L'artiste musicien Ferré Gola a dévoilé les différents points de vente des tickets de ses concerts, prévus ce samedi 13 et dimanche 14 juillet 2024, respectivement au Rotana Hôtel et au Shark Club, à Kinshasa.

Dans une publication faite dans la soirée du lundi 08 juillet, sur ses réseaux sociaux, le chanteur congolais a indiqué les lieux où trouver le billet standard et VIP, qui sont vendus respectivement à 20, 50 et 150 dollars américains. Il s'agit de Rotana, Bandal, N'djili, Victoire, Illicostore, et Shark Club.

Juste après ces deux concerts, l'ancien sociétaire de Wenge Musica Maison Mère et de Quartier latin international va prester le samedi 03 et dimanche 04 août prochain, au stade Père Raphaël de la Kethule, dans le cadre de la première édition du Festival International de Kinshasa (Festigola). Plusieurs activités vont se dérouler pendant ces deux jours. Il s'agit, entre autres, de Kermesse, spectacles, jeux, expositions et ventes artisanales.

Ferré Gola compte réunir plus de 50.000 spectateurs, deux fois consécutives, avant de dévoiler les dates de ses prochaines prestations.

Gratis Makabi



Le ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya et la ministre d’Etat, ministre en charge des Affaires Étrangères, Coopération Internationale et Francophonie, Thérèse Kayikwamba,ont animé, lundi 08 juillet 2024, un briefing spécial dans la salle de la Presse RTNC3, autour des principales orientations de la diplomatie Congolaise pour le nouveau quinquennat du mandat du président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Pour la ministre d'État des Affaires Étrangères, Coopération Internationale et Francophonie, Thérèse Kayikwamba, qui a clairement expliqué les orientations de la diplomatie, 

il s'agit d'une diplomatie qui va être ciblée sur des intervenants clés dans l'Est du Congo en commençant par le pays de la région, mais aussi par les pays membres du conseil de sécurité.

 Il est important, a-t-elle ajouté, de rappeler que la RDC est un membre dynamique des Nations-Unies. 

"Nous allons aussi accompagner le chef de l'État avec de plaidoyers en ciblant les organisations internationales et les états membres de ces organisations internationales”.

Le processus de Luanda, a-t-elle dit, constitue le troisième axe.

"Nous allons aussi continuer les efforts diplomatiques dans le cadre du processus de Luanda, processus très important qui devait nous aider à trouver la solution durable à la situation de l'Est du pays" .

il s'agit d'une diplomatie qui va être ciblée sur des intervenants clés dans l'Est du Congo en commençant par le pays de la région, mais aussi par les pays membres du conseil de sécurité.

 Il est important, a-t-elle ajouté, de rappeler que la RDC est un membre dynamique des Nations-Unies. 

"Nous allons aussi accompagner le chef de l'État avec de plaidoyers en ciblant les organisations internationales et les états membres de ces organisations internationales”.

Le processus de Luanda, a-t-elle dit, constitue le troisième axe.

"Nous allons aussi continuer les efforts diplomatiques dans le cadre du processus de Luanda, processus très important qui devait nous aider à trouver la solution durable à la situation de l'Est du pays" .

L'occasion faisant bien son larron, Thérèse Kayikwambaa a fait une mise au point sur les rumeurs de prétendu dialogue entre Kinshasa et Kigali tout récemment.

"Je peux vous assurer que le processus de Luanda est le seul et unique cadre dans lequel nous allons chercher une solution durable à la guerre dans la partie Est du pays", a-t-elle insisté.

Répondant à la préoccupation d'un journaliste, au sujet de la trêve humanitaire décrétée par les États-unis d'Amérique, la ministre d'État a précisé que "Nous devons contextualiser l'initiative des USA qui a proposé une trêve dans le cadre de bons offices. Les bons offices en diplomatie, tout le monde peut en faire usage et les USA en ont fait usage parce qu'ils ont un accès facile à la RDC et au Rwanda. Une trêve humanitaire qui est pour nous importante par qu'elle offre un répit à la population. Je salue ces bons offices d'un état membre permanent du Conseil de sécurité qui veut contribuer à travers cela à atténuer une situation qui prend des envergures inquiétantes. Et nous attendons encore plus que cela des Etats-Unis d’Amérique. Qu'ils arrivent d'autres lévriers pour créer un dialogue plus sincère avec tout un arsenal tel que des sanctions politiques, économiques, de prises de paroles plus robustes et nous comptons sur les USA pour puiser dans leur arsenal qui pourrait conduire à une résolution plus durable".

À propos du plan de désengagement de la Monusco, elle a précisé qu'il s'agit d'un plan élaboré et avalisé par le gouvernement de la RDC et les Nations-Unies. Ce plan est structuré en trois phases notamment la première qui couvre le Sud-Kivu ; la deuxième, le Nord-Kivu et la dernière, l'Ituri. Elle a, par ailleurs, insisté sur le fait que Kinshasa veut un retrait responsable, durable et ordonné de la Monusco.

"Quand il s'agit du Nord-Kivu, nous allons prendre en compte les évolutions que nous voyons sur le terrain afin de prendre de décisions et désamorcer le processus quand les conditions les plus propices seront réunies. Encore une fois nous voulons capitaliser sur ce que nous avons appris aussi sur le Sud-Kivu", a conclu la ministre d'État Thérèse Kayikwambaa.

Serge Mavungu 

 
 


La Première ministre, Judith Suminwa Tuluka, dépose ce mardi 09 juillet 2024, sauf changement de dernière minute, sa déclaration de patrimoine au greffe de la Cour Constitutionnelle, dans la commune de la Gombe, à Kinshasa, capitale de la RDC -République démocratique du Congo-.

Par cette démarche, la  cheffe de l'exécutif national tient à se conformer à cet exercice constitutionnel obligatoire, auquel vont se soumettre aussi tous les membres de son équipe. 

L'article 99 de la Constitution de la RDC -République démocratique du Congo- stipule qu’"avant leur entrée en fonction et à l’expiration de celle-ci, le Président de la République et les membres du Gouvernement sont tenus de déposer, devant la Cour Constitutionnelle, la déclaration écrite de leur patrimoine familial, énumérant leurs biens meubles, y compris actions, parts sociales, comptes en banque".

Pour rappel, à dater de l’investiture du Gouvernement, ses membres disposent d’un délai de 30 jours, pour s’acquitter de ce devoir, délai qui court encore, puisque que l'Exécutif central Suminwa a été  investi à l'Assemblée Nationale, le 12 juin dernier.

Serge Mavungu 



La situation sécuritaire dans l'Est de la RDC -République démocratique du Congo- préoccupe plus d'un Congolais. D'un ton ferme, l'artiste musicien, Koffi Olomide, a, dans une interview dont l'extrait est parvenu à la rédaction d'Opinion-info.cd, ce mardi 9 juillet, dénoncé la passivité du pays de Lumumba, en dépit de l'agression "rwandaise". 

À l'en croire, il n'y a pas guerre; la RDC est tapée voire giflée. "On fait de nous ce qu'on veut, il n'y a personne pour les empêcher.", a-t-il fait savoir. En entendant par là, cet icône de la Rumba congolaise déduit qu'il y a guerre lorsque deux camps se battent et s'échangent des tirs; contrairement à la RDC qui ne fait que subir. Il s'est, ensuite, interrogé sur le changement du ministre de la Défense, et espère que ce changement est loin d'être folklorique. 

Ce point de vue tombe au moment où les experts de l'ONU renseignent, dans leur nouveau rapport, la conquête territoriale de l'Armée rwandaise dans l'Est de la RDC, aux côtés des rebelles du M23.

Stentor

 

 


La République démocratique du Congo a pris, le lundi 08 juillet 2024, la Présidence du conseil d’administration de l’Union africaine des télécommunications (UAT). C’était au cours de la 25ᵉ session ordinaire dudit conseil, ouverte à Kinshasa, par la première ministre congolaise.

Dans son mot prononcé à cette occasion, Judith Suminwa Tuluka a épinglé l’importance de ces assises pour la RD-Congo. La cheffe de l’exécutif national a également souhaité que les travaux mettent un accent particulier sur la coopération entre les pays membres de cette structure.

« En effet, cela entre dans le cadre d’un des piliers du programme d’actions du gouvernement sur la connectivité globale en RDC. Je souhaite que cette 25ᵉ session ordinaire du conseil d’administration de l’UAT soit une réussite. Je voudrais que les travaux mettent un point d’honneur à la coopération entre nos pays », a-t-elle exhorté.

Bien avant, le ministre des Postes, télécommunications et numérique, Augustin Kibassa, a exprimé sa gratitude à l’UAT pour avoir renouvelé sa confiance à la RDC pour abriter cette session, avant de relever à quel point le chef de l’État, Félix Tshisekedi, accorde la priorité à la transformation numérique pour le développement intégral du Congo.

« C’est pour nous une marque de reconnaissance non seulement de notre position géographique stratégique au cœur de l’Afrique, mais aussi du rôle que nous jouons dans la promotion et le soutien des initiatives visant à améliorer les infrastructures des télécommunications au sein de notre continent », a déclaré ce membre du gouvernement.

Par ailleurs, il s’est réjoui d’un point important qui sera abordé durant cette session, à savoir : le rapatriement du siège de l’UAT dans son pays.

« Le rapatriement du siège de l’UAT en RDC est notre priorité stratégique visant à renforcer notre position et notre leadership au sein du continent africain. Je tiens à réaffirmer l’engagement de la RDC à œuvrer toujours aux côtés de ses pairs africains pour trouver des solutions idoines à travers des échanges, des réflexions permettant à harmoniser nos cadres politiques et stratégiques afin de réaliser les objectifs de l’Agenda 2063 de l’Union africaine », a affirmé Augustin Kibassa.

Cette 25ᵉ session ordinaire du conseil d’administration de l’UAT connaît la participation des délégués de 48 États membres. Elle permettra d’adopter des lignes directrices ainsi que certaines orientations et positions qui vont guider les politiques et les stratégies des États membres sur les plans technique, juridique et de la coopération.

actuRDC/CC



Le chef de l’État Félix Tshisekedi a finalement donné l’ordre au Haut commandement militaire d’exécuter les mesures décidées pour préserver l’intégrité territoriale de la RDC. C’était au cours de la deuxième réunion de la Task force du Haut Commandement militaire qu’il a présidée, lundi 08 juillet, au Palais de la nation.

Lors de cette réunion, le chef de l’État a défini les orientations à suivre, afin de mener à bien les actions sur terrain.

Excepté le Haut commandement militaire, cette rencontre a réuni le VPM/Défense, les responsables des services de sécurité et certains conseillers du Chef de l’État pour évaluer la situation militaire et sécuritaire dans l’Est de la RDC.

Cette réunion succédait à celle du vendredi 5 juillet, au cours de laquelle le Président de la République a donné l’ordre au Haut commandement militaire de lancer des actions idoines pour sauvegarder l’intégrité territoriale du pays.

actuRDC/CC



La ministre d’Etat en charge des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba a appelé, lundi 8 juillet, à un retrait responsable et ordonné de la MONUSCO de la RDC.Elle l’a dit lors de la conférence de presse coanimée avec Patrick Muyaya, son collègue de la Communication et médias et porte-parole du Gouvernement, à Kinshasa.

La cheffe de la diplomatie congolaise a assuré que dans le Nord-Kivu, le Gouvernement devra prendre en compte les évolutions sécuritaires sur terrain avant d’amorcer ce processus du départ de la mission onusienne.

radiookapi.net/CC



À la tête d'une délégation composée de huit députés nationaux et de quelques membres de son cabinet, Vital Kamerhe, président de l'Assemblée nationale, prend part, depuis le 5 juillet à Montréal, au Canada, à la 49ème session plénière de l'Assemblée de la francophonie. Devant la presse, le speaker de la chambre basse du parlement a engagé l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) à hausser le ton et à prendre des sanctions contre le Rwanda et l'Ouganda, deux pays agresseurs du Congo Kinshasa, selon plusieurs rapports.

L'ancien directeur de cabinet de Félix Tshisekedi a, par ailleurs, dénoncé «le silence assourdissant» et un «génocide oublié» en RDC, au regard du nombre très élevé des tueries perpétrées par le M23, soutenu par Kigali et Kampala.

« Nous devons éviter l'hypocrisie au moment où nous savons que les deux pays africains, voisins de la RDC, sont sur le territoire congolais avec leurs troupes, lancent missiles avec des armes sophistiquées. Rien qu'avec les dernières interventions de ces armées qui soutiennent le mouvement terroriste du M23, ont fait des dégâts évalués par les experts des Nations Unies de plus de cinq cent mille personnes, c'est un drame humanitaire. Le même rapport des Nations Unies parle de plus de dix millions de morts en RDC. C'est un génocide oublié. Nous, en tant qu'élus du peuple, dans le cadre de la diplomatie parlementaire, nous avons l'obligation de dire haut et fort notre désapprobation face à ce silence assourdissant de la communauté internationale. Nous engageons l'OIF, à travers l'Assemblée parlementaire de la francophonie, à hausser le ton et à pousser les pays qui ont une certaine influence sur les agressions en République Démocratique du Congo, à prendre non seulement des mesures coercitives contre ces deux pays, mais aussi des sanctions », a-t-il demandé.

Vital Kamerhe a également exprimé sa désolation de constater l'omission, par la secrétaire générale de l'OIF, la Rwandaise Louise Mushikiwabo, de la question de l'insécurité dans l'est de la RDC, après avoir abordé les conflits dans le monde entier, énumérant même certains pays africains.

« Je préfère croire que c'était de l'oubli, ou une façon subtile de ne pas citer la présence des troupes rwandaises sur le territoire congolais, et les troupes ougandaises. Mais nous allons, croyez-nous, donner un message très fort. Ce message est attendu par plus de 382 participants », a-t-il déclaré. 

Outre le Rwanda qui soutient le M23 à mener des offensives dans la province du Nord-Kivu, dans l'est de la RDC, des experts mandatés par le conseil de sécurité des Nations Unies ont démontré, à travers un rapport, le rôle de l'Ouganda dans ce conflit. Devant le conseil de sécurité de l'ONU, lundi, la cheffe de la MONUSCO a alerté sur la présence des M23 à Kalehe, un territoire de la province du Sud-Kivu, avec des tirs touchant Minova, faisant plusieurs blessés et des nouveaux déplacements de la population. 

« Dans le sud de la province, des rumeurs d’infiltrations du M23 sur le plateau d’Uvira, de Fizi et de Mwenga ont exacerbé les tensions dans les communautés locales. Ce qui mérite l’attention des autorités », a-t-elle ajouté.

Lundi 8 juillet, le président de la République a animé, au palais présidentiel, à Kinshasa, la deuxième réunion de la task force du haut commandement militaire. En présence du vice-premier ministre de la défense, du ministre des finances et de son directeur du cabinet, Félix Tshisekedi a défini les orientations à suivre et a donné l'ordre au haut commandement militaire  d'exécuter les mesures décidées pour préserver l'intégrité territoriale de la RDC, a fait savoir la cellule de communication de la présidence de la République. 

Samyr LUKOMBO



Le FCF Mazembe conserve le titre après avoir battu (3-1) le FCF Amani de Kinshasa en finale de la 15e édition du championnat national du football féminin, ce lundi 8 juillet. Une rivalité entre deux des clubs qui ont déjà remporté cette compétition nationale de football féminin, et qui promettait d'être palpitante.

Le tenant du titre a bien assumé son rôle de favori. Après avoir légèrement dominé le premier quart d'heure, l'équipe de Lushoise a tiré parti de deux erreurs des Kinoises pour marquer. À la 6e minute, Thelma Baffour a marqué le premier but et a pris l'avantage. Après 6 minutes, Merveille Kajinga a augmenté l'addition.

Bien que le score ait été réduit par Gloria Mbudi sur penalty à la 30e minute (1-2), le FCF Mazembe va prendre le contrôle total de cette rencontre avec un troisième but marqué par Merveille Kajinga, un doublé à la 71e minute.

C'est la troisième fois que le FCF Mazembe remporte le championnat national du football féminin de la RDC dames dans son histoire. Il sera le représentant du pays à la ligue des champions africains de la spécialité.

Fiston MOKILI, depuis Lubumbashi



Michel Dinzey a été nommé entraîneur principal de la formation de Uerdingen (D4 Allemagne). C’est le club qui a officialisé la nouvelle sur ses réseaux sociaux. 

C’est une bonne nouvelle pour l’ancien latéral gauche international congolais qui va entamer une nouvelle expérience dans son pays de naissance. Il arrive dans une équipe avec des ambitions qui a recruté énormément pour cette saison et qui se donne les moyes pour une montée. 

« C'est un grand honneur pour moi de pouvoir entraîner un club traditionnel comme le KFC Uerdingen. Ce club a un grand potentiel avec le vénérable Grotenburg et ses fidèles supporters», a-t-il confié après la signature de son contrat. 

L’ancien sélectionneur de Antigua-et-Barbuba fait des premiers binationaux qui ont décidé de jouer pour la sélection nationale de la République Démocratique du Congo (RDC). Il a disputé 3 Coupes d’Afrique des Nations avec les Léopards (1996/1998/2000). Il est passé également un petit temps avec les Léopards de moins de 20 ans et était recruteur pour notamment le Hertha Berlin et Hoffenheim.

Michel TOBO

 
 
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