Ferre Gola reporte l’annonce de son concert à l’Accor Arena

Les fans de Ferre Gola devront encore patienter pour en savoir plus sur le projet de concert de leur idole à l’Accor Arena de Paris. En effet, la star de la rumba congolaise a une nouvelle fois reporté la présentation officielle de cet événement phare.

Pourtant, Ferre Gola avait indiqué début novembre sur sa page Facebook que sa maison de production One Way Prod dévoilerait l’affiche et la date définitive de son show parisien ce mardi 14 novembre. Mais cet après-midi, le post a été modifié pour ne plus mentionner de date précise, stipulant seulement que le chanteur « reviendra vers [ses] fans très rapidement ».

Aucune communication n’a donc eu lieu comme annoncé initialement aujourd’hui. Un énième rebondissement qui laisse planer le doute sur la concrétisation réelle de ce concert à l’Accor Arena, programmé dans un premier temps le 25 février 2024.

Depuis l’affichage surprise puis le retrait discret de l’affiche il y a quelques semaines, Ferre Gola entretient le mystère sur ce projet pharaonique. Si sa volonté de conquérir le public parisien ne fait aucun doute, les conditions logistiques et financières pour le réaliser ne semblent toujours pas réunies.

Les fans devront encore s’armer de patience avant d’avoir la confirmation officielle de la part de leur idole. « Nous reviendrons vers vous très rapidement » a-t-il promis, sans plus de précisions sur le moment où l’annonce tant attendue interviendra finalement.

mbote/CC

 


Au cours de son discours sur l’état de la nation, Félix Tshisekedi a présenté les avancées enregistrées dans plusieurs secteurs durant son quinquennat à la tête du pays.

De la justice, en passant par les prouesses de l’armée pour consolider la sécurité au pays, jusqu’aux secteurs de l’éducation, de la santé et des infrastructures, le président de la République a dressé un bilan plutôt satisfaisant même si plusieurs défis restent à relever.

À travers cet adresse prononcée à quelques jours de début de la campagne électorale, Félix Tshisekedi à appelé à la conscience de tous pour consolider les progrès enregistrés.

« Nous avons donc le choix entre repartir à zéro ou consolider les acquis de cet élan progressif en avançant main dans la main avec une vision claire et un but commun vers un avenir où chaque congolais aura la possibilité de prospérer », a-t-il lancé.

Il s’agissait du dernier discours du mandat de Félix Tshisekedi, également candidat à sa propre succession à l’élection présidentielle de décembre 2023.

James Mushiya



Tout le monde sait que le Président sortant, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, devra prononcer son discours sur l'état de la Nation, ce mardi 14 novembre, devant les deux Chambres du Parlement réunies en Congrès. Cela fait d'ailleurs partie de ses obligations constitutionnelles, dernier alinéa de l'article 77 de la Loi fondamentale. Tout le monde sait également que c'est le dernier Grand Oral du fils Tshisekedi, dans le cadre de ce mandat finissant. Mais personne ne sait ce qui se passe dans la tête du candidat Président de la République à sa propre succession, à quelques heures de son Grand Oral, ni ce qu'il va dire au chapitre des élections. À moins, en tout cas, d'être doté du don d'ubiquité. Seul Tshisekedi, devant son Dieu, sait ce qui se passe dans sa tête, et ce qu'il va dire dans quelques heures. Compte tenu de l'insécurité et des menaces d'occupation qui pèsent sur Goma, pour tout basculer, les observateurs sont loin de penser que ce qui se passe dans la tête du successeur de Joseph Kabila, soit à l'encontre de son serment et des engagements pris, pour défendre l'unité et la cohésion du Congo de Lumumba, ainsi que l'intégrité de son territoire national.

Un discours très attendu

Le discours que va prononcer le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, ce mardi 14 novembre 2023, sur l'état de la Nation, dans la salle des Congrès du Palais du Peuple, devant les deux Chambres du Parlement réunies en Congrès, est très attendu. Non parce qu'il s'agit du tout dernier de son mandat finissant, revêtant le caractère d'un discours-bilan, mais plutôt parce que l'opinion s'impatiente d'écouter ce que le Président sortant va dire au sujet des élections.

Car, jusqu'à présent, les incertitudes demeurent et le doute plane sur la tenue des scrutins à la date prévue, conformément au chronogramme électoral de la CENI -Commission électorale nationale indépendante-. Des incertitudes accentuées, avec les rumeurs qui circulent sur les réseaux sociaux, doublées de la récente déclaration de Corneille Nangaa, ancien président de la CENI, divulguée sur la toile, soutenant bec et ongles l'assertion selon laquelle les élections n'auront pas lieu le 20 décembre 2023.

 Le suspense persiste

Que Denis Kadima, actuel président de la Centrale électorale, ait, au terme du cadre de concertations CENI-candidats Président de la République, confirmé, ce lundi, la tenue des joutes électorales à la date prévue, rien en tout cas ne rassure. Surtout quand on sait que le même Denis Kadima a, par la même occasion, fait savoir à ses hôtes que pendant l'enrôlement des électeurs, la CENI a perdu trente trois (33) agents et policiers, dont certains victimes des groupes armés.

N'est-ce pas une manière indirecte pour le président de la CENI, de présenter aux candidats Président comment la contrainte sécuritaire risquerait d'hypothéquer les élections ? Pour certains analystes avisés, Denis Kadima a dit, sans le dire ouvertement, qu'il n'y a pas moyen d'organiser les scrutins cette année, au regard notamment de l'insécurité récurrente et grandissante qu'il brandit comme prétexte. Si non, soutiennent ces analystes, le président de la Centrale électorale n'aurait, à ce stade, évoqué le cas d'insécurité.

 Au bord de l'implosion

C'est dans un contexte particulier que le fils Tshisekedi va s'adresser à la Nation via le Congrès. Un contexte dans lequel le pays est menacé de déchirement de toutes parts. Au bord de l'implosion. Avec, en toile de fond, les menaces du M23 de conquérir la ville de Goma et la cité de Sake, dans le Nord Kivu, pour contraindre Kinshasa aux négociations. Des pans entiers des territoires de Rutshuru et Masisi sont déjà sous le contrôle du Rwanda, sous couvert des terroristes du M23. Beni et Butembo ne sont pas en reste.

Pas seulement au Nord Kivu. Le regain des tensions et de l'insécurité est observé aussi dans la province de l'Ituri, où ce sont notamment les ADF et la CODECO qui sèment terreur et désolation parmi les paisibles citoyens.

La guérilla commencée à Kouamouth, dans le Maï Ndombe, entre les Teke et les Yaka, a fini par embraser toutes les provinces voisines. Même la ville province de Kinshasa n'est pas épargnée.

À Tshopo, dans le chef-lieu Kisangani et ses environs, une guérilla prend corps. Bref, toutes les provinces sont touchées, secouées et paralysées par le fléau de l'insécurité, au point que, si l'on n'y prend garde, le pays risque d'être balkanisé.

 À FATSHI de fixer

Il est, certes, vrai que le Grand Oral de Tshisekedi, le tout dernier de son mandat finissant, aura le caractère d'un discours-bilan pour son quinquennat. Le candidat Président de la République à sa propre succession aura l'occasion de parler de toutes ses réalisations dans les différents domaines de la vie nationale.

Mais les Congolais ne l'attendent, avec impatience, que dans le volet électoral de son discours.

En clair, ils entendent être fixés par le Garant du bon fonctionnement des Institutions lui-même, sur la question de l'organisation effective des élections à la date prévue.

Y aura-t-il élections ou non le 20 décembre 2023 ? Est-ce que le Chef de l'État, dans son Grand Oral, devra-t-il abonder dans le même sens que le président de la CENI ? Est-ce bénéfique ou non pour le Congo ex-Zaïre d'aller aux élections, sans notamment les territoires de Rutshuru et Masisi ? N'y aurait-il pas menace de balkanisation, via un référendum d'autodétermination, en cas d'élections sans Rutshuru et Masisi ? Autant de questions pendantes, du reste non exhaustives.

En attendant son Grand Oral très attendu, seul Tshisekedi connaît ce qui se passe dans sa tête, et ce qu'il va dire au sujet des élections.

Seulement, même si on n'est pas doté du don d'ubiquité, ce qui se passe dans la tête du fils Tshisekedi et qu'il dira dans son Grand Oral, au sujet des élections, n'ira jamais à l'encontre de son serment ni des engagements pris, dans le sens de privilégier l'unité et la cohésion du Congo de Lumumba, ainsi que l'intégrité de son territoire national.

Bijou NDJODJI BATEKO 


Le président de la CENI, Denis Kadima a annoncé, ce lundi 13 novembre, la publication de la cartographie des bureaux de vote.

Il a fait cette annonce lors du cadre de concertation avec les candidats président de la République, à Kinshasa.

A cette occasion, Denis Kadima a exhorté ses interlocuteurs à jouer leur partition pour la tenue des élections crédibles transparentes, inclusives et apaisées :

« Je vous lance un vibrant appel à jouer pleinement votre rôle parce que la CENI compte jouer le sien. Elle est disposée à construire avec vous une relation de collaboration basée sur le respect mutuel pour la tenue des élections crédibles transparentes, inclusives et apaisées ».

Pour lui, les parties prenantes et l’organe organisateur des élections ont intérêt à ce que ce processus aboutisse.

Le président de la CENI a rapporté que « la CENI et l’ensemble de parties prenantes sont toutes dans le même bateau. Si ce bateau chavire, il n’est pas dit que seule la CENI coulerait ».

Denis Kadima a indiqué que son institution mène ce processus électoral dans des conditions difficiles vue l’immensité du pays.

Il a rappelé que lors de l’enrôlement des électeurs, la CENI a perdu 33 agents et policiers par noyade ou encore victimes des groupes armés.

Satisfecit de la MOE CENCO-ECC

La mission d’observation électorale CENCO-ECC a apprécié à juste titre la décision, portant publication de la cartographie de bureaux de vote. Elle a exhorté la CENI à rendre cette cartographie téléchargeable et imprimable, conformément à son communiqué du 28 octobre dernier. « Ceci a l’avantage de faciliter au public de connaitre le nombre de centres et bureaux de vote ainsi que les électeurs qui y sont affectés », a fait savoir la MOE ENCO-ECC dans ce document.

Elle a ensuite recommandé aux candidats, partis et regroupements politiques de se servir de leurs propres cellules techniques électorales afin d’analyser toutes les données ouvertes par la CENI dont la liste provisoire des électeurs, la cartographie des bureaux de vote et les résultats qui seront publiés par bureau de vote afin de se faire opinion objective de la qualité du processus électoral en cours.

La MOE CENCO-ECC a par ailleurs dit poursuivre l’accompagnement du processus électoral par une observation des différentes opérations.

radiookapi.net/CC



La Cour constitutionnelle a tenu une audience publique ce lundi pour poursuivre l'instruction de l'affaire impliquant l’ancien Premier ministre, Matata Ponyo, dans le dossier Bukanga Lonzo. Une source à la Cour constitutionnelle a confirmé à ACTUALITE.CD que le procès est renvoyé au 18 mars 2024.

Lors de la dernière audience tenue ce lundi 13 novembre, le prévenu n'a pas comparu physiquement, et ses avocats ont présenté un rapport médical justifiant son état de santé nécessitant une prise en charge à l'étranger. La Cour n'a pas pris en compte cette requête et a décidé de poursuivre le procès "par défaut", demandant à ses avocats de se retirer de la barre.

Les accusations portées contre Matata Ponyo, l'homme d'affaires sud-africain Groobler, et l'ancien gouverneur de la BCC, Deogratias Mutombo, sont graves. Elles incluent des détournements de fonds de plus de 115 millions de dollars à travers des avantages financiers indus, des surfacturations, la création de sociétés écrans, ainsi que des détournements des procédures administratives. Matata Ponyo et Mutombo sont également accusés d'avoir omis de verser 89 millions de dollars destinés à la construction du marché international de Kinshasa.

Par ailleurs, Augustin Matata Ponyo est candidat à l'élection présidentielle prévue le 20 décembre 2023. Il met en avant son expérience en tant qu'ancien Premier ministre et son rôle dans la stabilisation du cadre macro-économique du pays.

Ivan Kasongo



La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) a organisé ce lundi 13 novembre 2023 une réunion avec l’ensemble des candidats déclarés à l’élection présidentielle de 2023 en République Démocratique du Congo.

C’est la première fois depuis l’élection contestée de 2018 que l’actuel président Félix Tshisekedi et l’opposant Martin Fayulu, se sont retrouvés dans la même pièce.

À leur arrivée à la réunion organisée par la CENI, Tshisekedi et Fayulu se sont serrés chaleureusement la main, un geste symboliquement fort après des années de tensions post-électorales. Fayulu n’avait cessé de contester la victoire de Tshisekedi, affirmant avoir en réalité remporté l’élection.

Ce rapprochement entre les deux hommes, même si symbolique, pourrait être le signe d’une volonté d’apaisement avant le prochain scrutin présidentiel prévu fin 2023. La CENI joue ici son rôle de facilitateur du dialogue entre acteurs politiques.

Reste à voir si cette poignée de main amorcera réellement une détente durable entre les camps Tshisekedi et Fayulu ou si la compétition électorale réveillera à nouveau les tensions. C’est en tout cas un premier pas positif pour une élection apaisée.

Christian-Timothée Mampuya



Koffi Olomide est à nouveau le nombril de plusieurs révélations de sa fille biologique Didistone dont l’envie de défendre sa mère passe avant tout autre chose. La fille de la légende congolaise accuse son père d’organiser «un réseau cybercriminel » pour nuire à sa vie en arborant le profil de son jeune frère Delpirlo.

« Mon père est en train de mettre en place son énième plan pour me nuire et salir mon nom. Son entourage propre m’a contacté afin de m’informer qu’il a de nouveau payé des gens qui ont pour mission de créer un faux compte Twitter se faisant passer pour mon petit frère Del-Pirlo. Ce compte a pour but de me dénigrer, de lancer des rumeurs sur moi et de faire comme si mon frère était contre moi et mon positionnement dans toute cette histoire», a déclaré la mannequin.

Pour sa part Didistone dit avoir des bons rapports avec ses frères peu importe la séparation de leurs parents. Le silence de ses frères, dit-elle, est suit au fait que ceux-ci veulent maintenir leur vie secrète loin de tous les yeux du monde réunis aujourd’hui par les réseaux sociaux. « C’est vraiment triste et déplorable… Où allons-nous ?Jusqu’où va aller cette histoire ? Ça va beaucoup trop loin. (…) Je partage mon quotidien avec mes petits frères. Nous nous entendons très bien, nous sommes soudés et unis… Tout va pour le mieux entre nous.
Mes frères ne sont pas présents sur les réseaux sociaux et ne possèdent pas de comptes Instagram, Facebook, Twitter ou même TikTok… Ils détestent l’exposition et préfèrent rester en retrait », a-t-elle ajouté.

La fille aînée de Aliyah manifeste en conclusion son envie de tout laisser tomber,d’oublier Koffi Olomide et son monde, et de tracer un chemin nouveau dans la paix. Pour elle, s’en est de trop et il faut que ça change maintenant. « C’est vraiment dommage d’en arriver là… On frôle presque l’harcèlement et une pression psychologique qui persiste depuis le mois de janvier. Est-il possible de simplement vivre notre vie chacun de notre côté ? Je suis fatiguée », a-t-elle lâché en conclusion.

Pour sa part, Koffi Olomide continue à manifester son amour pour ses enfants via ses sorties médiatiques. Le musicien congolais serait prêt à renouer le lien consanguin avec ses enfants malgré la dure période qu’ils continuent de traverser. Pour lui, la famille passe avant tout.

Gaël Hombo



Des grands artistes de la musique Congolaise se réunissent pour réaliser une collaboration comme jamais auparavant. Fally Ipupa, Ferre Gola, Héritier Watanabe, Innoss’B et pleins d’autres sont réunis pour une chanson intitulée « Rumba forever ».

La vidéo annonçant la sortie de cette chanson fait déjà les tours des réseaux sociaux. On y voit de grands artistes, voir des icônes de la Rumba Congolaise, faire l’annonce de la sortie de ce titre le mardi 14 novembre 2023. On retrouvera des artistes comme Reddy Amisi, Rebo Tchulo, Barbara Kanam, Fally Ipupa, Héritier Watanabe, Ferre Gola, Reddy Amisi, Innoss’B.

Cette chanson fait déjà saliver le public, désireux de retrouver leurs artistes favoris et juger de leurs talents dans la Rumba.

C’est les genres de chanson qui marque tout un siècle, un peu comme « Franc Congolais » à la fin des années 90.

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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