La République Démocratique du Congo va lancer sa campagne de vaccination contre la variole de singe (Mpox) à partir du 2 octobre 2024. Selon le ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévoyance Sociale Roger Kamba qui l'a annoncé lors de la treizième réunion du conseil des ministres tenue vendredi 13 septembre 2024, cette campagne va se clôturer jusqu'au 11 octobre de l'année en cours.

"Sur le Mpox, il a mentionné que la recherche active des cas s'intensifie autant que le suivi des contacts, la surveillance au point d'entrée, au point de contrôle ainsi que la sensibilisation de la communauté. À ce jour, notre pays a réceptionné plus de 265.000 doses de vaccins, le processus d'acquisition de 3000 doses de vaccins pour enfants est suffisamment avancé auprès du gouvernement Japonais, 100.000 autres doses de vaccins sont attendues de la France. Ainsi, la campagne de vaccination contre le Mpox sera lancée du 2 au 11 octobre 2024 pour le premier passage", rapporte le compte rendu de la réunion. 

Entre-temps, poursuit la source citée, 10 tonnes de fournitures médicales ont été aussi réceptionnées par l'organisation mondiale de la Santé (OMS) pour garantir une prise en charge médicale adéquate et efficace de tous les malades. "La prise en charge étant gratuite" a-t-il fait savoir. En ce qui concerne le choléra, le ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévoyance Sociale a signalé que le cumul des cas est passé de 314 à 380 cas amenant le taux de létalité à 0.5% contrairement à la semaine dernière qui était à 0,02%. Les actions menées et envisagées dans le cadre du plan de riposte ont été portées à la connaissance du conseil et ce dernier a pris acte de cette note d'information.

La République démocratique du Congo continue à enregistrer de nouveaux cas de Mpox. Selon le ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévoyance Sociale Roger Kamba, la République Démocratique du Congo a besoin de près de 3 millions de doses de vaccin pour 2,5 millions de personnes tout en insistant sur l'importance de la prévention".

Dans sa stratégie de riposte, le gouvernement de la République via le ministère de la santé Publique, hygiène et Prévoyance Sociale veut s’appuyer sur la sensibilisation de la population, la prévention et le traitement, pour vaincre l’épidémie de Monkeypox (Mpox).

Clément MUAMBA



Fête de la littérature, la Grande Rentrée Littéraire de Kinshasa, qui a ouvert ses portes ce jeudi, a poursuivi ses festivités ce vendredi 13 septembre, continuant de surprendre et d’enchanter les passionnés de la littérature lors de sa deuxième journée. Cet événement, véritable eucharistie de la littérature congolaise, a débuté par l’ouverture du grand marché du livre, un moment qui permet aux passionnés de la chose littéraire de s’initier dans l’univers mystique des livres et de découvrir une vaste gamme d’ouvrages.

Juste après, s’est invité à l’heure du conte avec les élèves venus de différentes écoles des périphéries de Kinshasa, avec l’animation autour du livre “Jo betela nga lisolo” de Jovitha Songwa. Cette artiste de talent a fait un mini-spectacle de conte animé, apportant une touche d’animation et de créativité aux jeunes lecteurs.

L’un des événements marquants de cette deuxième journée était l’atelier de création de spectacle Slam animé par le collectif Tetra. Ce moment de partage entre participants et ce trio des têtes travailleuses et rares, avait comme objectif la « réinvention de l’art oratoire et du spectacle ». Cet atelier, qui s’achèvera ce samedi 14 septembre lors de la clôture de cette édition de la grande rentrée littéraire, a pour mission de transformer les passionnés de l’écriture et du Slam, qu'ils soient novices ou expérimentés, en véritables artistes du verbe.

La journée a été riche en activités, notamment avec une table ronde dédiée spécialement aux bandes dessinées et littérature jeunesse, sous le thème de “Fête de la BD. BD faite par les femmes. Femmes au cœur de la BD”. Cette table ronde a réuni des bédéistes tels que Santa Kakesa, Prisca Mena, Jérémie Nsingi, Mola Boyika et Claudeo Nsiala. Ces auteurs ont partagé leurs expériences et discuté de l’importance des femmes dans le monde de la bande dessinée.

Le programme s’est poursuivi avec un vernissage dédié aux livres écrits par des femmes. Les nouvelles voix féminines de la littérature congolaise ont eu l’occasion de présenter leurs œuvres au public. Les éditions « Ma Plume Aiguisée » et « Mesdames » ont été représentées par Noëlla Katham (avec « Ajabu »), Myriam Zanga (avec « L’Espoir au-delà des Étoiles ») et Reinette Mulonda (avec « Course contre la Honte »). De même, les éditions Grand Lac et Mikanda ont présenté Netty Mayaka avec « Mariée à Tout Prix » et Jovitha Songwa avec « Jo, Betela Nga Lisolo ».

La journée s’est conclue par un choc littéraire de haut vol entre Christian Gombo, l’auteur maudit et Charlie Demoulin. Deux auteurs aux horizons distincts mais au style d’écriture similaire et aux mêmes folies ont croisé leurs regards sous la modération de Medi Wa Mulenda, sur leurs œuvres respectives, “Silence me mord” et "Maudit soit-il". Les deux écrivains ont offert au public une plongée dans des univers où la solitude et la vacuité existentielle sont traitées avec une écriture directe et sans compromis. Cette confrontation littéraire a suscité un grand intérêt et a capté l'attention des lecteurs présents. 

Les échanges ont été particulièrement vivants, avec des extraits lus devant un public captivé. Cette confrontation entre les univers littéraires endiablés de Gombo et Demoulin a permis de souligner la profondeur et la diversité des écritures contemporaines.

La deuxième journée de la Grande Rentrée Littéraire de Kinshasa a ainsi réussi à allier découverte, débat et célébration de la littérature, confirmant son rôle central dans la promotion des voix littéraires de la région. Les participants ont quitté l'événement enrichis par des expériences littéraires variées et stimulantes, offrant un aperçu prometteur de la suite du festival.

James M. Mutuba

Saturday, 14 September 2024 09:17

VClub: Abdeslam Ouaddou quitte le navire



L'entraîneur de l'As VClub, le marocain, Abdeslam Ouaddou, démissionne de ses fonctions. Il l'a déclaré lors de la conférence de presse d'après-match perdu (0-2) en Ligue des Champions en Afrique du Sud.

"Je suis un entraîneur professionnel.Je ne sais plus continuer dans ces conditions. J'ai manqué 6 joueurs à cause des passeports. C'était mon dernier match et je souhaite le meilleur à l'équipe ", a-t-il dit.

Les Dauphins Noirs de Kinshasa ont été cueillis à froid dans cette explication dès les premières minutes et ont été mis sous pression. Ils ont craqué à seulement 8 minutes après le coup d'envoi en encaissant le 1er but. En essayant de remonter la pente après avoir encaissé, les kinois vont aller chercher encore le ballon au fond de filet quelques minutes plus tard (12ème minute). Ils ont été sonnés et ne vont plus de remettre malgré qu'ils ont tenté de remonter la pente en stoppant l'hémorragie juste après et tout au long de la 2ème période. C'est une défaite qui pourrait être qualifiée d'inquiétant parce que la sonnette d'alarme a été tirée depuis la préparation de cette explication. L'équipe kinoise ne rassurait pas du tout et cela s'est confirmé.

Bien que l'écart n'est pas très considérable, les kinois vont devoir sortir un exploit pour renverser la tendance dans une semaine à Kinshasa. Il faudra énormément de concentration et l'implication de l'ensemble des couches de l'équipe pour aller accrocher la qualification.

Michel TOBO 



L'As V.Club est allée s'incliner (0-2) sur le terrain de Stellenbosch en match comptant pour le 2ème tour aller de la Ligue Africaine des Champions.

Les Dauphins Noirs de Kinshasa ont été cueillis à froid dans cette explication dès les premières minutes et ont été mis sous pression. Ils ont craqué à seulement 8 minutes après le coup d'envoi en encaissant le 1er but. En essayant de remonter la pente après avoir encaissé, les kinois vont aller chercher encore le ballon au fond de filet quelques minutes plus tard (12ème minute). Ils ont été sonnés et ne vont plus de remettre malgré qu'ils ont tenté de remonter la pente en stoppant l'hémorragie juste après et tout au long de la 2ème période. C'est une défaite qui pourrait être qualifiée d'inquiétant parce que la sonnette d'alarme a été tirée depuis la préparation de cette explication. L'équipe kinoise ne rassurait pas du tout et cela s'est confirmé.

Bien que l'écart n'est pas très considérable, les kinois vont devoir sortir un exploit pour renverser la tendance dans une semaine à Kinshasa. Il faudra énormément de concentration et l'implication de l'ensemble des couches de l'équipe pour aller accrocher la qualification.

Michel TOBO 



Le Commissaire politique du mouvement rebelle, « Alliance Fleuve Congo » (AFC) de Corneille Nanga, David Baraka Elonga a été arrêté dans un camp des réfugiés de Kyangwali, situé dans le district de Kukuube, c’est à l’Ouest de l’Ouganda.

Son arrestation date depuis le 05 septembre 2024 dernier, a confirmé Chimpreport.com, un média en ligne Ougandais, consulté par POLITICO.CD ce vendredi 13 septembre 2024.

David Baraka Elonga a été arrêté dans ce camp alors qu’il recrutait parmi les ces réfugiés des hommes qui veulent rejoindre le marquis en RDC pour renverser le régime de Félix Tshisekedi. Ce dernier relevait directement du commandant de l’AFC Corneille Nanga.

Cette information a été confirmée par Rusoke Kituuma, porte-parole de la police en affirmant que ce dernier recrutait les rebelles dans le camp des réfugiés. Selon lui, Baraka sera remis à l’UPDF, l’armée ougandaise pour une gestion ultérieure.

Contacté au sujet de son collaborateur en Ouganda par le média cité, le rebelle Nanga est resté silencieux. Baraka Elonga avait déjà recruté 32 réfugiés parmi lesquels deux filles.

« Les forces de sécurité ont découvert que Baraka avait déjà recruté 32 personnes, dont quatre jeunes filles. Les réfugiés attendaient un camion un véhicule pour les amener du camp des réfugiés en RDC pour suivre une formation militaire», a déclaré un responsable d’une ONG dans ce camp des réfugiés qui a requis l’anonymat.

Baraka est détenu au commissariat de la Police de Hoima. Certaines sources révèlent que depuis un certain moment, Corneille Nanga recrute discrètement dans les camps des réfugiés en Ouganda pour se renforcer en effectif.

Originaire de Djugu Baraka Elonga était basé à Bunia pour étendre le réseau de la rébellion de Nanga qui menace de prendre le contrôle de l’Ituri. Ce dernier est poursuivi par la Police Ougandaise de trafic d’êtres humains aggravé. Il risque selon nos sources d’être accusé de terrorisme et de trahison.

Azarias Mokonzi

 


« Les réformes dans le secteur de la justice doivent être parachevées afin que nous ayons une justice équitable », a insisté, spécialement,  le Président Tshisekedi, lors d’une réunion hier, jeudi 12 septembre 2024, à la Cité de l’Union Africaine,   mettant autour d’une même table, Vital Kamerhe, le Président de l’Assemblée Nationale, Jean Michel Sama Lukonde Kyenge, le Président du Sénat, Judith Suminwa Tuluka, la Première Ministre et, enfin, Dieudonné Kamuleta Badibanga, le Président du Conseil Supérieur de la Magistrature.

Nouvelles orientations

Concrètement, le Chef de l’Etat a donné des orientations aux animateurs des 4 principales institutions de la République : l’Assemblée nationale, le Sénat, le Gouvernement et le Conseil supérieur de la magistrature.

Sur le plan économique, le Chef de l’Etat a réitéré sa « détermination de voir notre économie décoller avec notamment, la baisse du taux directeur de la Banque centrale du Congo », a rapporté Vital Kamerhe, le Président de la Chambre basse du Parlement. 

Concernant le secteur de l’Education, le Président Tshisekedi a insisté pour que « la gratuité de l’enseignement de base soit totalement parachevée », a ajouté Vital Kamerhe.

Prévention, un des piliers du système de santé

Au chapitre de la Santé, le Speaker de l’Assemblée nationale a affirmé que « le Président de la République a donné des instructions en termes de   prévention comme un des piliers du système de santé».

Enfin, la situation sécuritaire de la République Démocratique du Congo (RDC), particulièrement, dans les de l’Est et de l’Ouest, ainsi que le parachèvement du processus électoral dans certaines zones du pays ont aussi été abordés.

laprosperité/CC



Entre la Linafoot et la Fédération Congolaise de Football Association, les angles sont loin d’être arrondis. La Commission de Gestion de la Ligue Nationale de Football vient d’annoncer le report de la publication du calendrier du championnat de la Ligue 1. Dans un communiqué, elle évoque des points à harmoniser avec la Fédé.

« En attendant les derniers réglages entre le CONOR et la Linafoot pour une meilleure organisation du championnat, la publication du calendrier initialement prévue pour ce 12 septembre aura lieu au début de la semaine prochaine », lit-on dans la correspondance de la Linafoot publié et signé un jour après la date initiale de la publication du calendrier.

Un peu plus tôt, le Comité de Normalisation de la Fédération Congolaise de Football Association avait saisi la Linafoot et les clubs par voie de correspondance. La Fédé avait annoncé qu’il n’y aura pas de relégation. Le championnat se jouera avec 26 clubs contrairement aux 20 de la saison 2023-2024.

footrdc/CC



Les travailleurs des maisons de commerce des Chinois, Libanais et Indo-Pakistanais à Kinshasa, ont repris le travail jeudi dernier après la descente de l'équipe de l'hôtel de ville qui a pris en main propre le mémo reprenant leurs quatre revendications, dont l'actualisation du salaire au taux du jour. 

À la tête d'une délégation du gouvernement provincial mercredi dernier au grand marché de Kinshasa, Jésus Noël Sheke, ministre du plan, budget, emploi et tourisme, annonce la mise en place, par le gouverneur de la ville d'un cadre de concertation permanente tripartite gouvernement provincial – Banc syndical – Banc employeurs devant « statuer et prévenir d'éventuels problèmes, pour suivre des résolutions arrêtées et ce, pour proposer des solutions durables », lit-on dans un communiqué ce vendredi 13 septembre 2024, consulté par ACTUALITÉ.CD.

Et, faisant suite à la grève de trois jours, entamée lundi 2 septembre dernier, le gouverneur de Kinshasa Daniel Bumba tiendra une réunion ce lundi 16 septembre à l'hôtel de ville, avec tous les responsables des sociétés privées de placement œuvrant à Kinshasa, les responsables des sociétés de la Sous-traitance œuvrant à Kinshasa, les responsables de la FEC, COPEMECO et FENAPEC, les responsables des établissements et sociétés évoluant dans le secteur du commerce ainsi qu'avec tous les membres de l'intersyndical des Travailleurs dans le Secteur du Commerce. 

À part la question de l'actualisation du salaire au taux du jour, ces travailleurs exigent également la suppression de la sous-traitance, le respect des heures de travail, l'augmentation de leur salaire et la paie des heures supplémentaires.  Lors de leur manifestation en début de semaine, ces employés avaient contraint tous les magasins ouverts à fermer jusqu'à ce que leurs revendications trouvent des réponses. Ce mouvement, disent-ils, sera réactivé si jamais des solutions ne suivent pas.

Samyr LUKOMBO



Jean-Jacques Wondo, expert militaire belgo-congolais, a été condamné à la peine de mort aux côtés de trois Américains et plusieurs autres prévenus pour des accusations liées à une affaire que les autorités congolaises qualifient de coup d’Etat déjoué, le 19 mai à Kinshasa.

La condamnation de Wondo et des autres accusés fait suite aux événements survenus à la résidence de Vital Kamerhe, ancien directeur de cabinet du président Tshisekedi, et au Palais de la nation. Le tribunal militaire de garnison de Kinshasa/Gombe, qui a jugé cette affaire, a retenu des preuves controversées, incluant des photos de Wondo en uniforme militaire publiées dans ses ouvrages, comme des éléments à charge.

La situation a pris une dimension humaine et tragique avec les appels à l’aide de Nathalie Kayembe, épouse de Jean-Jacques Wondo, qui s'est publiquement exprimée sur l'état de santé dégradé de son mari. « Je vous implore, Monsieur le Président, la santé de mon mari se dégrade chaque jour. Il a perdu 15 kilos et a besoin de soins médicaux urgents », a-t-elle déclaré, les larmes aux yeux, suppliant pour sa libération.

Le fils de Wondo a également témoigné, rappelant l'engagement de son père pour le Congo : « Mon père a toujours servi le Congo avec intégrité. Ce dont on l'accuse est faux. Nous avons besoin de lui en bonne santé. »

Les avocats de Wondo ont vigoureusement contesté les accusations, affirmant qu'aucun lien concret n'existait entre leur client et les co-prévenus. Ils ont également critiqué la validité des preuves présentées, remettant en question la légalité des rapports d'experts soumis par l'accusation.

actualite.cd/CC



Le tribunal militaire de garnison de Kinshasa/Gombe a rendu, ce vendredi 13 septembre 2024, son jugement dans l’affaire du coup d’État manqué et de l’attaque de la résidence de Vital Kamerhe.

37 prévenus ont été condamnés à la peine de mort pour des infractions d'association de malfaiteurs, d'attentat et de terrorisme. Parmi eux figurent Marcel Malanga, fils de Christian Malanga, Tyler Christian Thomson, Zalman Pollum Benjamin et Nkele Mbuela Ruffin. L'expert militaire Jean-Jacques Wondo a également été condamné à la peine de mort pour association de malfaiteurs et attentat. Certains des condamnés ont écopé de 20 ans de servitude pénale pour détention illégale d'armes de guerre.

Une dizaine de personnes, 13 au total, ont été acquittées, les faits d'association de malfaiteurs, de terrorisme et de financement du terrorisme n'ayant pas été prouvés. Parmi elles, on retrouve les prévenus dits de "l’hôtel Chez Momo", notamment la propriétaire de l’établissement, Mata Maguy, son mari Ephraïm Mugangu, ainsi que leurs employés, Judith Mukela Mukubu et Mbayo Adolphe. Figurent également parmi les acquittés les convoyeurs et chauffeurs des bus ayant transporté les prévenus, le gérant Faustin Egwake, ainsi que la nettoyeuse du Palais de la Nation, Mbemba Ndona Mado.

Quant au prévenu Tikimo, il a bénéficié de circonstances atténuantes et a été déclaré non coupable.

Dans leurs plaidoiries, plusieurs des prévenus ont affirmé avoir été contraints de participer aux attaques, un argument qui n’a pas convaincu le tribunal. Ce dernier a relevé que ces prévenus n'avaient pas cherché à se retirer lorsque Christian Malanga avait été éloigné et qu’ils avaient été vus armés, célébrant la victoire du New Zaïre ou encore scandant des slogans tels que "Ingeta".

actualite.cd/CC

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Ali Kalonga

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