La rumba congolaise fait l’objet d’une exposition de 58 artistes plasticiens de Kinshasa, Lubumbashi et Bukavu, au Centre Wallonie-Bruxelles de Kinshasa, dans l’exposition dénommée “Rumb’art”. Peinture, sculpture, installation, cuivre ou design mobilier, ces artistes se sont exprimés sur ce style de musique caractéristique de la RDC et du Congo Brazzaville.

Portée par la structure RDCongo Terre d’artistes, du peintre et enseignant à l’académie des beaux-arts, Franck Dikisongele, l’exposition rassemble environ une centaine d’œuvres. Cela pour la promotion de cette rumba, inscrite depuis décembre 2021, dans la liste représentative des patrimoines culturels immatériels de l’humanité par l’UNESCO.

« Ce qui m’a motivé, c’est la rumba. La rumba devenue patrimoine immatériel de l’humanité, devenue un truc qui nous échappe mais qui nous appartient en même temps. Ça m’inspire et me motive puisque le patrimoine, c’est quelque chose qui est fluide mais il faut le fructifier », a indiqué Franck Dikisongele, lors du vernissage.

L’exposition “Rumb’art” reste ouverte et gratuite au public, et se déroule dans la période qui court entre le 23 juin jusqu’à la fin du mois de juillet. Elle montre la rumba, prise comme un concept, comme un état d’esprit ou comme une vie, une manière de fructifier la rumba de manière plastique.

Hormis le peintre Franck Dikisongele, cette exposition réunit des artistes tels que Doudou Mbemba, Jean-Jacques Tankwey, Guy Lema, Socrate Lomboto, Catherine Mukamba, Francine Mava, Emmanuel Kashando, Jean-Alain Masela, Bennie Kapesa, Maguy Djuma Yohari, Judith Osiong, Benoît Bafiba, et bien d’autres.

Pour le professeur Henri Kalama, directeur général de l’académie des beaux-arts,  cette exposition peut se classer parmi les meilleures organisées sous le thème de la musique. Il s’est dit ébloui par la richesse artistique sur place.

« Je suis ébloui par la couleur, ébloui par le rythme qui se dégage dans toutes ces œuvres, par la richesse de ces artistes. La richesse de l’art, c’est savoir que chaque personne est libre d’aborder un aspect de cette rumba. C’est peut-être l’aspect historique, l’aspect musicalité de la rumba, exprimée par la couleur ou par le rythme », a-t-il dit.

Sur les murs, des tableaux de différentes tailles, représentant des icônes de la rumba telle que Grand Kallé, Papa Wemba, Tabu Ley ou Fally Ipupa ; des instruments de musique, des gens qui dansent, qui sapent ; rappelant l’histoire de ce style de musique ou mettant en exergue sa particularité.

Un festival de rumba dans les arts plastiques

Le promoteur de l’exposition, le peintre Franck Dikisongele, a fait savoir son envie de rendre cette activité un grand festival. Dans l’idée, il devra réunir tous les pays qui chantent la rumba, en Afrique et ailleurs dont Cuba.

« Notre souci est que ça découle à un grand festival avec tous les pays d’Afrique qui chantent “indépendance chacha”. En ce moment, on n’invitera pas que les musiciens mais aussi des artistes de ces pays-là, savoir ce qu’ils pensent de la rumba parce qu’elle ne se danse pas qu’ici au Congo », a-t-il affirmé.

Et d’ajouter :

« Nous voulons, à partir de ce festival, voir aussi des cubains qui viennent ici en tant que plasticiens, hommes de théâtre, qui viennent participer à un festival de la rumba organisé à Kinshasa. C’est une possibilité, d’une manière, de faire de la RDC une destination touristique à travers la rumba ».

La rumba congolaise, inscrite dans la liste des patrimoines culturels immatériels de l’humanité a déjà fait l’objet de nombreuses activités entre concerts, réflexions, film ou exposition. Le festival ivoirien de musique urbaine d’Anoumabo (Femua) avait saisi l’occasion en mai dernier pour mettre la RDC au centre de sa programmation.

Emmanuel Kuzamba



Cinq artistes peintres engagés pour la cause de l'environnement ont sensibilisé, le 27 juin , la population de Goma, chef-lieu de province du Nord-Kivu sur l'importance de préserver le Parc national des Virunga contre l'exploitation du pétrole. Ces activités s'inscrivent dans le cadre de la campagne "Fossil Free Virunga"

Plus d'une cinquantaine des personnes (femmes, jeunes et hommes) ont été sensibilisés avec un seul message : "Nous disons non au pétrole chez nous, nous vivons de l'agriculture, de la pêche et de l' élevage ,laissez nous vivre".

Selon les organisateurs, cette activité est aussi une occasion de lancer un message fort au Président de la République et à son gouvernement.

"Ils doivent retirer les licences d'exploitation du pétrole dans le Parc des Virunga et retirer l'appel d'offres aux enchères des entreprises des fossiles en RDC", a expliqué Justin Mutabesha, militant de la campagne Fossil Free Virunga.

Pour rappel, la Campagne Fossil Free Virunga est lancée depuis plusieurs années en RDC pour  lutter et de démanteler l’économie des combustibles fossiles, de demander des comptes à ceux à qui profite la cupidité des entreprises de combustibles fossiles, et de bâtir un monde où le bien-être de la planète et l’intérêt général passent avant toute chose.

En claire, cette campagne demande au gouvernement de la RDC d’arrêter immédiatement les activités d’exploitation pétrolière dans le Parc des Virunga en annulant tous les permis d’exploitation délivrés en 2005 et de protéger les écosystèmes fragiles tout en dénonçant les violations des droits de l’homme, et en répondant aux préoccupations liées aux changements climatiques.

Auguy Mudiayi



Pour la neuvième fois, le Festival International de Cinéma de Kinshasa (Fickin) offrira son hospitalité aux cinéphiles, acteurs du secteur et autres curieux. Le programme, tablé sur huit jours, du 2 au 9 juillet, prévoit en plus des projections des films, des ateliers, des colloques et des prestations musicales.

Il se tiendra à l’académie des beaux-arts le 2 et le 3 juillet puis à l’Institut Français de Kinshasa du 5 au 9 juillet entre 10h et 22h. Quelques activités sont également prévues à la plateforme contemporaine. Septante-quatre (74) films ont été retenus par le comité de sélection pour cette édition sur plus de 270 soumis. 

Les films retenus sont répartis entre 45 de fiction, longs et courts-métrages ; 17 films documentaires, longs et courts-métrages ; et 12 films d’animation. Ils proviennent de 34 pays dont la RDC qui compte 15 films. Les colloques tourneront autour du thème : « Pour qui produire ? », une remise en question qui interpelle les auteurs et producteurs des films congolais.  

Les ateliers seront des moments pédagogiques qui seront centrés sur la formation en direction photos, sur les films d’animation, sur le jeu d’acteur et sur l’écriture d’un scénario. Des prestations musicales qui se joindront au festival seront données par Gally Garvey, El Georges ou encore Fred Kabeya.

Parrain de cette édition, le Directeur Général de l’académie des beaux-arts, le professeur Henri Kalama Akulez, a relevé lors d’une conférence de presse, la nécessité d’utiliser le cinéma pour communiquer sur l’image du pays.

« Le cinéma, qui est une partie des productions culturelles, nous permet de nous définir, de nous vendre de manière positive, de montrer ce qu’on voudrait que les gens retiennent de nous. C’est ce que les Sud-africains, les Ghanéens, les Nigérians essaient de nous vendre, c’est ce que nous essayons à travers ce Fickin, de créer cette culture de l’image ». 

Pour qui produire ?

Le constat fait par les cinéastes et autres analystes du secteur, est que les productions cinématographiques des Congolais sont très peu consommées par les Congolais et beaucoup plus ailleurs. C’est sur base de cela que les organisateurs ont choisi de réfléchir dans les colloques de cette édition, sur cette thématique.

Le directeur du Fickin, Ephraïm Buyikana, a indiqué que la thématique remet en question tout le secteur du cinéma qui peine sur plusieurs angles.

« Le cinéma congolais souffre de beaucoup de problèmes. On doit se mettre autour d’une table et réfléchir sur pourquoi, pour qui on produit, pourquoi doit-on produire un film et à qui cela est destiné. Ça sera une tribune de remise en question sur notre façon de produire des films », a-t-il dit.

L’initiateur du festival, Tshoper Kabambi, indique que ces rencontres serviront à conscientiser les cinéastes congolais à produire pour un public congolais dans un premier temps.

« La plupart de jeunes africains produisent pour l’étranger, raison pour laquelle le marché ne se crée même pas. Si nous savons pour qui nous produisons, nous allons créer des mécanismes pour la consommation », affirme-t-il.

Il ajoute que les participants à ces assises partent sur base de nombreux problèmes. Le développement du secteur cinématographique passe par la résolution de certains problèmes dont la distribution :

« On part sur base de plusieurs problèmes, notamment le problème de financement que nous allons évoquer, le problème de distribution, on va parler de problèmes de matériels pour la fabrication même du film. A tous les niveaux de l’industrie du cinéma en RDC, il y a des problèmes que nous allons évoquer ».

A ces propos, le professeur Henri Kalama pense que les premiers consommateurs du cinéma congolais devraient être des Congolais parce qu’ils en sont propriétaires du contenu, en comparaison avec les films nigérians qui sont beaucoup consommés localement.

Emmanuel Kuzamba

   



Vital Kamerhe va parler. Il l’a promis. Il va entrer en détails du programme de 100 jours et du procès qui s’en est suivi. Il a une fois de plus clamé sa fidélité à Félix Tshisekedi, mais l’acquittement ne suffit pas. Il faut une bonne communication pour assurer davantage sa place sur la scène politique congolaise.

« On va continuer ce mandat ensemble. Le projet de 100 jours a fait couler beaucoup d’encre. Il est temps que Monsieur Kamerhe qui ne pouvait pas parler parce qu’il était prisonnier, parce qu’il a une certaine éthique et parce qui l’a réservé la primeur au président de la République, de parler. Nous allons parler de ce projet pour montrer que depuis 1960, il y a aucun programme conçu en 15 jours et qui a laissé des traces indélébiles en 9 mois. Cela n’existe pas », a t-il expliqué au sortir de l’audience lui accordée mardi par Félix Tshisekedi.

Il a levé un pan du voile du début de son long chemin de la croix: « Il a fallu 32 ans pour le président Mobutu et 18 ans pour le président Kabila. Nous étions sur la voie. Dans un conseil des ministres malheureux, ce jour-là, j’avais la malaria, le premier ministre de l’époque va dire qu’on a payé 77 millions au lieu de 7 millions de dollars ». 

Il semble comprendre également la position de Félix Tshisekedi: « Mettez-vous à la place du président de la République. Il a sursauté sur sa chaise. Le ministre de la justice a directement dit qu’il se saisissait du dossier. Comme je n’avais pas peur, je suis allé au parquet de Matete et c’était le chemin de Makala. Aujourd’hui, me voici à la Cité de l’Union africaine. Quelle que soit la longueur de la nuit, le soleil finit par se lever ».

actualite.cd/CC



L’ancien directeur de cabinet du Chef de l’Etat, Vital Kamerhe avait été reçu par le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, ce mardi 28 juin 2022 à la Cité de l’OUA, pour tabler sur les questions relatives à la vue globale de la sphère sociopolitique du pays.

Dans un entretien avec la presse présidentielle, le président de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) a indiqué continuer la marche avec la plateforme “Union Sacrée” jusqu’à la fin du mandat.

« Toujours prêt à collaborer dans l’Union Sacrée. Nous allons continuer ce mandat ensemble. Laissons Dieu inspirer le président de la république, je me sens à l’aise pour aider le pays », rassure le Président de l’UNC qui confie que « le partenariat que nous comptons renforcer au sein de l’union sacrée, des défis auxquels le pays doit faire face, sécuritaires, alimentaires, de santé, et de comment les relever ».

L’ancien directeur de cabinet de Félix Tshisekedi, répondant à la question de savoir s’il est pressenti prochain premier ministre, dit se voir « comme un citoyen prêt à servir son peuple ».

« Quelle que soit l’épreuve qu’on endure, elle doit être en dessous de ce que l’on peut donner à sa patrie, à son peuple », a ajouté Vital Kamerhe.

Concernant l’agression dans l’Est du pays, indique la presse présidentielle, l’ancien directeur de cabinet du Chef de l’État, Vital Kamerhe a évoqué son plan de sortie de crise celui de privilégier l’option militaire, diplomatique et humanitaire.

Pour rappel, les deux personnalités se retrouvent après plus de deux ans de séparation due au procès dit de 100 jours à l’issue duquel l’ancien directeur de cabinet et allié politique a été acquitté le 23 juin dernier.

Condamné à 20 ans de prison pour détournement de près de 50 millions de dollars, Vital Kamerhe a été « totalement acquitté en appel. Pour le contexte, en 2018, M. Kamerhe s’était désisté en faveur de M. Tshisekedi à la fin de la campagne présidentielle et, selon un accord entre les deux hommes, devait être candidat pour la prochaine élection prévue fin 2023.

Mais tout porte à croire que Félix Tshisekedi sera candidat pour sa propre succession.

Gaël Hombo/CC



L'agression du Rwanda à l'Est de la RDC, particulièrement dans la province du Nord-Kivu, atteint, chaque jour qui passe, des proportions inquiétantes. Après l'accalmie de ces derniers jours, les combats ont repris depuis les premières heures de ce mardi 28 juin 2022 dans le territoire de Rutshuru.

Jusqu'au moment où nous couchons ces quelques lignes, le vent nous parvenu du Nord-Kivu renseigne que de nouvelles localités dans le Rutshuru sont passées sous le contrôle des M23. Il s'agit notamment de Ntamugenga, Ruseke, Bushandaba et Nyabikona. Ces localités se situent à environ 8Km de Rumangabo et rallongent ainsi la liste des terres occupées par le M23. 

Aussi, nos fins limiers rapportent que des violents combats ont lieu dans le groupement de Bweza, précisément à Bikenke et à Bugina. Conséquence: les habitants, en débandade, fuient leurs villages alors que les détonations des armes lourdes se font entendre dans les 4 coins de ce groupement.

A la suite de la reprise des combats ce mardi entre les loyalistes des FARDC et les terroristes du M23, une nouvelle affirmation, une de plus, du soutien du Rwanda à ces hors-la-loi qui écument la paix dans la partie orientale congolaise. En effet, des sources, a-t-on appris, ont confirmé avoir vu plusieurs militaires rwandais venir en appui à ces terroristes qui ont débordé la ligne des FARDC.

Gabin K.



L'international congolais, Christian Luyindama et Al Taawoun FC ont arraché le point du nul sur la pelouse de Damac FC (1-1), dans la soirée du lundi 27 juin 2022, en match comptant pour la 30ème et dernière journée de la première division d'Arabie Saoudite.

Léandre Tawamba a ouvert le score pour les visiteurs à la 53ème minute de jeu, avant que Ibrahim Alnakhli remette les deux équipes en égalité à la 88ème minute.

Titulaire, le défenseur congolais a disputé l'intégralité de la rencontre.

Suite à ce résultat, Al Taawoun termine en 11ème position au classement final du championnat avec 34 points.

Gratis Makabi



Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde a reçu, ce lundi 27 juin 2022, dans son cabinet de travail à la primature, le basketteur congolais Jonathan Kuminga, qui est venu lui faire part de ses exploits dans cette discipline sportive.

En effet, Jonathan Kuminga est champion de la NBA avec son équipe de Golden State warriors de San Francisco aux États-Unis d’Amérique. De passage à Kinshasa, sa ville natale, qu’il a quittée dans son enfance, le champion a pensé faire part de ses exploits au Premier Ministre, qui, alors Ministre de la Jeunesse et Sports, avait parrainé et soutenu PGB, l’académie de basketball qui avait formé l’athlète.

« Je suis Jonathan Kuminga. J’évolue à l’étranger. J’étais un rockyy cette année. Je suis un enfant d’ici. J’ai grandi ici. Je suis parti aux États-Unis en tant qu’un enfant. J’ai commencé à jouer dans la NBA. Dans notre histoire, il n’y a jamais eu un Rocky qui a gagné la finale. Je suis le premier. Je voulais venir ici me présenter au Premier Ministre pour qu’il sache qui je suis. Je suis vraiment fier de rentrer dans notre ville », a dit l’athlète à la presse, qui l’a interrogé sur le mobile de sa visite auprès du Chef du Gouvernement.

L’honorable Olivier Endundo, Mécène congolais, qui a accompagné la star auprès du Premier Ministre a déclaré que le chef du Gouvernement a accueilli le basketteur avec joie.

« Le Premier Ministre en tant que sportif lui-même et fan des sports, a accueilli le champion avec beaucoup de gentillesse et des mots d’encouragement. C’est une histoire qu’il connait pour avoir parrainé à l’époque et soutenu PGB, l’académie de basketball qui a formé le champion Jonathan. Nous avons une académie de basketball ici à Kinshasa, qui s’appelle Focus, qui réhabilite des terrains insalubres. Le Premier Ministre nous a reçus et a écouté nos doléances et nos idées », a-t-il conclu.

opinion-info/CC



Le gouvernement de la RDC a débuté, lundi 27 juin, l’opération d’indemnisation des propriétaires des parcelles du site où sera construit le port en eaux profondes de Banana, dans le Kongo-Central. Selon le ministre des Affaires foncières, Aimé Molendo Sakombi, soixante-dix personnes sont concernées et l’exécutif a déjà déboursé 3 millions USD. 

« Je suis à Muanda pour évaluer des indemnisations des personnes impactées par le vaste projet très cher au Président de la République du port de Banana, en partenariat avec DP World basé à Dubaï », a déclaré le ministre Molendo. 

Il a ajouté que le 1er juillet prochain, le gouvernement remettra aux partenaires les titres de propriété au nom de la firme saoudienne DP World RDC dans laquelle l’Etat détient 34% de parts.  

« Il était question que je lance le paiement… Ma mission est aussi de superviser et de rendre compte au Conseil des ministres (…) », a fait savoir le ministre Molendo, qui pense que cette étape d’indemnisation marque le « vrai lancement » de ce projet. 

Le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, a lancé les travaux de construction du port en eaux profondes le 31 janvier 2022 à Muanda (Kongo-Central). 

Le coût de ces travaux est estimé à plus d'un milliard de dollars et vont s'achever en 2025. Ce port permettra à la RDC d'avoir une ouverture sur la mer et surtout d'accueillir de gros bateaux. 

radiookapi.net/CC



Après son arrivée au Bayern Munich cet été, le salaire de Sadio Mané a été révélé ce matin par la presse allemande.

Selon onze mondial, la star sénégalaise transférée chez les Bavarois pour un montant estimé à 30 millions d’euros pour trois saisons, toucherait un salaire mensuel de 20 millions d’euros. Ce qui fait de lui le joueur le mieux payé du club allemand.

Dans la foulée, la presse anglaise avait évoqué un salaire de 6 millions d’euros démenti par son représentant Bakary Cissé sur les antennes de TV5 monde.

« Un joueur du calibre de Sadio ne peut pas gagner le salaire dont on parle. Les chiffres là-bas sont complètement faux. Il gagnait déjà plus quand il est venu à Liverpool de Southampton. Il a ensuite renouvelé son contrat en 2018 et son salaire était bien supérieur aux chiffres des médias », a-t-il expliqué.

Pendant ce temps, le club bavarois a dévoilé le dossard du champion d’Afrique. Le joueur de 30 ans portera le numéro 17 avec le Bayern.

Grace Izi Diakubama

 

A Propos

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Ali Kalonga

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