Les cinq boxeurs congolais engagés aux championnats du monde de boxe, qui se déroulent depuis lundi 25 octobre à Belgrade (Serbie), sont tous éliminés.
Le dernier boxeur en lice, Nathan Lunata Nkosi "Voda" est tombé ce lundi 1er novembre, en 8e de finale face au Mexicain Vega Barreras.

A l'issue ce combat, le Congolais a reconnu la force de son adversaire et promet de revenir plus fort aux prochaines échéances, notamment en mars 2022 avec les éliminatoires des JO Paris 2024:

“Nous sommes tous des meilleurs ici (Serbie) dans cette compétition. Celui qui a gagné, c'est celui à qui on a attribué la victoire. On ne peut rien. Nous allons corriger avec nos coachs pour essayer de faire autrement aux prochaines échéances".

Les cinq boxeurs congolais qui ont pris part à ces championnats du monde :
1. Djo Kayala Engulu (67 Kg)

2. Fretas Pembele Nzola (60 kg)

3. Christopher Luteke (86 Kg)

4. Nathan Lunata Nkosi "Voda" (57 kg)

5. Jerry Kabangu Katamba (54 Kg).

radiookapi.net/CC



Le gouverneur ad intérim du Maniema, Afani Idrissa Mangala a annoncé une mobilisation de la population le 06 novembre 2021 pour une marche de soutien à la nouvelle équipe de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) dirigée par Dénis Kadima.

Il l’a dit devant les militants des partis politiques membres de l’Union Sacrée le vendredi à son retour à Kindu en provenance de Kinshasa.

« Le 06 novembre de cette année, nous allons organiser une très grande marche de soutien à la nouvelle équipe de la CENI de nous amener aux élections et soutenir le président qui l’a investi » a dit le gouverneur ai du Maniema.

Selon lui, le président de la République n’envisage le report des élections et le parti au pouvoir souhaite les gagner à tous les niveaux.

Pour rappel, les plateformes de l’opposition regroupées autour de LAMUKA de Martin Faluyu, du Front Commun pour le Congo de Joseph Kabila, d’Ensemble de Moïse Katumbi ainsi que des associations affiliées aux confessions religieuses avaient également annoncé une marche le 06 novembre pour s’opposer à la mise en place de la nouvelle équipe de la CENI par l’ordonnance du Chef de l’Etat.

Morisho Tambwe, à Kindu



Le président de la République démocratique du Congo Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui séjourne à Rome en Italie, dans le cadre du Sommet de G20, a échangé le samedi 30 octobre 2021 avec son homologue américain Joe Biden.

C'est l'ambassade des États-Unis d'Amérique à Kinshasa qui confirme la nouvelle à travers son compte Twitter. 

D'après la même source, les deux personnalités ont notamment échangé sur la nécessité de protéger la forêt tropicale du bassin du Congo.

"Joe Biden et Félix Tshisekedi ont également discuté de l'impératif de protéger la forêt tropicale du bassin du Congo, qui est la deuxième plus grande forêt tropicale au monde, pour atteindre l'objectif mondial d'atteindre zéro émission nette de carbone d'ici 2050", a indiqué notre source.

À l'en croire, le président américain a aussi salué les efforts de Félix Tshisekedi dans la lutte contre la corruption. 

"Le président Biden a salué les efforts du président Tshisekedi pour promouvoir la transparence, lutter contre la corruption et respecter les droits humains dans la manière dont la RDC gère ses vastes ressources naturelles", a indiqué l'ambassade des États-Unis d'Amérique.

Pour rappel, les travaux du Sommet du G20 se clôturent ce dimanche à Rome. La pandémie de la Covid-19 et le climat sont au cœur des échanges. Félix Tshisekedi a été invité à ce sommet pour représenter le continent africain. 

Jephté Kitsita



Les deux boxeurs congolais, Jerry Kabangu et Christopher Luteke, ont été éliminés ce dimanche 31 octobre en 8e de finale des championnats du monde de boxe, qui se tiennent depuis le 25 octobre à Belgrade (Serbie).

Dans la catégorie de 54 kg, Jerry Kabangu s'est incliné devant le Français Bennama Bilial aux points (0-5).
Tandis que Christopher Luteke, chez le 86 Kg, est tombé devant Sébastien Vicktorzak de la Pologne.

Sur les cinq boxeurs congolais engagés dans ces championnats, seul Nathan LunataNkosi, dans la catégorie de 57 Kg, reste en lice.
Il combattra lundi 1er novembre Vega Barreira du Mexique, en 8e de finale.

radiookapi.net/CC



La fédération congolaise de football association (FECOFA) a pris acte de la décision du tribunal arbitral du sport (TAS) au sujet du dossier qui opposait AS V.Club à Don Bosco au sujet du joueur Matutala Zao.

Dans une correspondance adressée au president ai de la LINAFOOT dont une copie est parvenur ce samedi 30 octobre à Radio Okapi, la FECOFA mentionne : "Monsieur le Président, nous avons l'honneur de vous transmettre, par la présente, pour exécution, le dispositif du jugement du tribunal arbitral de sport".

Il revient ainsi à la LINAFOOT d'organiser le jour de la remise du trophée et du chèque du champion qui ont été remis à TP Mazembe en juin dernier.

Le TAS avait tranché le litige qui opposait l’AS VClub à Don Bosco, au sujet du joueur Matutala, à l'issue de l'audience qui a eu lieu vendredi 8 octobre à Lausanne (Suisse). Le club kinois devra ainsi récupérer ses 9 points retranchés et, de ce fait, est sacré champion de l'édition 2020-2021 de la Ligue nationale de football (LINAFOOT).

La FECOFA devrait également payer à VClub 4 000 francs suisses (4 300 USD) de dommages et intérêts.

V.Club avait été sanctionné en juin 2021 par la FECOFA, après lui avoir retiré 9 points, pour utilisation du joueur Matutala Zao, transfuge de Don Bosco.

Au cours d'un point de presse tenu le 8 octobre, la présidente de coordination de V.Club, Bestine Kazadi avait declaré que « ce n'est pas à V.Club de s'organiser pour récupérer la coupe (Champion de la LINAFOOT 2020-2021), mais plutôt à la FECOFA de l'organiser ». 

radiookapi.net/CC



Le cardinal Fridolin Ambongo a échangé vendredi 29 octobre en République du Congo avec  le Président Denis Sassou Nguesso. A l’issue de la rencontre, il a répondu aux questions des journalistes. L’une d’elle a porté sur le point de vue de l’église catholique, après l’investiture de Denis Kadima comme président de la CENI.  

Pour l’archevêque de Kinshasa,  la position de l’église catholique est restée inchangée : 

« Notre position est claire, notre avis est contre le choix de celui qui a été investi par l'Assemblée nationale et confirmé par  le Président de la République. Nous, l'église catholique et l'église protestante qui constituons 90% de la population de la République Démocratique du Congo, nous avons dit au Président Félix Tshisekedi que ce n'était pas un bon choix », a indiqué le cardinal Fridolin Ambongo.

Toute honte bue, l'archevêque de Kinshasa affirme que les églises néocoloniales (catholique et protestante) sont la RDC ! Ces églises néocoloniales faisaient partie des huit confessions religieuses qui devaient choisir par consensus le président de la Ceni. N'étant pas parvenues, leur règlement prévoit le vote et la démocratie a triomphé: six confessions pour Denis Kadima et deux contre. La messe est dite.

Néanmoins, Ambongo note que les efforts sont entrepris pour la consolidation de la paix sociale : 

« Je suis venu, en tant qu’archevêque de Kinshasa, échanger avec lui (le Président Sassou) par rapport aux questions sociopolitique telles que ça se passe chez nous. Je peux vous rassurer qu'il a donné son sage avis par rapport à ce que nous sommes en train de vivre, j'espère que ça pourra beaucoup nous aider dans le sens de la recherche de vivre ensemble, la consolidation de la paix sociale. Mais en même temps je suis aussi archevêque des Kinshasa, cardinal de la sainte église catholique. C'est aussi l'occasion pour moi d'échanger avec le Chef d'État sur la situation de l'Eglise que ce soit du côté de Congo Kinshasa et de ce côté ici, ça fait partie de ma responsabilité, d’échanger pour voir dans quelle mesure nous pouvons collaborer ensemble pour le grand bien de notre peuple », a ajouté le cardinal Ambongo. 

radiookapi.net/CC



La question de l’organisation des jeux de la Francophonie à Kinshasa en République Démocratique du Congo (RDC) au mois d’août 2022 a une nouvelle fois été au menu de la réunion du conseil des ministres. A la vingt-sixième rencontre, ce vendredi 29 octobre, c’est le Premier ministre Sama Lukonde Kyenge, qui a évoqué la préoccupation.

« Le Premier ministre a appelé tous les membres du comité de Pilotage à s’activer rapidement dans l’organisation de ces jeux de la Francophonie selon les engagements pris par notre pays », souligne le compte rendu de la réunion.

A cet effet, M. Sama veut voir clair. Il appelle ledit comité à lui présenter, dans un délai de deux semaines, un rapport qui retrace les avancées déjà constatées dans les préparatifs. « Il a demandé qu’un rapport succinct sur l’avancée des préparatifs de ces Jeux lui soit fourni dans les deux prochaines semaines », précise le compte rendu.

Lors de la réunion du 8 octobre dernier, c’était le président de la République Félix Tshisekedi, qui avait évoqué la question. Il avait notamment rappelé aux membres du gouvernement la date du début de cet événement sportif et culturel et insisté sur la logistique. 

« En perspective du grand rendez-vous de la compétition multi sportive, en l’occurrence les 9èmes Jeux de la Francophonie qui se tiendront au courant du mois d’août 2022, le Président de la République a rappelé l’impérieuse nécessité pour le pays de se doter d’infrastructures sportives adéquates pour le déroulement des différentes épreuves », rapporte le compte rendu du conseil des ministres. 

A propos de la qualité des infrastructures sportives, le Président de la République avait noté les efforts récemment réalisés pour mettre le stade des Martyrs au niveau des standards de la Fédération internationale de football association (FIFA).

actualite.cd/CC

 



La Commission nationale des droits de l’Homme (CNDH), appelle le gouvernement à garantir l’indépendance des juges et la liberté d’expression des journalistes.

Ces recommandations ont été formulées le jeudi 28 octobre, lors de l’atelier de formation des membres des mécanismes de lutte contre la corruption, sous le thème : « Lutte contre la corruption et les Droits de l’homme ». 

Les recommandations concernant la justice

Le coordonnateur de l’APLC, Thierry Mbulamoko, propose l’impartialité de la justice principalement les magistrats.

« L’indépendance des juges est une condition préalable à l’équité des procès. L’indépendance de la justice à l’égard de l’exécutif et de législatif, donc, loin des fondements de l’état des droits. Il faut donc garantir aux juges une indépendance réelle, pour éviter toute influence politique induit sur les tribunaux pouvant donner lieu à des jugements piégés et corrompus qui servent des intérêts autres que l’intérêt public »

La liberté d’expression reconnue aux médias

« L’APLC propose notamment de garantir la liberté d’expression. Car le public doit être informée de ce qui se passe au sein des institutions, mais également en dehors des institutions. Ces garanties concernent le plus, les journalistes dans leur rôle d’informer. Il est essentiel de garantir la liberté d’expression des journalistes qui cherchent à faire la lumière sur des faits de corruption. Car le public a un droit de recevoir les informations sur le soupçon de corruption, impliquant des personnalités publiques y compris, politiques »

Thierry Mbulamoko, a ajouté :

« Il est par conséquent vitale que le journaliste ne soit pas empêché de lancer l’alerte lors qu’il découvre des cas de corruption et prévoit de les révéler. En RDC, nous devons garantir la liberté des journalistes dans leur travail d’investigation pour révéler les faits, liés à la corruption »  

Les représentants des structures qui militent contre la corruption et autres antivaleurs en RDC en l’occurrence, l’Inspection Générale des Finances, IGF, l’APLC, Agence de Prévention et de Lutte contre la Corruption une structure rattachée à la présidence de la république, prennent part à cette formation.

radiookapi.net/CC

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Ali Kalonga

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