Le Chef de l’État Félix Tshisekedi a au cours de la 77ème réunion du conseil des ministres tenue vendredi 18 novembre, insisté sur l’exigence pour les mandataires publics récemment nommés, d’avoir dans leur travail une conduite managériale basée sur la bonne gouvernance.

Lors de sa prise de parole pendant cette réunion du gouvernement, le Président de la République a tout d’abord évoqué la nécessité pour chaque établissement étatique, de jouer un rôle important dans le développement socio-économique de la nation, quel que soit son objet social ou encore sa localisation géographique. Avant d’épingler les résultats du travail régulier et le comportement hautement professionnel qu’il attend de tous les nouveaux mandataires dans l’exercice de leurs fonctions.

Pour Félix Tshisekedi, les résultats du travail acharné attendus des différents mandataires des établissements publics devront se manifester par l’amélioration de la qualité des prestations et des services rendus aux usagers par la réalisation de leur objet, le respect des obligations sociales envers les travailleurs, la transformation réelle du potentiel d’exploitation et de production des actifs de tous genres, l’atteinte des seuils de rentabilité afin d’avoir des marges de trésorerie positives pour accroître leurs actifs et leur capacité contributive au budget de l’État.

Par ailleurs, il a mis en garde les nouveaux mandataires publics quant aux insertions publicitaires et interventions médiatiques intempestives, qui pour lui ne constituent nullement un gage des performances managériales. Ainsi, il a invité Adèle Kahinda, ministre du Portefeuille ainsi que tous les ministres sectoriels ayant sous-tutelle des établissements et des services publics à veiller sur l’intérêt général comme fondement du pouvoir de tutelle, tout en évitant les entraves dans l’exercice des fonctions des mandataires tel que relevé lors de la communication du Président de la République à la 65 ème réunion du Conseil des ministres du 19 août dernier.

Pour rappel, depuis mardi 15 novembre dernier, Félix Tshisekedi a procédé dans une série d’ordonnances, à la nomination de nouveaux mandataires à la tête de 24 établissements publics.

Parmi les établissements publics ciblés par ces nominations y figurent le Fonds national de promotion de service social, le Transport académique (TRANSCADEMIA), la Société nationale d’assurances (SONAS), le Transport du Congo (TRANSCO), la Société nationale des hydrocarbures du Congo (SONAHYDROC), la Compagnie sucrière de Kwilu Ngongo, le Fonds de promotion de l’éducation et de formation (FPEP), l’Office de voirie et drainage (OVD), la Radio télévision nationale congolaise (RTNC), la Caisse générale d’épargne du Congo (CADECO), la Société aurifère du Kivu et du Maniema (SAKIMA), la Direction générale des corridors de développement industriel (DGCDI), l’Agence des zones économiques spéciales (AZES), la Foire internationale de Kinshasa (FIKIN), l’Institut national de préparation professionnelle (INPP), l’Agence congolaise de grands travaux (ACGT), l’Agence nationale pour la promotion des investissements (ANAPI), la Caisse nationale de sécurité sociale des agents publics de l’État (CNSSAP), l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé (ARSP), le Centre d’expertise d’évaluation et de certification (CEEC), la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN), l’Autorité de régulation de l’aviation civile (ARAC), ainsi que le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC).

Monge Junior Diama

 

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Avec cinq représentants au Qatar, le foot africain va-t-il enfin faire sauter le plafond de verre des demi-finales ? Le Sénégal, même sans Sadio Mané, et le Maroc ont peut-être des joueurs pour l’exploit, tandis que trop d’incertitudes entourent le réel potentiel du Ghana, du Cameroun et de la Tunisie.

L’Afrique a très tôt connu la Coupe du monde avec la première représentante du continent, l’Égypte, qualifiée au deuxième Mondial de l’histoire (1934). Depuis, douze autres pays africains se sont invités à la plus prestigieuse compétition de football mondial sans parvenir à atteindre le dernier carré. Et seuls trois pays, le Cameroun (1990), le Sénégal (2002), et le Ghana (2010) ont pu se hisser en quarts de finale.

Le Qatar marquera-t-il la fin de la traversée du désert du foot africain dont aucun représentant n’avait franchi le premier tour lors de la dernière Coupe du monde en Russie ? Tour d’horizon des forces africaines.

Sénégal : la vie sans Sadio Mané

Avant la blessure de son leader Sadio Mané, deuxième du dernier Ballon d’Or, le Sénégal apparaissait, pour sa troisième participation, comme la meilleure chance africaine d’aller le plus loin possible. Pour autant, les Lions, champions d’Afrique en titre, possèdent un groupe qui peut rêver d’exploit même sans leur numéro 10. « On a un objectif en tête. Je ne vais pas vous le dire, mais c'est ambitieux, très ambitieux, a confié le milieu de terrain sénégalais, Pape Guèye à la veille du coup d’envoi du Mondial. On a des top joueurs, qui sont dans des grands clubs. Donc pourquoi ne pas rêver comme la France, l'Espagne ? ». Avec le capitaine Kalidou Koulibaly, le gardien Édouard Mendy, et le milieu Gana Gueye, le Sénégal possède assez d’expérience pour sortir sans dommage de la poule A qu’il partage avec le pays hôte, le Qatar, l’Équateur et les Pays-Bas. Le premier match face aux Hollandais donnera des indications sur le potentiel des Lions sans Mané, mais avec des armes offensives incarnées par Ismaïla Sarr ou Bamba Dieng. Après avoir fait sauter le plafond de verre de la CAN avec une première victoire historique, le Sénégal croit plus que jamais en son étoile.

Maroc : Du talent, mais du lourd en face

Le Maroc va disputer sa sixième Coupe du monde, emmené par une génération talentueuse, mais qui peine à confirmer les espoirs placés en lui depuis quelques années. Les Lions de l’Atlas, dirigés désormais par Walid Regragui après le limogeage de Vahid Halilhodzic, vont devoir, cette fois, montrer toute l’étendue de leur talent pour espérer sortir du groupe de la mort qu’ils partagent avec la Croatie (vice-championne du monde), la Belgique (2e au classement Fifa), et l’inconnu canadien emmené par l’attaquant Jonathan David. Les Marocains peuvent compter sur leurs leaders techniques comme Achraf Hakimi ou Hakim Ziyech, auteur d’un but splendide en match amical contre la Géorgie jeudi dernier. Éliminés dès le premier tour en 2018, sans être ridicules, mais plombés par l’inexpérience face au Portugal, l’Espagne et l’Iran, les Lions de l’Atlas savent à quoi s’attendre pour passer en huitièmes de finale et rêver plus grand.

Ghana : la belle surprise ?

Ceux qui sont restés sur l’image du Ghana, humilié et sorti au premier tour de la CAN 2022, risquent de ne pas reconnaître les Black Stars de cette Coupe du monde. D’abord, l’équipe d’Otto Addo s’est vite remise à l’endroit en éliminant le Nigeria en barrages de la Coupe du monde. Mais surtout, elle s’est offerte du sang neuf avec cinq binationaux, dont l’attaquant de l’Athletic Bilbao Inaki Williams, qui ont rejoint le groupe pour le Mondial. Ce renfort de qualité redessine un Ghana new-look, plus ambitieux et toujours porté par l’infatigable Thomas Partey et les frères Ayew, Jordan et André. Ce dernier, désormais recordman des sélections (110), reste le seul joueur présent à avoir vécu le Mondial 2010 où le Ghana avait frôlé la première demi-finale d'une équipe africaine dans un Mondial. Asamoah Gyan avait manqué dans les dernières minutes le penalty consécutif à la fameuse main de Luis Suarez. Justement, le Ghana retrouvera l’Uruguay dans sa poule qu’il partage aussi avec la Corée du Sud et le Portugal.

Tunisie : l’énigme des Aigles de Carthage

Dans une poule composée de la France, du Danemark et de l’Australie, la Tunisie devra être à un niveau jamais atteint ces dernières années pour espérer franchir le premier tour. Les Aigles de Carthage qui n’ont jamais réussi à se qualifier au second tour en cinq participations au Mondial, n’ont pas, pour l’instant, donné des gages d’un futur exploit dans cette compétition. Quarts de finaliste de la dernière CAN avec un style assez défensif, prôné par le technicien de Jalel Kadri, les Aigles de Carthage ont très souvent montré leurs limites offensives ces derniers mois, même si les talentueux Youssef Msakni et Wahbi Khazri sont encore la partie. Le premier match contre le Danemark, demi-finaliste du dernier Euro, renseignera sur les capacités de cette équipe tunisienne à enfin franchir le premier tour d’un Mondial.

Cameroun : éloigner d’abord les mauvaises ondes

Une « finale Cameroun-Maroc », c’est le doux rêve de l’ancien attaquant des Lions indomptables, Samuel Eto’o, aujourd’hui président de la Fédération camerounaise de football. Mais son équipe devra garder les pieds sur terre pour sortir d’un groupe composé de la Suisse, de la Serbie, et du grand favori de la compétition, le Brésil. Géant d’Afrique (5 CAN remportées), recordman africain des participations au Mondial (8), le Cameroun a l’expérience, le talent pour créer l’exploit. Mais avec les Lions indomptables, les problèmes, c’est souvent en dehors du terrain. Si l’épineuse question des primes n’est pas venue, pour l’instant, perturber la sélection, le débat sans fin sur l’absence de la liste du défenseur historique, Michael Ngadeu, a animé la préparation de l’équipe, déjà en proie avec la polémique sur les maillots. Pour autant, à l’image de leurs anciens, quart de finalistes en 1990, ces Lions emmenés par une attaque séduisante (Aboubakar, Choupo-Moting, Toko Ekambi), peuvent nourrir le rêve secret de se qualifier et de voir venir. À condition d’avoir déjà réglé la question avant leur troisième match de poule contre le Brésil…

Ndiasse Sambe

 



Après son passage glorieusement réussi au Maroc avec la Renaissance sportive de Berkane avec qui il a remporté deux titres dont la Coupe de Confédération de la CAF et la Coupe de trônes du Maroc, Jean-Florent Ibenge vient de remporter un autre trophée au Soudan.

L’ancien entraîneur de l’AS V.club de Kinshasa a remporté lundi 14 novembre 2022 la Coupe du Soudan en s’imposant face à Al Alhy de Khartoum (4-3) à la séance de tirs au but.

Il sied de rappeler que 3 mois seulement après son arrivée à la tête de Al Hilal Omdurman , Ibenge a déjà qualifié le club soudanais en phase des groupes de la ligue des Champions de la CAF.

mediacongo/CC



Le 24 septembre, Denis Kadima Kazadi, Président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), annonçait urbi et orbi que le calendrier électoral sera publié d’ici deux mois. Après des calculs savants, cela veut donc dire au plus tard le 24 novembre. Dans sa feuille de route du 3 février, la CENI renseigne que les scrutins directs seront organisés entre les mois de septembre et décembre 2023.

D’après mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la déglinguée, nombreux sont ceux qui doutent que les élections soient organisées dans les délais constitutionnels. Ceci expliquant cela, des experts autoproclamés en matière des élections et tous ceux qui se reconnaissent comme tels, affirment la main sur la tête que le processus électoral connait un retard d’au moins une année. Enfer et damnation !

L’histoire a la fâcheuse tendance à se répéter dans notre pays convoité par tous les pays voisins et la Chine.  Plus ça change, plus c’est la même chose. Saperlipopette !

Les élections passées devaient se tenir en 2016. Les délais n’ont pas été respectés, ce qui a déclenché une grave crise socio-politique. Finalement l’Accord politique global et inclusif du Centre interdiocésain de Kinshasa, signé le 31 décembre 2016, a calmé le jeu. Il a prévu un scrutin combinant la présidentielle, les législatives nationales et provinciales en décembre 2017. Ces scrutins furent ensuite reportés au 23 décembre 2018 conformément au calendrier électoral du 5 novembre 2017. Peu de temps après, rebelote, la CENI reporte à nouveau les scrutins au 30 décembre 2018. Stupeur et tremblements ! 

Comme si cela ne suffisait pas, la CENI a commencé le travail du présent cycle électoral avec un grand retard. Les religieux qui devaient désigner les responsables de la CENI ont gaspillé plusieurs mois dans des discussions oiseuses sur le sexe des anges ou plutôt sur la tribu des anges. C’est finalement le 20 mars 2021 que les calotins se mirent d’accord pour désigner le boss de la CENI.

Ordre fut donné à chaque confession religieuse de procéder à une présélection des candidatures recueillies pour en retenir trois à présenter à la plénière. Un mano a mano s’engagea. Ils se querellèrent comme des chiffonniers. Ils se crêpèrent le chignon ! Cette  expression est habituellement réservée aux dames. Mais comme les religieux portent aussi des robes ou soutanes, c’est du pareil au même.

Malgré le retard, Dénis Kadima promet d’organiser les élections dans les délais. Il aurait trouvé un moyen de se rattraper. Devant l’éventualité d’un report des élections, d’aucuns affirment que Fatshi doit quitter le pouvoir  dans les délais constitutionnels, c’est-à-dire au plus tard le 23 janvier 2024. Une période de transition sera décrétée. C’est vouloir guérir le mal par le mal !

Le pays sera alors dirigé par une personnalité neutre ou par le Président du Sénat qui devra organiser les élections dans les quatre mois.  Sapristi !

Le mensonge a aussi une durée de péremption.

D’après mon ami qui sait tout, l’article 70 de la constitution dispose que le Président de la République est élu au suffrage universel direct pour un mandat de cinq ans renouvelable une seule fois.

A la fin de son mandat, le Président de la République reste en fonction jusqu’à l’installation effective du nouveau Président élu.

Comme Dénis Kadima a trouvé un raccourci pour organiser les élections, il vient d’annoncer le début de l’enrôlement  des électeurs en décembre prochain dans  la première zone d'opération qui comprend les provinces de Kinshasa, Kongo Central, Kwango, Kwilu, Maï-Ndombe, Équateur, Nord-Ubangi, Sud-Ubangi et Tshuapa.

La province de la Mongala devra patienter. C’est comme l’œuf de Christophe Colomb, il fallait y songer ! Nous attendons avec beaucoup de patience la publication du calendrier électoral.

On dit chez nous que si pressée soit la mouche, elle doit attendre que sorte l’excrément.

Gaston Mutamba Lukusa



Au total, 39 perroquets gris ont été saisis dans le territoire de Kasongo en province du Maniema par la Police et le service d'environnement, le lundi 14 novembre 2022. L'information a été livrée à 7SUR7.CD ce mercredi par l'administrateur dudit territoire, Kingombe Kitenge Benoît. Ce dernier félicite à juste titre ces services pour ce joli coup de filet.

« Les malfrats se sont permis d'aller comme ils le font toujours attraper les perroquets pour le trafic. Nous avons été alertés par des sources sûres et nous, à notre niveau, nous avons vite relayé auprès du superviseur de l'environnement au niveau de Bikenge avec la police locale. Ils ont mis la main sur ces malfrats dont 2 ont fuit », a dit l'administrateur du territoire de Kasongo, Kingombe Kitenge Benoît.

Par ailleurs, cette autorité locale a indiqué que tous ces perroquets gris ont été remis à un agent de l'Institut congolais pour la conversation de la nature (ICCN).

Il convient de signaler qu'au Maniema, la pratique du trafic clandestin des perroquets ne cesse de prendre de l'ampleur. En septembre dernier, d'autres perroquets gris étaient saisis et remis à l'ICCN.

Morisho Tambwe, à Kindu



Le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a nommé mardi, aux termes d’une série d’ordonnances lues sur les antennes de la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC) par son porte-parole, Mme Tina Salama, les mandataires dans les entreprises publiques.

A titre illustratif, M. Lubota Ngwangu Floribert, Elenge Nyembo Sylvie et Voto Tongba José-Adolphe ont été nommés respectivement président du conseil d’administration, directeur général et directeur général adjoint de la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC). A la Société nationale des hydrocarbures (SONAHYDROC), M. Eboma Ablavi est nommé président du conseil d’administration, Marcellin Bilomba directeur général et Bahati Tito directeur général-ad-joint. Le Chef de l’Etat a également nommé M. Dikoma Kitenge comme président du conseil d’administration de la Caisse d’épargne du Congo (CADECO), Mme Juliette Mugole en tant que directeur général et Christian Boyoma comme directeur général adjoint.

Alors qu’à l’Agence nationale pour la promotion des investissements M. Kasereka Jean-Marie est nommé président du conseil d’administration, Antony Nkinzo directeur général et M. Tshibangu directeur général adjoint.

Par ailleurs, le Président Tshisekedi a aussi nommé M. Bernard Mikobi en qualité du président du conseil d’administration de l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN), M. Milene Yves comme directeur général et Ngombo Difumba Théophile en qualité de directeur général adjoint. A l’Agence congolaise de grands travaux (ACGT), M. Mungwala Paul, Nzau Nzau et Nido Jean-Claudesont nommés respectivement président du conseil d’administration, directeur général et directeur général ad- joint, alors qu’à l’Institut national de préparation professionnelle, Jean-Marie Lukulasi Masamba est nommé président du conseil d’administration, Tshimanga Godefroid directeur général et Patrick Kayembe directeur général adjoint. Au conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, Christian Bosembe, Oscar Kabamba Kasongo, Adou Luyeye, Banza Tshefolo, Mimi Engumba Iyeyi, Serge Ndjibu, Sumbu Annie, Mboma Adelin, Mboliko Mbolison, Alain Nkoy, Eale Ikabe, Mambu Arthur, Diatezwa David-Serge, Chantal Kanyimbo et Serge K bongo ont été nommés membres.

politico.cd/CC



La Confédération africaine de football (CAF) a annoncé mardi 15 novembre le report du tirage au sort des phases de groupes de la Ligue des Champions et de la Coupe de la Confédération- CAF Total Energies à une date ultérieure.

Sans donner les raisons de ce report, la CAF écrit sur son site "Les nouvelles date et heure seront annoncées ultérieurement".

"La CAF s'excuse pour tout désagrément causé par ce changement", poursuit l'organisation.

Le tirage au sort était initialement prévu ce mercredi 16 novembre.

La RDC est concernée par ce tirage avec ses quatre clubs; à savoir: DCMP, Lupopo et Mazembe, en coupe de la Confédération, tandis que V.Club en ligue des champions.

radiookapi.net/CC



L'artiste musicien, Faustin Nsimba connu sous le pseudonyme de Fally Ipupa a été intronisé, ce mercredi 16 novembre 2022, à Kinshasa, comme prince de la culture Anamongo.

Plusieurs personnalités ont pris part à cette cérémonie, notamment la ministre de la culture, arts et patrimoines, Catherine Furaha Katungu et le pasteur Denis Lessie.

Appartenant à la tribu Ekonda dans la province du Maï-ndombe, Fally Ipupa a remercié madame Bernadette qui est l'initiatrice de ce couronnement et toute la communauté Anamongo, pour l'honneur.

La communauté Anamongo réunit les originaires du grand Équateur, du Maï-ndombe, et du Sankuru.

Gratis Makabi



Deux terrains de basket-ball sont en construction à l’esplanade du Stade des Martyrs. Pour accélérer les travaux de ces antres jumelés, entre 150 et 200 ouvriers travaillent jour et nuit.

« Notre objectif est de terminer avant la fin du mois de février. Les terrains doivent être livrés trois mois avant le début des jeux », a expliqué l’ingénieur Obed Babese qui est parmi les superviseurs  du chantier géré par la Compagnie Générale de Construction (CGT).

Il est confiant pour le délai: « Il ne nous reste que le bétonnage de l’aire de jeu. Les gradins, c’est en construction métallique. Ils seront livrés à Kinshasa au plus tard le 24 novembre 2023. Les structures en béton armé sur lesquelles seront posées les gradins mixtes sont ici ».

Le stade des martyrs aura maintenant trois terrains de basket-ball. Les deux nouveaux et l’ancien qui est en réhabilitation.

«Les deux terrains jumelés seraient livrés au même moment. Il y a également l’ancien stadium qui est en réhabilitation. Là-bas, le nombre de places assises va être augmenté. Il y aura également un toit en construction métallique. Il est également commandé ».

De son côté, Isidore Kwandja Ngembo, Directeur du Comité National de ces 9e Jeux de la Francophonie (CNJF) est également optimiste: 

« Nous avançons tout doucement et assurément. À ce jour, nous avons 30 pays qui ont déjà confirmé leur participation, sur les 42 pays qui avaient exprimé leur intention de participer aux IXes Jeux de la Francophonie ».

Le basketball, le volley-ball, le tennis et d’autres disciplines peuvent se pratiquer sur les deux terrains. 

actualite.cd/CC



Malgré les protestations notamment de RSF, de JED et contrairement aux informations qui circulent comme une traînée de poudre sur les réseaux, le Ministère de Communication et Médias informe l’opinion que la journaliste française oeuvrant actuellement à l’Agence Reuters, Sonia Claude Sylvie Rolley a été reconduite dignement ce mardi 8 novembre, suivant la procédure en la matière, à la frontière à destination de la France (Paris) par un vol régulier d’Ethiopian Airlines.

Dans un communiqué de presse parvenu à la presse mercredi 9 novembre, le Ministère de la Communication et Médias a fait savoir que Sonia Rolley s’est retrouvée, dans son dossier, en conflit avec les textes légaux et règlementaires régissant la Police des Étrangers ; et donc en situation de séjour irrégulier en RDC.

«Il est inapproprié de considérer comme un cas d’atteinte à l’exercice de la liberté de la presse en République Démocratique du Congo une décision administrative régulière qui sanctionne un cas de violation flagrante des procédures requises pour qu’un sujet étranger séjourne et exerce une activité professionnelle sur le sol congolais», a rétorqué le Ministère de la Communication et Médias face aux informations qui circulent sur les réseaux sociaux.

S’agissant de la demande d’accréditation formulée par Reuters, le Ministère de la Communication a souligné que l’analyse de cette demande n’a pas été concluante et cette décision a été préalablement signifiée à l’intéressée et notifiée au média requérant.

«En ce même moment, des accréditations continuent à être délivrées en faveur des journalistes de nationalités étrangères, conformément en la procédure en la matière. Ils sont toujours les bienvenus dans notre pays», a-t-il indiqué.

Par ailleurs, le Ministère de la Communication rappelle que la compétence de faire observer le respect scrupuleux des règles et conditions d’accès au séjour de travail en République Démocratique du Congo par des étrangers, y compris les journalistes, relève pleinement des services habilités qui font leur travail en toute indépendance et professionnalisme.

Christian Okende/CC

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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