A quelques heures de la publication des résultats provisoires de la présidentielle 2023, plusieurs ONG multiplient des appels à la paix et à la cohésion nationale en RDC.

Parmi ces structures, il y a l’Organisation de la société civile pour la paix au Congo (OSCPC) qui invite la population ainsi que les politiques à observer une attitude favorable à la paix et au vivre ensemble.

« Aux candidats d’accueillir les résultats en toute sportivité et de se remettre à la vérité des urnes, traduisant le choix des électeurs tel que documenté par les procès-verbaux affichés devant les bureaux de vote et centres locaux de compilation des résultats. Mais, en cas de doutes, il faut se remettre à la justice et d’éviter des troubles par des manifestations de rue », a recommandé son secrétaire général, Shadrack Mukad.

Après la publication de ces résultats, il a également exhorté les électeurs à ne pas verser dans le triomphalisme pour les uns et à ne pas se sentir gagner par la révolte pour les autres.

Shadrack Mukad a estimé nécessaire que les Congolais accompagnent l’aboutissement heureux de ce processus électoral, qui, selon lui, consolide la démocratie congolaise.

Il a en outre invité les instances judiciaires du pays dont la Cour constitutionnelle à ne confirmer que les résultats fiables.

Entre-temps, selon les tendances publiées par la CENI, le candidat Félix Tshisekedi reste en tête sur 17.835.571 suffrages valablement exprimés, avec 12. 848.570, soit 72,04%. Il est talonné par Moïse Katumbi avec 18, 92%. Martin Fayulu occupe la troisième place avant Adolphe Muzito et Radjabho Tebabho.

Plusieurs personnalités et acteurs politiques, observateurs électoraux nationaux et internationaux ainsi que des diplomates sont attendus à la cérémonie de publication des résultats provisoires de la CENI au centre Bosolo à Kinshasa.

radiookapi.net/CC



Ce dimanche 31 décembre, l'atmosphère vibre au siège de campagne de Félix Tshisekedi alors que se préparent les festivités pour la célébration de sa victoire à l'élection présidentielle. La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) a fixé la publication des résultats provisoires au Centre BOSOLO pour 14h00.

Dès 11 heures, les derniers ajustements et préparatifs seront bouclés pour l'événement, orchestré minutieusement au quartier général de la Team Fatshi 20, situé sur le boulevard du 30 juin. L'arrivée progressive des invités, parmi eux les membres éminents de l'équipe Team Fatshi 20 et d'autres personnalités, marquera le début d'une journée empreinte de solennité et de célébration. La musique sera assurée par un DJ crée l'ambiance alors que les débats télévisés, les interviews et les vidéos récapitulant la campagne captivent l'audience.

Il est prévu à 13h30, l'entrée triomphale de Félix Tshisekedi et de ses convives. À l'approche de 14 heures, l'annonce des résultats par la CENI sera diffusée en direct sur l'ensemble des écrans du site.

À 15 heures, les regards convergeront vers le Président. Entre 15h20 et 16h00, son discours, alliant remerciements et perspectives pour l'avenir, se fera du haut du balcon.

Après cette intervention, le départ du Président est prévu vers l’OUA à 16h15.

Les résultats provisoires dévoilent une avance confortable pour Félix Tshisekedi, recueillant 72,04 % des voix sur un total de 17 835 571 suffrages exprimés. Moïse Katumbi suit avec 18,92 %, suivi de Martin Fayulu à 5,49 %. Adolphe Muzito et Radjabho Tebabho ferment le classement avec respectivement 1,38 % et 0,41 % des voix.

actualite.cd/CC



Les candidats Moïse Katumbi Chapwe, Martin Fayulu Madidi, Denis Mukwege Mukengere et d'autres, à la présidence de la République, ont unanimement rejeté les résultats du scrutin du 20 décembre 2023, réclamant son annulation pure et simple à la suite des irrégularités constatées, comme indiqué dans plusieurs rapports des missions d'observation électorale. Cette prise de position a suscité diverses réactions dans le paysage sociopolitique congolais. 

Guy Mafuta Kabongo, élu à Tshikapa (Kasaï) et candidat dans la même circonscription aux élections de 2023, s'est opposé à cette démarche. Selon lui, le faible taux d'irrégularités ne justifie pas l'annulation des élections.

" Il faut prendre en compte le taux de ces irrégularités. Vous savez, il existe des milliers de centres de vote et de bureaux de vote. Si parmi un million ou cent mille bureaux de vote, seulement deux ont connu des problèmes, cela ne remet pas en question la régularité ni la légalité de tous les scrutins. Il faut évaluer la proportion de ces réclamations. Je ne pense pas qu'il y ait plus de 20 vidéos démontrant cela. Sur un territoire aussi vaste que le Congo, lorsqu'on a 20 à 25 cas isolés d'irrégularités, annuler tous les scrutins serait excessif," a souligné Guy Mafuta Kabongo lors d'une interview à ACTUALITE.CD samedi 30 décembre au centre "Bosolo".

Il a ajouté :

"Je pense que l'essentiel a été accompli. Il faut saluer la détermination de la CENI. Personne, pas même moi, ne croyait en cette entreprise. Ce n'est que dix jours avant lorsque j'ai vu le chef de l'État marcher sous la pluie, annuler des déplacements importants, que j'ai compris que la CENI était sérieuse et que le chef de l'État était sérieux. S'il a lui-même lutté pour convaincre les Congolais dans chaque coin du pays, alors nous, candidats députés nationaux et provinciaux, devons être d'autant plus sérieux. Il y a donc une certaine rigueur dans ce qui a été accompli, et il faut reconnaître et respecter le choix de la population."

M. Guy Mafuta Kabongo, membre de l'Union sacrée pour la nation, estime que ces irrégularités doivent servir de leçons pour améliorer les prochains cycles électoraux.

" Ces irrégularités doivent nous alerter et nous inciter à nous améliorer. Par exemple, à l'avenir, un logiciel pourrait être utilisé pour valider le vote uniquement après la présentation de la carte d'électeur. Nous pourrions intégrer des puces ou des codes par le biais de la technologie, empêchant ainsi de voter sans présenter la carte d'électeur. Cela pourrait constituer une amélioration. Mais si l'on considère le taux de ces irrégularités par rapport à l'ensemble des scrutins, je pense que du travail a été réalisé, et qu'il faut reconnaître et surtout féliciter la CENI pour le travail accompli dans des conditions constitutionnelles strictes et dans un environnement tendu où beaucoup espéraient le chao " a-t-il exprimé.

La CENI a confirmé la publication des résultats provisoires de l'élection présidentielle pour ce dimanche 31 décembre. Selon les chiffres partiels communiqués, Félix Tshisekedi est en tête et bien positionné pour un second mandat présidentiel de cinq ans.

Ensuite, débutera la phase des contentieux devant la Cour constitutionnelle, qui devra rendre son verdict d'ici le 10 janvier 2024, suivi de la prestation de serment du nouveau Président le 20 janvier 2024.

Clément MUAMBA



La rédaction du média en ligne Mbote.cd a décerné à Fiston Mbuyi le prix de l’album gospel de l’année 2023. Un titre qui récompense son EP « Différent 1 et 2 ».

Sorti le 15 avril dernier sur les plateformes de streaming, ce projet en deux volumes constitué de 14 titres a rencontré un franc succès. Porté par des chansons comme « Yahwe Kumama » et « Pamba Te », il a permis à Fiston Mbuyi de se produire à de nombreuses reprises à travers l’Europe.

C’est cette réussite critique et commerciale que la rédaction de Mbote.cd a tenu à souligner, en couronnant « Différent 1 et 2 » du titre de meilleur album gospel de l’année écoulée. Une distinction amplement méritée pour le chanteur qui s’est illustré par la qualité de cette production musicale saluée par le public comme la critique.

Grâce à cet EP, Fiston Mbuyi s’impose comme l’une des valeurs sûres de la scène gospel congolaise en 2023.
mbote/CC
 


Joëlle Bile et Constant Mutamba, tous deux candidats à la présidentielle du 20 décembre dernier, respectivement n°25 et 2, viennent de prouver à la face du monde, à travers leurs actes démocratiques et patriotiques, qu'ils sont des modèles de l'élite dont la RDC -République démocratique du Congo- a besoin, pour son essor, via le décloisonnement, l'assainissement et le rajeunissement de la classe politique rd-congolaise. 


 Modèle de femme battante
 
En pleine campagne électorale, alors que rien ne donnait encore Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo favori, Joëlle Bile Batali, pourtant elle aussi candidate Présidente de la République, a préféré se retirer de la course, au profit du candidat n°20, pour la simple et bonne raison qu'ils partageaient, tous deux, plusieurs points de convergence dans leurs offres politiques. Notamment, la défense de l'intégrité territoriale de la RDC. 

 

Pas tout. Bile partage aussi avec FATSHI 20, entre autres, la masculinité positive, la gratuité de l'Enseignement et la représentativité de la femme dans les différentes instances influentes de prise des décisions. C'est d'ailleurs sur ce point précis, qu'elle s'est battue bec et ongles, pour relever le défi de revoir à la hausse le taux de participation de la femme à l'élection présidentielle du 20 décembre dernier, par rapport à celui du scrutin présidentiel de 2018.

Voilà pourquoi, ayant vu que le combat du Président sortant et candidat à sa propre succession s'inscrivait dans la droite ligne de la consolidation des acquis, lesquels elle poursuit, la candidate n°25 à la présidentielle avait jugé bon, en toute sportivité, de se désister, pour prêter main forte à Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. 

Passionnée du Congo, Joëlle Bile a su faire passer l'intérêt supérieur de la Nation devant ses égos surdimensionnés. Et aujourd'hui, au regard des tendances qui se dégagent des résultats partiels publiés par la Centrale électorale, lesquelles placent Tshisekedi largement en tête du classement, devant tous ses concurrents, certains analystes avisés n'hésitent pas à conclure que Joëlle Bile Batali, telle une prophétesse, avait vu juste. 

 Comme pour dire que le ralliement de Bile à Tshisekedi n'est nullement celui des politiciens rd-congolais véreux, en mal de positionnement, qui, dépourvus d'offre politique, cherchent seulement à s'accrocher aux mamelles du pouvoir, pour se retrouver coûte que coûte dans la mangeoire, question de se faire la santé financière. Car, en postulant à la présidentielle, Joëlle Bile Batali, en plus d'être femme à multiples casquettes, était porteuse d'une offre politique très ambitieuse intitulée "la République des valeurs", pour le décloisonnement, l'assainissement et le rajeunissement de l'espace politique rd-congolais. 

C'est, d'ailleurs, le combat qu'elle entend poursuivre avec les Congolais, jusqu'à l'avènement d'une République des valeurs au cœur du Congo de Lumumba. 

 "Vive la démocratie !" 

De son côté, alors que les résultats officiels provisoires et définitifs ne sont pas encore rendus publics respectivement par la Centrale électorale et la Cour constitutionnelle, Constant Mutamba vient déjà de féliciter le candidat n°20, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, "pour sa brillante réélection", non sans lui souhaiter "plein succès pour son second quinquennat". 

En toute objectivité, celui qui se dit la réincarnation de Lumumba, du haut de ses 35 ans [l'âge auquel Patrice Émery devint, en 1960, le tout premier Premier ministre du Congo démocratique indépendant], a avoué qu'ils ne pourront "plus rattraper" leur "challenger Tshisekedi". Cela, au regard de 10 millions de voix qui, au terme des résultats partiels du jeudi 28 décembre dernier, revenaient de droit au candidat à sa propre succession. 

Cette attitude de grandeur, aux antipodes du vieux comportement des acteurs politiques rd-congolais, habitués à contester même l'incontestable, question de couvrir leur échec, n'a pas laissé indifférent le journaliste et analyste politique John Ngombwa, qui a salué "le sens démocratique dans le chef du candidat Mutamba". Au point que, selon lui, "Constant Mutamba est, désormais, le n°1 du fair-play démocratique en RDC".

Constant Mutamba a, ainsi, tout jeune parmi les vieux, ravivé la flamme de la démocratie qui s'éteignait déjà, avec les pratiques anti démocratiques prônées abusivement par certains politiciens affairistes, au gré de leurs appétits gloutons. 

 Conclusion 

Une vraie leçon de démocratie, que ces deux candidats Président de la République viennent d'administrer à leurs concurrents, qui se font passer pour de vieux routiers de la politique, mais dépourvus, pour la plupart, d'idéologie politique et de toute notion de morale et de démocratie. 

Joëlle Bile et Constant Mutamba resteront, non seulement des modèles pour des générations présentes et futures, avec leurs noms gravés en lettres de noblesse sur la pierre de la mémoire collective, mais aussi et surtout des perles rares d'une nouvelle élite, dont le Congo a besoin pour son essor.

Bijou NDJODJI BATEKO 



Dans une interview accordée à la presse, vendredi 29 décembre 2023, le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Denis Kadima, a réagi aux propos de certains candidats à la présidentielle du 20 décembre dernier, réclamant l’annulation des élections. 

Pour le président de la CENI, la demande d’annulation des scrutins faite par ces derniers, sans toutefois procéder à la comparaison des résultats en leur possession à ceux de la CENI, est une preuve qu’ils ont échoué. 

« Quand quelqu’un demande l’annulation sans même comparer les chiffres qu’il possède à ceux publiés par la CENI, ce que cette personne-là a perdu aux élections », a-t-il dit. 

Rappelons que dans leurs déclarations, les candidats Dénis Mukwege, Martin Fayulu et Théodore Ngoy exigeaient l’annulation des élections, évoquant« les irrégularités » constatées le jour du vote. 

Moïse Katumbi, quant à lui, avait dans un premier temps revendiqué être en tête de la présidentielle, malgré des irrégularités. Il demande aussi l’annulation du scrutin.

S’agissant des irrégularités, d’après plusieurs missions d’observation électorale, notamment la plus importante d’entre-elles, la MOE CENCO-ECC, ces irrégularités sont circonscrites et ne sont pas de nature à impacter la crédibilité des élections.

Les catholiques et les protestants ont affirmé qu’un candidat s’était largement démarqué des autres candidats à la présidentielle avec plus de 50% de suffrages exprimés. Pour une certaine opinion, ce candidat est sans aucun doute Félix Tshisekedi

Christian Dimanyayi



Le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Denis Kadima a confirmé, vendredi 29 décembre, la publication des résultats provisoires de la présidentielle pour ce dimanche 31 décembre.

Il a fait cette confirmation dans une interview accordée à la presse au centre des opérations et des résultats Bosolo, à Kinshasa.

Denis Kadima a également affirmé que ce processus électoral est transparent et que les résultats de la CENI reflètent réellement les suffrages exprimés par le souverain primaire.

Il a énuméré plusieurs éléments qui prouvent la véracité de ces résultats partiels :

« La première étape c’est que vous devez voir si ceux qui s’opposent à ces résultats, est ce qu’ils ont des PV qui montrent que ce que la CENI a montré est faux, c’est le point de départ. Ils n’ont pas prouvé cela, mais ils demandent l’annulation. Quand quelqu’un demande l’annulation sans même chercher à vérifier, à comparer ses chiffres à ceux de la CENI, vous devez déjà comprendre que cette personne-là a perdu. Parce que moi si j’ai réussi je vais vous montrer mes preuves, personne n’a brandi les preuves ».

Deuxièmement, a-t-il noté, ces résultats sont publiés par bureau de vote en vue de dissiper tout malentendu et mettre tout le monde d’accord.

A travers l’établissement du centre Bosolo, la CENI a voulu que les gens eux-mêmes suivent l’évolution de publication des résultats de ces scrutins.

« Si vous suivez les déclarations de Missions d’observation internationales comme nationales, tout le monde converge que ce processus est crédible malgré quelques irrégularités », argumente le président de la CENI.

« Les problèmes d’ordre opérationnel sont des difficultés, mais ce qui compte ce n’est pas d’avoir les difficultés mais plutôt ce que vous faites face aux difficultés », a poursuivi Denis Kadima.

En rapport avec la publication des résultats partiels de la présidentielle 2023, sur 15.923. 911 suffrages valablement exprimés, le candidat Félix Tshisekedi garde la première place avec 11.606.844, soit 72,89%.

Il est suivi du candidat Moïse de Katumbi avec 18, 27%. Martin Fayulu vient en troisième position avant Adolphe Muzito et Radjabho Tebabho.

radiookapi.net/CC



Félix Tshisekedi, candidat à sa propre succession, a continué à impressionner au cours de la publication des résultats partiels de l'élection présidentielle par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI). Selon les derniers chiffres, le candidat numéro 20 domine largement avec 9 539 315 voix sur 12 544 581, soit 76,04%.

Interrogé sur les raisons de cette avance, Trésor Kibangula, analyste à Ebuteli, Institut congolais de recherche sur la politique, la gouvernance et la violence, estime que la "rhétorique nationaliste anti-Rwanda" adoptée par Félix Tshisekedi durant sa campagne électorale a été déterminante. Il souligne que ce discours a suscité un changement d'opinion au sein de la population congolaise, face à l'agression attribuée au Rwanda via ses soutiens du M23.

"Durant la campagne électorale, une dynamique s'est opérée, le Président Félix Tshisekedi et certains de ses rivaux étaient en compétition. Avant la campagne, le rapport de force était incertain, mais quelque chose s'est produit pendant celle-ci. Il y a eu une rhétorique assez nationaliste anti-Rwanda, un discours touchant les fibres identitaires développé par le candidat Président Félix Tshisekedi, qui a marché. Les Congolais se sont reconnus dans ce discours, en particulier avec le contexte de guerre à l'Est", a expliqué Trésor Kibangula lors d'une interview avec ACTUALITE.CD le jeudi 28 décembre 2023 depuis le centre Bosolo de la Commission Électorale Nationale Indépendante.

Kibangula a également observé que Félix Tshisekedi a imposé un thème de campagne forçant ses adversaires à réagir aux allégations de celui-ci.

"Il a mené sa campagne en imposant le thème, on a vu ses adversaires tenter de répondre à ce qu'il disait, prétendant être les candidats de l'étranger alors qu'il voyage lui-même à l'étranger et a grandi à l'étranger. Sur le Rwanda, lui pouvait citer le Rwanda et les autres ne le faisaient pas. Il a donc imposé un thème de campagne axé sur l'anti-Rwanda et l'anti-candidat étranger, ce qui semble avoir fonctionné", a ajouté l'ancien journaliste de Jeûne Afrique.

Lorsqu'interrogé sur la crédibilité du processus électoral, Kibangula a répondu : "Je ne pense pas que l'histoire politique congolaise retiendra ces élections comme étant les meilleurs scrutins que le pays a connus".

Malgré la domination de Félix Tshisekedi dans la phase partielle des résultats, l'opposition rejette catégoriquement ces chiffres. Martin Fayulu et d'autres candidats à la présidence dénoncent des distorsions entre les résultats annoncés et la réalité observée sur le terrain. Moïse Katumbi exprime sa solidarité et annonce des actions futures.

Olivier Kamitatu, porte-parole de Moïse Katumbi, qualifie la Cour constitutionnelle de dernier rempart du régime en place, confirmant ainsi que Katumbi n'a pas l'intention de recourir à cette instance pour les contentieux électoraux en cours.

Clément MUAMBA



En séjour actuellement en Afrique du Sud, Celeo Scram s’est entretenu avec la presse congolaise locale. Lors de cette interview, le chanteur a fait des révélations sur sa garde-robe.

En effet, le Duc de Bandal estime qu’il est souvent attaqué par certains musiciens par jalousie sur sa garde-robe bien garnie d’habits de marque coûteux.

« Je suis le seul artiste musicien congolais qui a un blouson qui coûte 13 000 euros », a-t-il déclaré sans préciser la marque, mettant en avant le prix exorbitant de cette pièce dans sa collection.

Fidèle à sa réputation, le chanteur n’hésite pas à afficher ostensiblement son penchant pour les articles de marque haut de gamme. À travers cette interview, il confirme son attrait pour les costumes et accessoires clinquants qui font sa signature de longue date.
mbote/CC


Le Conseil d'État a réhabilité l’évêque général Dodo Kamba Israël dans ses fonctions de Représentant légal des Églises du Réveil du Congo (ERC) dans une décision rendue publique le mercredi 27 décembre 2023.

Pour le pasteur réhabilité, il s'agit d'un acte qui conforte son engagement pour l'église et son pays.

"C'est un sentiment de justice. Je pense qu'il y a eu une petite erreur qui s'est glissée dans la décision du ministère de la Justice... Cette décision permettra aux gens de réfléchir en même temps avant de poser certains actes. Cette décision met aussi en confiance les gens qui sont partout à travers le pays dans nos institutions. Ça conforte notre engagement pour l'église et le pays", a-t-il dit ce jeudi à 7SUR7.CD. 

Pour rappel, l'arrêté de la ministre de la Justice avait approuvé la nomination du Révérend Ejiba Yamapia comme représentant légal de cette structure religieuse, en remplacement de Dodo Kamba.

MD

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