Grand favori de ce huitième de finale de la CAN 2022, le Sénégal a assumé son statut face au Cap-Vert mardi 25 janvier à Bassoufam, au Cameroun, en s'imposant sur le score de deux buts à zéro (2-0). Mais que ce fut long à se dessiner !
Comme depuis le début de la compétitions, les Sénégalais ont eu du mal à se montrer dangereux en début de match, si ce n'est par Sadio Mané, qui a trouvé le poteau après quelques secondes de jeu.
Pourtant, le Cap-Vert est rapidement réduit à 10 contre 11 après l'expulsion de Patrick Andrade (21e), après un mauvais tacle sur Pape Gueye. Mais cela ne suffit pas aux Sénégalais pour faire le jeu et prendre l'avantage avant la pause.
Au retour des vestiaires, le gardien capverdien Vozinha est exclu après un choc tête contre tête avec Sadio Mané en dehors de la surface (57e). Le Sénégal évolue alors à 11 contre 9.
Le buteur des Reds marque peu après pour donner l'avantage aux Lions de la Teranga (1-0, 63e), mais doit abandonner ses compatriotes, toujours sonné après ce choc. Les Sénégalais maîtrisent la fin de rencontre mais ne doublent la mise que dans le temps additionnel, par Bamba Dieng (2-0, 90e+2). Suffisant toutefois pour se qualifier pour les quarts de finale de la CAN 2022.
A noter que le Sénégal qui monte en puissance n'a pas encaissé des buts depuis le début de la compétition.
La Gambie est l'une des sensations de cette Can-2022 et réalise un nouvel exploit. Après une excellente phase de poules, les Scorpions, qui vivent leur première Coupe d'Afrique, se sont qualifiés pour les quarts de finale en battant, lundi 24 janvier, la Guinée pourtant favorite sur papier (0-1).
Le même lundi 24 janvier, le Cameroun, sans convaincre, a remporté son huitième de finale face aux Comores (2-1) malgré la résistance héroïque de ces derniers dans ce match qu'ils ont disputé sans gardien de métier dans les buts.
France24/CC
Félix Tshisekedi est devenu officiellement le 5e président de la RDC le 24 janvier 2019. A 55 ans, il prêtait serment au Palais de la nation en présence de son prédécesseur Joseph Kabila et du feu le président de la Cour constitutionnelle Benoit Lwamba.
L’évènement est historique parce qu’il s’agissait de la première passation pacifique du pouvoir en RDC en dépit des accusations des fraudes électorales.
« Le Tout puissant Mazembe s'insurge contre le mode opératoire adopté dans la gestion de l'équipe nationale de la RDC. Des convocations directement transmises aux joueurs sans en informer le club ! Drôle de méthode qu’on ne connaissait pas jusqu’ici », déplore dimanche 23 janvier Héritier Yindula, directeur de la communication du club lushois.
Ce communiqué est diffusé alors que les Léopards de la RDC entament leur deuxième stage à Bahreïn pour préparer le match de barrage des éliminatoires de la Coupe du monde 2022. Les joueurs de TP Mazembe sélectionnés et l'entraîneur des gardiens, Robert Kidiaba, devraient quitter Lubumbashi le lundi 24 janvier.
« Pour le fameux stage au Bahreïn, seuls les sélectionnés savaient qu'ils y prendraient part alors que le club ignorait un quelconque voyage de ses joueurs ! Quelle manière de faire chez la coordination de l'équipe nationale ! Le TPM est en droit de s'y opposer. Et demain, on criera et on attaquera la position logique du club », a regretté Héritier Yindula.
Ce dernier s’attaque directement à la Fédération congolaise de football association (FECOFA) :
« Comment admettre que les personnes chargées de cette tâche à la FECOFA sont par ailleurs celles qui ont planifié, aidé en logistique et mis en place la fuite de certains de nos joueurs vers d'autres horizons ? Un comportement d’agent de joueur totalement incompatible avec une responsabilité fédérale. Et donc inacceptable ! ».
Le deuxième stage des Léopards de la RDC débute ce dimanche 23 janvier à Bahreïn. Ce stage de dix jours va permettre aux fauves congolais de préparer la double confrontation, pour la phase des barrages des éliminatoires de la Coupe du monde Qatar 2022 - zone Afrique.
Un premier groupe de la délégation congolaise a quitté Kinshasa dans la nuit de samedi à dimanche.
radiookapi.net/CC
Le match des 8e de finale joué dimanche 23 janvier à Limbe a connu un pléthore de rebondissements, 14 cartons, des arrêts de jeu sur blessure, des erreurs techniques mais un engagement de tous les instants. Ce huitième de finale a donné lieu à une rencontre d'une remarquable intensité. 1-1 au terme du temps réglementaire, le Burkina Faso s'en sort aux tirs au but après avoir longtemps butté sur Amonome (7-6).
La Tunisie l'emporte 1 à 0 dans l'autre match des 8e de finale du jour à Garoua face au Nigeria et rejoint le Burkina Faso en quart de finale ! Partie parfaitement maîtrisée par les Tunisiens qui n'ont pas été flamboyants mais qui ont su éteindre tactiquement les Super Eagles qui faisaient pourtant partie des favoris après leur sans faute en phase de groupe.
CC
La Confédération africaine de football a procédé samedi 22 janvier à Douala au tirage au sort des barrages pour la qualification à la Coupe du monde 2022 au Qatar. La RDC affrontera le Maroc.
Initialement prévu en décembre dernier, ce tirage au sort des matches de barrage pour la qualification à la Coupe du monde s’est finalement déroulé ce samedi à Douala en marge de la Coupe d’Afrique des nations. Le Togolais Emmanuel Adebayor et le Sénégalais El-Hadji Diouf ont fait le déplacement pour procéder au tirage.
Dix équipes sont toujours en lice pour la qualification suite au deuxième tour. Les équipes étaient réparties en deux pots en fonction de leur classement Fifa. Dans le pot 1, on retrouvait le Sénégal, l’Algérie, le Nigeria, le Maroc et la Tunisie. Dans le deuxième pot figuraient l’Egypte, le Cameroun, le Ghana, la RD Congo et le Mali.
Après sa non-qualification pour la CAN, les Léopards du Congo, coachés par Hector Cuper, sont toujours en lice pour aller au Qatar. Ils feront face aux Marocains entraînés par Vahid Halilodzic et qui comptent bien participer à leur deuxième Coupe du monde consécutive après celle de 2018. Les Congolais, eux, non plus pris part à un mondial depuis 1974 et l’unique participation de leur histoire.
Et pour accéder à cette participation là, le hasard a fait que les fauves congolais avait battu, un certain 9 décembre 1973, les lions de l'Atlas à Kinshasa sur le score de 3-0. Au terme d'un match historique dans la capitale congolaise (alors zaïroise), les Léopards étaient devenus la première sélection sub-saharienne à se qualifier pour une phase finale de Coupe du Monde de la FIFA, édition 1974 en R.F.A. L'histoire va-t-elle se répéter ? C'est le souhait de tous les Congolais.
Les rencontres du barrage se dérouleront sur le format des matches aller-retour. L’équipe qui l’emportera sur l’ensemble des deux matches validera son ticket pour la Coupe du monde au Qatar.
Voici les rencontres validées après le tirage au sort:
Egypte-Sénégal
Cameroun-Algérie
Ghana-Nigeria
RD Congo-Maroc
Mali-Tunisie
Ali Kalonga (avec RFI)
L'OM confirme sa bonne forme à l'extérieur. 5e victoire de suite hors de ses bases et sans prendre de but pour l'OM, qui conforte sa place sur le podium. Face à des Lensois trop naïfs, les Marseillais ont dominé cette rencontre grâce à Payet et Bakambu, buteur sur son 3e ballon. Les Sang et Or n'ont pas converti leur seul temps fort du match.
Buteur avec sa nouvelle équipe deux petites minutes après son entrée en jeu dans ce Lens - OM, Cédric Bakambu avait le sourire au moment de répondre aux questions. "Je suis content d'avoir eu cette opportunité d'être décisif. Mais je tenais avant tout à saluer le travail de l'équipe. On a été bons de la première à la dernière minute de jeu. Et quand l'équipe marche bien et que les attaquants ont des ballons c'est plus facile de marquer."
l'équipe/Valentin Naturel/CC
Depuis sa construction en 1964, le Complexe Omnisports Kibassa Maliba qui héberge l’emblématique Stade dans la commune de la Kenya à Lubumbashi, n’a jamais eu d’identité visuelle. Mais désormais, c’est chose faite.
Ayant constaté qu’il manquait depuis sa création, un « logo » au Stade Kibassa Maliba, le nouveau comité de gestion de ce Complexe Omnisports, a résolu de lui conférer un symbole de référence comme marque d’identité.
Ce faisant, la nouvelle équipe d’administration nommée il y a peu par le Ministre des Sports Serge Chembo Nkonde, a décidé d’octroyer à ce bien public un « logo » de référence propre. Cette identité visuelle s’inscrit dans le cadre de marketing et commercialisation de l’image de cet encre de football.
D’une capacité d’accueil évaluée à 35.000 places, le Complexe Omnisports Frédéric Kibassa Maliba a été construit en 1964. Au passage, il a connu plusieurs appellations, notamment: Stade Albert de 1965 à 1972, Stade Mobutu de 1972 à 1997, Stade de la Kenya de 1997 à 2007, et de 2007 à nos jours Stade Frédéric Kibassa Maliba.
Il sied de noter que, le nouveau comité de gestion du Complexe Omnisports Frédéric Kibassa Maliba, a été nommé par le Ministre des sports le mardi 11 janvier 2022. Cette nouvelle administration a comme Administrateur Gestionnaire Jean Gaspard Mwazaz Mutomb, Administrateur Gestionnaire Adjoint chargé de l’administration Marcel Ngoie Mande; Administrateur Gestionnaire Adjoint chargé des finances Joe Kasongo; Administrateur Gestionnaire Adjoint chargé des questions juridiques, marketing et commerciales Samy Sidis; Administrateur Gestionnaire Adjoint chargé de la maintenance et exploitation Thierry Mutombo Kaloko; ainsi que Patrick Kamwanga Mwadianvita pour les questions sécuritaires.