Sans langue de bois, El Hadji Diouf considère le Sénégal comme la meilleure sélection africaine du football.

La légende des Lions de la Teranga invitée au tirage au sort n’a pas eu froid aux yeux pour dire que la bande à Aliou Cissé est la plus redoutable sur le continent.

" Aujourd’hui, on a l’équipe que les gens craignent le plus. On a le meilleur équipe, on a les meilleurs joueurs, la qualité qu’on a sur le terrain personne l’a et on a pris de l’expérience », a-t-il lâché au micro de Canal plus.

Tenant du titre de la CAN, le Sénégal partagera le groupe avec un adversaire de taille comme le Cameroun, 5 fois champions d’Afrique et les deux outsiders la Guinée et la Gambie.


La Commission électorale nationale indépendante (CENI) et la Commission nationale des droits de l'homme (CNDH) se mettent ensemble pour garantir le respect des droits des électeurs mais aussi des postulants pendant les prochaines élections.  

C'est dans ce cadre que des membres de ces deux institutions d'appui à la démocratie ont échangé, le mercredi 11 octobre 2023, dans la ville de Kinshasa, en RD-Congo. 

Au terme des discussions, le président de la CNDH, Paul Nsapu, a laissé entendre que les deux institutions sont appelées à collaborer pour l'organisation des scrutins de décembre 2023. 

« Nous avons fait une réunion importante qui a pris le temps nécessaire entre deux institutions d’appui à la démocratie, la CENI et la CNDH que je préside dans le cadre des enjeux qui pointent à l’horizon, notamment en ce qui concerne pour la CENI la préparation de l’organisation des élections à la fin de cette année. Nous avons envisagé cette collaboration pour permettre à notre institution qui est auxiliaire à la Centrale électorale pour lui apporter un plus dans le travail qui est fait par elle qui a le pouvoir organisationnel des élections. Les scrutins, cela sous-entend le devoir de vote, mais aussi le droit de ceux qui postulent et également des électeurs. C’est pourquoi un travail de monitoring, par rapport à ces droits, qui est aussi le nôtre devrait être pris en compte à travers un protocole de collaboration. Sans chercher à empiéter sur les compétences et le rôle du pouvoir organisationnel des élections sur l’ensemble du territoire national. Nous allons donc revenir », a-t-il déclaré. 

Il sied de noter que la CNDH est une institution d'appui à la démocratie qui œuvre sur les questions des droits de l'homme aux côtés du gouvernement de la République. 

Prince Mayiro



Jeudi soir, la CAF a tenu le tirage au sort de la phase de groupes de la CAN 2023, qui aura lieu en janvier et février prochains. Suite à la trêve internationale, plusieurs sélectionneurs n’ont pas assisté à l’événement pour cause des déplacements avec leurs équipes. Un timing qui « interroge » comme a relevé Le Monde en recueillant plusieurs témoignages des sélectionneurs mécontents de la situation, dont Sébastien Desabre.

« Sincèrement, j’aimerais bien savoir qui, à la CAF, a eu l’idée géniale de placer le tirage à cette date. C’est un peu n’importe quoi », s’est interrogé le sélectionneur de la RDC.

Actuellement en Espagne, où les Léopards vont affronter la Nouvelle-Zélande le 13 octobre à Murcie, il trouve dommage que leur présence ne soit pas considérée par la confédération.

« La CAF aurait très bien pu organiser cet événement une semaine plus tard, afin que tous les sélectionneurs concernés soient présents à Abidjan », a-t-il estimé.

Pour préparer la CAN, il affirme que sa « priorité c’est d’être avec mes joueurs. S’absenter deux jours avec un match le lendemain du tirage, ce n’était pas envisageable pour moi. ». La RDC affrontera le Maroc, la Zambie et la Tanzanie dans le groupe F.

footrdc/CC

 


L'ONG Maniema United, par le biais de son avocat conseil, Maître Ngongo Amisi Jacques, a déposé au parquet général de la province une plainte contre les sociétés de télécommunication Vodacom, Airtel et Orange, le mardi 10 octobre 2023. Cette structure accuse celles-ci de "tromperie et d'escroquerie".

Cette action judiciaire est consécutive à la collecte initiée par la même ONG, des signatures pour pétition dénonçant la "mauvaise qualité de services" fournis par ces sociétés.

"Par sa pétition du 07 octobre 2023, l'ONG Maniema United a récolté plus de 2000 signatures des personnes qui dénoncent la mauvaise qualité des réseaux de télécommunications dans la ville de Kindu. Il s'agit donc d'Airtel, Vodacom et Orange. L'ONG, par ma plume vous saisit pour protester contre la mauvaise qualité du réseau de télécommunications de sociétés ci-haut citées", peut-on lire dans la plainte.

Dans sa plainte, l'ONG s'appuie sur deux articles du Code pénal congolais à savoir l'article 98 et 99. Par ailleurs, selon cette organisation, la population perd des forfaits par la perturbation de réseaux sans la moindre action de restitution.

"Mes clients dénoncent et se plaignent pour ce qui suit : - Mauvaise qualité de la communication ou quasiment l'inexistence de toutes les sociétés de télécommunication sans distinction aucune opérant dans la province du Maniema ; - Conséquence directe sur la population est la perte chaque fois des forfaits souvent activés pour plusieurs jours ou mois, mais qui se vident sans avoir été utilisés suite à la mauvaise qualité de la communication, et ce, depuis 2020 jusqu'à ce jour", dénonce maître Ngongo Amisi.

Les réseaux de télécommunications mobiles ont été installés dans la province du Maniema depuis des décennies. Ils sont majoritairement concentrés dans les grandes agglomérations, mais les services qu'ils offrent sont souvent insatisfaisants.

Morisho Tambwe, à Kindu



Au total, 1.106.315 enfants dont l'âge varie entre 0 et 59 mois sont attendus pour la vaccination contre la poliomyélite dans la province du Kasaï. La campagne y afférente a été lancée à Tshikapa, le jeudi 12 octobre 2023. Elle va s'étendre sur une durée de 3 jours, soit du 12 au 14 octobre 2023.

Le docteur Delphin Liyeye, chef de bureau Information sanitaire, communication et recherche qui fait l'intérim du chef de la Division provinciale de santé (DPS), affirme que la province du Kasaï est parmi les 11 provinces de la République démocratique du Congo qui organisent cette campagne. 

Le ministre provincial de la santé à l'intérim, a, au nom du gouverneur de province, invité les parents de faire vacciner leurs enfants. 

"Je vous invite donc, de faire vacciner tous les enfants dont l'âge varie de 0 à 59 mois, car l'unique moyen pour combattre la poliomyélite reste la vaccination", a déclaré le ministre Antoine Bushabu Bope.

Il convient de noter qu'en province du Kasaï, c'est la stratégie de porte-à-porte qui a été mise en place pour vacciner tous les enfants concernés.

Fabien Ngueshe, à Tshikapa



Dans le cadre de la recevabilité, la ministre de la Culture, Arts et Patrimoine, Catherine Katungu Furaha a brossé, jeudi 12 octobre 2023, devant la presse, à Kinshasa, les différentes prouesses réalisées dans son secteur

À côté de son collègue de Ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya Katembwe avec qui, il a co-animé un briefing presse, Catherine Furaha s'est réjouie que le Ministère de la Culture, Arts et Patrimoines, reprenne sa place grâce notamment à l'implication et aux efforts sans faille du président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui a mis dans son programme, la question de la culture au centre, portée par le Chef du gouvernement dans son programme à travers le 15ème pilier dans les 61ème et 62ème axes du programme du gouvernement dont la promotion culturelle et artistique et les infrastructures culturelles occupent une place prépondérante.

"Des efforts vont se poursuivre avec l'instruction que le chef de l'État a donnée. Il nous a demandés de multiplier ce genre d'activités et de réconcilier les artistes.

Les artistes et opérateurs culturels", a-t-elle indiqué. 

Et Catherine Furaha de souligner : "Au sujet des infrastructures, ce qui est reconnu c'est le centre culturel et artistique de l'Afrique centrale sur le Boulevard Triomphal qui sera livré bientôt. On voudrait que ça soit livré avant le début de la campagne électorale.

Il y a aussi les centres culturels à Moanda et à Butembo qui sont en voie d'exécution, nous avons posé la pierre pierre et nous allons continuer à le faire. Il y aura construction des 12 autres infrastructures culturelles dans le cadre du programme des 145 territoires."

Dans ce programme d'action du gouvernement, la question de droits d'auteur est également une priorité. "Nous avons essayé de dynamiser le secteur. Et le président de la République a souhaité que tout dans ce secteur soit régulé et devienne un climat de développement afin de garantir la sécurité sociale des créateurs des œuvres de l'esprit. À ce niveau, nous allons voir, le chef de l'État va convoquer un grand forum national sur la culture", a-t-elle ajouté.

La ministre de la Culture arts et Patrimoines a, par la même occasion, évoqué les questions de la valorisation des lieux de mémoire, de la mise en place des industries culturelles et créatives et le décret créant le centre national de production cinématographique notamment qui est sur la table du chef du gouvernement et qui a promis de le signer avant le début de la campagne électorale.

À propos de l'inscription de la rumba comme patrimoine culturel immatériel de l'humanité, la ministre Catherine Furaha a indiqué que, avec cette inscription, la RDC a su retracer l'itinéraire de la route des esclaves congolais. Dans la même lignée, le pays a voué une grande admiration dans les grands événements continentaux dont le FEMUA à Abidjan dont elle a été marraine et le FESPAM au Congo-Brazzaville.

Serge Mavungu



La CAF a effectué le tirage au sort de la phase de groupe de la CAN 2023 ce jeudi 12 octobre à Abidjan en Côte d'Ivoire. La RDC est logée dans le groupe F aux côtés de la Zambie, la Tanzanie et le Maroc.

Le groupe F évoluera dans la ville de San Pedro. 

Voici comment se présentent les différents groupes :

Groupe A

Cote d'ivoire

Nigeria

Guinée Equatoriale

Guinée Bissau

 

*Groupe B*

Egypte

 Ghana

Cap Vert

Mozambique

 

*Groupe C*

Sénégal

Cameroun

Guinée

Gambie

*Groupe D*

Algérie

Burkina Faso

Mauritanie

Angola

 

*Groupe E*

Tunisie

Mali

Afrique du Sud

Namibie

 

*Groupe F*

Maroc

RDC

Zambie

Tanzanie

 


« J’ai pris la ferme résolution de conduire, « sans atermoiements funestes, mais sans précipitation inconsidérée», les populations des provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu vers un allégement progressif et graduel du régime de restriction de l’état de siège avec les meilleures garanties de poursuite du maintien d’une pression maximale sur les ennemis de la paix », a annoncé le chef de l’Etat au cours d’une allocution radiotélévisée, ce jeudi 12 octobre.

Après deux ans et quatre mois du régime d’exception dans ces deux provinces du Nord-Est de la RDC, Félix Tshisekedi dit avoir pris la juste mesure de l’impérieuse nécessité d’un retour sécurisé de nos populations à une vie civile et citoyenne normales.

L’amélioration de la situation sécuritaire dans certaines zones

Il a aussi noté des avancées enregistrées au cours de la gouvernance sous l’état de siège, notamment l’amélioration de la situation sécuritaire dans certaines zones des deux provinces concernées.

« J’ai opté, en toute responsabilité, pour la mise en œuvre d’un dispositif transitoire graduel au terme duquel cette situation exceptionnelle devra connaître sa fin », a-t-il affirmé, se fondant sur les tendances dégagées des travaux de la Table ronde tenue récemment à Kinshasa sur l’état de siège.

Selon lui, « ce dispositif transitoire consistera au rétablissement de l’autorité civile dans les entités territoriales décentralisées et déconcentrées qui sont déjà sécurisées et sous contrôle des Forces Armées de la République Démocratique du Congo ».

Ce qui implique la levée des restrictions des libertés constitutionnelles de tous les citoyens et plus particulièrement la libre circulation des personnes et de leurs biens en mettant fin au couvre-feu ainsi que la liberté d’association, de manifestation pacifique et de réunion dans le strict respect des conditions légales.

Les salaires des autorités civiles  

Entre-temps, le chef de l’Etat a instruit le Gouvernement à « régler, sans délai », les arriérés d’émoluments des animateurs des institutions provinciales mises en veilleuse par l’état de siège.

D’autre part, en plus de leurs compétences matérielles, les juridictions civiles, « du reste compétentes pour gérer les contentieux électoraux, recouvrent le plein exercice de leurs compétences répressives à l’exception de quelques préventions liées à la sureté nationale qui relèveront des juridictions militaires ».

Pour Félix Tshisekedi, ce dispositif transitoire et graduel de l’état de siège conduit la RDC « dans une nouvelle expérience constitutionnelle de gestion des situations d’exception. Elles marquent notre détermination à défendre jusqu’à la dernière énergie, notre intégrité territoriale, notre souveraineté et notre dignité comme peuple ».

L’état de siège avait été décrété par ordonnance présidentielle le 3 mai 2021, pour endiguer l’insécurité récurrente au Nord-Kivu et en Ituri. Mais à la suite de la persistance de l’insécurité sur le terrain, de nombreuses voix ont plaidé pour la levée de ce régime d’exception.  

radiookapi.net/CC



La 10e édition du Festival International de Cinéma de Kinshasa promet d'être un événement cinématographique d'envergure. Au cœur de cet événement, le film "Mulika" du réalisateur congolais Maisha Maene, qui fait déjà sensation.

Pas moins de quatre films sont au programme de cette grande célébration du cinéma dans la capitale congolaise. En plus des courts-métrages venus d'Allemagne, de la France, du Mexique et du Congo-Brazzaville, "Mulika", le film du pays hôte, sera à l'honneur lors de la soirée d'ouverture, le samedi 14 octobre, à l'Académie des Beaux-Arts.

Avec une durée d'environ 15 minutes, "Mulika" a déjà conquis de nombreux publics à travers le monde. Il a été sélectionné à la 39e édition du Festival du Film de Sundance en janvier aux États-Unis, et a également été présenté à la 28e édition du Fespaco au Burkina Faso en février dernier. Le réalisateur Maisha Maene, basé à Goma, a filmé cette œuvre dans la même ville, lui donnant ainsi un caractère authentique et local.

" Mulika " n'est pas seulement un film, c'est aussi une œuvre qui suscite la réflexion. Lors d'une projection au Centre Culturel Américain en avril dernier, Maisha Maene a partagé le contexte du film. Il a expliqué : " Le film aborde la problématique de l'exploitation des minerais en RDC. Cependant, je voulais aller plus loin, explorer des approches et des esthétiques qui contribuent à décoloniser l'image du Congo, souvent déformée par des étrangers venus raconter notre histoire."

" Fiction, réalité, présent, futur, questionnements, propositions de réponses, valeurs culturelles, négligence à la congolaise, course aux minerais... Tout est brillamment représenté dans le film "Mulika". Le film évoque également le contexte de l'Est de la RDC, une région en proie à l'insécurité depuis plus de 20 ans, en raison de ses précieuses ressources minières exceptionnelles.

Le réalisateur partage ses regrets et son point de vue sur le "conflit minier". Il souligne que la population congolaise n'a pas encore pleinement conscience que les minerais du futur se trouvent sur son propre territoire. Il insiste sur la nécessité de mettre en place des stratégies pour que ces ressources profitent tant au Congo qu'au reste du monde. Le film illustre cette idée, en mettant en avant le coltan, un minerai aéronautique de grande importance présent sur le sol congolais, mais largement sous-estimé par la population.

Le personnage principal du film, "Lobi," signifiant "futur" en lingala, incarne un astronaute venu sur Terre, portant des minerais comme s'il s'agissait de vêtements. Il explore la ville de Goma, enregistrant des scènes de la vie réelle, avant de rencontrer un aîné qui lui remet une œuvre d'art pour renforcer ses compétences avant de poursuivre son voyage spatial.

Maisha Maene insiste sur l'importance de se pencher sur l'avenir, car c'est à ce moment-là que l'on trouve le courage et l'ambition de changer les choses dans le présent. Il encourage également la reconnexion avec les valeurs culturelles et traditionnelles pour mieux comprendre le passé et ouvrir la voie à un changement positif.

La 10e édition du Festival International de Cinéma de Kinshasa se déroulera du 14 au 21 octobre dans divers lieux de la ville. Cette année, le festival propose une programmation riche, avec 114 films sélectionnés parmi 517 œuvres reçues, provenant de divers horizons. Parmi ces films, on compte 19 courts métrages documentaires, 54 courts métrages de fiction, 14 longs métrages documentaires, 16 longs métrages de fiction et 11 courts métrages d'animation. Une sélection spéciale de 6 courts métrages de fiction réalisés par des étudiants de l'INA sera également présentée.

Emmanuel Kuzamba



Le directeur de publication adjoint d’Actualite.cd, correspondant de Jeune Afrique et de Reuters, Stanis Bujakera, a finalement été traduit en justice ce matin devant le tribunal de grande instance de Kinshasa-Gombe, réuni en audience foraine à la prison de Makala. Il est accusé de transmission de messages erronés et de propagation de faux bruits. 

Il a été arrêté le 8 septembre 2023 alors qu’il se rendait à Lubumbashi et mis en cause pour un article de Jeune Afrique qu’il n’a pas signé. Le sujet portait sur une note attribuée à l’ANR, qui accusait les renseignements militaires d’avoir assassiné l’ancien ministre des transports et porte-parole du parti de l’opposant Moïse Katumbi, Cherubin Okende, retrouvé mort dans sa voiture. Trois mois après, la famille continue de demander les suites de cette enquête et à pouvoir enterrer le corps. 

Le procureur accuse notre confrère d’être le premier diffuseur de cette note qu’il qualifie de fausse. Les avocats de Stanislas Bujakera ont dénoncé dans une conférence de presse le vendredi 6 octobre 2023, insistant sur le fait que l’accusation l’accusait d’avoir fabriqué le document et de l’avoir diffusé tout en assurant qu’il l’avait lui-même reçu d’un compte telegram @mg. “ Aussi, c’est faute de retrouver les identifiants complets de ce compte Telegram, que le Parquet accuse notre client d’avoir lui-même fabriqué et distribué ce document à d’autres journalistes ”, disait le collectif d’avocats dans son communiqué final.

Ils étaient informés jusque-là  que les quatre préventions retenues contre leur client étaient : « faux en écriture, falsification des sceaux de l’Etat », « propagation de faux bruits », et « transmission de messages erronés et contraires à la loi ».

Depuis son arrestation, des dizaines de personnalités et organisations ont demandé la libération immédiate et sans conditions de notre confrère. Reporters sans frontières a saisi le groupe de contacts de l’ONU sur les détentions arbitraires. Ce vendredi, il a appelé à l'abandon des charges et à la libération du journaliste détenu depuis un mois à la prison de Makala.  Amnesty International, pour sa part, a appelé ses 10 millions de membres à se mobiliser partout à travers le monde pour demander sa libération.

actualite.cd/CC

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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