Toujours en chantier « What’s My Name? » devrait être le dernier film de Jean-Claude Van Damme, selon les propos de l’acteur dans une interview à « Deadline ».

Dernier coup de pied retourné pour Jean-Claude Van Damme. L’acteur a ainsi déclaré au magazine américain Deadline, que le film d’action en forme d’hommage à sa carrière, intitulé What’s my name?, serait son ultime long métrage.

« J’annule tout pour me mettre en forme, et après ce film, j’ai acheté un petit bateau », explique ainsi celui qui a été surnommé « the Muscles from Brussels ». « Je veux faire le tour du monde et me détendre », ajoute-t-il, soulignant qu’il a travaillé « toute [sa] vie » et vivre « depuis 30 ans dans des hôtels ». « Tout cela sera expliqué dans le film, comment je me suis éloigné de ma famille. Après cela, je veux me détendre et profiter de la vie et de ma famille, car la vie passe vite. »

Catacombes et Opéra de Paris

Dans ce film en forme de rétrospective de la carrière de l’acteur belge, et signé Jérémy Zag (le créateur de Miraculous Ladybug), Jean-Claude Van Damme jouera son propre rôle.

« On va apporter des éléments de ma vraie vie et ce qui m’est arrivé. Comment je suis arrivé de Belgique jusqu’à Hollywood. J’ai réussi, j’ai échoué, je suis revenu. »

Dans le film, son personnage est renversé par une voiture, alors qu’il sort, ivre, d’une avant-première. A son réveil, il ne se souvient plus de son nom, et personne ne le reconnaît. On y croise les principaux antagonistes que Van Damme a affronté dans ses films, comme Dolph Lungren (Andrew Scott dans Universal Soldier), Michel Qissi (Ton Po dans Kickboxer) ou encore Bolo Yeung (Moon dans Double Impact). Le film sera tourné à Paris, entre l’Opéra et les catacombes, précise encore Deadline.

Tchèques Bukasa

Jean-Claude Van Dame à Kinshasa



Le célèbre acteur américain Jean-Claude Van Damme est arrivé ce mercredi 30 mars matin à Kinshasa pour concretiser le projet "Fatshi City". Son jet privé a atterri à l’aéroport international de Ndjili.

L’acteur d’origine belge « est à la tête d’une délégation des investisseurs dans les infrastructures et les mines », selon Paul Makela, le DG de Bitec, promoteur du projet  » Fatshi City ». Jean-Claude Vandamme est « mon partenaire stratégique », a-t-il déclaré.

Il est à Kinshasa « pour finaliser l’accord de financement du groupe d’investisseurs des pays du Golf, Abu Dhabi, Émirats et une délégation Canadienne ».

Il convient de rappeler que "Fatshi City" est un projet qui consiste notamment à délocaliser le camp Kokolo avant d’y ériger une cité moderne.

Tchèques Bukasa

 



C’en est peut-être fini ! Le retour de Dieumerci Mbokani en sélection a fait du bien, mais n’a pas suffi pour permettre aux Léopards de retrouver la coupe du monde 48 ans après. Lui qui pourtant symbolisait cette lueur d’espoir, n’a fait que constater impuissant la mésaventure de la RDC au stade Mohamed V de Casablanca face à leurs bourreaux Marocains (1-4) en manche retour des barrages qualificatifs à la coupe du monde.

Au sortir du stade, d’un air déçu , Dieumerci Mbokani a confié à la presse son envie de passer à autre chose. « Il y a des talents et des bons joueurs dans l’équipe mais pour moi, je ne pense pas que je jouerai encore en équipe nationale.»

Une phrase qui augure une retraite internationale définitive pour celui qui est revenu en sélection en 2021 après avoir pris ses distances après la CAN 2017.

Gaethan Kombi



Le Maroc au Qatar, la RDC à Kinshasa. Deux tanières avec deux destinations différentes à l’issue de 180 minutes des barrages de la Coupe du Monde 2022. Les Léopards ne rééditeront pas l’exploit de 1974 ! leur tanière revient donc dans la capitale congolaise, bredouille, sans le ticket tant convoité de la fête mondiale du football. Une sentence difficile à avaler après la gifle des Lions de l’Atlas 4-1, mardi 29 mars au stade Mohammed V de Casablanca. 

Pour mener cette campagne du Mondial-Qatar 2022, la RDC avait misé sur le technicien argentin Héctor Raúl Cúper. Nommé sélectionneur de l'équipe de football de RDC en mai 2021, son contrat court jusqu'en mai 2023. Son objectif principal était de qualifier les Léopards à ce Mondial. Mais il faudrait encore patienter 4 ans… 

Parcours difficile 

Dès la première journée jouée au stade Tout Puissant Mazembe à Lubumbashi, le 2 septembre, les Congolais sont tenus en échec par les Tanzaniens sur le score d’un but partout. 

Mbokani marquait à la 23e minute, signant son retour en sélection nationale. A la 36e minute, les Taifa Stars vont égaliser pour obtenir un score de parité. 

4 jours plus tard, les Fauves entraient en lice pour le 2e journée à Cotonou au Bénin. Le 6 septembre 2021, les Congolais réalisent un nouveau nul contre les Ecureuils du Bénin. Score de la partie : 1-1 à la fin.  

Dieumerci Mbokani va ouvrir le score à la 12e et Jordan Adeoti a égalisé à la 33e minute. Côté congolais, le capitaine des Léopards signe un bon retour en sélection nationale. Deux matches, deux buts. 

Un mois plus tard, soit le 7 octobre à Kinshasa, la RDC bat Madagascar sur le score de deux buts à zéro. Chadrac Akolo (35') et Dieumerci Mbokani sur penalty (79') ont marqué pour la RDC. 

A l’issue de la phase aller, la RDC est deuxième avec 5 points, derrière le Bénin (7 points) et derrière la Tanzanie qui compte 4 points. 

1. Benin 7 points (+2) 

2. RDC 5 points (+2) 

3. Tanzanie 4 points 

4. Madagascar 0 point (-4). 

Doute et espoir 

Au retour de la phase des éliminatoires, la RDC est passée par toutes les émotions. L’espoir de gagner son 4e match, revenir à la hauteur du Bénin, mais elle va vite se plonger dans le doute, après la défaite contre Madagascar un but à zéro à Antanarivo.  

Le 10 octobre, la Tanzanie battait le Bénin à Cotonou, revenant à 7 points. Une chance pour la RDC de prendre la tête avec 8 points. Mais les Congolais vont tomber sur le score étriqué d’un but à Zéro. Les Fauves calent à 5 points, le Bénin et la Tanzanie se disputent la tête du classement avec 7 points. Le désespoir s’installe. 

Mais les joueurs et le staff technique ne désespèrent pas. Héctor Cúper remobilise ses hommes et promet de revoir son schéma tactique. Ce qui est fait pour les deux prochaines rencontres pour ne pas encaisser et marquer. 

Le 11 novembre, les Congolais jouent défensivement et procèdent par des contre-attaques. A la 5e journée jouée à Dar-es-Salam, les Congolais battent les Taifa Stars par trois buts à zéro sur des réalisations de Kakuta, Nathan Indumba et Ben Malango. 3-0, score à la fin. 

Avec ce succès, la RDC (8 points) se procure une finale contre le Bénin, vainqueur du Madagascar (3 points). Le jour-j, le 14 novembre 2021 à Kinshasa. Les Léopards battent les Ecureuils sur le score de 1-0. 

Classement final : 

RDC 11 points (+6) 

Benin 10 points (+1) 

Tanzanie 8 points (-2) 

Madagascar 4 points (-5). 

L’obstacle marocain 

Avec cette qualification, les Congolais ont hérité des Marocains lors du tirage au sort effectué le 18 décembre 2021 à Doha. 

Les Léopards ont eu deux stages de préparation entre janvier et février 2022, avant de disputer ces barrages. D'abord en Egypte où ils ont perdu contre une équipe locale, Pyramids FC (0-1), puis à Bahreïn (0-1). 

Puis vint vendredi 25 mars à Kinshasa où les Léopards ont été accrochés par les Lions de l'Atlas du Maroc (1-1), au stade des martyrs de Kinshasa, avec le but de Yoana Wissa (12'). 

Malheureusement, les Congolais ont bu le calice jusqu'à la lie, face aux Marocains (4-1) le 29 mars à Casablanca. La tanière ne se déplacera donc pas au Qatar et revient bredouille à Kinshasa.  

radiookapi.net/CC



 Le casting se précise. Ce mardi, sept nouvelles équipes se sont qualifiées pour le Mondial 2022 au Qatar (21 novembre - 18 décembre). Si le champion d’Europe italien manquera à l’appel, le plateau qui se dessine s’avère relevé et divers. Voici les 27 nations qui ont déjà validé leur billet pour la Coupe du monde. Le tirage au sort aura lieu ce vendredi 1er avril à Doha.

Ça se rapproche… A l’issue d’un mardi 29 mars brûlant où de nombreuses têtes d’affiches ont disparu de la circulation, l’identité de tous les qualifiés pour la Coupe du monde 2022 au Qatar (21 novembre - 18 décembre) se dessine un peu plus nettement.
Cinq pays africains et deux européens sont ainsi venus compléter le casting déjà existant. Si une nation européenne manque encore au total en raison des événements en Ukraine, les dernières équipes à prétendre au Mondial devront passer par des barrages intercontinentaux. Tour d'horizon mondial.

ZONE AFRIQUE : 5

  • Ghana
  • Sénégal
  • Cameroun
  • Tunisie
  • Maroc
Ici, tous les tickets ont été distribués à l’issue de barrages ô combien meurtriers. Par rapport à 2018, le casting est franchement modifié. Si la Tunisie, le Sénégal et le Maroc étaient déjà présents en Russie, le Cameroun et le Ghana vont retrouver la joie d’une Coupe du monde. L’Egyptele Nigéria et l'Algérie manqueront donc à l’appel.

ZONE AMÉRIQUE DU NORD ET CENTRALE : 1

  • Canada
Officiellement, seul le Canada est assuré d’être dans le Top 3 du tour final de ces éliminatoires de la zone CONCACAF. Deux autres équipes sont en ballottage favorable avant la dernière journée (États-Unis et Mexique) pour compléter le trio assuré de voir le Qatar.
A noter que le quatrième de ce Tour Final (le Costa Rica avant la dernière journée) devra disputer un match de barrages inter-continental face au vainqueur des qualifications Océanie en juin prochain (Nouvelle Zélande ou Îles Salomon).

ZONE AMÉRIQUE DU SUD : 4

  • Brésil
  • Argentine
  • Equateur
  • Uruguay
Ici, le quatuor est déjà connu. Très sérieux lors de ces qualifications, le Brésil et l’Argentine avaient déjà composté le ticket pour le Qatar avant ce rassemblement de mars. Ils ont été imité par l’Equateur et l’Uruguay par la suite. Dans ces éliminatoires de la zone Amérique du Sud, seule l’identité du barragiste inter-continental (face au barragiste de la zone Asie) est inconnue. Avant la dernière journée, le Pérou, la Colombie et le Chili sont à la bagarre.
 
En 2018, la zone AmSud avait envoyé 5 représentants en Russie : le Brésil, l’Uruguay, l’Argentine, la Colombie et le Pérou.

ZONE ASIE : 5

  • Qatar
  • Iran
  • Corée du Sud
  • Japon
  • Arabie saoudite
Le pays organisateur étant qualifié d’office, le Qatar a donc réservé le premier billet pour le Mondial 2022. Derrière, en qualifications, les habituels cadors de la zone ont répondu présents.
Il ne reste désormais qu’une seule question : qui pour affronter le représentant sud-américain lors des barrages intercontinentaux ? Deux équipes s’affrontent lors d’un quatrième tour : les Emirats Arabes Unis et l’Australie.

ZONE EUROPE : 12

  • Danemark
  • Allemagne
  • France
  • Belgique
  • Croatie
  • Espagne
  • Serbie
  • Angleterre
  • Suisse
  • Pays-Bas
  • Portugal
  • Pologne
Le Portugal et la Pologne sont venus compléter ce mardi 29 mars le contingent européen qui enverra un candidat de plus. Le Pays de galles, qualifié pour la finale de la voie A des barrages, attend de savoir s’il affrontera l’Ecosse ou l’Ukraine, qui joueront leur demi-finale de barrages en juin après l’invasion russe en Ukraine.
                                                                                                                         eurosport/CC
 


Les Léopards de la RDC ont été battus et éliminés par les Lions de l'Atlas du Maroc (4-1) ce mardi 29 mars au stade Mohammed V à Casablanca, en match retour des barrages du Mondial-Qatar 2022.
Après le nul (1-1) du match aller à Kinshasa, les deux équipes se sont observées jusqu'à la 9e minute, S. Mmaee remplace Jawad El Yamiq cède sa place Samy Mmaee pour un claquage à la cuisse.
A la 21e minute, Azzeddine Ounahi profite d'une erreur défensive de Christian Luyindama pour tromper Joël Kiassumbua d'une frappe limpide.

Vingt minutes plus tard, le Maroc procède au second changement avec le gardien marocain Yassine Bounou pour Munir El Kajoui.

Encore Christian Luyindama (45'+7') procède à un mauvais dégagement dans la surface pour Tarik Tissoudali qui trompe Kiassumbua pour la balle de 2-0, score à la pause.

Au retour des vestiaires, le selectionneur des Léopards fait entrer Gaël Kakuta à la place de Luyindama (46').

53e minutes, après un corner raté des Congolais, Azzeddine Ounahi contre attaque pour inscrire le 3e but marocain, le doublé.

La serie s'est enchainée Achraf Hakimi pour le 4e but (69').
Puis survint le double changement (76'): Ben Malango pour Yoane Wissa et Theo Bongonda pour Samuel Bastien.
Premier ballon touché, centre acrobatique, Ben Malongo réduit le score (77').
84e minute, deux nouveaux changements pour la RDC : Meschack Elia cède pour Neeskens Kebano et Cedric Bakambu pour Dieumerci Mbokani. Mais trop tard, le miracle ne s'est pas produit.
La RDC ne trouvera pas le chemin du Mondial, comme ce fût le cas en 1974 par le Maroc.

radiookapi.net/CC



Ce 29 mars, Zaina Kere Kere, une professionnelle des médias a procédé à la présentation officielle de son livre consacré aux cycles électoraux en République Démocratique du Congo. L'activité s'est déroulée à Kinshasa, en présence d'une centaine de personnes provenant de divers secteurs. 

Avec des chapitres tels que "La nécessité de contrôler l'information, Presse, faiseur ou détrôneur des rois, Dans les entrailles du système, Quand la technologie change les règles du jeu, La Radio, média le plus suivi, L'opposition, sa lutte pour le pouvoir (...)", le livre aborde les trois dernières élections générales post Mobutu, avec un regard sur la période avant le discours de la démocratisation, mais également sur l'année 2023, durant laquelle devront être organisées les premières élections post Kabila en RDC. Il aborde en même temps la place de la presse et des médias dans le jeu démocratique. 

Dans son discours, le président de l’Union Nationale de la Presse au Congo (UNPC) a adressé ses félicitations et encouragements à Zaina Kere Kere, avant de signifier le fait que l’ouvrage paraît dans un moment où il n’arrête de recevoir des critiques au sujet de l’exercice du métier des journalistes en RDC. 

Tito Ndombi, président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC), a à son tour appelé les acteurs politiques, sociaux et religieux à s’approprier cet outil pour améliorer leurs actions au cours des prochaines échéances électorales.

« Je rends hommage à Zaina. C'est une vraie professionnelle. Une journaliste passionnée par ce métier, considéré comme le plus exaltant. Je salue son audace. La période des élections a toujours été marquée par des tensions en RDC (…). Ce livre riche en propositions et enseignements peut amener tous les acteurs au processus à s'amender. À un moment où ceux qui ne sont pas journalistes s'arrogent le droit d'exercer ce métier, il est important que des vrais journalistes se lèvent et proposent autre chose » a-t-il affirmé. 

Evoquant les impacts au niveaux national, régional et international des élections organisées et financées par la RDC et l’alternance pacifique, Éric Impion, responsable de la maison d’édition qui a produit cet ouvrage, a présenté les deux objectifs qui ont accompagné cet outil. D’une part, le désir de soutenir les femmes à la hauteur de leurs capacités, mais aussi celui de soutenir ce travail qui participe à au processus de paix et de la  stabilisation politique, sans lequel le développement durable n’est pas envisageable. 

Alain Mendes responsable d'une église située dans la commune de Ngiri Ngiri a participé au lancement officiel de cet ouvrage. Il en a profité pour revenir sur le rôle de l'église tel que décrit par Zaina. 

« Cet ouvrage interpelle sur le rôle de l’église. L’église devrait demeurer neutre dans ses interventions au sujet des affaires publiques congolaises. Mais cela n’est pas réel. A chaque fois que l’église s’immisce dans la politique, elle devient actrice au même niveau que les autres parties prenantes. Elle doit demeurer au centre du village », a-t-il dit.    

A Chantal Kanyimbo, une femme de médias d’ajouter, « les journalistes sont des observateurs de la société, ce sont des historiens du présent. J’apprécie ce courage qui a animé Zaina Kere Kere à mettre par écrit tout ce qu’elle a vu pendant les trois derniers cycles électoraux. Il y a des leçons à tirer qui sont importantes pour les générations futures ».   

L’ouvrage a été baptisé par Patricia Nseya, rapporteure de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI).

Prisca Lokale



Le Maroc reçoit la RD Congo en barrage retour de qualification au Mondial 2022, ce mardi 29 mars, à Casablanca. Dos à dos à l’aller (1-1), les deux équipes veulent décrocher leur ticket.

Une place au Qatar est en jeu au bout de ce match retour, comptant pour les barrages de qualification au Mondial 2022. Après avoir accroché le match nul (1-1) à l’aller, le Maroc accueille cette fois la RD Congo dans une rencontre capitale. Chacune des deux nations a son destin entre les mains et il s’agit de ne pas en faire n’importe quoi.

Les Lions de l’Atlas ont pris un léger ascendant jeudi dernier en inscrivant un but à l’extérieur et cela pourrait leur favorable ce mardi. Mais attention, la République démocratique du Congo a elle aussi des atouts à faire valoir. Notamment ses flèches offensives, que sont Cédric Bakambu et Yoane Wissa. De leur côté, les Marocains peut compter sur Sofiane Boufal et Achraf Hakimi, entre autres.

Les compositions probables

Maroc : Bounou – Masina, Aguerd, Saiss, Hakimi – Amrabat – Boufal, Amallah, Louza, Haddadi – En-Nesyri.

RDC : Kiassumbua – Masuaku, Tisserand, Luyindama, Amale – Kayambe, Bastien, Moutoussamy, Kakuta – Wissa, Bakambu (ou Bolasie).

OUEST france/CC



La RDC a été admise comme membre de l’East African Community. La décision a été officiellement prise ce mardi au cours du 19e sommet extraordinaire des chefs d'État de ce regroupement sous-régional. La réunion, qui s’est déroulée en virtuel, n’avait qu’un seul point: l’examen du rapport du Conseil des ministres sur les négociations entre la Communauté de l'Afrique de l'Est (EAC) et Kinshasa sur l'admission de la RDC à cette organisation sous-régionale. Félix Tshisekedi a également participé à ce sommet.

Jusque-là, l’EAC n'était composée que des pays suivants: Burundi, Kenya, Rwanda, Soudan du Sud, Tanzanie et Ouganda. Son siège est à Arusha, en Tanzanie. L’organisation est dirigée par Paul Kagame depuis 2019 et a pour secrétaire général le Kenyan Peter Mathuki.

Avant l’adhésion de la RDC, la région de l'Afrique de l'Est couvrait une superficie de 1,8 million de km2 avec une population de 132 millions.

actualite.cd/CC



Félix Tshisekedi propose la création d’une nouvelle institution au sein de l’East African Community (EAC). Cette dernière aura comme mission de se pencher sur l’environnement, les resources naturelles, les mines et l’énergie. Il a également suggéré que le siège de ce nouvel organe soit à Kinshasa.

Il a émis ce voeu au 19e sommet extraordinaire des chefs d'État de cette organisation sous-régionale. C’est au cours de cette réunion que la RDC est officiellement devenue membre à part entière de l’EAC dont l’objectif est la coopération économique régionale centrée sur les personnes et fondée sur l'économie de marché. Elle vise aussi la création d'un environnement approprié, le développement des politiques favorables et des infrastructures de base.

La nouvelle institution, si le principe est admis, s’ajoutera à d’autres institution comme l’Agence de surveillance de la sûreté et de la sécurité de l'aviation civile (CASSOA), l’Autorité de la concurrence de l'Afrique de l'Est (EACA), la Banque de développement de l'Afrique de l'Est (EADB), la Commission de recherche en santé de l'Afrique de l'Est (EAHRC), la Commission kiswahili d'Afrique de l'Est (EAKC), la Commission de la science et de la technologie de l'Afrique de l'Est (EASTECO), le Conseil inter-universitaire pour l'Afrique de l'Est (IUCEA), la Commission du bassin du lac Victoria (LVBC); et l'Organisation des pêches du lac Victoria (LVFO).

actualite.cd/CC

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