-vous revenir sur vos réalisations?

Blessing Kasasi : Je participe aux débats télévisés, aux interviews, aux émissions sur différentes plateformes médiatiques. Les dernières en date sont les émissions enregistrées à l’occasion de la journée internationale de sensibilisation à l’albinisme. J’ai partagé ma propre expérience, celle d’avoir une peau différente, j’ai parlé de mes compétences et de mes réalisations et nous avons également eu des échanges sur le rôle de la société dans l’éducation des filles dans un monde numérique.  Je suis initiatrice d’un mouvement dénommé Akhetu-A-Ndando (femme de valeurs en langue Pende de l’ex Grand Bandundu). L’année dernière, nous avons organisé une journée portes ouvertes sur les droits des enfants et devoirs des parents. Dans les prochaines semaines, nous allons organiser une matinée de sensibilisation autour de l’hygiène menstruelle. Je dispose aussi d’une chaîne YouTube Blessing KBL TV où je poste des vidéos de motivation à l’égard des enfants et des jeunes filles. 

Quelles sont vos sources d'inspiration ?

Blessing Kasasi : deux femmes leaders m’inspirent. La pilote congolaise Mamitsho Pontshi (par sa détermination à toujours donner le meilleur d’elle-même, sa communication positive et son coaching) et la Reine Elizabeth II (qui est décédée l’année dernière.  J’ai été marqué par son sens du pouvoir).  

Comment vous imaginez-vous dans les 10 prochaines années, comment comptez-vous vous y prendre pour réaliser vos ambitions ?

Blessing Kasasi : en ce moment j’investis dans la communication de mes ambitions et mes objectifs. Je travaille pour faire connaître les droits des filles à ceux qui  les ignorent encore. Et je sais que des actions à grand impact vont suivre. J’utilise les canaux médiatiques et je prévois des activités de terrain. Dans 10 ans, je me vois en tant qu'une femme  qui aura impacté sa société et continue à le faire dans le monde. Je me vois également en tant qu’accompagnatrices des jeunes filles et des enfants vers l’accomplissement de leurs rêves. Pour y arriver, grâce à Dieu, je compte créer des clubs et un grand centre dans les milieux moins développés de la RDC et qui offriront des formations dans l’entrepreneuriat, l’art oratoire (pour encourager les filles à s’exprimer librement sur leurs ambitions), l’élaboration des projets. Mon public cible, ce sont les enfants et les jeunes filles vulnérables en situation de handicap.  

Un dernier mot ?

Blessing Kasasi : je voudrais encourager chaque acteur et actrice œuvrant pour la justice sociale à poursuivre ce combat avec l’espérance que nos efforts seront couronnés. Je voudrais dire aux filles de ne jamais se sous-estimer, ne jamais donner de la place à la médiocrité, au manque de confiance car nous sommes capables de rêver grand et de réaliser ces rêves. Aux autorités, pour réaliser nos objectifs, nous avons besoin de votre soutien, votre accompagnement sans lequel rien ne marchera. Soutenez les filles pour que soit assuré l’avenir de la RDC. 

Propos recueillis par Prisca Lokale

 


Les cadres de santé du Maniema et leurs partenaires procèdent depuis le jeudi 15 juin à Kindu, à l'évaluation de la campagne de vaccination contre la poliomyélite menée du 1er au 3 juin dernier.

Selon le médecin coordonnateur du Programme élargi de vaccination (PEV) Kindu, Dr Mulumba Omari, cette rencontre permettra de vaincre les forces et faiblesses constatées afin d'améliorer les prochaines campagnes :

« Dans cette salle, nous sommes réunis pour évaluer la campagne contre la polio qui était organisée sur toute l'étendue de la province au début du mois de juin. Nous allons passer en revue les activités telles qu'elles ont été proposées avant la campagne d'abord, pendant et après la campagne. Et chaque zone de santé devra nous présenter les forces c'est-à-dire ce qui a concouru à l'obtention des résultats, les faiblesses c'est-à-dire les choses qui n'ont pas marché pour qu'ensemble nous pouvoir voir ce qui n'a pas marché et puis essayer un peu de trouver des pistes de solutions pour améliorer les prochaines campagnes ».

Selon lui, un plan de redressement, tenant compte de toutes les faiblesses constatées lors de la mise en œuvre de cette campagne, sera élaborée.

Ce plan de redressement servira de feuille de route qui va être mise en œuvre en interface pour améliorer la prochaine phase de la campagne de vaccination contre la poliomyélite, a conclu le Dr Mulumba.

radiookapi.net/CC



Plus de mille cinq cents cas de rougeole ont été notifiés en l’espace de quatre mois dans la zone de santé de Nia-Nia, à environ 300 kilomètres de la ville de Bunia, dans le territoire de Mambasa (Ituri).

Selon le médecin chef de zone de cette entité, cinquante personnes dont 46 enfants sont déjà décédés faute d’une prise en charge correcte face à cette maladie.

Selon plusieurs sources locales, chaque semaine,  la zone de sante de Nia Nia enregistre au moins quatre ou six morts dus à la rougeole dans plusieurs structures sanitaires.

C’est par exemple Afia, Alimasi, Bafwabango, Badengaido,et Bafwamikengele.

Les structures sanitaires notamment à Badengaido sont débordées de malades.La plupart sont des enfants de deux mois à 15 ans.

D’autres centres de santé et hôpitaux qui se trouvent aux alentours de ce centre de négoce reçoivent également de nombreux patients affectés par cette pathologie.

Selon le médecin chef de zone, 1 500 malades sont déjà identifiés dont 46 enfants décédés le mois de février.

« Tous ces cas sont des cas suivis. A part ces cas, il y a d’autres qui sont dans la communauté, soumis à l’automédication. La prise en charge se fait au niveau des structures sanitaires. Mais chacun fait comme il veut parce qu’on n’a pas même de kits de traitement. Le message c’est le plaidoyer pour qu’on puisse envoyer un appui à l’équipe de traitement », indique le Dr Joseph Pemanakuwe.

La population demande aux autorités sanitaires et leurs partenaires d'initier des campagnes de vaccination porte à porte pour réduire les cas de mortalité infantile dans la zone.

radiookapi.net/CC



L’Assemblée nationale et le Sénat vont clôturer ce jeudi 15 juin la session ordinaire de mars. Au total, 90 matières avaient été retenues pour examen dans le calendrier des travaux adopté par les députés lors de la séance de mardi 21 mars. A la clôture de cette session, seuls 20 textes de loi ont été examinés, soit 22% des matières programmées.

Le calendrier de la session de mars adopté à l’Assemblée nationale avait prévu neuf matières non-législatives, trois textes de loi transmis au Sénat pour examen, 57 arriérées législatifs et 20 nouvelles matières.

Au cours de ces trois dernières mois, l’Assemblée nationale a tenu 32 séances plénières :

  • 4 en mars
  • 11 en avril
  • 9 en mai
  • 8 en juin.

Une vingtaine des matières ont été examinés sur les 90 programmées. Il y a notamment l’examen et adoption de 8 projets de loi de ratification en exécution de la loi d’habilitation du Gouvernement.

La loi Tshiani et Pululu dite « de père et de mère », ayant défrayé la chronique, n’a pas été soumise à l’examen.

Au chapitre du contrôle parlementaire, la revisitation du contrat chinois annoncée avec pompe par le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso, lors de l’ouverture de cette session, n’a pas été faite de manière attendue.

Seule l’interpellation d’un mandataire public, le directeur général de la Société nationale d’électricité (SNEL), a été débattue jusqu’à la déchéance de Fabrice Lusinde, qui n’avait passé que trois mois de gestion à la tête de la SNEL.

radiookapi.net/CC

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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