Le ticket porté par l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS/Tshisekedi) et l’Alliance des forces démocratiques du Congo (AFDC) de Modeste Bahati Lukwebo, a remporté l’élection de gouverneur dans la province du Sud-Kivu, à l’est de la RDC.

Le professeur Jean-Jacques Purusi, parce que c’est de lui qu’il s’agit, s’est défait de son challenger de l’Union pour la Nation congolaise (UNC), Émile Sumaili, contre lequel les députés provinciaux n’ont pas su trancher au premier tour organisé le 29 avril dernier.

Aucun candidat n’avait pu atteindre la majorité absolue de 25 voix sur les 48 votants. Jean-Jacques Purusi avait obtenu 20 voix, tandis que son poursuivant direct Emile Sumaili avait récolté 15 voix.

Par ailleurs, le second tour des scrutins organisés ce jeudi 02 mai, par la Commission électorale nationale indépendante (CENI ) a consacré la victoire du ticket UDPS-AFDC-A.

Selon le résultat provisoire publié par la Centrale électorale, sur les 48 voix des députés provinciaux, Jean-Jacques Purusi en a obtenu 27

Le nouveau chef de l’exécutif hérite d’une province marquée par des crises institutionnelles persistantes. Il devrait, une fois investi, mettre la main à la pâte pour relever les innombrables défis notamment en termes d’infrastructures routières, la sécurité, le social et la collaboration entre l’organe délibérant et l’exécutif.

Carmel NDEO



L’année 2023 a été riche en succès internationaux pour les artistes français. Selon le compte Twitter spécialisé dans les ventes d’albums en France Ventesfrap, Ninho, rappeur français originaire de la RDC se démarque comme l’artiste tricolore ayant obtenu le plus de certifications à l’étranger en 2023 avec 19 récompenses.

Juste derrière lui, on retrouve Aya Nakamura qui compte 15 certifications à l’export pour ses titres. La chanteuse originaire du Mali fait rayonner la scène française bien au-delà de nos frontières.

Ces performances exceptionnelles témoignent de l’influence croissante de la touche française musicale partout dans le monde. Le rappeur parisien Ninho, avec ses titres et ses productions soignées, est parvenu comme rarement un artiste français à s’imposer hors de Hexagone au cours des derniers mois.
 
Grâce aux plateformes de streaming et à leur talent indéniable, Ninho et Aya Nakamura font vibrer les mélomanes internationaux et portent haut les couleurs de la scène française Urbaines à l’étranger.

Signalons notamment que Ni est aussi le rappeur français le plus certifié de l’histoire avec plus de 120 certifications en or, plus de 70 singles de platine et plusieurs disque de diamant.

Miguel Jegou Mpiutu



La question vaut tout son pesant d'or. D'autant plus que beaucoup d'eau ont coulé sous le pont, et des spéculations ne cessent d'aller bon train dans tous les sens, au sujet de la qualité de Vital Kamerhe dans la suite du Président de la RDC -République démocratique du Congo-, dans le cadre de sa toute première visite officielle à Paris, en France. Une réponse pédagogique à la hauteur de la préoccupation vaut également la peine. Histoire de fixer l'opinion sur les vraies raisons de la présence de Vital Kamerhe dans la délégation de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et à quelle qualité il y a pris part, d'une part; et, de l'autre, de balayer d'un revers de la main toutes les balivernes et autres inepties distillées par certains vendeurs d'illusions, dans le seul but de ternir l'image du candidat unique de l'USN -Union sacrée de la Nation- pour le poste de président de l'Assemblée nationale. Sinon, le mensonge risquerait de l'emporter sur la vérité. Invité par la France, en qualité de parlementaire rd-congolais, pour représenter le Parlement de son pays au partage d'expériences parlementaires avec le Parlement français, Vital Kamerhe n'a jamais usurpé des fonctions pour se retrouver dans la délégation du Président de la République. On ne l'a jamais non plus, pour une mission aussi importante, fait voyager avec une fausse identité. Au contraire, le Gouvernement rd-congolais lui avait même établi une note verbale et il a été associé par la RDC, pour représenter le Parlement rd-congolais. Ci-dessous, la vraie version des faits.

Kamerhe parmi les invités de la France

C'est comme invité de la République française, en qualité de parlementaire rd-congolais, que Vital Kamerhe s'est retrouvé dans la délégation du Président de la RDC, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui, pour la première fois depuis qu'il est à la tête du Congo de Lumumba, devait effectuer sa première visite officielle à Paris, en France.

En marge de cette première visite officielle du Chef de l'État rd-congolais, le Congo devait, entre autres, partager l'expérience parlementaire avec la France. Voilà qui a justifié cette invitation française adressée à Vital Kamerhe, pour lequel, d'ailleurs, le Gouvernement rd-congolais avait même établi une note verbale.

Ce qui a fait que Vital Kamerhe a été associé par la RDC, pour représenter le Parlement rd-congolais au partage d'expériences parlementaires avec le Parlement français.

 Kamerhe moins visible

Durant le séjour du Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à Paris, en France, dans le cadre de sa toute première visite officielle à la ville Lumière, le député national Vital Kamerhe aura été on ne peut plus moins visible.

Tenez, au Palais de l'Elysée, où Félix Antoine Tshisekedi et Emmanuel Macron ont co-animé, mardi, une conférence de presse pour faire la restitution de leur tête-à-tête, Vital Kamerhe était le grand absent.

Le même mardi, alors que Félix Antoine Tshisekedi présidait la table ronde sur les investissements et les affaires, entre la France et la RDC, au centre de conférences Mendès à Paris - Bercy, Vital Kamerhe était, ici aussi, le grand absent. Pourtant, les ministres et les mandataires publics rd-congolais qui étaient dans la délégation présidentielle avaient pris part active à cette table ronde, aux côtés des ministres et des investisseurs français.

Même ce mercredi, à l'espace Charenton, où Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a échangé avec plus ou moins 2.000 Congolais vivant en France, le député national Vital Kamerhe n'y a pas été présent.

Il en est de même au ministère français des Armées, où même la silhouette du député national Vital Kamerhe n'a pas été aperçue.

Normal que Vital Kamerhe n'ait pas pris part à toutes ces activités. Preuve que cela ne le concernait pas, et qu'il ne s'était pas rendu à Paris, en France, pour toutes ces activités relatives à la visite officielle du Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Les quelques moments remarquables de la présence de Vital Kamerhe, c'est le jour où le Président rd-congolais était reçu au Sénat français et à l'Assemblée nationale française, ainsi qu'au Musée de l'Armée, où il a bénéficié des honneurs militaires. Non sans raison. Comme ci-haut indiqué, Vital Kamerhe faisait partie des invités de la République française, en qualité de parlementaire. Et donc, à ce titre et qualité, il ne pouvait nullement manqué à de telles cérémonies.

Vital Kamerhe était aussi perceptible lors du vernissage du livre du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, intitulé "Pour un Congo retrouvé". Depuis, plus rien.

 Kamerhe n'y est pour rien

Alors que c'était prévu de commencer le dépôt, depuis mardi 30 avril 2024, des dossiers de candidature pour l'élection des membres du bureau définitif de l'Assemblée nationale, le bureau d'âge, par l'entremise sa secrétaire, la députée nationale Percy Nzuzi, a annoncé, contre toute attente, le report sine die de cette opération. 

La raison évoquée par le même bureau provisoire était bel et bien l'absence, ici à Kinshasa, de plusieurs députés nationaux qui se retrouvent à l'intérieur du pays, dans le cadre des scrutins combinés des Sénateurs, des Gouverneurs et Vice-gouverneurs, auxquels nombreux étaient candidats.

Vital Kamerhe n'est, donc, ni de près ni de loin, à la base de la modification ou perturbation du chronogramme électoral des membres du bureau définitif de l'Assemblée nationale, tel que l'insinuent, à tort, certaines mauvaises langues, évoquant son déplacement de Paris comme la cause principale.

 Conclusion

Compte tenu de ce qui précède, il ressort clairement, comme l'eau du cristal, que le député national Vital Kamerhe s'est retrouvé dans la délégation du Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo en qualité de parlementaire, compté parmi les invités de la France, pour représenter le Parlement rd-congolais au partage d'expériences parlementaires avec le Parlement français.

Vital Kamerhe ne séjourne donc pas en France, en compagnie de la délégation présidentielle rd-congolaise, en qualité de Vice-premier ministre de l'Économie ni d'expert, comme le veulent faire croire à l'opinion ses pourfendeurs en mal de positionnement, qui l'accusent faussement d'avoir usurpé des fonctions dont il a pourtant démissionné volontairement, après avoir opté pour l'Assemblée nationale.

En homme d'État pétri des valeurs, Vital Kamerhe ne peut jamais se faire voyager, pour une mission aussi importante et officielle, avec une fausse identité.

Bijou NDJODJI BATEKO



Les Congolais devenus Français ont une nouvelle fois rappelé ce mercredi 1er mai 2024 au Président Félix Tshisekedi l'urgence et la nécessité de légaliser la double nationalité en République Démocratique du Congo. Cette catégorie de Congolais estime que l'article 10 de la constitution, dans sa configuration actuelle rendant exclusive la nationalité congolaise, prive le pays des compétences capables de contribuer au développement de la République.

En réaction, Félix Tshisekedi a appelé les Congolais à la patience et aux réflexions "minutieuses" dans la gestion de cette question, de peur que cela profite aux ennemis de la République qui veulent à tout prix diviser le pays dans sa partie orientale.

"Moi-même, je suis un enfant de la diaspora. Je suis conscient de cette difficulté, mais vous devez savoir que ce n'est pas facile. C'est une question à aborder avec beaucoup de prudence et de méthode parce que, comme vous le savez, du côté de l'Est de la République Démocratique du Congo, nous n'avons pas que nos frères et sœurs là-bas. Je vous ai dit ici que le plan de l'ennemi est de nous faire la guerre, de déplacer nos populations comme vous entendez qu'ils sont près de 2 millions autour de Goma. Ils ont fui leurs localités dans le but de placer une nouvelle population et demain, lorsque nous serons en paix, je vous le promets, nos frères et sœurs déplacés qui vont rentrer, vont se mélanger avec la population placée. Nous disons OK, la question de la double nationalité est garantie, vous ne voyez pas qu'on est en train d'ouvrir la porte à notre ennemi ?", s'est interrogé Félix Tshisekedi ce mercredi 1er mai 2024.

Félix Tshisekedi a également abordé les cas de ceux qui sont devenus Congolais par naturalisation. À l'en croire, il faudra également examiner cette catégorie en ce qui concerne l'accès à certaines fonctions de responsabilité dans le pays.

"Une autre difficulté, c'est la question des Congolais qui ne sont pas vraiment des Congolais. Vous avez suivi lors des élections législatives le débat sur ceux qui sont Congolais et ceux qui ne le sont pas. Donc, le débat se posera sur l'accès de ces Congolais-là à certaines fonctions, donc ça aussi, c'est un problème. Vous voyez que la question de la nationalité nous demande de faire des analyses profondes avec sagesse parce que je ne suis pas contre, même un étranger qui a longtemps vécu au Congo pour devenir Congolais. Je ne suis pas contre la personne qui, étant Chinoise, Libanaise, française, ayant eu ses enfants au Congo, restant au Congo, ayant des activités au Congo, pourquoi pas devenir aussi Congolais. Le plus grand problème va se poser au niveau de l'accès à certaines fonctions", a indiqué Félix Tshisekedi.

Félix Tshisekedi a annoncé ce jour le début de l'identification des Congolais vivant à l'étranger par l'ONIP.

"Je vous informe déjà que nous avons commencé avec l'identification de la population. Donc vous aussi, de l'étranger, sachez que dans les prochains jours, vous serez invités à l'ambassade pour vous faire identifier. Nous avons trouvé un partenaire qui va nous permettre de faire avancer ce projet ", a rassuré Félix Tshisekedi.

La question de la double nationalité a toujours divisé l'environnement sociopolitique congolais. Des leaders de l'opposition tels que Martin Fayulu Madidi se sont toujours montrés ouverts à la légalisation de la double nationalité, sauf pour les pays limitrophes de la République Démocratique du Congo.

Clément MUAMBA



Radio Okapi Bukavu a mis fin mardi 30 avril aux programmes locaux, notamment le décrochage local, dans le cadre du désengagement de la MONUSCO dans la province du Sud-Kivu. Ses auditeurs ont manifesté leur regret, à ce sujet. 

Au cours de ce dernier décrochage local, la société civile, le caucus des femmes et les artistes se sont exprimés et ont partagé les souvenirs qu’ils gardent de ce programme local.

"La radio Okapi est restée l’une des radios professionnelles ayant plus de couverture sur toute l’étendue de la province du Sud-Kivu. En apprenant que c’est la fin du décrochage local, ça nous donne vraiment un sentiment de frustration, d’inquiétude", a affirmé Nene Bintou Iragi, présidente de la société civile du Sud-Kivu.

Solange Lwashiga, secrétaire exécutive du caucus des femmes, a rappelé  que "depuis que la radio Okapi a commencé à émettre, la place que cette radio a accordé aux femmes a contribué à l’émergence et à la promotion des organisations des femmes".

Le musicien Franck Issa le Rossignol, président de la Corporation des artistes du Sud-Kivu ( COASKI) a aussi exprimé son regret, du fait que la population locale s’etait vraiment habituée à cette radio. "Je voudrais jeter mes fleurs à ses journalistes qui nous ont toujours accompagnés à Bukavu", a poursuivi l'artiste. 

Toutefois, Amadou Ba, directeur adjoint de Radio Okapi apaise les auditeurs du Sud-Kivu, car l’antenne nationale continuera à émettre: 

"Le studio ferme mais Radio Okapi ne ferme pas. Et elle ne fermera pas aujourd’hui ni demain. Bien-sûr qu’on regrette que le studio de Bukavu ne soit plus opérationnel. J’aimerais quand-même dire à nos auditeurs que qu’ils peuvent compter sur nous et que depuis Kinshasa nous allons être tout à fait conscients qu’il faut continuer à ne pas éteindre la flamme de Radio Okapi".

La MONUSCO, propriétaire de Radio Okapi, a cessé ses opérations de maintien de la paix mercredi 30 avril dans la province du Sud-Kivu, à la demande du Gouvernement congolais.

radiookapi.net/CC



Fally Ipupa, célèbre artiste congolais, a récemment annoncé sur son compte Facebook qu’il était le premier artiste congolais à atteindre la barre des 100 millions de vues sur YouTube.

Cependant, il convient de noter que l’artiste congolais Innoss’B a déjà dépassé les 220 millions de vues avec son tube « Yope », bien que ces chiffres proviennent de la chaîne YouTube de l’artiste tanzanien Diamond Platnumz.

Le titre « Eloko oyo » de Fally Ipupa, extrait de son album « Tokooos » sorti en 2017, vient de franchir le cap symbolique des 100 millions de vues sur YouTube. Cette chanson, qui mélange des éléments folkloriques et des sonorités contemporaines, a connu un immense succès dès sa sortie, devenant l’un des plus grands succès de Fally Ipupa.

Le clip de « Eloko oyo », réalisé entre Kinshasa et Paris, offre une esthétique visuelle captivante. Fally Ipupa revisite dans cette chanson un air traditionnel du terroir congolais appelé « Anamongo ».
 
Alors que Fally Ipupa se félicite d’être le premier artiste congolais à atteindre les 100 millions de vues sur YouTube, il est important de souligner la popularité de « Yope » d’Innoss’B, qui a accumulé plus de 220 millions de vues sur la chaîne YouTube de Diamond Platnumz.

Il est possible que Fally Ipupa se réfère spécifiquement à sa propre chaîne YouTube, mais il convient de noter que d’autres artistes congolais ont également connu un grand succès sur cette plateforme de streaming vidéo.

Malgré cette controverse, il est indéniable que Fally Ipupa et Innoss’B ont tous deux réussi à attirer l’attention internationale et à accumuler des millions de vues sur YouTube.
 
Leur influence dans l’industrie musicale congolaise et leur capacité à toucher un large public témoignent de la richesse et de la diversité de la musique africaine contemporaine.
 
mbote/CC


Lors de la visite officielle du couple présidentiel à Paris, la Première Dame, Denise Nyakeru Tshisekedi a tenu mardi 29 avril, des discussions avec une délégation du campus The Land et du Campus France. Ces deux structures collaborent étroitement avec la Fondation DNT pour encadrer les boursiers, et lors de cette rencontre, l’objectif était de faire le point sur l’évolution des étudiants tant sur le plan académique que social.

Au cours de sa visite au campus de Campus France, la Première Dame et la directrice de l’agence, Donatienne Hissard, ont passé en revue les différentes phases de leur partenariat des cinq dernières années. Celui-ci a été jugé satisfaisant, notamment grâce aux excellents résultats académiques des 37 boursiers actuellement accueillis.

Un nouveau contrat a été signé afin d’accueillir 40 boursiers supplémentaires pour la prochaine rentrée de septembre.

À Campus The Land, la délégation conduite par le directeur général Jean-Marc Esnault a présenté les formations dispensées, en particulier le cursus de gestion de projets alternatifs et solidaires suivi par les 27 boursiers Excellentia accueillis depuis 2023. Ceux-ci obtiendraient d’excellentes notes. Satisfaite, la Première Dame Denise Tshisekedi a émis le souhait de renforcer le partenariat avec The Land pour permettre à davantage de lauréats du programme d’en bénéficier.

Ces rencontres ont permis de faire le point sur les résultats positifs des boursiers soutenus par la Fondation DNT et de jeter les bases d’une collaboration future encore renforcée entre les trois institutions, au bénéfice de la formation des jeunes congolais.

La Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi a mis en place l’Académie Internationale de Management Excellentia (AIME). Un contrat a été signé avec le campus The Land pour animer les cours de cette académie.

À ce jour, l’AIME compte deux promotions, la première étant composée de 27 étudiants, tous en L3 à Rennes. La deuxième promotion comprend 13 étudiants qui se trouvent actuellement au niveau B1, tous basés à Kinshasa.

Ézéchiel T. MAMPUYA



Le commandant du service national, le général-major Jean-Pierre Kasongo Kabwik, a reçu six cents (600) jeunes volontaires du Kasaï oriental dans le cadre de la reconstruction du pays.

Ces jeunes filles et garçons désœuvrés ont été directement acheminés à Kaniama Kasese, où ils vont suivre une formation paramilitaires de cinq à six mois, suivie d'un apprentissage des métiers.

Le général -major Jean-Pierre Kasongo a précisé que depuis quatre ans, plusieurs bâtisseurs qui vont à Kaniama Kasese transitent par la ville de Mbuji-Mayi; mais, en soi, la dite ville n'a jamais offert un seul bâtisseur. 

"Les jeunes du Kasaï oriental ont voulu, maintenant, aller librement à la reconstruction du pays", a-t-il fait savoir. 

En clair, ces jeunes veulent également, comme d'autres jeunes avant eux, devenir des bâtisseurs de la nation.

Fadi Lendo

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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