Reçu le mercredi 30 août 2023 par le directeur national des Jeux de la Francophonie, Isidore Kwandja, l’artiste congolais Koffi Olomide a salué les efforts fournis par le comité d’organisation pour assurer « le succès » de la 9è édition de cet événement.
À cette occasion, le patron du groupe Quartier Latin international a exprimé son engagement envers la jeunesse congolaise, en offrant son soutien et sa participation active aux initiatives visant à promouvoir le développement de la jeunesse à travers les Jeux de la Francophonie.
« En tant qu’ambassadeur de la culture congolaise, j’avais l’obligation de venir féliciter le Comité dirigé par M. Isidore Kwandja pour le succès enregistré par le pays à travers cette édition des IXes Jeux de la Francophonie », a affirmé Koffi Olomidé.
Cette offre de soutien de la part de Koffi Olomidé pour le projet en faveur de la jeunesse a été chaleureusement accueillie par le directeur national des Jeux.
« C’est un honneur pour moi de recevoir le plus grand artiste musicien de notre pays qui a toujours porté haut le drapeau de la RDC. Nous allons travailler ensemble pour vulgariser ce grand investissement fait par le Gouvernement au profit de la jeunesse congolaise », a souligné I. Kwandja.
Les IXes Jeux de la Francophonie ont été organisés à Kinshasa du 28 juillet au 6 août dernier.
7sur7.cd/CC
La guéguerre entre Mike Kalambay et Penielle Nsamba vient de laisser place à la restauration du cadre parental. Dans une vidéo apparue sur le compte Instagram de la mère de Shaddaï et Sion, l’influenceuse revient sur le jour sombre de sa relation avec le pasteur Mike Kalambay et demande pardon pour ses agissements. Pour lui, son ex mari est un serviteur de Dieu et donc, soumis au seul jugement de l’Éternel.
« Je voudrai présenter toute mes excuses au Pasteur Mike Kalambay, parce que avant d’être le père de mes enfants, avant d’être mon mari, c’est d’abord un serviteur de Dieu. Lorsque je me suis redonné au seigneur, je me suis rendu compte que qui suis-je pour juger son serviteur, qui suis-je pour juger ses serviteurs? Dieu fait grace à qui il veut. Et ce n’est pas à moi Penielle de déterminer ce que chaque personne devrait obtenir à cause de ses agissement. », a-t-elle déclarée.
La sortie médiatique de Penielle Nsamba jette les bases d’une réconciliation du couple. Mariés en 2010, les deux personnalités publiques de la RDC avaient divorcés en 2021 sur demande de la femme.
Actu RDC/CC
Les langues se sont déliées et beaucoup ont commenté la sortie médiatique de Monseigneur Donatien Nshole, ‘’chapelain de sa sainteté’’, en rapport avec le processus électoral. D’aucuns ont été choqués et stupéfiés d’apprendre que ce prélat catholique de cette stature, plus de trois mois après la présentation des conclusions de l’audit externe du fichier électoral, n’a jamais pris la peine de lire personnellement, ce document qui contient un certain nombre de suggestions et recommandations, pourtant, il s’empresse d’attaquer le rapport de l’audit externe du fichier électoral, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), son Président ainsi que tout le travail qui a été exécuté à ce jour.
Oui, face à cet acharnement, cette ignorance de Monseigneur Donatien Nshole Chapelain de sa sainteté, il y a de quoi s’interroger au regard de la position de la CENCO qui, au lieu de jouer pleinement son rôle d’observateur, malheureusement, détourne, pire, désoriente des congolais qui ne jurent qu’à dialoguer devant les urnes le 20 décembre 2023, date des élections présidentielle, législatives, provinciales, municipales et locales. Le SG de la CENCO, Monseigneur Donatien Nshole, lors de son passage lundi sur les ondes de Top Congo, a commenté sur le rejet par la Commission Electorale Nationale Indépendante de la proposition d’un nouvel audit du fichier électoral par cette institution catholique en collaboration avec l’église protestante. D’après lui, cela pourra élaguer les suspicions autour du fichier électoral. Cela vaut-il vraiment la peine? Mystère.
Opposition de six confessions religieuses
Le 10 août 2023, six confessions religieuses se sont opposées à la demande de la CENCO-ECC sur un nouvel audit du fichier électoral en RDC. Pour ce groupe, ‘’la CENCO et l’ECC ont un agenda caché’’. Le prophète Dodo Kamba, président de la plateforme regroupant l’Eglise de Réveil, Kimbanguiste, Orthodoxe, Armée du Salut, les Musulmans, Liloba et Ba Ngunza estime que la CENCO et l’ECC ‘’veulent bafouer ce qui a été déjà fait’’. Les bons catholiques et les bons protestants ont été appelés à ne pas suivre la démarche de la CENCO et de l’ECC. Comme l’a si bien dit l’un des analystes politiques patentés de la République démocratique du Congo, José NAWEJ dans son éditorial de ce mercredi 30 août 2023, « les propos de Monseigneur Donatien Nshole sur le processus électoral ne sont pas parole d’Evangile. Il y a à boire et à manger. Il n’y a donc pas lieu de dire Amen ». Méfiez-vous !
Pour un prélat catholique, il est impensable que Monseigneur Donatien Nshole sollicite un nouvel audit externe du Fichier électoral sans lire au préalable le rapport soumis par la mission d’experts internationaux. C’est inconcevable ! C’est vrai. Il est évident que l’Eglise est restée nostalgique de son pouvoir et rôle joué à l’époque coloniale léopoldienne qu’elle ne compte pas perdre visiblement, encore moins se distancer aujourd’hui. La CENCO a à se reprocher aujourd’hui par rapport à sa mission prophétique. Laquelle mission ne doit pas consister à diviser les congolais selon leurs tribus et à les dresser les unes contre les autres comme c’est le cas aujourd’hui en cherchant à créer une certaine animosité ou une fixation contre l’une des tribus de la RDC qu’est la tribu ‘’Luba’’. Dire que ‘’la CENI prépare le lit d’un environnement fertile pour une révolution qu’il n’attendra qu’un leader courageux parce que le terrain serait déjà propice’’, c’est ouvrir la brèche d’une tentative d’un coup d’état. L’Eglise doit condamner de tels propos.
La CENCO doit être cet instrument de la paix, là où il y a la haine, qu’elle puisse mettre l’amour, là où il y a l’offense, qu’elle puisse mettre le pardon, là où il y a la discorde, qu’elle puisse mettre l’union. Voilà, la prière de Saint François d’Assise.
Monseigneur Donatien Nshole, Chapelain de sa sainteté, doit d’abord lire les conclusions du rapport de l’audit du fichier électoral avant de les critiquer. Tel devait être le premier réflexe de l’une des intelligences de la RDC.
Chronique de Godefroid Makale, analyste indépendant
A partir de ce 1er septembre 2023, les ressortissants de la République démocratique du Congo n’auront plus besoin de se procurer le visa pour se rendre au Kenya.
L’information a été signifiée aux missions kenyanes à l’étranger ainsi qu’à tous les responsables des posts frontaliers depuis le 25 août.
« Le gouvernement du Kenya a retiré la République démocratique du Congo de la Catégorie 2 à Catégorie 1 de la réglementation des visas conformément aux réglementations de la Communauté d’Afrique de l'Est sur la libre circulation des personnes à l’intérieur du territoire des Etats membres », lit-on dans une correspondance de la directrice générale des migrations kenyanes, Evelyn Cheluget.
Et de poursuivre : « A cet égard, le Kenya a renoncé aux exigences de visa pour tous les ressortissants de la République Démocratique du Congo avec effet au 1er septembre 2023. Vous êtes tenus de porter cette information à la connaissance de tous les agents qui travaillent sous vos ordres ».
Notons que cette mesure fait suite à l’adhésion de la RDC à la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) dont elle est membre officiellement depuis le 11 juillet 2022. Dans cette communauté qui contient 7 pays, le visa n’est pas exigé aux citoyens pour des courts séjours.
Bienfait Luganywa
Mercredi dernier, la ville de Goma a été témoin d'une violence effrénée qui a coûté la vie à 43 personnes et blessé 56 autres. La cause de cette agitation : une manifestation contre la MONUSCO orchestrée par la secte mystico-religieuse « La Foi Naturelle Judaïque Messianique vers les Nations ».
Le gouverneur du Nord-Kivu, Constant Ndima Kongba, s'est exprimé sur ACTUALITE.CD, relatant les événements tragiques : « Depuis la matinée d'hier, je parcours la ville. Ce que j'ai vu, conjointement avec le médecin, et consigné à la morgue du Camp Katindo à l'hôpital militaire, c'était 6 morts initialement. Toutefois, le bilan s'est rapidement aggravé. »
Le groupe à l'origine des troubles est apparu il y a quelques mois seulement, explique le gouverneur. Sous la houlette d'un certain Ephraim Bisimwa, qui se proclame prophète et originaire du Sud-Kivu, cette secte a déjà paralysé la ville à plusieurs reprises. La tension est montée d'un cran cette semaine lorsqu'ils ont formulé des revendications radicales, notamment le départ de la MONUSCO, l'éviction des Occidentaux et de leurs ONG, et le retrait des forces de l'EAC.
Selon le gouverneur, les forces de l'ordre étaient sur leurs gardes : « Nous surveillions leurs mouvements depuis longtemps. Cette fois, ils se sont rassemblés, plus déterminés que jamais. » Tout a basculé lorsque la police, dans une tentative de contenir la foule, a vu l'un de ses membres capturé, emmené et tragiquement tué par la secte.
La situation a dégénéré lorsque des coups de feu ont retenti, ajoute Constant Ndima. « La manifestation, que nous avions espéré pacifique, a viré au cauchemar », ajoute le gouverneur. Face à la dégradation rapide de la situation, l'armée a été contrainte d'intervenir, suspectant une menace encore plus grande.
La nature violente et imprévisible de cette secte a été soulignée par le maire de Goma, qui avait en amont interdit cette marche. Ces événements tragiques mettent en lumière la nécessité d'une vigilance accrue face à des groupes extrémistes pouvant mettre en danger la sécurité publique.
La situation à Goma reste tendue, et les forces de l'ordre restent en alerte maximale pour prévenir tout autre débordement.
Selon Thomas Fessy, chercheur principal sur la RD Congo à Human Rights Watch, les forces militaires congolaises auraient usé de manière "brutale et illégale" de la force pour empêcher cette manifestation, renforçant un comportement observé depuis deux ans où l'état de siège dans la province du Nord-Kivu sert de prétexte pour réprimer brutalement les libertés fondamentales. L'organisation appelle les autorités à permettre aux familles d'accéder aux victimes et exige la suspension, l'enquête et la mise en jugement public et équitable des hauts responsables militaires impliqués.
actualite.cd/CC
"Il n'existe aucune duplicité à la tête du Conseil d'administration de la Société Congolaise des Droits d’Auteur et des Droits voisins, (SOCODA)", tels sont les propos des agents de cette structure des droits d'auteur. Ces derniers décident d’apporter leur soutien à Jossart Nyoka Longo M'vula, le seul Président du Conseil d’Administration légalement reconnu.
Ces agents qui ont préféré s'exprimer sous le sceau de l’anonymat ont brandi un document juridique, une façon pour eux d'étayer leur thèse.
"Nous rassurons l’opinion, nos sociétaires et nos partenaires que la SOCODA fonctionne normalement. Le procureur général près de la Cour constitutionnelle, Jean-Paul Mukolo Nkokesha vient même de prendre acte de la transmission de l’arrêt sous RCA 39.022, annulant définitivement l’Assemblée générale ordinaire du 09 février 2023 qui avait porté en son temps Blaise Bula à la tête de la SOCODA. Il a, d'ailleurs, à travers une correspondance, invité toutes les sociétés de s’acquitter de leurs redevances", ont-ils éclairé la lanterne de l'opinion.
Pour rappel, se fiant à un arrêt exécutoire RCA 39.022 du 24 avril 2023 de la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe reconnaissant le Conseil d’administration dirigé par Jossart Nyoka Longo M'vula dans ses fonctions de PCA,
la Fédération des Entreprises du Congo (FEC) a, à travers une correspondance dont une copie est parvenue à la rédaction d'opinion-info.cd, informé ses membres que, seul le Conseil d’administration Nyoka Longo doit engager la SOCODA.
Serge Mavungu
Gally Garvey est la star de la nouvelle génération musicale congolaise. Avec sa voix mélodieuse et son style unique, cette étoile montante du monde urbain et roumba est le fruit d’un contact sans précédent avec les œuvres de l’élite musicale du pays de Lumumba. Le jeune serait donc monté sur les épaules de ses aînés pour enfin trouver son chemin.
Garvey est le résultat d’un mélange entre Ipupa, Gola et plein d’autres grands noms de la musique congolaise. Pour lui, ce choix de s’inspirer des aînés est la conséquence de son amour et de son attachement sans faille à la musique. Trop jeune, le garçon grandi à Kinshasa mourait déjà d’envie de marcher sur les pas des géants.
« J’aime chanter et du coup j’écoutais énormément d’artistes, comme par exemple Fally Ipupa, Ferre Gola, Koffi Olomide quand j’étais jeune », déclarait t-il.
Gally Garvey peut aujourd’hui se venter d’avoir eu une collaboration avec Koffi Olomide et une autre avec Héritier Wata. Jeune et talentueux, Garvey est actuellement le chouchou de la jeunesse et une inspiration pour les jeunes musiciens congolais.
Actu RDC/CC
Parents d’une magnifique fille, Innoss’b et Rebo Tchulo sont unis pour la vie. Les deux tourtereaux ne cessent d’augmenter la flamme de leur amour après plusieurs mois de vie commune. Une chose est sûre, « Innoss’b et Rebo Tchulo, c’est pour la vie ».
Innoss’b reste un fan de la famille malgré son succès mondial. Dans une vidéo apparue sur les réseaux sociaux, on peut facilement voir le chef de la famille défendre sa femme face aux critiques d’internautes. Face aux cris des gens qui crient en disant « la Maman… », le Jeune leader leurs a répondu : « La maman selon le cœur du peuple ».
D’après plusieurs constats, Innoss’b et Rebo Tchulo seraient mariés dans la discrétion la plus totale. Des sources sûres indiquent que la bague de mariage sur le doigt de la dulcinée du natif de Goma a été mise le jour de ce grand rendez-vous d’heureux souvenirs.
Actu RDC/CC