Le président de l'Assemblée nationale, Christophe Mboso N'kodia, a, dans une réaction à chaud depuis l'aéroport international de N'djili ce mardi 7 juin 2022, indiqué que le Roi de Belgique vient pour transmettre deux messages aux congolais.

À l'en croire, le premier message consiste à enterrer un passé tragique et douloureux de l'histoire commune entre le royaume de Belgique et la République démocratique du Congo.

« Le roi vient nous transmettre deux messages, le premier message, il vient enterrer un passé tragique, un passé douloureux de notre histoire commune entre le royaume de Belgique et la RDC. Le deuxième message, c'est qu'il vient d'ouvrir une nouvelle page de l'histoire de coopération entre la RDC et le royaume de Belgique... Je demande à tous les Congolais de très bien accueillir le roi Philippe, les Congolais considèrent la Belgique comme leur deuxième patrie au monde », a-t-il déclaré.

Signalons que le couple royal a été accueilli à l'aéroport international de N'djili par le président de la République Félix Tshisekedi et son épouse Denise Nyakeru et tant d'autres personnalités du pays.

Le roi Philippe prononcera un discours devant la nation congolaise ce mercredi à l'esplanade du palais du peuple, situé dans la commune de Lingwala.

Roberto Tshahe



Les danseurs de différentes communes de la ville de Kinshasa se sont affrontés dans le cadre d’un concours de danse dénommé “Etumba”. Il met aux prises des groupes de danseurs qui présentent leur création chorégraphique devant des membres du jury qui cotent et un public qui vote.

L’étape des huitièmes de finale s’est déroulée ce samedi 4 juin à la place YMCA dans la commune de Kalamu. Vingt-six (26) se sont produits et à l’issue de la délibération du jury et des votes du public, 14 groupes devront continuer la compétition dans une semaine. Le groupe gagnant bénéficiera des avantages des organisateurs dont une somme d’argent.

Membre du jury, Fabrice Don de Dieu, danseur et enseignant de danse à l’INA, se félicite de parvenir à encadrer la jeunesse par la culture. Pour lui, ce concours permet aux jeunes de croire en leur talent et en leur capacité de devenir des personnalités grâce à la danse.

« Quand on parle du concours, les gens pensent tout de suite à l’affrontement, à la guerre. Mais dans un jeu concours, on apprend à gagner tout en respectant le perdant et à perdre tout en tirant les leçons de l’échec pour être meilleur demain », a-t-il affirmé à la presse.

Il indique, par ailleurs, que le fait pour la danse de faire l’omniprésence dans les plusieurs activités des Congolais, la rend une discipline mère du quotidien.

« La danse s’impose surtout au Congo. Elle est vraiment présente. Le comble est l’hypocrisie de certains Congolais qui pensent qu’il faut faire de la danse une discipline de bas niveau, des gens qui ont perdu l’espoir, ceux qui ont raté leur vie ; et pourtant tous et partout, nous dansons. Dans les deuils, les églises, les fêtes, les salons, je ne sais pas où on ne danse pas au Congo », a-t-il ajouté.

Les organisateurs disent tenir compte des biens d’éléments pour ne pas voir du laisser-aller et ne pas laisser place au dopage dans le travail avec les danseurs.

« Nous sommes là pour promouvoir et valoriser les talents des danseurs, et nous le faisons sous forme d’une compétition. Il n’y a pas seulement le fait d’exposer leur talent, il y a aussi des prix à gagner pour les meilleurs », a fait savoir Arnold Nsita, un des organisateurs.

De la joie et de la tristesse

Les groupes qualifiés se remettent au travail pour d’autres créations en vue de l’étape suivante. Ce concours, qui est à sa deuxième édition, connaît la participation des groupes de danse de toute la ville de Kinshasa et un qui est venu de Brazzaville. A l’issue de la proclamation, certains danseurs ont exprimé leur joie pour leur qualification.

« Je suis fier de notre qualification, que Dieu nous aide pour aller plus loin, j’espère que nous gagnerons », a lâché un danseur du groupe Wakanda.

Et au danseur Adji Wetshi d’ajouter :

« Nous avons travaillé et cela nous a donné la réussite. Nous allons encore travailler pour la suite et être plus fort. Pour le reste, que le meilleur gagne ».

Sentiment partagé chez un autre danseur qui pense aux perdants.

« Nous sommes qualifiés, mais je souhaite bonne chance à ceux qui sont éliminés. Je pense que les jurés ont suivi soigneusement tous les groupes et ils sont éliminés. Moi, je vise déjà la finale », dit-il.

Même sentiment partagé pour un membre du jury qui s’est dit heureux et triste en même temps. Heureux pour l’engouement que le concours crée auprès des jeunes qui participent en moyenne à 10 dans plus de 20 groupes. Et triste pour les groupes non retenus qui voient la fin de l’aventure et aussi pour ceux qui ne sont pas venus concourir.

« Le niveau des danseurs et des spectacles qu’ils proposent montrent à suffisance que les jeunes se sont préparés. L’assiduité qu’il présente forme leur personnalité, même s’ils ne sont plus danseurs », a laissé entendre Fabrice Don de Dieu.

Des groupes tels que Samouraï, Éléphant danse, My dream de Brazzaville, Power gospel dance, Agence African electric, Les pirates, Cia group ou encore Wakanda seront à la prochaine étape de la compétition.

Emmanuel Kuzamba

 


L’ancien président de la Commission politique, administrative et juridique (PAJ) et actuel premier vice-président de l’Assemblée nationale, André Mbata a, au cours d’un échange avec la presse ce samedi 04 juin à Kinshasa, fixé l’opinion sur la loi électorale récemment adoptée à la Chambre Basse du Parlement sur fonds de contestations.

Pendant cette conférence de presse, André Mbata, constitutionnaliste de son état, a glissé quelques mots à propos de l’éligibilité de l’ancien vice-président de la République Démocratique du Congo et président national du MLC, Jean-Pierre Bemba et de l’ancien président Joseph Kabila, après avoir fait deux mandats.

En ce qui concerne le cas de Jean-Pierre Bemba, l’un des membres influents de l’union sacrée de la Nation, le premier vice-président de l’assemblée nationale estime qu’il est faux de dire que JP Bemba est définitivement exclu du processus électoral.

« Les crimes les plus graves en droit international sont sanctionnés par la Cour pénale internationale. Si quelqu’un a été reconnu par exemple coupable de crime de génocide, il est inéligible à vie. Si vous avez été reconnu coupable de crime de guerre, vous êtes aussi inéligible à vie. Crime contre l’humanité, vous êtes aussi inéligible à vie. Donc on a tenu à distinguer les inéligibilités temporaires et les inéligibilités définitives, et Dieu merci pour Jean-Pierre Bemba et d’autres compatriotes, ils pourront bénéficier de ce nouveau système et je crois que c’est faux de dire que Jean-Pierre Bemba a été exclu », a indiqué d’entre le jeu André Mbata.

Dans son argumentaire, le premier vice-président de la Chambre Basse du Parlement congolais a expliqué que dès lors que Jean-Pierre Bemba a purgé sa peine, il est devenu éligible.

« Lorsque vous étiez par exemple condamné pour corruption ou vol, vous êtes inéligible, mais après un certain nombre d’années après avoir purgé votre peine, dans ce cas-là vous devenez éligible. Si quelqu’un a été condamné pour corruption en 1980, est-ce qu’il doit être inéligible à vie ? Mais dès qu’il a déjà purgé sa peine, il devient éligible et je crois que Jean-Pierre Bemba se retrouve dans ce cas-là d’inéligibilité temporaire », a soutenu André Mbata.

Kabila inéligible

Dans la même perspective, André Mbata s’est expliqué au sujet d’une possibilité du retour de Joseph Kabila aux affaires. Sans tergiverser, il a martelé qu’aucune disposition constitutionnelle ne permet à Joseph Kabila, sénateur à vie selon la loi régissant les anciens présidents, de briguer la présidence après avoir fait deux mandats successifs.

Pour lui, conformément à l’article 220 de la constitution de la RDC, le sort de Joseph Kabila est scellé.

« L’article 220 de la constitution est claire, notre ancien président de la République que nous aimons bien ne reviendra pas, nous l’avons toujours dit, dans les dispositions intangibles il y a le nombre et la durée des mandats constitutionnel qui ne peut faire objet d’aucune révision constitutionnelle et vous l’avez bien dit, on peut être re-éligible qu’une seule fois, un mandat et vous pouvez faire un deuxième mandat, c’est terminé ! Le nombre maximum de mandat d’un Président de la République sous cette constitution, il est de deux mais lorsqu’un ancien Président va revenir, cette disposition ne lui permet pas de revenir », a-t-il expliqué.

Par ailleurs, André Mbata a tenu à enlever tout amalgame en ce qui concerne le cas de la constitution congolaise et celle de la Russie qui a permis le retour de Vladimir Poutine après le règne de Dimitri Medvedev.

« Cette disposition là qui a existé chez les Russes avec Vladimir Poutine, les Russes l’avaient fait clairement il parlait de deux mandats successifs, tu peux aller te reposer et puis tu reviens, c’est ce qui avait permis le retour de Vladimir Poutine conformément à la constitution Russe mais dans notre constitution ici, tu es parti va te reposer, il n’y a pas de retour et puis qu’on le laisse tranquille, nous avons beaucoup de respects envers notre ancien Président de la République », a-t-il renchéri.

La question de la possibilité d’un retour de Joseph Kabila divise l’opinion. Les proches du président honoraire estiment qu’aucune disposition légale n’interdit à JKK se présenter en 2023 alors que les pro-Tshisekedi soutiennent tout le contraire. La Constitution de la RDC n’explique pas clairement sur cette question.

Carmel NDEO



Le parc national de Kahuzi-Biega (PNKB) compte désormais une deuxième famille de gorilles habitués à la présence humaine. Il s'agit de la famille Nabirembo.

La nouvelle a été annoncée sur le site internet du parc le vendredi 3 juin.

"Le chef de site du PNKB ,le professeur Dr Déo Kujirakwinja K. a effectué une visite de terrain pour évaluer le niveau d’habituation d’une famille de gorilles baptisée Nabirembo (...). Le niveau d’habituation est achevé, qu’il faille maintenant que les visites progressives y soient planifiées pour cette fin", lit-on sur ce site internet.

D'après la même source, cette famille est composée de 18 individus, y compris un bébé d’environ 3 mois. Le mâle dominant s'appelle Nabirembo alors que la femelle est désignée par le nom de Mwindja.

Le parc a également annoncé que cette famille est suivie régulièrement depuis juillet 2021 par un groupe de pisteurs conduit par le chargé d’habituation de cette aire protégée, sur financement d'une ONG locale. 

La première fois que des touristes avaient visité des gorilles suivis pour l’habituation dans ce parc c'était en 1970. Cette famille avait comme mâle dominant le dos argenté Casimir, qui est le père du célèbre Maheshe.

Tué en 1993 par un braconnier, l'effigie de Maheshe figurait sur le billet de 50.000 Zaïres, mis en circulation le 7 octobre 1991 par la banque centrale.

Bienfait Luganywa



Mercredi 4juin 1969. Les étudiants de Lovanium manifestent pacifiquement dans les rues de Kinshasa. Ils se répartissent en groupes distincts : l'un pour la gare centrale, l'autre en pleine cité à Matonge, quitte à faire jonction vers le siège du gouvernement. Un peu naïvement, ce mouvement comptait sur l'adhésion populaire pour faire boule de neige et déstabiliser le régime.

Ce ne fut pas le cas. Les Kinois ont suivi en spectateurs les groupuscules d’étudiants qui défilaient et qui se faisaient massacrer par la soldatesque mobutique !

Le 4 juin 2021, Truman Ngimbi rappelait cet événement connu sous l’appellation de « Massacres des étudiants de l’université Lovanium » en ces termes : «  Ce jour-là les étudiants étaient descendus dans les rues pour protester pacifiquement contre le rejet par le gouvernement de l’Accord dit « Charte de Goma » négocié quelques semaines auparavant et qui portait sur l’instauration du système de coresponsabilité entre les autorités académiques et les étudiants dans la gestion de l’université. Dans l’entendement des étudiants le nouveau système devait reposer sur trois piliers, les trois « D » qu’étaient la Décolonisation, la Démocratisation et la Déconcentration ».

Il y a lieu de rappeler ici que ces émeutes du 4 juin 1969 des étudiants de l’université Lovanium sont les premières revendications pacifiques de poids qui seront suivis par la manifestation en 1971 des étudiants de la même université qui tentaient de commémorer la disparition de leurs collègues fauchés par balles deux ans auparavant. Cette fois, les meneurs seront emprisonnés à Luzumu, le campus fermé et tous les étudiants enrôlés de force dans l’armée.

Ce n’est pas tout, en janvier 1975 la création contre les dérives du régime Mobutu par des étudiants Zairois de Belgique d’un journal satirique « Miso Gaa » avec son mouvement de revendication appelé « Mouvement du 4 juin » (en souvenir des massacres des étudiants en 1969), élargie le camp des pacifistes qui conteste la chape de l’obscurantisme imposé par le régime de Mobutu.

En 1980 c’est la contestation au sein des institutions des 13 commissaires du peuple (parlementaires), sans nul doute, avec la majorité de leurs électeurs qui fixe l’étendue des pacifistes.

On peut affirmer qu’à partir de cet instant-là le colosse (Mobutu et son régime) n’avait que des pieds d’argile !

Ali Kalonga



La première édition du prix de la littérature écologique dénommé “LitEco” a été lancée ce samedi 4 juin. C’est un prix basé sur les textes pour promouvoir l’émergence d’acteurs littéraires engagés dans la sensibilisation pour la protection de l’environnement et la lutte contre les effets de changements climatiques. 

Il est organisé par le site littéraire www.mbbactu.net et l’Association pour la Protection de l’Environnement et le Développement Durable  (APEDD).

Il est destiné aux ressortissants ou résidents de l’un des pays du Bassin du Congo qui sont la RDC, la République du Congo, la République Centrafricaine, le Cameroun, la Guinée-Equatoriale et le Gabon. Il faut être âgé de 18 ans ou plus pour prendre part. Le texte devra être présenté sous forme d’une nouvelle de 2.000 mots, à envoyer à l’adresse : This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.

Le dépôt des textes se clôture le 4 septembre prochain. La proclamation des résultats se fera le 5 décembre. Le Prix LitEcon, qui a l’ambition d’être organisé chaque année, sera décerné par un jury composé d’écrivains, des personnalités du monde littéraire, médiatique ou tout simplement par des personnes directement concernées par le thème du concours.

La nouvelle du lauréat et les 4 autres seront éditées et publiées dans une anthologie par les organisateurs ou leurs partenaires. Les 5 lauréats recevront chacun 10 exemplaires de l’anthologie. En plus de ces exemplaires, les 3 premiers recevront des  chèques d'une valeur allant de 500.000 à 2.000.000 francs congolais.

« Notre paysage forestier s’est dégradé, nous devons la reconquérir, notre biodiversité disparaît, nous devons la recréer, notre environnement naturel s’évanouit, nous devons la remonter. Et face au ravage et aux effets du changement climatique, il est temps de sensibiliser, il est temps de poser des actes, il est temps de penser à l’avenir des générations futures, il est temps de vivre en harmonie avec la nature », a souligné Marthe Bosuandole, initiatrice du prix, lors du lancement.

Le règlement au complet est à retrouver dans le site organisateur du prix. La protection de l’environnement est devenue une nécessité absolue ces dernières années. Les dirigeants du monde se réunissent de plus en plus pour en parler et trouver des solutions à la lutte contre le réchauffement climatique. A l’image de la Cop26 à Glasgow ou plus récemment, la Cop15 à Abidjan.

Emmanuel Kuzamba



La République Démocratique du Congo a rendu hommage, vendredi 3 juin 2022, à ses soldats tombés sur le champ de bataille lors des violents affrontements avec les terroristes du M23, à Nyiragongo et Rutshuru, au cours d’une cérémonie présidée par le Chef d’Etat-major général, le Général d’armée Célestin Mbala Musense, au stade «Afya» de Goma.

A cette occasion, le porte-parole du gouverneur militaire du Nord-Kivu, le général Sylvain Ekenge Bomusa Efomi a reconnu la cause noble pour laquelle ces militaires sont tombés. Et pour honorer leur mémoire, l’armée a réitéré sa détermination de défendre l’intégrité du territoire national « jusqu’au sacrifice suprême ».

« Pour honorer la mémoire de tous ces vaillants défenseurs de la République tombés debout et arme à la main, tous plus que jamais et quoi qu’il en coûte, soudés, unis et forts pour la défense de l’intégrité de notre territoire », a déclaré le Général Sylvain Ekenge.

Ils sont comptés à 15 ces militaires tués lors de ces combats livrés à Nyiragongo et Rutshuru parmi lesquels trois officiers, une dizaine de sous-officiers et autres soldats de rang, a-t-il souligné.

Plusieurs autres officiers de l’armée, de la Police Nationale Congolaise et de la force de la MONUSCO ont également rehaussé présence cette cérémonie.

A Kinshasa, un parti politique a demandé au gouvernement par le truchement de son ministère de la Défense et Anciens Combattants d’organiser une cérémonie officielle d’hommage au stade des Martyrs afin de permettre à toute la population de témoigner sa reconnaissance aux FARDC tombés au front.

Pour cette formation politique, cette cérémonie sera aussi une preuve de soutien et d’encouragement pour ceux et celles qui sont encore en première ligne de front, preuve que la République est derrière eux.

Dominique Malala



Ève Bazaiba Masudi, Vice-première ministre et ministre congolaise de l'Environnement a représenté le Gouvernement de la République démocratique du Congo aux assises de la Conférence internationale sur l'Environnement qui ont eu lieu à Stockholm en Suede du 02 au 03 juin 2022. 

Cette rencontre marque la commémoration du cinquantenaire de la Conférence internationale sur l'Environnement placé sous le thème : « Stockholm+50 : une planète saine pour la prospérité de toutes et tous - notre responsabilité, notre chance ».

Ces assises ont été ouvertes par Antonio Guterres, Secrétaire général de l'Organisation des Nations-Unies (ONU) après le discours du roi de Suède, Charles XVI Gustave qui est revenu sur les réalisations de la Conférence de Stockholm sur l'Environnement humain tenue en 1972 en indiquant que le monde n'a pas « 50 ans de plus pour inverser la tendance ou le développement ». Et à lui de renchérir : « Nous avons les outils pour rendre la planète saine, il nous faut à présent les utiliser ».

Durant ces assises, un accent particulier a été mis sur la lutte contre la triple crise planétaire de la terre à savoir : du climat, de la nature et de la pollution en vue d'accélérer la mise en œuvre de la décennie d'action des Nations-Unies afin d'atteindre notamment les objectifs de développement durable et de l'accord de Paris sur le changement climatique.

« J'appelle à mettre fin, maintenant, à notre guerre insensée et suicidaire contre la nature », a dit Antonio Guterres.

Il sied de noter, qu'à Stockholm, la Vice-première ministre et ministre de l'Environnement Ève Bazaiba était en tête d'une forte délégation de la République démocratique du Congo composée de plusieurs hautes personnalités dont Olivier Mondonge, directeur de cabinet adjoint du Chef de l'État Congolais, Félix Antoine Tshisekedi.

Jephté Kitsita

A Propos

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