Les troupes combattantes de la Garde Républicaine vont organiser une "marche d'endurance" ce samedi 12 février 2022 à travers les artères de la ville de Kinshasa.
L'information est confirmée ce vendredi par la cellule de communication de la Présidence de la République.
D'après la même source, équipés de leurs matériels de combat, près de 5000 hommes appartenant à cette unité d'élite des FARDC chargée de la protection du chef de l'État et des institutions du pays vont se déployer à travers les grandes artères de la ville de Kinshasa à partir de 5 heures du matin suivant les itinéraires retenus par l'état-major Garde Républicaine.
Le premier lieu de rassemblement sera l'échangeur de Limete d'où partiront deux groupes : le premier va emprunter le boulevard Lumumba jusqu'au camp CETA (Aéroport) et le deuxième se dirigera vers la Gare Centrale en traversant Limete, le Boulevard Triomphal, l'avenue de Libération et le boulevard du 30 juin.
Un autre groupe partira de la Gare Centrale jusqu'au Camp Tshatshi en passant par Bandalungwa et Kitambo magasin.
"La marche d'endurance est un exercice militaire pédestre de routine qui a pour objectif de renforcer la condition physique", indique la cellule de communication de la Présidence.
Elle précise par ailleurs que cette marche ne devrait pas donner lieu à des spéculations ni perturber la journée de travail de la population.
Jephté Kitsita
Le journaliste et commentateur des rencontres sportives à la radio télévision nationale congolaise (RTNC), Faustin Fwasa Tombisa est décédé ce vendredi 11 février 2022, de suite d'une maladie.
L'information a été confirmée par plusieurs de ses collègues et confrères à la RTNC, tout en lui rendant des hommages pour tout ce qu'il a représenté dans le monde sportif notamment.
Rendu célèbre par son confrère et ami, Claude François Mwana Kabulo lors des matchs des Léopards de la RDC, Faustin Fwasa Tombisa s'est caractérisé par sa façon de rappeler à chaque fois l'histoire du football congolais, avec des petites anecdotes riches en enseignements.
Son décès n'a pas laissé le mouvement sportif indifférent, puisque plusieurs acteurs lui ont rendu hommage, à l'image du ministre des Sports et loisirs, Serge Nkonde Chembo à travers son compte Twitter.
"Un géant dans la presse sportive congolaise s'est éteint. Par ta voix, tu as informé, relaté et commenté les rencontres sportives auxquelles tu as assisté. Mes condoléances à la famille de l'illustre disparu et à la presse sportive de la RDC. Que ton âme se repose en paix!", a-t-il écrit.
Gede Luiz Kupa
Il s'observe une flambée des prix des produits agricoles sur le marché de Bandundu depuis le mois de janvier. C'est le cas du sac de maïs qui est passé de 50.000 à 75. 000 FC, le sac de manioc est passé de 25.000 FC à 40.000 FC, sans oublier la braise dernièrement vendue à 13.000 est revue à 17.000 FC.
La multiplicité des services taxateurs et la rareté des produits sont les raisons avancées par les vendeurs du chef-lieu de la province du Kwilu.
« Ces produits sont devenus rares et les prix sont revus à la hausse parce que nous venons des festivités. Les producteurs sont rentrés pour récolter les arachides, défricher les champs, planter et récolter le maïs. Ils profitent de cette période de peur qu'il y ait encore rareté dans les jours avenirs », déclare Bebeta Tayeye, vendeuse de manioc et maïs au marché Coreman, dans la ville de Bandundu.
Sur ce même lieu de négoce, on peut compter au moins cinq services taxateurs qui perçoivent chacun 1000 FC par sac en dépit des frais payés dans différents postes depuis le lieu de production jusqu'au centre de commercialisation. Ce qui influence aussi la fixation de prix, précise Mamie Niati, vendeuse de la braise.
« Si les prix de ces produits sont au galop, ce n'est pas de notre faute. Un sac de manioc se vend à 23.000 FC dès la source à Kutumuke (dans la province de Maï-Ndombe). La brigade des recettes perçoit 1000 FC par sac dans trois postes. Le vendeur aura déjà dépensé 26000 FC. Arrivé au port, nous avons 5 services taxateurs installés qui perçoivent chacun 1000 FC », déclare- t-elle.
Madame Gladys Mandefu, est rentrée sans acheter de maïs pour n'en avoir pas trouvé à son arrivée au marché.
« Je rentre parce que je n'ai rien trouvé. J'étais venue acheter le sac de braise. J'ai sillonné presque tout le marché, il n'y a même pas de maïs », indique-t-elle.
La ville de Bandundu est ravitaillée en ces produits à travers plus de 7 ports et des routes de desserte agricole, la reliant notamment au territoire de Bagata, et des villages de la province du Maï-Ndombe avec qui elle partage les frontières.
Jonathan Mesa, à Bandundu
Des milliers de soldats ougandais sont entrés officiellement mardi 8 février à Boga à 25 kilomètres au sud de Bunia dans la province de l'Ituri.
Ce déploiement s’inscrit dans le cadre des opérations de mutualisation des forces les armées congolaise et ougandaise contre les rebelles des ADF en Ituri, selon les FARDC.
Vers 17h30 (heures locales), les premiers camions transportant des militaires de l’armée ougandaise ont fait leur entrée au centre de Boga dans le territoire d’Irumu.
D’autres troupes étaient à pied en provenance de Burasi, où ces militaires ougandais ont traversé la rivière Semuliki qui sépare la RDC de l'Ouganda. Des jeunes, des enfants, mais aussi des curieux rangés le long de l’artère principale de Boga ont assisté à cette entrée par des applaudissements.
Dans un tweet, le général Muhozi Kainerugaba, commandant de l’armée de terre, a annoncé que les forces armées des deux pays avaient investi l’aérodrome de Bududu à Boga depuis le mercredi 9 février.
Ce déploiement, selon lui, a poussé ces rebelles très actifs dans cette région à la débandade. Des sources sécuritaires au sein des FARDC indiquent que le choix pour les deux forces de s’installer à Boga est « stratégique », car des rebelles sont présents dans les environs de la forêt de Tchabi, mais aussi à Zunguluka, au mont Oyo et à Kainama.
La société civile locale promet d’apposer son soutien aux deux forces pour la réussite de leur mission, celle de mettre fin aux aventures des ADF dans cette région meurtrie par l'activisme des groupes armés, dont la CODECO.
Depuis plus de trois ans, les combattants de ces groupes se rendent coupables de plusieurs exactions, massacres et déplacement des populations civiles.
radiookapi.net/CC
À cause de son degré de participation dans le double assassinat en juin 2010 de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, le colonel Daniel Mukalay, condamné en appel à 15 ans de prison, devait être radié de la Police Nationale Congolaise.
C'est Me Elie Mbikayi, coordonnateur adjoint des parties civiles, qui l'a déclaré à l'issue de l'audience qui a eu lieu le mercredi 9 février 2022 à la prison militaire de Ndolo.
« La responsabilité de Mukalay n'est plus à démontrer parce qu'il y a un arrêt de la Haute Cour militaire coulé en force de la chose jugée qui le condamne comme assassin. Nous regrettons toujours qu'il se soit tiré avec 15 ans de prison seulement alors que c'est un monsieur qui devait être exclu de la police. Dommage qu'il continue à bénéficier des galons de la police et des soldes. En principe, il devait être exclu de la police. C'est dommage ! Lui, son sort est déjà connu. C'est un assassin reconnu par un arrêt », a-t-il affirmé.
Face aux révélations faites par les policiers membres du bataillon « Simba » (Jacques Migabo, Doudou Ilunga, Éric Kibumbe Saddam) lors de leurs dépositions, Me Mbikayi a estimé que seule la peine maximale devait être infligée au colonel Mukalay.
« C'est regrettable parce que si à l'époque, nous avions tous les éléments que nous possédons aujourd'hui, il ne s'en tirerait pas avec 15 ans de prison. Il devait être condamné à la plus forte peine consécutive au double assassinat de Chebeya et Bazana. Dommage que les carottes sont déjà cuites. Il s'en est tiré avec 15 ans de prison. Il garde les galons, mais je crois que l'administration devra faire son travail. Quelqu'un qui est condamné pour double assassinat, lui laisser la tenue et les soldes payées par les contribuables congolais, c'est fort regrettable ! », a souligné le coordonnateur adjoint des parties civiles.
Ancien inspecteur général à la direction des renseignements généraux et services spéciaux, D. Mukalay est pointé du doigt par les policiers J. Migabo, D. Ilunga et E. Kibumbe d'avoir été l'un des instigateurs du meurtre de Chebeya et Bazana.
Il a été condamné au premier degré à la peine de mort. En 2015, cette sanction a réduite à 15 ans de prison au second degré.
Merveil Molo
Le Tribunal de grande instance (TGI) de Kolwezi dans la province du Lualaba siégeant en procédure de flagrance, s'est prononcé dans l'affaire qui oppose 29 creuseurs aux entreprises minières CDM et CDM/Espoir, le mardi 8 février dernier.
Cette instance a condamné à 4 ans de servitude pénale principale 11 d'entre-eux, et a en acquitté 12 autres. La Cour s'est déclarée incompétente à l'égard de 6 autres creuseurs dont la minorité a été prouvée. Ces derniers ont été, par conséquent, renvoyés au Tribunal de Paix, qui est leur juge naturel.
Le tribunal a alloué aux parties civiles CDM et CDM/Espoir, respectivement 100 mille USD et 150 mille USD, comme dommages et intérêts.
Le TGI a disqualifié le vol avec violence en vol qualifié pour condamner ces prévenus à 4 ans de servitude pénale principale avec des circonstances atténuantes.
Le mardi 25 janvier dernier, ces creuseurs en colère avaient pillé des minerais au sein desdites entreprises.
Marcelo Mfumu, à Kolwezi
Une délégation de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC) a échangé, mercredi 09 février 2022 à la Primature à Kinshasa, avec le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde.
Au cours des échanges, le patronat congolais a soumis au chef du gouvernement ses multiples préoccupations liées à la situation des entreprises congolaises.
"Nous avons été reçus par le premier ministre à notre demande, parce qu'il y a un certain nombre de préoccupations que la FEC a soulevées depuis quelques temps, mais qui ne rencontrent pas, parmi les membres du gouvernement, un suivi efficace. Et nous avons également voulu parler au premier ministre des questions fondamentales, la situation des entreprises congolaises", a fait savoir Kimona Bononge, administrateur délégué de la FEC, au terme de la réunion.
D'après lui, les entreprises à capitaux congolais ne bénéficient pas des marchés dans le cadre des projets lancés par le gouvernement. D'où, le plaidoyer de la FEC pour que ces entreprises bénéficient des marchés conformément à la loi sur la sous-traitance.
"Les entreprises de droit congolais suivant la Loi sur la sous-traitance, ne bénéficient pas des marchés qui sont donnés quand il y a certains projets. On a parlé du projet Tshilejelu, Kinshasa zéro trou, le projet de développement local des 145 territoires. Vous avez suivi, comme nous, que le chef de l'État a posé la première pierre pour la construction du port en eaux profondes de banana. Nous avons demandé que les entreprises congolaises puissent bénéficier également de la loi sur la sous-traitance. Entreprises congolaises de droit congolais, à capitaux congolais, mais, entreprises congolaises de droit congolais également. Vous savez que par exemple, le port en eaux profondes de banana, on a 3 grosses industries dans le Congo central qui produisent du ciment de très bonne qualité. Qu'on ne dise pas le contraire mais c'est du ciment de très bonne qualité. Hors, il y a un pays voisin qui vend du ciment également qui voudrait accaparer ce marché", a dit ce membre de la FEC.
Et de renchérir : "Nous avons attiré l'attention du premier ministre pour que priorité soit donnée aux entreprises congolaises. Ce ciment est produit avec du calcaire qui sort de notre sous-sol, avec des matières premières, et avec des congolais qui travaillent dans ces usines, qui créent des richesses dans ce pays. Il est inadmissible qu'on importe du ciment d'un pays voisin ou d'un autre pays plus lointain. Nous avons dit au premier ministre que nous allons avoir nos yeux braqués sur lui, sur le gouvernement pour que cela ne se reproduise pas".
À l'en croire, le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde a, pour sa part, promis de réunir très prochainement la FEC avec certains ministres sectoriels pour que cette question soit évoquée de manière précise.
Prince Mayiro
Le Directeur Général ad intérim, Emmanuel Mbo et le Président du Conseil d’Administration (PCA), Masumbuko de la SCPT ex-Onatra, ont été arrêtés, ce jeudi 10 février, sur l’ordre du Procureur général de la Gombe. Cette annonce a été faite par Me Georges Kapiamba, le Coordonnateur de l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ).
Ils sont poursuivis, selon Me Georges Kapiamba, pour « tentative de détournement des deniers publics, faux et usage de faux ».
« Emmanuel Mbo et Masumbuko, respectivement PCA et DG ai de la société SCTP (Ex ONATRA) sont arrêtés et détenus, depuis aujourd’hui, sur ordre du Procureur Général de Gombe pour « tentative de détournement des deniers publics, faux et usage de faux », peut-on lire sur son compte Twitter de l’ACAJ.
Il y a lieu de rappeler que dans une correspondance adressée par l’IGF à Adèle Kahinda, la Ministre du Portefeuille, Jules Alingete avait alerté sur la gestion «calamiteuse dans quelques entreprises de son ministère en l’occurrence la REGIDESO, la SCTP ex-Onatra, la Société Cobil, Sonahydroc et Cohydro.
Christian Okende
L'affaire des assassinats de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana s’est poursuivie ce mercredi 9 février devant la Haute cour militaire. Au cours de cette audience, la juridiction a confronté le policier Éric Kibumbe Banza Sadaam, un des présumés exécutants de Chebeya et Bazana, avec Daniel Mukalayi, Paul Milambwe et le Général Zelwa Katanga dit Djadidia. Pendant ses dépositions, Daniel Mukalayi a révélé que Christian Ngoy Kenga Kenga, lui avait dit que la mission de tuer Chebeya était confié à l’ex chef de la maison militaire de Joseph Kabila, le général Jean Claude Yav, qui avait reçu 40.000$ pour exécuter ce travail.
"Il [Christian Ngoy kenga Kenga] m'a dit que cette mission de tuer Chebeya avait été confiée au général Jean Claude Yav qui avait même reçu la somme de 40.000$. Alors eux comme ils ont eu à exécuter une mission similaire précédemment, le général leur a toujours fait des promesses qu'il n'a jamais réalisées. Et il demande que je puisse intercéder en faveur d’eux auprès du général Numbi parce qu’ils sont sur le point d’exécuter la mission qu’il leur a confiée, qu'il leur donne quand même l'argent qu'il a remis aux autres qui n'ont pas exécuté. Il a pris Jacques Mugabo, ils sont sortis de mon bureau", a relaté devant la Haute cour, le commissaire supérieur principal Daniel Mukalayi.
Du côté de la partie civile, Me Peter Ngoma confirme cette thèse. Pour lui, Jean Claude Yav avait perçu 40.000$ mais n'avait pas exécuté parce que «ce montant n'était pas suffisant pour le travail qu'on lui demandait de faire».
" Effectivement Jean Claude Yav avait reçu 40.000$. Malheureusement nous demandons qu'il comparaisse il n'a jamais comparu. Il y a eu 40.000$ qui a été donné mais il avait dit que ce montant n'était pas suffisant pour le travail qu'on lui demandait de faire. Mais il n'a pas restitué cet argent là ", a déclaré Me Peter Ngoma.
La haute cour militaire a clôturé l'instruction de cette cause et a renvoyé l'affaire au mercredi 16 février prochain pour le début de la plaidoirie.
Ivan Kasongo
Le nouveau directeur général du Bureau Central de Coordination, (BCECO) Jean Mabi Mulumba, a officiellement pris ses fonctions ce mercredi 9 février 2022 au terme de la cérémonie de remise et reprise avec le directeur général sortant, Gaspard Kabongo Mukise, jusqu'ici intérimaire.
Cette cérémonie a été présidée par le directeur de cabinet du ministre des Finances Nicolas Kazadi, en présence de plusieurs cadres et agents de ce service public placé sous tutelle du ministère des finances.
Dans sa prise de parole, le DG Jean Mabi Mulumba a promis d'initier des réformes pour permettre au Bureau Central de Coordination de devenir une agence de développement.
"Généralement, les gens ont peur des réformes parce que l'on sait d'où on vient et l'on ne sait pas d'où on part. Mais je vous rassure que sans réformes, nous n'y arriverons pas. Et cette réforme je la ferais avec vous le personnel du BCECO. L'objectif de cette réforme c'est de faire aujourd'hui du BCECO une agence de développement. Ça c'est vraiment le souhait des autorités, faire en sorte que le BCECO puisse capter une grosse partie des ressources des partenaires qui viennent car BCECO a les compétences", a-t-il déclaré.
Tout en insistant sur la nécessité de restaurer la crédibilité du BCECO, Jean Mabi Mulumba a annoncé que les agents signeront dans les jours à venir un acte d'engagement pour respecter le code d'éthique de ce service public.
"J'ai un mot particulier pour le personnel de BCECO, je vous confirme que je ne viens pas ici pour régler des comptes à qui que ce soit, soyez-en rassurés. Mais ce que j'exige de vous, c'est le respect d'un certain nombre de règles d'éthique et morale. Dans les jours qui viennent, chacun de nous va signer une note d'engagement, où il s'engage à respecter le code d'éthique du BCECO. Tout ce que nous allons faire, c'est dans le respect des lois et des règles", a renchéri le DG Jean Mabi Mulumba.
Dans la foulée, Jean Mabi Mulumba a promis de travailler de manière transparente.
"Nous n'aurons rien à cacher. Tout ce qu'on nous confie ce n'est pas à nous. S'il faut publier nous allons publier, s'il faut publier les audits nous allons le faire (...) Le Gouvernement va nous confier des ressources, ou les partenaires, nous devons rendre compte de l'utilisation des ressources qui nous seront confiées, non seulement les ressources financières mais aussi les ressources humaines que vous êtes", a martelé Jean Mabi Mulumba.
S'agissant du Programme de développement à la base de 145 territoires, Jean Mabi Mulumba a rassuré que le BCECO jouera bel et bien sa partition.
"Aujourd'hui, la haute hiérarchie a confié au BCECO des lourdes responsabilités, notamment l'exécution du projet de développement local constitué de 145 territoires. Et le BCECO a la charge justement de travailler sur 48 territoires. C'est énorme, sur 48 territoires nous aurons à peu près 80 comptables. C'est un grand défi, c'est un grand challenge mais qui n'est pas insurmontable", a-t-il indiqué.
Pour rappel, c'est le 27 janvier dernier que le président de la République démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a nommé Jean Mabi Mulumba au poste de directeur général du Bureau Central de Coordination.
Jephté Kitsita