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Le sélectionneur national de Léopards de la RDC, Héctor Cúper Raül, a publié lundi 13 septembre dans la soirée la liste de 53 joueurs présélectionnés pour la troisième et la quatrième journée des éliminatoires de la Coupe du Monde de la FIFA-Qatar 2022.

Cette double confrontation de la RDC contre Madagascar sont fixés le 6 et 10 octobre prochain à Kinshasa et à Antananarivo.
Avec 2 points, les Fauves congolais sont troisièmes du groupe J et se font devancer par les Béninois et les Tanzaniens qui ont chacun 4 unités en deux sorties. Les Malgaches clôturent avec 0 point.

Ci-dessous la liste de joueurs pré-convoqués :

Gardiens (6)

1. Kiassumbwa Joel (Suisse)

2. Siadi baggio (TP Mazembe/RDCongo)

3. Lomboto herve (DCMP /RDCongo)

4. Mandanda Riffi (US Creteil/France)

5. Efonge Brunel (AS Maniema Union/RDCongo)

6. Mpasi Nzau Lionel (Rodez  AF /France)

Défenseurs (17)

7. Tisserand Marcel (Fenerbache/Turquie)

8. Mavinga Chris (Toronto FC/Canada)

9. Luyindama Christian (Galatasaray/Turquie)

10. Mbemba Mangulu Chancel (FC Porto/Portugal)

11. Idumba fasika (cape town-afrique du sud)

12. Inonga baka (simba fc-tanzanie)

13. Zola kiaku arsene (tp mazembe-rd congo)

14. Bope bokadi merveille (standard de liege-belgique)

15. Mukoko Amale Dieu Merci (Difaa el jadida/Maroc)

16. Ikoko Jordan (Lugodorets/Bulgarie)

17. Issama Mpeko Djos (TP Mazembe/RDCongo)

18. Djuma Shabani (Young Africans/Tanzanie)

19. Nsakala Fabrice (Besiktas/Turquie)

20. Ngonda Muzinga Glody (Riga FC /Lettonie)

21. Luzolo Nsita Ernest (TP Mazembe/RDCongo))

22. Nsimba Vital (Clermont FC/France)

23. Masuaku Arthur (Westham/Angleterre)

Milieux (13)

24. Kayembe Edo (Kas Eupen/Belgique)

25. Bangala Yannick (Young Africans/Tanzanie)

26. Ngoma Fabrice (Raja casablanca/Maroc)

27. Mukoko Tonombe (Young africans/Tanzanie)

28. Moutoussamy Samuel (FC Nantes/France)

29. Kakuta Gaël (RC Lens/France)

30. Mika Miche (tp mazembe-rd congo)

31. Pikel charles monginda (famalicao-portugal)

32. Bastien samuel (standard de liege-belgique)

33. Mpoku paul jose (konyasport-turquie)

34. Mpanzu pelly ruddock (luton town-angleterre)

35. Likonza glody (rsc anderlecht-belgique)

36. Mpulu omenuke (las palmas-espagne)

Attaquants (17)

37. Bolasie yala yannick (rizespor-turquie)

38. Kebano neeskens (fulham fc-angleterre)

39. Meshack elia lina (young boys-suisse)

40. Akolo ababa chadrac (sc amiens-france)

41. Ngandu kayamba joël (viktoria plizen-tcheque)

42. Botaka jordan (sc charleroi-belgique)

43. Bakambu cedric (beijing guoan-chine)

44. Muleka jackson (standard de liege-belgique)

45. Assombalanga britt (adana demispor-turquie)

46. Mbokani dieumerci (kuwait sc-koweit)

47. Malango ngita ben (sharjah-emirats arabes unis)

48. Afobe benik (milwall-angletterre)

49. Bolingi mpangi jonathan (antwerp-belgique)

50. Bwalya wlater (matalyaqpor-turquie)

51. Wissa yoane (brendford-angketerre)

52. Bukia andre (aroura-portugal)

53. Beya joêl (tp mazembe-rd congo)

radiookapi/CC



La Ligue Nationale de Football ne cédera pas aux caprices des clubs ! L’instance faîtière du championnat national de football en RDC maintient pour ce 15 septembre le démarrage de la 27ème édition de la Division 1. Ce samedi 11, la Commission de Gestion a coupé court aux supputations dans une correspondance publiée.

Pas de nouveau report mais, la Linafoot n’est pas si rigide qu’on pouvait croire. Dans la même missive, elle faut savoir que certains cas de report, à la demande des clubs, seront étudiés. Initialement prévu pour le 4 septembre dernier, le démarrage a été repoussé suite notamment à certains retards dans l’enregistrement des dossiers administratifs des clubs.

Footrdc.com



 

Le footballeur argentin a incarné mieux qu'aucun autre le meilleur et le pire du football moderne. Joueur d'exception, il a porté l'Argentine au sommet du foot mondial et restera comme l'un des meilleurs de tous les temps. Il est décédé ce mercredi 25 novembre des suites d'une crise cardiaque à Buenos Aires. Il avait 60 ans.

« Tu ne peux pas imaginer combien il est difficile d'être Maradona », m'a-t-il confié un soir, pendant que nous goûtions des pâtes dans un restaurant face à la Seine, en compagnie de son épouse Claudia. Un moment de rare intimité avec un des hommes les plus populaires du monde, connu et admiré dans tous les endroits de la planète. C'était au début de l'année 1995, lorsque j'ai eu le privilège d'organiser sa venue dans Paris pour le compte du magazine France Football. Trois jours et trois nuits de folie qui suffisaient pour comprendre en effet ce que le quotidien de Maradona pouvait avoir à la fois d’exaltant et d’éprouvant...

Âgé de 34 ans à l’époque, il n'avait pas encore raccroché les crampons mais il était suspendu par la Fifa suite à un contrôle positif à l'éphédrine lors de la Coupe du monde 1994. En attendant de pouvoir rejouer, il s'apprêtait à entamer une expérience en tant qu'entraîneur. Il était encore au sommet de sa gloire, malgré une fin de carrière contrariée par de nombreux incidents. Il avait quitté l'Europe pour une Argentine qui lui pardonnait toutes ses frasques, ne voyant en lui que l'idole qui avait porté très haut les couleurs de son pays natal.

Champion du monde au Mexique en 1986, avec une équipe en laquelle personne ne croyait. Une Coupe du monde où il a accaparé tous les regards et toutes les attentions. Seul Pelé, en 1970, pouvait revendiquer un tel accomplissement individuel dans cette compétition. Avec bien sûr un match qui allait rester dans l'histoire, le quart de finale face à l'Angleterre (2-1) avec deux buts légendaires, l’un au terme d'un slalom où il a passé en revue la moitié de l'équipe adverse, et un autre marqué de la main à l'insu de l'arbitre. La « main de Dieu », dira-t-il. Deux buts comme les deux faces d’un joueur unique, mélange de talent et de roublardise.

Finaliste quatre ans plus tard, en Italie, avec une formation encore moins performante et avec, contre lui, l'hostilité d'une grande partie des Italiens, exacerbée après l'élimination de l'équipe locale au terme d'une séance de tirs au but de folie dans l'ambiance surchauffée du stade San Paolo de Naples, le jardin de Diego. Et en 1994, pour ce qui serait sa dernière Coupe du monde, appelé au secours d’une équipe sans repères qui avait failli ne pas se qualifier, Maradona s'était encore sublimé dans deux matches magnifiques avant qu’une erreur de son préparateur physique personnel, qui lui donna un complément alimentaire contenant une substance interdite, ne précipite sa sortie...

Un génie sans limites

Pour l'Argentine de l'époque, Diego Maradona était le symbole de la réussite dans un pays qui tentait de se sortir du pire moment de son Histoire, entre une dictature militaire sanglante et une démocratie ne parvenant pas à s'affirmer et à rendre au pays sa prospérité d'antan. Ce gamin né en 1960 dans un bidonville miséreux, avec un père qui trimait du matin au soir pour un maigre salaire et une mère qui faisait des miracles pour faire vivre une famille nombreuse, a très vite découvert que balle au pied, il devenait un magicien. Son talent exceptionnel lui a permis, encore enfant, de sortir sa famille de la misère et de comprendre que tous ses vœux pourraient être exaucés tant que la relation unique entre son pied gauche et la balle resterait exceptionnelle. Et comme son appétit pour la vie semblait inépuisable, il ne s'est jamais fixé aucune limite...

Le championnat argentin s'étant révélé trop étroit pour un génie de sa trempe, il découvrit bientôt l'Europe. À Barcelone tout d'abord où, malgré la présence de l'entraîneur argentin Cesar Luis Menotti, Maradona et sa troupe n'ont jamais réussi à se fondre dans la vie trop policée et bourgeoise que lui réclamait le club. Entre une hépatite et une grave blessure, la jeune star argentine y découvrit les plaisirs interdits de la drogue.

Deux ans plus tard, il acceptait un challenge étonnant : aller à Naples. Un club inexistant au palmarès du foot italien, mais qui, grâce à la puissance des réseaux mafieux de la ville, disposait des liquidités susceptibles de satisfaire l'appétit grandissant du joueur et de son clan. Suivront sept années de folie, pendant lesquelles, grâce à Maradona, le club devient une machine à gagner : deux championnats d'Italie, une Coupe de l'UEFA, une Coupe et une Supercoupe d'Italie. Avec leur idole, les Napolitains s'invitent enfin à la table des clubs huppés du nord du pays, les Milan AC, la Juventus et autres Inter de Milan... C'est bien plus que du football, c'est la revanche de l'Italie du bas face à celle d'en haut. Et ça, les Napolitains ne l'oublieront jamais.

Quitter Naples et « mourir »

Mais la folie quasi religieuse qui l'entoure à Naples finit par devenir pesante. Les liens entre le club et la Camorra, dans lesquels il se retrouve piégé, les innombrables sollicitudes dont il fait l'objet, la dimension de père de famille qu’il acquiert avec la naissance de ses filles Dalma et Gianinna, le statut de meilleur joueur du monde qui suit sa consécration au Mexique, tout le pousse à rêver d'un environnement un peu plus calme. En 1989, Bernard Tapie, alors patron de l'OM, le lui fait miroiter et Maradona se voit déjà dans une villa face à la mer, loin du tumulte des rues napolitaines. Mais son club et ses puissants soutiens ne veulent rien entendre, et l'Italie est moins encline à fermer les yeux sur les écarts du joueur après l'humiliation du Mondial 1990. Quelques mois plus tard, Maradona donne positif à la cocaïne lors d'un contrôle en championnat. Première suspension, première descente aux enfers avec une arrestation très médiatisée pour consommation de drogue à Buenos Aires, premières cures, et premier retour au foot, à Séville, en 1992, un chemin de rédemption qui va encore s'arrêter, on l’a dit, à l'été 1994...

Maradona aura encore la force de rejouer à Boca Juniors, le club de son cœur, dont il avait porté les couleurs au début des années 1980, avant de partir pour l'Europe. Mais sans jamais retrouver les sommets. Un dernier match en 1997, à 37 ans, puis un match d'adieu en 2001, ponctuent une vie qui devient de plus en plus chaotique, entre la drogue, l'alcool, un surpoids qui l'obligera à se soumettre en 2005 à une opération de « by-pass » gastrique, des séjours de plus en plus fréquents dans des cliniques...

Dérive personnelle mais aussi familiale, puisque Maradona, qui avait longtemps fait de sa femme Claudia, qu'il avait rencontrée à l'adolescence, et de leurs deux filles, un rempart, finit par se brouiller avec elles. Sa vie sentimentale devient difficile à suivre ; et après quelques années de reniement, il finit par reconnaître une dizaine d'enfants naturels.

Dans ce contexte, le football revient de manière épisodique dans sa vie, avec des passages en tant qu'entraîneur dans divers clubs, en Argentine, au Mexique, plus longuement aux Émirats arabes unis... Et même en équipe nationale, avec un poste de sélectionneur qui s'arrête brutalement après une lourde défaite face à l'Allemagne au Mondial 2010.

Un personnage ingérable

Ceux qui, aujourd'hui, ont l'habitude de voir les stars du football entourées d'experts en communication, qui gèrent les contenus de leurs réseaux sociaux et organisent leurs interviews avec une stratégie de marché, seraient surpris de voir la liberté de parole qui a toujours accompagné Diego Maradona. Sachant que sa voix portait, il n'esquivait aucun sujet, que cela concerne la politique, la société ou les instances du football, qu'il a souvent attaquées. En 1995, il fut à l'origine de la création d'un véritable syndicat mondial des footballeurs. Ses liens avec des dirigeants de la gauche latino-américaine, comme le Cubain Fidel Castro ou le Vénézuélien Hugo Chavez, deviennent de plus en plus étroits.

Diego Maradona n’a plus la magie au bout de son pied gauche, mais il reste un personnage incontournable. Le cinéma, la chanson, des livres, s’emparent de sa vie et lui donnent une dimension supplémentaire, celle du mythe immortel, alors que la fin, forcément, approche. Avec la vieillesse, sans doute aggravée par les effets des excès d’une vie débridée, on découvre un Maradona moins exubérant, et l’épidémie de Covid-19 n’arrangera rien. Ses rares sorties en public montrent un homme toujours aussi populaire, soulevant à son passage des chants et l’enthousiasme de ses fans. Mais sa démarche devient hésitante, sa parole confuse, sa mémoire défaillante.

Il était difficile, c’est clair, d’être Maradona tous les jours. Très difficile. Ses admirateurs, tous ceux qui ont vu un jour cet enfant au pied gauche incomparable, doivent maintenant apprendre à vivre sans lui. Ce sera sans doute tout aussi difficile…

RFI



 

Le premier coup de pédale de la 20ème édition du Grand Prix cycliste international Chantal Biya a été donné à Douala le 18 novembre 2020 et s’est achevée hier 22 novembre à Yaoundé, avec la victoire finale du Rwandais Moïse Mugishaâgéde22 ans.

Al’issue de cette compétition réussie, malgré la pandémie de Covid-19, le classement général se présente comme suit : le Rwandais Moïse Mugisha est 1er avec un temps de 16 heures 20 minutes et 47 secondes. Le Slovaque Kubis Lukas, vainqueur de la troisième étape, est 2ème avec 16 heures 21 minutes et 26 secondes. Clovis Kamzong Abossolo, premier Camerounais, occupe la 3ème place avec 16 heures 21 minutes et 32 secondes. Les autres Camerounais occupent les 10ème, 11ème, 12ème, 15ème, 16ème, 18ème, 19ème, 20ème, 23ème, 26ème et 28èmerangs.

Au classement général par équipes, le Rwanda occupe la première place avec un temps cumulé de 49 heures, 4 minutes et 38 secondes, suivi de la SNH Vélo Club avec 49 heures 5 minutes et 28 secondes. Le Burkina Faso, la RD Congo, la Slovaquie, le Mali, le Cameroun et la Côte d’Ivoire sont respectivement 3ème, 4ème, 5ème, 6ème, 7ème et 8ème.

Tableau des médailles: Moïse Mugisha remporte le maillot jaune (classement général) et le maillot blanc (meilleur jeune); Kubis Lukas, maillot vert (classement aux points); Samuel Mugisha, maillot blanc à pois rouges (meilleur grimpeur); et Clovis Kamzong Abossolo remporte le maillot bleu du meilleur Camerounais.

Il faut signaler que Moïse Mugisha est le premier Rwandais à remporter le Grand Prix Chantal Biya. Il succède ainsi à l’Algérien Azzedine Lagab, vainqueur en 2019.

Le rendez-vous a été pris pour le mois de mai 2021.

Afrik.com



 

Les troisième et quatrième journées des éliminatoires de la CAN 2021 se sont jouées du mercredi 11 au mardi 17 novembre. Les premiers qualifiés, comme les premiers éliminés sont connus. À deux journées de la fin, certaines équipes comme la RDC se sont aussi rassurées.

Qualifiés : le sans-faute du Sénégal

Quatre victoires en quatre journées et une qualification assurée à deux journées la fin, le Sénégal n’a pas perdu de temps dans ces éliminatoires. Comme lors de dernière CAN, les Lions affichent leur solidité défensive (un but encaissé) et leur réalisme offensif (neuf buts inscrits) sous la houlette de Sadio Mané double buteur et passeur lors de la double confrontation face à la Guinée Bissau (2-0 ; 1-0).

L’Algérie, tenante du titre, a aussi composté son billet pour le Cameroun malgré son match nul (2-2) face au Zimbabwe lors de la 4e journée. Match nul qualificatif également pour la Tunisie tenue en échec par la Tanzanie (1-1) mais qualifiée pour sa 15e phase finale consécutive.

Le quatrième qualifié, le Mali, a assuré une troisième victoire (2-1) en quatre journées face à la Namibie après un match inaugural devant la Guinée (2-2).

Eliminés : encore raté pour le Tchad

Après avoir raté la CAN 2019, le Togo, privé d’Emmanuel Adebayor (retraité) sera encore absent de l’édition 2021. Les Éperviers n’ont pris qu’un point en quatre journées et ont été condamnés par une dernière défaite (1-3) à domicile face à l’Égypte.

Le Tchad court derrière sa première qualification de la CAN, et ce ne sera pas encore pour cette fois. Les Sao sont déjà éliminés de la course après trois défaites et un match nul en quatre journées dans un groupe dominé par le Mali et la Guinée.

Pour Sao-Tome-et-Principe aussi, les qualifications se suivent et se ressemblent. Jamais qualifié à une CAN, les Verde-Amarelos (Les Vert et Jaune) ont du mal à exister (quatre défaites en quatre matches) dans la poule C avec le Ghana, l’Afrique du Sud et le Soudan.

Relancés : la RD Congo enfin !

Les supporters congolais ont certainement commencé à avoir peur après trois journées sans victoire des Léopards. C’est désormais de l’histoire ancienne avec un premier succès (1-0) décroché sur la pelouse de l’Angola lors de la quatrième journée. Les Congolais restent troisièmes de la poule D à un point de la Gambie et du Gabon.

Après trois journées, le Burundi n’avait inscrit qu’un seul point et était au bord de l’élimination. Une victoire (3-1) sur la Mauritanie plus tard et voilà les hirondelles relancées au point de prétendre à la deuxième place qualificative du groupe E dominé par le Maroc.

L’Éthiopie n’a pas dit non plus son dernier mot dans un groupe K dominé par la Côte d’Ivoire et Madagascar (7 points). Les Walya, six point après leur victoire face au Niger, comptent jouer les trouble-fêtes.

RFI



 

La Confédération africaine de football (CAF) procédait ce lundi au tirage au sort du tour préliminaire de l’édition 2020/21 de la Ligue des champions et de la Coupe de la Confédération.

En LDC, plusieurs têtes d’affiche ont été exemptées de ce premier tour en raison de leurs performances passées, comme Al Ahly et le Zamalek (qui s’affronteront en finale de l’édition actuelle le 27 novembre), le WAC Casablanca et le Raja Casablanca (Maroc), le TP Mazembe et Vita Club (RDC), l’Espérance Tunis (Tunisie), Horoya AC (Guinée), Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud) et Primeiro de Agosto (Angola).

Des clubs comme le MC Alger (contre les Béninois du Buffles FC), le CS Sfaxien (contre Mlandege FC de Zanzibar) et les Kaizer Chiefs (face aux Camerounais de PWD Bamenda) devront en revanche en passer par le tour préliminaire dont la manche aller aura lieu du 27 au 29 novembre et le retour du 4 au 6 décembre.

Les affiches du tour préliminaire en LDC

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Le mode d’emploi est le même en CDC où plusieurs équipes ont également été exemptées du tour préliminaire, à commencer par le tenant du titre, la RS Berkane (Maroc), mais aussi l’ES Sétif et la JS Kabylie (Algérie), l’ESAE FC (Bénin), le FC San Pedro (Côte d’Ivoire), l’ES Sahel (Tunisie), Pyramids (Egypte), Al Ahli Tripoli (Libye), Hilal Obeid (Soudan), Orlando Pirates (Afrique du Sud), KCCA (Ouganda), UD Songo (Mozambique) et le DCMP (RDC). Rendez-vous du 27 au 29 novembre pour la manche aller et du 4 au 6 décembre pour le retour.

Les affiches du tour préliminaire en CDC

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Afrique foot

 

 



(Agence Ecofin) - Au Rwanda, la Premier League (EPL) et l’UEFA ont gagné la bataille qui les oppose à Victory TV. Le 9 septembre 2020, le tribunal a ordonné à la chaîne de cesser toute diffusion illégale des compétitions interclubs de l’UEFA sous peine de voir sa licence de diffusion suspendue.

Au Rwanda, la Haute Cour commerciale a reconnu le 9 septembre dernier, à travers sa décision n° RCOM 00869/2019/, Victory TV coupable d’actes de piraterie après la plainte de l’UEFA et de l’EPL contre la chaîne.

En effet, la chaîne de télévision diffusait illégalement et sans autorisations, sur le territoire rwandais, les compétitions de football de l’EPL, de l’UEFA Champions League et de l’UEFA Europa League.

La réaction de la Rwanda Utilities Regulatory Authority (RURA), l’autorité de régulation rwandaise des services publics, ne sait pas faite attendre. Elle a intimé l’ordre à Victory TV de cesser toute activité de piratage, faute de quoi sa licence sera suspendue.

Les plaignants n’ont pas manqué de saluer cette décision de la justice rwandaise et de la RURA, qui entre dans le cadre de la lutte contre le piratage. « La mise à disposition des images de leurs compétitions respectives, sans autorisation, est une violation de leurs droits de propriété intellectuelle », ont-ils rappelé dans une note conjointe.

Bénédicta Vera-Cruz (stagiaire)



 

Battu par la Centrafrique et le Maroc, le Burundi a très mal entamé les éliminatoires de la CAN 2021 et jouera gros à l’occasion de la double confrontation contre la Mauritanie au mois de novembre dans le cadre des 3e et 4e journées des qualifications. Pour préparer cette échéance capitale, les Hirondelles affronteront leur voisin, la Tanzanie, en match amical, le 11 octobre prochain à Dar es Salam.

36 joueurs ont été convoqués pour ce match. On retrouve notamment 11 expatriés, dont la star Saido Berahino (Zulte Waregem), mais pas le milieu de terrain Gaël Bigirimana (Glentoran/Irlande du Nord), à ne pas confondre avec Blaise Bigirimana, prolifique attaquant de Namungo FC (Tanzanie), qui est lui bien présent.

A noter que ce rassemblement sera dirigé par l’adjoint Jimmy Ndayizeye. Questionnée sur l’absence du sélectionneur habituel, Olivier Niyungeko, la Fédération burundaise (FFB) a tout simplement expliqué que le technicien célébrera son mariage la veille du match !

Afrik foot

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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