Le DCMP -Daring Club Motema Pembe- a battu l'AC Rangers (2-1), ce jeudi 07 décembre 2023, au stade Tata Raphaël de la Kethule, en match comptant pour la 13ème journée de Vodacom Ligue 1, division d'élite congolaise.

Mydo Yallet a ouvert le score pour les immaculés dès la 9ème minute de jeu, sur penalty, avant que Alain Longanyo ne corse l'addition à la 32ème minute. Les Académiciens réduisent la marque à la 44ème minute, grâce à Molia Lihozasia. Et le score ne bougera pas jusqu'au coup de sifflet final.

Grâce à ce succès, le DCMP prend la deuxième place du groupe B, avec 24 points, juste derrière l'AS Maniema Union, qui en compte 31. L'AC Rangers reste 9ème ou avant-dernière au classement, avec 11 unités.

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La fin du mandat de la force de la Communauté des États d’Afrique de l’Est (EAC) en République Démocratique du Congo (RDC) le 8 décembre dernier marque la transition vers de nouvelles perspectives sécuritaires. L'exode a déjà commencé avec le départ d'un contingent initial de soldats kényans de l'aéroport de Goma en direction de Nairobi, suivi par le rapatriement d'un autre groupe de militaires sud-soudanais cette semaine.

Cette décision intervient suite à la résolution prise lors d'un sommet extraordinaire de la Communauté des États de l'Afrique de l'Est (EAC) à Arusha, en Tanzanie, le 24 novembre dernier, où la RDC avait affirmé sa volonté de ne pas prolonger le mandat de la Force Régionale de la Communauté d'Afrique de l'Est (EACRF) au-delà du 8 décembre 2023.

Toutefois, malgré la présence de la force régionale de l'EAC, les affrontements se sont intensifiés dans la région, opposant notamment le groupe M23 aux Wazalendo, générant des violences sur plusieurs axes routiers. Ces événements ont éveillé des doutes quant à l'efficacité et à la réelle mission de la présence de cette force dans la région, comme l'a souligné le président Félix Tshisekedi fin août 2023.

L’accord de déploiement de cette force avait suscité un débat au sein de l’opinion publique quant à son mandat effectif et à la durée de son intervention. Des interrogations ont été soulevées, notamment par des représentants politiques tels que le député national Lubaya Claudel André et le député national Juvénal Munubo, concernant les objectifs et l'impact réel des troupes déployées sur le sol congolais.

Du côté du gouvernement, finalement, des critiques ont été adressées à la lenteur de l'action des forces de l'EAC, accusées de ne pas avoir suffisamment agi pour soutenir les Forces Armées de la RDC (FARDC) dans la région, malgré les violences persistantes et la présence active du M23. Le vice-premier ministre, ministre des Affaires étrangères Christophe Lutundula Apala, avait finalement exprimé une certaine déception quant aux résultats obtenus.

« Est-ce que les troupes de l’EAC ont échoué? C’est simple, elles n’ont pas donné les résultats escomptés. Je parle sans langue de bois. C’est clair comme l’eau claire dans un verre clair. Autrement, on n’aurait plus parlé du M23. Ça ne demande pas une démonstration particulière », avait-il déclaré en mai 2023, répondant à une question de la presse.

En parallèle, une réflexion s'engage désormais autour du déploiement annoncé des troupes de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC), marquant une nouvelle étape dans la stratégie sécuritaire de la RDC.

actualite.cd/CC



Comme annoncé, Héritier Watanabe a sorti dans la nuit de jeudi à vendredi son nouveau single « Opona ngai ». Le titre est disponible sur toutes les plateformes de streaming et de téléchargement depuis minuit pile.

Avec ce morceau, la star congolaise renoue avec ses fans après plusieurs mois d’absence. Contrairement à ses précédents hits, « Opona ngai » marque un tournant dans la carrière de Goga avec un titre à dominante gospel.

Dans une ambiance rumba minimaliste, Héritier Watanabe livre un texte où il expose sa foi en Dieu et ses prières. « Seigneur fais de moi un instrument de ta paix », chante-t-il notamment.

Le clip qui accompagne le single dévoile l’artiste en mode prière, les mains jointes et le regard suppliant. Une image qui illustre parfaitement la tonalité spirituelle de cette nouvelle chanson.

Très bien accueilli par les fans, « Opona ngai » confirme le retour d’Héritier Watanabe sur le devant de la scène musicale après plusieurs mois marqués par l’accident mortel de ses musiciens. Avec ce titre gospel affichant sa foi, Tototina signe une production intimiste qui devrait toucher ses nombreux admirateurs.

mbote/CC

 


C’est depuis le 04 décembre dernier que la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a officiellement lancé la campagne électorale pour l’élection des conseillers communaux uniquement aux chefs-lieux des provinces et dans les 24 communes de la ville de Kinshasa.

Tout en indiquant que ladite campagne va se clôturer le lundi 18 décembre prochain, la CENI a insisté sur le fait que les rassemblements électoraux, au cours de la campagne électorale, doivent se dérouler conformément aux dispositions légales relatives aux manifestations publiques.

« Seuls sont habilités à organiser des réunions électorales, les partis politiques, les regroupements politiques et les candidats indépendants ou leurs délégués. Les réunions électorales se tiennent librement. Les organisateurs des manifestations et rassemblements électoraux veillent à leur bon déroulement, notamment en ce qui concerne el maintien de l’ordre public et le respect de la loi », peut-on lire dans ce document consulté par POLITICO.CD.

Dans le même registre, la centrale électorale a précisé qu’en cas échéant, les partis politiques, les regroupements politiques et les candidats indépendants ou leurs délégués peuvent demander l’assistance des agents de la Police nationale congolaise.

La CENI a, par ailleurs, martelé sur l’interdiction aux candidats de tenir des propos « injurieux, diffamatoires ou susceptibles d’inciter au mépris envers les tiers, à la haine, au racisme, au tribalisme ou à tout autre fait répréhensible par les lois de la République ; mais également toute incitation à quiconque de commettre des actes de nature à entraîner des violences, des menaces ou à priver d’autres personnes de l’exercice de leurs droits ou libertés constitutionnellement garantis ».

En outre, chaque candidat indépendant, parti ou regroupement politique ne peut installer, à ses frais, à proximité du centre de vote qu’un seul panneau d’affichage et tout affichage est interdit sur les édifices publics, a renchéri la commission électorale.

Près de 72 heures après le lancement, la campagne électorale des conseillers municipaux se déroule dans le calme à travers toutes les 24 communes de la ville de Kinshasa.

Monge Junior Diama

 


En plein meeting de campagne difficile à Lodja, dans un terrain vide de monde, et alors que ses équipes trafiquaient déjà les images pour faire croire, comme à leur habitude, à une foule immense, Moïse Katumbi n’a eu d’autres choix que de se lancer dans une énième litanie des promesses. Et celles d’aujourd’hui vont jusqu’à promettre de « supprimer  le poste » de la Première dame une fois élu. Problème : le Congo n’a pas de poste de Première dame ! La RDC est plutôt moralement attachée à l’épouse de son Président, depuis son indépendance, non pas par obligation, mais par moral et tradition.

Je l’ai toujours dit : quand on mène une campagne sans principes ni plan, encore moins un programme ; quand on est inculte et qu’on est incapable de pondre un raisonnement intellectuel logique, on se met à promettre tout et n’importe quoi : Matadi deviendra Monaco, Bukavu Los Angeles, Lubumbashi Johannesburg… et maintenant, Moïse Katumbi veut supprimer le « poste » de la Première dame!

Quand je m’opposais à sa candidature, on me traitait de tout! Pour autant, cette campagne électorale me donne amplement raison. Comment un tel personnage qui manque totalement de profondeur, de hauteur et de capacité de réflexion pour les problèmes les plus sérieux de notre pays peut-il vraiment devenir notre Président. Déjà que le « poste » de la Première dame n’existe pas! C’est un héritage moral que nous avons constitué en institution morale qui amène un peu de douceur dans l’exercice des fonctions du Président et qui a permis d’obtenir des avancées dans des domaines où nous sommes tous d’accord, malgré nos divergences : assistance sociale, lutte contre les violences et les maladies incurables, aide à l’éducation aux plus démunies, etc.

Les premières dames sont l’essence et le ciment qui maintiennent la Nation unie pendant que les politiques s’opposent. L’histoire de notre pays a démontré leur utilité et même bien au-delà. Nos divergences ne pourront pas nous pousser à prétendre que Maman Orthense Kasa-Vubu,  Maman Marie-Antoinette Mobutu, Maman Bobi Ladawa, Maman Olive Lembe et aujourd’hui Maman Denise Nyakeru n’ont servi à rien dans ce pays. Ne m’obligez pas à vous citer : le Centre Féminin Maman Mobutu, Les écoles Canetons, La multitudes d’œuvres de Fondation Maman Olive Lembe ou encore la loi sur les violences sexuelles votées cette année ou même la Bourse Excellentia de Maman Denise Nyakeru… comme quelques exemples à peine fouillés.

Les divergences électoralistes sont tolérables à partir du moment où elles rivalisent autour des idées qui fédèrent la nation. Le populisme par contre, tue la Nation en portant des inculques à sa tête. Ce n’est pas parce que Moïse Katumbi n’aime pas sa femme au point de refuser d’en faire une Première dame que la Nation congolaise doit remettre en cause l’existence, le rôle et les réalisations de ces Grandes dames dans une Nation qui se bat encore pour rendre justice au genre féminin, toujours opprimé par le masculin réducteur. Et la tentative d’orienter cette question sur les dépenses publique aurait eu son sens si le poste de « Première dame » existait réellement et était pris en charge en tant que tel par le Trésor public.

Derière cette sortie populiste, Moïse Katumbi laisse échappé sa peur que le Congo ne lui pose des questions sur les origines de son épouse. Laquelle n’a pu se joindre à sa campagne, devenant un poids plutôt qu’un atout, pendant que les autres candidats y trouvent fierté et réconfort de s’afficher aux côtés de leurs moitiés. Et donc, si Katumbi trouve que son épouse ne mérite pas d’être Première dame de la RDC, qu’il divorce et qu’il en choisisse une qui vient réellement du Congo au lieu de pousser un débat totalement inutile et puéril qui orienterait notre pays à gommer son histoire autour de l’apport vital de ses dignes Filles dans son développement.

De ce débat, tirons un ultime exemple qui prouve qu’à ce jour, cet homme d’un esprit matois, corrupteur et surtout populiste, ne peut en aucun cas prétendre à diriger ce pays. Auquel cas, rien que pour cette réflexion machiste, les Femmes de notre pays pourront se retrouver avec un président à sa tête qui estimera alors que le rôle des Grandes dames serait celui de lui servir son café.

Le Fondé.
Litsani Choukran.

 


Transfuge de Young Africa de Dar es Salam (Tanzanie), Fiston Mayele est parmi les trois finalistes du prix joueur interclub de la CAF, en 2023.

L’international congolais de Pyramids FC (Egypte) dispute ce prix avec le Namibien Peter Shalulile de Mamelodi Sundowns de Pretoria et le Sud-africain Percy Tau d’Al Ahly du Caire.

Alors que le prix du meilleur joueur africain de l’année est disputé par Mohamed Salah (Liverpool), Achraf Hakimi (Paris Saint-Germain) et Victor Osimhen (Naples).

Assisat Oshoala, Barbra Banda et Thembi Kgatlana nominées pour le prestigieux trophée de la

Le lauréat de chaque catégorie est choisi à la suite des votes d'un panel composé de la Commission technique de la CAF, des professionnels des médias des associations membres, des entraîneurs en chef et capitaines des associations membres et clubs impliqués dans les phases de groupe des compétitions interclubs.

La cérémonie de récompenses aura lieu lundi 11 décembre au Palais des Congrès Movenpick de Marrakech, au Maroc.

Liste complète des nominés

Joueur de l’année

  1. Mohamed Salah (Egypte, Liverpool)
  2. Achraf Hakimi (Maroc, Paris Saint-Germain)
  3. Victor Osimhen (Nigeria, Napoli)

Joueuse de l’année

  1. Asisat Oshoala (Nigeria, Barcelona)
  2. Thembi Kgatlana (Afrique du Sud, Racing Louisville)
  3. Barbara Banda (Zambie, Shanghai Shengli)

Joueur interclubs de l’année

  1. Fiston Mayele (DR Congo, Pyramids)
  2. Peter Shalulile (Namibie, Mamelodi Sundowns)
  3. Percy Tau (Afrique du Sud, Al Ahly)

Joueuse interclubs de l’année

  1. Refilwe Tholakele (Botswana, Mamelodi Sundowns)
  2. Fatima Tagnaout (Maroc, AS FAR)
  3. Lebohang Ramalepe (Afrique du Sud, Mamelodi Sundowns)

Entraineur de l’Année (Hommes)

  1. Abdelhak Benchika (Algerie, Simba SC)
  2. Walid Regragui (Maroc)
  3. Aliou Cisse (Sénégal)

Entraineur de l’année (Femmes)

  1. Reynald Pedros (Maroc)
  2. Desiree Ellis (Afrique du Sud)
  3. Jerry Tshabalala (Afrique du Sud, Mamelodi Sundowns)

Gardien de but de l’année

  1. André Onana (Cameroun, Manchester United)
  2. Mohamed El Shenawy (Egypte, Al Ahly)
  3. Yassine Bounou (Maroc, Al Hilal)

Gardienne de but de l’année

  1. Khadija Er-Rmichi (Maroc, AS FAR)
  2. Chiamaka Nnadozie (Nigeria, Paris FC)
  3. Andile Dlamini (Afrique du Sud, Mamelodi Sundowns)

Jeune joueur de l’année

  1. Abdessamad Ezzalzouli (Maroc, Real Betis)
  2. Lamine Camara (Sénégal, Metz)
  3. Amara Diouf (Sénégal, Metz)

Jeune joueuse de l’année

  1. Comfort Yeboah (Ghana, Ampem Darkoa)
  2. Nesryne El Chad (Maroc, Lille)
  3. Deborah Abiodun (Nigeria, Pittsburgh Panthers)

Equipe nationale de l’année (Hommes)

  1. Gambie
  2. Maroc
  3. Sénégal

Equipe nationale de l’année (Femmes)

  1. Maroc
  2. Nigeria
  3. Afrique du Sud

Club de l’année (Hommes)

  1. Al Ahly (Egypte)
  2. Wydad Athletic Club (Maroc)
  3. Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud)

Club de l’Année (Femmes)

  1. AS FAR (Maroc)
  2. Sporting Casablanca (Maroc)
  3. Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud)

radiookapi.net/CC



Les Léopards dames de la RDC sont qualifiées, mardi 5 décembre, à la CAN 2024, après leur victoire face aux Zalang National de la Guinée Equatoriale, en match-retour, disputé au stade des Martyrs.

Menées au score dès la 45 e minute de jeu, les Congolaises ont mis les pied sur le ballon pour faire leur retard.

La Guinée Equatoriale a ouvert grâce au joueur Helena Obono.

Et les 22 actrices ont été renvoyées aux vestiaires sur cette avance équatoguinéene.

Au retour de la pause, les pouliches de l’entraineur Papy Kimoto ont egalise à la 54e minute de jeu par le truchement de la joueuse Merveille Kajinga qui a réussi à battre la gardienne équatoguinéene d’une tête millimétrée.

Après ce but égalisateur, les Congolaises ont pris la commande du match avec des actions décisives.

Elles ont marqué le but de la victoire par Ruth Kipoyi à la 75e minute de jeu et joueront la CAN, après 11 ans d'absence.

Au match-aller, disputé vendredi dernier à Malabo, les Equato-Guinéennes et les Congolaises avaient fait un match nul d’un but partout.

Avant cette étape, les Congolaises avaient éliminé les Béninoises.

radiookapi.net/CC

 
 


À travers une ordonnance présidentielle lue à la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC), le chef de l'État Félix Tshisekedi a, ce mardi 5 décembre, nommé pour un deuxième mandat de six (6) ans, Adler Kisula Betika, comme secrétaire exécutif de la Cellule Nationale des Renseignements Financiers (CENAREF). 

Hormis Adler Kisula, Félix Tshisekedi a également renouvelé sa confiance à la secrétaire exécutive adjointe de cette structure après son mandat élogieux. De son côté, le patron de la CENAREF dit être déterminé à doubler les prouesses et réalisations de son premier mandat trois (3) durant, caractérisé par une gestion hors pair. À l'en croire, c'est un nouveau mandat qui commence et le compte est remis à zéro.

Placée sous l’autorité du Ministre des Finances, la CENAREF est l’entité congolaise chargée du renseignement financier. Sa mission principale est de favoriser le développement d’une économie saine et de réguler plus efficacement les activités économiques en luttant contre les circuits financiers clandestins, le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.

Ben Dongoko 

 



Le président de la République sortant et candidat n°20 à la présidentielle de décembre 2023, s'est livré à un jeu de question réponse, dans le cadre d'une émission sur la campagne électorale initiée par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication-CSAC-, ce mardi 05 décembre 2023, sur le plateau de la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC).

D'après nos sources, le 12 ème candidat à la présidentielle sur les 26 a devant nos confrères présenté son programme quinquennal une fois réélu à la tête de la République démocratique du Congo.La date de la diffusion de cette émission n'est pas encore connue du public.

Il convient de rappeler que le CSAC a organisé le vendredi 10 novembre à Kinshasa dernier, à l’hôtel Kempesky, le tirage au sort pour le calendrier des enregistrements et des diffusions des émissions des candidats président de la République.

Le CSAC accordera 90 minutes à chaque candidat président ou à son représentant pour expliquer sa vision de gouvernance du pays autour de 7 thématiques suivantes :

Politique nationale, administration territoriale et réformes institutionnelles ;Justice et Droits humains ; Sécurité nationale, cohabitation intercommunautaire et stabilité sociale; Stratégies économiques, développement industriel, scientifique et technologique ; Défis environnementaux et développement durable ;

Diplomatie et rayonnement international de la RDC ;

Promotion de la femme et de la jeunesse.

Douze journalistes de plusieurs médias ont été sélectionnés pour cet exercice.

Serge Mavungu 

 


L’opération de vérification et validation des noms et photos des candidats ainsi que les logos des partis et regroupements politiques a débuté, mardi 5 décembre, à la Maison des élections à Kinshasa.

A travers cette opération de deux jours, la CENI veut permettre au candidat ou mandataire d’un parti politique de vérifier la véracité du dossier retenu.

Cette institution d’appui à la démocratie se propose également de renforcer la transparence lors des scrutins combinés du 20 décembre.

Ils ont été des dizaines de candidats ou mandataires trouvés à la maison des élections ce mardi sous une pluie battante. Chacun est orienté vers un préposé pour la consultation. Et après vérification, le candidat ou le mandataire valide les noms, la photo ou le logo de sa formation politique.

En cas d’erreur, une fiche lui est remise dans l’immédiat pour correction.

« Il y a eu quelques erreurs matérielles et on a tout fait pour corriger cela, par ce qu’il y a des gens qui sont ici, on leur a attribué des noms qui ne sont les leurs, par exemple tu t’appelles Kazadi, mais on écrit Kazala. Ce sont des erreurs là qu’il faut vraiment corriger. Il y a une fiche là qu’on a nous remise, si vous avez un problème de photo, vous écrivez ce problème de photo et vous donnez une photo qu’on va changer. Concernant les noms, ils corrigent le nom, sur la fiche vous écrivez le vrai nom et à côté vous allez mettre le nom là qu’on vous a attribué», a rapporté le mandataire du regroupement ARDEV-A.

Cette initiative est saluée par la majorité des acteurs interrogés. Car selon eux, cette opération leur permet de se rassurer qu’ils soient bien identifiés par leurs électeurs le jour de vote.

« Nous sommes très contents pour cette initiative de la CENI, voilà qu’aujourd’hui on nous appelle pour vérifier si les photos sont bien imprimées, si le nom, post-nom, bref l’identité du candidat est bien reprise, c’est très intéressant, ça nous prouve que la CENI est en train de faire des innovations pour améliorer la qualité des élections. Par ce qu’il y a de certaines photos qui pouvaient être mal imprimées pour le candidat, mais le candidat va corriger pour que ses électeurs puissent bien l’identifier », a ajouté le mandataire du regroupement ARDEV-A.

 Cependant, certains candidats ou mandataires se plaignent du fait que cette opération de courte durée a été annoncée la veille alors qu’elle demande plus de concentration et de préparation.

radiookapi.net/CC

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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