Le premier ministre Sama Lukonde a invité les membres de son gouvernement à travailler avec célérité pour l'exécution du programme gouvernemental. Il a lancé cet appel lors de la 47ème réunion du conseil des ministres sous la direction du Président Félix Tshisekedi.
" Le premier ministre, Chef du gouvernement a appelé l'ensemble du gouvernement à plus de travail et de célérité dans l'exécution du programme gouvernemental afin de rencontrer les préoccupations de notre peuple", dit le compte rendu de la réunion fait vendredi 1er avril par Patrick Muyaya, porte-parole du gouvernement.
Cette interpellation de Sama Lukonde à l'endroit de ses ministres intervient quelques jours après la destitution du ministre de l'économie nationale Jean-Marie Kalumba Yuma. Ce dernier n’a d’ailleurs pas pris part au conseil. Au terme d'un vote organisé à l’Assemblée nationale lors de l’examen de la motion de défiance initiée contre le ministre et auquel ont pris part 368 députés nationaux, 277 ont voté pour, 79 ont voté contre et les 12 autres se sont abstenus. Le député Crispin Mbindule était l’initiateur de la motion.
Jean-Marie Kalumba Yuma est reproché d'être incompétent notamment sur sa gestion du dossier en rapport avec les chinchards commandés par le gouvernement pour les festivités de fin d'année 2021-2022. Bien plus, il est pointé du doigt au regard de la hausse de prix des biens de première nécessité constatée dans les différents marchés à travers l’ensemble du territoire national.
Tirant les conséquences de cette décision parlementaire, le gouvernement à travers son porte-parole Patrick Muyaya avait rassuré dans un communiqué que toutes les formalités administratives d'usage sont en cours, afin de faciliter le dénouement de la procédure ayant ainsi visé, de manière individuelle, un de ses membres.
Clément Muamba
Le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo est revenu, lors de sa communication à la 47ème réunion du conseil des ministres tenue le 1er avril 2022 en présentiel, sur l'élimination des Léopards de la RDC aux barrages de la Coupe du Monde de football Qatar 2022.
Félix Tshisekedi a, au nom du peuple Congolais, réitéré tous les encouragements aux joueurs pour ce qu'ils ont donné jusqu'à atteindre le dernier niveau des éliminatoires, ainsi qu'à tout le staff technique qui les encadre.
C'est ce qu'a fait savoir le porte-parole du Gouvernement Patrick Muyaya, dans le compte-rendu du conseil des ministres qui a eu lieu à la Cité de l'Union Africaine.
"En dépit des efforts remarquablement déployés, le rêve collectif de renouer avec une Coupe du monde a été brisé par la victoire de la sélection marocaine sur les Léopards", a indiqué Patrick Muyaya.
Face à cette situation, le président Tshisekedi appelle à une prise de conscience pour dresser le bilan objectif, rectifier les erreurs et préparer un redéploiement plus efficace en perspective des prochaines échéances dont la Coupe d'Afrique des Nations de 2023.
"Cet encadrement doit aussi concerner toutes les autres disciplines sportives", a martelé le chef de l'État cité par le porte-parole du gouvernement.
Pour rappel, le rêve des Congolais de voir leur pays participer à une deuxième coupe du Monde s'est envolé après la claque reçue par les Léopards au Maroc, le 29 mars dernier. En effet, la RDC a lourdement perdu sur le score de 4 buts à 1.
Jephté Kitsita
Le député Ngoyi Kasanji a déposé vendredi au bureau de l’Assemblée nationale, une question orale avec débat adressée à Serge Khonde, ministre des sports et loisirs.
Le député et ancien dirigeant sportif veut des explications sur la gestion des compétitions sportives nationales et de la participation de la République démocratique du Congo aux compétitions sportives internationales.
« L’observation du déroulement des compétitions sportives nationales fait état d'une irrégularité qui dénote d'une négligence et d'une absence de management aussi bien au niveau du Ministère des sports que des
différentes fédérations sportives nationales », constate t-il.
« La conséquence directe de ce désordre entretenu et maintes fois décrié par l'opinion sportive congolaise est la culture de la défaite devenue systématique pour toutes les sélections qui représentent notre pays aux différentes compétitions internationales ».
L’une des illustrations les plus frappantes, c’est l’arrêt brusque du championnat national: « Cette triste réalité est attestée par les faits les plus récents qui sont l'arrêt observé de la ligue nationale de football « LINAFOOT » malgré le subventionnement du transport des équipes par le trésor public et la défaite humiliante des léopards football au match qualificatif pour la participation à la coupe du monde qui se jouera au Quatar cette année ».
Les raisons semblent évidentes, mais difficiles à expliquer :
« Les raisons les plus évidentes sont la négligence de la préparation des sélections nationales, la légèreté et le clientélisme qui expliquent le mauvais choix des entraineurs, joueurs et autres athlètes; et l'absence d'une vision sportive, prémisse d'une culture des victoires. Ces griefs sont attestés par l'état de nos infrastructures sportives, l'opacité des contrats signés par le Gouvernement avec les entraineurs, le comportement de ceux-ci dans le choix des joueurs, athlètes et tactiques en inadéquation avec le souci de gagner, l'existence des conflits et désordres permanents dans les fédérations sportives nationales ».
Les questions du députés:
1. Comment expliquer ce désordre devenu systémique dans les fédérations sportives ?
2. A quand une représentation de notre pays par des sélections dignes de sa grandeur ?
3. Comment vous concilier l'impératif de réaliser des bons résultats avec le choix des
entraineurs qui résident à l'étranger ?
4. Comment expliquez-vous votre absence remarquable au Maroc lors du match qui a opposé les léopards football à l'équipe nationale du Maroc ?
actualite.cd/CC
Apres l’officialisation de la démission de Jean-Marc Kabund du poste de premier vice-président à l’Assemblée nationale, le président du groupe parlementaire UDPS et Alliés, Léon Mubikayi révèle que son remplaçant sera bientôt connu. Il souligne que cela est tout à fait normal vu que ce poste revient au parti.
« C’est normal, c’est la logique même, parce que notre collègue occupait un poste de l’UDPS et étant radié de l’UDPS, il ne pouvait pas continuer à occuper le poste qui ne lui appartient pas. Il a été radié du parti. Etant radié du parti, il ne peut plus occuper ce poste. Il sera remplacé. Les démarches sont en cours pour son remplacement. Ces démarches ont d’ailleurs commencé depuis longtemps. On n’attendait que ça pour formalité. Le candidat sera révélé bientôt. » a déclaré Léon Mubikayi.
Avant d’ajouter : « le groupe va se réunir pour ça. Ce n’est pas seulement l’apanage du groupe mais c’est aussi la collaboration avec le parti », a-t-il expliqué.
À en croire le président du groupe parlementaire UDPS et Alliés, le candidat viendra de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) puisque le poste de premier vice-président de l’Assemblée nationale appartient à l’UDPS.
« Il [le candidat] viendra de l’UDPS. Quand on a constitué les tickets, ce poste-là, a été réservé à l’UDPS. Ça sera donc un membre de l’UDPS qui va l’occuper », a-t-il souligné.
Jean-Marc Kabund avait annoncé sur son compte twitter, le 21 janvier dernier, son intention de démissionner de son poste de premier vice-président de l’Assemblée nationale, un jour après l’attaque de sa résidence par des soldats de la Garde républicaine.
Il a, par la suite, été désavoué par sa famille politique (UDPS) avant de quitter le pays pour des soins médicaux en Europe. Il a officialisé sa démission le jeudi 31 mars dernier dans une correspondance adressée au président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso N’Kodia.
Christian Malele
Cédric Bakambu annonce officiellement la fin de sa carrière internationale. Il l’a donné la nouvelle sur ses réseaux sociaux.
«Vous la méritiez cette participation à la Coupe du Monde. Dans la victoire comme dans la défaite j'ai toujours pris mes responsabilités. Ca ne changera pas aujourd'hui. Ce fut un honneur d'avoir porté le maillot de la RDC», a-t-il dit.
Cette confirmation arrive au lendemain des audios lui attribué où il dénonce un peu tout autour de l’élimination de l’équipe nationale de la République Démocratique du Congo (RDC) lors des barrages de la Coupe du monde, Qatar 2022.
Michel TOBO
Le tirage au sort de la phase de groupes du Mondial 2022 au Qatar, organisé du 21 novembre au 18 décembre 2022, a eu lieu vendredi soir 01 avril 2022 au Centre des expositions de Doha.
Cet événement tant attendu, présenté par deux Anglais, l'acteur Idris Elba et la journaliste Reshmin Chowdhury, accompagnés de deux anciens champions du monde, l'Allemand Lothar Matthaüs et le Brésilien Cafu, n'a, contrairement à d'habitude, pas accouché d'un groupe de la mort en particulier. 29 sélections sur 32 possibles étaient déjà connues, en attendant les barrages intercontinentaux, qui désigneront les trois nations restantes qui complétaient le chapeau 4.
Ce tirage au sort a placé le Sénégal, champion d’Afrique, dans la poule du pays hôte, le Qatar. La Tunisie, elle, défiera la France, championne du monde en titre. Le Ghana retrouvera une Uruguay qui l’avait douloureusement éliminé en 2010. Quant au Maroc, placé avec la Belgique, le Canada et la Croatie, il n’a pas été gâté. Même constat pour le Cameroun, dans le groupe du Brésil, de la Serbie et de la Suisse.
Dans 233 jours, on saura si ce tirage au sort du 1er avril était une bonne affaire ou une mauvaise blague pour les cinq équipes africaines engagées à la Coupe du monde 2022 de football (21 novembre-18 décembre).
Le Sénégal mieux loti
Pour l’heure, le Sénégal, champion d’Afrique, semble être le mieux loti. Les Sénégalais vont certes affronter le pays hôte, le Qatar, les Pays-Bas, une grande nation, et l’Equateur, dont il faudra se méfier, dans le groupe A. Mais leur poule en 2018 (Japon, Pologne, Colombie) était plus relevée.
La Tunisie avec la France
Pour la Tunisie, la perspective est un peu plus floue. Les Tunisiens savent certes qu’ils vont défier la France, championne du monde en titre, et le Danemark, un habitué du Mondial. Mais leur dernier adversaire (Australie, Emirats arabes unis ou Pérou) ne sera défini qu’en juin, à l’issue d’un barrage intercontinental entre un représentant de l’Asie et de l’Amérique du Sud.
Le Ghana mal loti
Le Ghana, en revanche, sera face à des équipes familières. Les Ghanéens d’André Ayew avaient déjà affronté le Portugal de Cristiano Ronaldo en 2014 (défaite 2-1). Quant aux Uruguayens, ils avaient éliminé les Black Stars à l’issue d’un quart de finale mythique, en 2010. La Corée du Sud, par contre, sera un nouvel adversaire pour la sélection d’Afrique de l’Ouest.
Tirage difficile pour le Cameroun et le Maroc
Pour la troisième fois après 1994 et 2014, le Cameroun jouera contre le Brésil en Coupe du monde. Un sacré challenge pour le pays qui vient d’accueillir la Coupe d’Afrique des nations. Les Camerounais se retrouvent ainsi dans un groupe quasi-identique à celui de 2018 pour le Brésil, la Serbie et la Suisse (le Costa Rica était à leur place).
Enfin, le Maroc est peut-être le moins gâté avec la Croatie, la Belgique et le Canada, seule équipe abordable du groupe des Lions de l’Atlas. « C’est un tirage très difficile : le vice-champion du monde, la Belgique 3e du dernier Mondial et la meilleure équipe d’Amérique du Nord. C’est extrêmement difficile, a d'ailleurs réagi le sélectionneur Vahid Halilhodzic au micro de beIN Sports. De toute façon, il n’y a pas de petites équipes en Coupe du monde, les surprises sont possibles. Au Brésil en 2014, avec l’Algérie, on a failli faire un exploit énorme contre l’Allemagne. Je vais peut-être essayer la même chose avec le Maroc. Tout est possible, il faut y croire et préparer ça ».
Groupe A
- Qatar
- Équateur
- Sénégal
- Pays-Bas
Groupe B
- Angleterre
- Iran
- États-Unis
- Ukraine, Écosse ou Pays de Galles
Groupe C
- Argentine
- Arabie Saoudite
- Mexique
- Pologne
Groupe D
- France
- Pérou, Australie ou Émirats arabes unis
- Danemark
- Tunisie
Groupe E
- Espagne
- Costa Rica ou Nouvelle-Zélande
- Allemagne
- Japon
Groupe F
- Belgique
- Canada
- Maroc
- Croatie
Groupe G
- Brésil
- Serbie
- Suisse
- Cameroun
Groupe H
- Portugal
- Ghana
- Uruguay
- Corée du Sud
David Kalfa/CC
Le tirage complet de la phase de poules
Le tirage au sort de la phase de groupes du Mondial 2022 au Qatar, organisé du 21 novembre au 18 décembre 2022, a eu lieu vendredi soir 01 avril 2022 au Centre des expositions de Doha.
Cet événement tant attendu, présenté par deux Anglais, l'acteur Idris Elba et la journaliste Reshmin Chowdhury, accompagnés de deux anciens champions du monde, l'Allemand Lothar Matthaüs et le Brésilien Cafu, n'a, contrairement à d'habitude, pas accouché d'un groupe de la mort en particulier. 29 sélections sur 32 possibles étaient déjà connues, en attendant les barrages intercontinentaux, qui désigneront les trois nations restantes qui complétaient le chapeau 4.
Ce tirage au sort a placé le Sénégal, champion d’Afrique, dans la poule du pays hôte, le Qatar. La Tunisie, elle, défiera la France, championne du monde en titre. Le Ghana retrouvera une Uruguay qui l’avait douloureusement éliminé en 2010. Quant au Maroc, placé avec la Belgique, le Canada et la Croatie, il n’a pas été gâté. Même constat pour le Cameroun, dans le groupe du Brésil, de la Serbie et de la Suisse.
Dans 233 jours, on saura si ce tirage au sort du 1er avril était une bonne affaire ou une mauvaise blague pour les cinq équipes africaines engagées à la Coupe du monde 2022 de football (21 novembre-18 décembre).
Le Sénégal mieux loti
Pour l’heure, le Sénégal, champion d’Afrique, semble être le mieux loti. Les Sénégalais vont certes affronter le pays hôte, le Qatar, les Pays-Bas, une grande nation, et l’Equateur, dont il faudra se méfier, dans le groupe A. Mais leur poule en 2018 (Japon, Pologne, Colombie) était plus relevée.
La Tunisie avec la France
Pour la Tunisie, la perspective est un peu plus floue. Les Tunisiens savent certes qu’ils vont défier la France, championne du monde en titre, et le Danemark, un habitué du Mondial. Mais leur dernier adversaire (Australie, Emirats arabes unis ou Pérou) ne sera défini qu’en juin, à l’issue d’un barrage intercontinental entre un représentant de l’Asie et de l’Amérique du Sud.
Le Ghana mal loti
Le Ghana, en revanche, sera face à des équipes familières. Les Ghanéens d’André Ayew avaient déjà affronté le Portugal de Cristiano Ronaldo en 2014 (défaite 2-1). Quant aux Uruguayens, ils avaient éliminé les Black Stars à l’issue d’un quart de finale mythique, en 2010. La Corée du Sud, par contre, sera un nouvel adversaire pour la sélection d’Afrique de l’Ouest.
Tirage difficile pour le Cameroun et le Maroc
Pour la troisième fois après 1994 et 2014, le Cameroun jouera contre le Brésil en Coupe du monde. Un sacré challenge pour le pays qui vient d’accueillir la Coupe d’Afrique des nations. Les Camerounais se retrouvent ainsi dans un groupe quasi-identique à celui de 2018 pour le Brésil, la Serbie et la Suisse (le Costa Rica était à leur place).
Enfin, le Maroc est peut-être le moins gâté avec la Croatie, la Belgique et le Canada, seule équipe abordable du groupe des Lions de l’Atlas. « C’est un tirage très difficile : le vice-champion du monde, la Belgique 3e du dernier Mondial et la meilleure équipe d’Amérique du Nord. C’est extrêmement difficile, a d'ailleurs réagi le sélectionneur Vahid Halilhodzic au micro de beIN Sports. De toute façon, il n’y a pas de petites équipes en Coupe du monde, les surprises sont possibles. Au Brésil en 2014, avec l’Algérie, on a failli faire un exploit énorme contre l’Allemagne. Je vais peut-être essayer la même chose avec le Maroc. Tout est possible, il faut y croire et préparer ça ».
Groupe A
- Qatar
- Équateur
- Sénégal
- Pays-Bas
Groupe B
- Angleterre
- Iran
- États-Unis
- Ukraine, Écosse ou Pays de Galles
Groupe C
- Argentine
- Arabie Saoudite
- Mexique
- Pologne
Groupe D
- France
- Pérou, Australie ou Émirats arabes unis
- Danemark
- Tunisie
Groupe E
- Espagne
- Costa Rica ou Nouvelle-Zélande
- Allemagne
- Japon
Groupe F
- Belgique
- Canada
- Maroc
- Croatie
Groupe G
- Brésil
- Serbie
- Suisse
- Cameroun
Groupe H
- Portugal
- Ghana
- Uruguay
- Corée du Sud
David Kalfa/CC
C’est une première en République Démocratique du Congo depuis l’adoption de la Constitution du 18 février 2006. Lors du tout premier contrôle
parlementaire de la session ordinaire de mars au sein de la Chambre
basse du parlement, un membre du gouvernement issu de la majorité parlementaire a été destitué par les députés nationaux.
Le ministre de l’économie nationale a été déchu de ses fonctions par 277 députés nationaux. Ils reprochent à Jean-Marie Kalumba notamment la hausse des prix de produits de première nécessité depuis plus d’un an, la mauvaise gestion de 20 millions de dollars déboursés pour l’achat des chinchards ou encore la non adhésion à la vision du Chef de l’Etat.
Dans un communiqué rendu public jeudi 31 mars 2022 signé par son porte-parole, Patrick Muyaya, le gouvernement a pris acte de cette décision et rassure que toutes les formalités administratives d’usage sont en cours, afin de faciliter le dénouement de la procédure ayant ainsi visé, de manière individuelle, un de ses membres.
« Le Gouvernement de la République, qui est l’émanation des élus directs du Peuple Congolais au sein de l’Assemblée Nationale, respecte l’exercice démocratique qui s’est déroulé ce mercredi 30 mars 2022 au sein de la Chambre basse du Parlement et réaffirme son attachement à toutes les valeurs démocratiques inscrites dans la Constitution, prônées par Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’État, et largement partagées au sein de l’Union Sacrée pour la Nation, notre famille politique majoritaire au Parlement, qui vient ainsi de donner un exemple mémorable de démocratie », indique ce communiqué.
Le Gouvernement Sama encourage les initiatives du Parlement dans le cadre de l’expression démocratique. Les « warriors » promettent de collaborer avec le Parlement pour la réussite de leur programme.
Dominique Malala
Après l’élimination du Mondial 2022 devant les Lions de l’Atlas, l’entraineur argentin Hector Cuper a présenté sa démission à la Fédération de football de la République du Congo et ceux en dépit de la volonté de cette dernière de prolonger le contrat du technicien argentin.
Hector Cuper a pris les commandes des Léopards il y a dix mois avec l’objectif de qualifier le sélection congolaise au Mondial au Qatar. Les coéquipiers de Ben Malango ont buté sur la dernière marche devant les Lions de l’Atlas qui n’ont fait qu’une bouchée des fauves de la RDC.