L'artiste musicien congolais, Innoss'b, a apporté un grand soutien à Félix Wazekwa, pour son méga concert prévu le samedi 1er juin 2024, à Adidas Arena, situé à la porte de chapelle à Paris, en France.

Celui qu'on appelle affectueusement "Le Jeune Leader" a exhorté ses fans communément appelés "Les Tigres" à assiéger cette nouvelle salle de l'Hexago.

"On sera tous là le 1er Juin, pour le Monstre d’Amour, l’homme au spectacle, Félix Wazekwa", a-t-il déclaré.

Il est à noter que Fabregas, Hugues But na Filet et Ibrator Mpiana ont apporté aussi leur soutien au patron de Cultur'a Pays-vie.

Félix Wazekwa va relever le défi de cette nouvelle salle européenne, et pourrait certainement devenir le deuxième chanteur congolais et africain à y prester, après le double concert de Ferré Gola, déroulé le samedi 20 et le dimanche 21 avril dernier.

Construite dans le cadre des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, l’Adidas Arena promeut les valeurs d’inclusivité, de création, d’hybridation. Ce lieu sera le vecteur de transformation de tout un quartier, et portera haut les couleurs de l’art de vivre urbain.

Avec 9.000 places en configuration basket, la grande salle est, depuis février 2024, la nouvelle résidence du Paris Basketball.

Au-delà de l’Arena et directement relié à elle, le complexe disposera d’un véritable lieu de vie de plus de 3.000 m2, accueillant des activités de restauration, d’animations sportives et événementielles, des pop-up stores,… ouverts à tous, toute l’année !

Un lieu de vie dynamique, engagé dans un véritable programme d’excellence environnementale, sera le nouveau cœur battant du Grand Paris, et un catalyseur de talents qui vibrera au rythme des rencontres du Paris Basketball.

De l'autre côté, la SEG Geneva Arena est une arène couverte à Genève, en Suisse. Faisant partie du complexe Palexpo, il a ouvert ses portes en 1995 et accueille actuellement 9.500 spectateurs et des concerts, et des événements sportifs en salle, comme le tennis et le basket-ball.

Gratis Makabi

 
 


Le commissaire divisionnaire adjoint et porte-parole de la police nationale congolaise, le général Pierrot Mwanamputu, est décédé ce samedi 11 mai 2024 à Bruxelles (Belgique), des suites d'une maladie.

Il séjournait dans la capitale belge pour suivre un traitement médical.

L'information a été confirmée par un proche de la famille.

RL



Le Tout Puissant Mazembe de Lubumbashi s'est imposé largement ce samedi 11 mai 2024, à Lubumbashi, face aux dauphins noirs de Kinshasa (3-0) dans son temple de Kamalondo. 

L'AS Vita club de Kinshasa n'a résisté que 30 minutes avant de se faire prendre par Mazembe. À la 31ème, les corbeaux obtiennent un penalty. Sur une longue balle, Séraphin KALONJI, défenseur de Mazembe, se fait tromper, et Joël Beya, en avance, se fait faucher dans la surface. C'est le portier des Corbeaux, Faty Badera qui va transformer ce pénalty pour l'ouverture du score. 

En deuxième période, Ernest Luzolo, à la 58ème minute, va décrocher  une lourde frappe qui va finir dans le filet du gardien des moscovites, deuxième réalisation des poulains de Mamadou Lamine Ndiaye. 

Profitant de la mauvaise sortie de Ouedraogo Soufiane, portier de Vita club, Ibrahima Keïta va marquer le troisième des corbeaux. 

Avec cette nouvelle victoire, le Tout Puissant Mazembe reste en tête du classement avec 23 points avec un match de moins.

José Mukendi



L'Observatoire de la Liberté de la Presse en Afrique (OLPA), organisation de défense et de promotion de la liberté de la presse salue la libération de Blaise Mabala, journaliste à la radio Même morale FM, station privée émettant à Inongo, chef-lieu de la province de Maï-Ndombe, à l'ouest de la République démocratique du Congo (RDC). 

Blaise Mabala a quitté la prison centrale de Makala de Kinshasa, le 10 mai 2024, après son acquittement par le Tribunal de paix de Kinshasa/Gombe, depuis une semaine. 

À titre de rappel, le journaliste a été interpellé, le 29 décembre 2023 à  Inongo, sur plainte de madame Rita Bola, Gouverneure de la province de Maï Ndombe qui l'accusait de diffamation, d’injures publiques et d’outrage à l’autorité. Des accusations non fondées selon le Tribunal de paix. 

Tout en saluant cette libération du journaliste, OLPA déplore néanmoins  sa détention de près de 4 mois en violation de la législation congolaise et des instruments juridiques internationaux relatifs aux droits de l’homme.

actualite.cd/CC



Le dossier forage n’a cessé de faire couler beaucoup d’encre et de salive dans l’opinion congolaise il y a quelques jours.
La justice s’est emparée de cette affaire et a procédé à la convocation de ministre Nicolas Kazadi pour les enquêtes judiciaires afin que ce dernier fournisse en urgence les pièces justificatives de paiements et les informations sur la fixation des prix des forages.

Cette convocation a eu lieu au parquet général près la Cour de Cassation ce vendredi 10 mai 2024. Il s’agit du début d’une procédure judiciaire qui pourrait éventuellement conduire à l’inculpation des coopérants.

En effet, le dossier part d’un contrat signé entre le ministère du Développement rural et le consortium Stever Construct-Sotrad Water en avril 2021, pour l’installation de 1.000 forages et de construction de stations mobiles de traitement d’eau dans 1.000 localités à travers le territoire national, pour un coût global de 398.982.383,41 USD, soit 398.982 USD en moyenne par station.

Aucun paiement n’a été effectué jusqu’à ce que Nicolas Kazadi arrive à faire avancer le dossier, en demandant que le coût soit revu au rabais. Ce qui a été obtenu, en élargissant le nombre de livrables à 1340 forages, donc 297 000 USD l’unité, pouvait-on lire dans un document du ministère des Finances.
Réfutant les accusations de surfacturation, Nicolas Kazadi a expliqué que les paiements au prestataire avaient été approuvés sous l’administration de son prédécesseur, José Sele Yalaghuli, avec un contrat totalisant 80 millions USD divisé en cinq versements annuels. Jusqu’à présent, trois paiements totalisant 71 millions USD ont été effectués, le solde restant étant conditionné à l’achèvement complet des livraisons.
Le procureur général près la cour de cassation avait instruit le Directeur Général du bureau technique de contrôle de faire une descente sur les sites où sont érigées ces différentes stations de forages à travers le pays pour en savoir plus.
Quelques jours plus tard, il a été interdit aux ministres concernés dont le ministre d’État, le ministre du développement rural François Rubota, le ministre des Finances Nicolas Kazadi et Guy Mikulu Pombo ancien ministre du développement rural dans le gouvernement Sylvestre Ilunga Ilunkamba de sortir du territoire national.

tokia.cd/CC



En leur qualité de président du Partenariat pour la sécurité des minéraux (Mineral Security Partnership, MSP), les États-Unis et leurs partenaires du MSP se félicitent du nouveau contrat d’achat et de traitement du germanium finalisé entre la STL, une filiale de la Générale des Carrières et des Mines (Gécamines) en République démocratique du Congo (RDC), et la société belge Umicore, qui fait progresser la coopération dans ce domaine.

D’après un communiqué de presse du département d’état des USA daté du 8 mai 2024 et parvenu ce vendredi à la Rédaction de 7SUR7.CD, cette collaboration entre les partenaires du MSP et le secteur privé est une preuve puissante de la capacité du MSP à sécuriser et à diversifier les chaînes d’approvisionnement en minerais critiques, qui apportent des avantages économiques aux collectivités locales et aux pays d’origine, comme la RDC. 

« Ainsi que l’ont souligné les responsables d’Umicore et de Gécamines, cet accord soutiendra également le recyclage durable et l’économie circulaire, développera de nouvelles compétences techniques et une expertise en RDC, et renforcera le rôle de Gécamines et de la RDC en tant qu’acteur important dans le traitement des minerais critiques », indique notre source.

D’après la même source, cet accord important, conclu grâce à une étroite collaboration avec les 15 partenaires du MSP, augmente considérablement l’offre mondiale de germanium, qui est utilisé dans les semi-conducteurs, les câbles optiques, les cellules solaires et bien d’autres produits. 

Le germanium traité renforcera à terme les chaînes d’approvisionnement des marchés américain, européen et japonais.

Jephté Kitsita



L’Association congolaise des femmes de la presse écrite (ACOFEPE) a demandé, jeudi 9 mai, au Gouvernement d’élever 22 professionnels des médias assassinés à l’exercice de leur profession au rang des martyrs de la liberté de la presse.
 
Cette structure a fait cette demande au cours d’une journée portes-ouvertes et exposition photo organisées, à Kinshasa en hommage à ces journalistes assassinés en RDC entre 1994 et 2021.
 
Les organisateurs de cette journée et les orphelins des journalistes plaident également pour l’érection, dans la capitale, d’un monument mémoire de ces professionnels de la presse.
 
Des photos de ces illustres disparus ont été exposées au Centre Carter, lieu de la manifestation, dont celles de Franck Ngyke du journal La Référence plus, de Didace Namujimbo et Serge Maheshe de Radio Okapi, abattus par des hommes armés à Bukavu au Sud-Kivu, il y a plus de 15 ans.
 
Ces professionnels de la plume et du micro ont été fauchés à cause de leur engagement pour la recherche de la vérité.
 
Des souvenirs douloureux
 
Déo Mulima, rédacteur en chef du quotidien « La Référence Plus », s’est souvenu encore des derniers moments passés avec son collègue assassine, Franck Ngyke.
 
Il fustige que les enquêtes sur ce dossier n’ont jamais abouti :

« Dans la nuit du 2 novembre 2005, je suis la dernière personne qui avait parlé à Franck Ngyke. On ne peut pas comprendre, je crois que vous avez vu les photos de journalistes, tous ont été assassinés et la cause de leurs morts n’a jamais été élucidée ».
 
Les veuves, orphelins et proches-parents de ces journalistes ont aussi participé à cette cérémonie en mémoire de leurs défunts parents et époux.
 
Grace Ngyke, la fille de feu Franck Ngyke a sollicité réparation au nom de tous ces orphelins :
 
« Depuis 19 ans le silence a été la réponse à notre souffrance, mais aujourd’hui ce silence se brise. Ainsi nous demandons à l’Etat congolais, aux organisations de défense des droits humains et à vous tous de nous soutenir dans notre quête de justice. C’était de graves violations des droits de l’homme ».

Dans ce même élan de solidarité, ces enfants des journalistes et les journalistes congolais demandent au Gouvernement une reconnaissance officielle de la Nation en mémoire de leurs parents et des confrères décédés.
 
Mettre fin à l’impunité
 
Maître Kabongo, l’un des avocats des victimes, invite les autorités congolaises à mettre fin à l’impunité et à protéger les journalistes :

« Le gouvernement de la RDC en toute respectabilité ne devrait pas seulement célébrer théoriquement des journées pour la fin de l’impunité. Mais qu’il s’engage pour que la RDC se lance dans la lutte contre l’impunité ».

Les activités de plaidoyer vont se poursuivre jusqu’au 2 novembre 2024.
Les journalistes assassinés travaillaient dans les provinces de l’Equateur, du Kongo-Central, du Haut-Katanga, du Kasaï-Oriental, de l’Ituri, des deux Kivus et à Kinshasa.

radiookapi.net/CC



À Kinshasa, la question des transports en commun demeure un défi majeur pour ses habitants. Avec une population en constante croissance et des infrastructures souvent surchargées et mal entretenues, les déplacements quotidiens sont un véritable calvaire pour de nombreux Kinois. Les embouteillages monstres sont monnaie courante dans les grandes artères de la ville, transformant des trajets relativement courts en des épreuves prolongées et épuisantes.

Face à ces défis, de nombreux habitants de Kinshasa doivent jongler avec des horaires de travail perturbés, des retards et des conditions de voyage difficiles. Pour beaucoup, les trajets quotidiens sont devenus une source de stress et de frustration, impactant leur qualité de vie et leur productivité.

“ Les embouteillages à Kinshasa énervent parfois et peuvent causer de la tension artérielle, surtout que tout le monde est pressé et que personne ne veut respecter le code de la route. De fois, en arrivant au travail, il m’arrive de somnoler puisque je n’ai pas eu suffisamment le temps de dormir. Parfois encore dans les embouteillages, un chauffeur de taxi peut cogner ta voiture et cela crée encore des disputes sur la route. Il faut beaucoup d’énergie pour conduire à Kinshasa. En rentrant, les roulages qui sont censés aider à la circulation routière ne se retrouvent pas dans les endroits phares. Chacun se débrouille comme il veut. Je rentre fatigué, parfois je n’arrive pas à manger. C’est donc une routine qui est dangereuse pour certains parents car cela influe sur la santé physique et mentale ”, a affirmé avec tristesse, Thierry Kabemba, fonctionnaire de l’Etat.

Perdue quant à la solution à adopter, la population kinoise observe aussi une hausse des tarifs des courses, variant en fonction des lieux et des heures, et sans tenir compte du dernier réajustement de la circulaire tarifaire datant de mars 2023.

“ Auparavant, pour arriver en ville où je travaille, 6 000 Fc suffisaient pour mes frais de transport. Actuellement, je dépense au moins 12 000 Fc pour arriver à zando où je travaille. C’est triste parce que les chauffeurs de taxi augmentent le coût de transport selon leur propre consentement, sans tenir compte de passagers. De préférence, pour ne pas marcher à pied, je dois toujours prévoir 15 000 Fc de transport suite aux tarifs qui changent en fonction des heures et embouteillages ”, a déclaré avec mécontentement, Julie Kalubi, résidente à Mbudi dans la commune de Mont-Ngafula et vendeuse à Zando.

Cette situation complexe pousse de nombreux kinois à parcourir de longs trajets à pied aux heures de pointe, le matin aux environs de 7h, à midi entre 12h et 13h, et le soir entre 17h et 19h. Les routes réputées pour les embouteillages récurrents sont entre autres l’avenue Poids lourds à Gombe et Limete, l’avenue Nguma à Ngaliema, l’avenue de la Libération (ex 24 novembre), l’avenue du Tourisme (dit Nzela ya mayi), le boulevard Lumumba à Limete, également de De Bonhomme jusqu’à Kingasani.

Jephté Matungulu, passager du bus tronçon DGC/Zando, estime qu’il est crucial, dans le contexte congolais, de recourir à une tarification officielle pour les transports en commun pour éviter les conflits passagers et conducteurs.

“ Vivre à Kinshasa devient de plus en plus difficile. Le coût de transport augmente sans tenir compte de la loi, les infrastructures routières en mauvais état, les embouteillages qui se créent suite à l’incompréhension des conducteurs et à la légèreté des roulages sont des problèmes que nous vivons chaque jour. Parfois, je marche à pied de mon université jusqu’à 24 pour économiser le transport. Et je pense que les ajustements devraient être basés sur la circulaire officielle établissant la nouvelle grille tarifaire des transports en commun, ce qui est crucial dans le contexte congolais. Sans cela, des conflits entre chauffeurs et passagers, comme ceux observés actuellement, émergeront, avec chaque chauffeur fixant ses tarifs de façon indépendante ”, a-t-il fait savoir.

Les conducteurs expliquent pour leur part que c’est à cause de l’augmentation du prix du carburant à la pompe et les embouteillages monstres à Kinshasa qu’ils augmentent à leur tour les tarifs.

“ Nous augmentons souvent le coût de transport suite aux embouteillages qu’il y a le long de la route. Par exemple, vers 13h, le tronçon Zando/DGC s’élève à 2 500 Fc à cause des embouteillages vers l’arrêt Royal jusqu’à l’école Loupiots. Aussi, ces derniers temps, il y a pénurie de carburants, c’est un moyen pour nous de prévoir plus au cas où le prix du litre du carburant augmenterait ”, a déclaré un chauffeur de taxi-bus du tronçon DGC/Zando.

Dans un arrêté daté du 22 mars 2023, l’ex gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila avait dévoilé les tarifs des transports en commun et les trajets officiels à suivre à travers toute la ville. Les prix à payer par les passagers et les itinéraires officiels pour les bus, minibus, taxi-bus, bus "esprit de vie" et taxis collectifs avaient été rendus publics avec des directives appropriées. 

Par exemple, les tarifs pour des trajets comme celui du marché de la Liberté à Kingasani II (Pascal) et Kingasani ya suka à Kingakati ont été augmentés ont été fixés à 5 000 Fc, tandis que les tarifs jusqu'à Kinkole-commune ont été relevés à 1 000 Fc. De plus, les tarifs pour des trajets comme ceux du marché central Zando à Kingasani ya suka étaient fixés à 1 500 Fc, et ainsi de suite pour d'autres destinations spécifiques.

Il avait été également proscrit au conducteur d'opérer avec les portières et/ou le coffre ouverts, et d'autoriser les passagers à se tenir aux abords du véhicule. De plus, la pratique de sectionnement d'itinéraires, aussi connu sous les noms de “demi-terrain”, “abonnés”, “solola bien” ou “direct” avait été proscrite avec comme pénalité une amende allant de 50 $ à 100 $ à tout transporteur enfreignant les dispositions de ce règlement.

Cependant, depuis la fixation de ces tarifs en mars 2023, la donne n’est plus la même dans la vie quotidienne de la ville de KInshasa. Des routes se sont détériorées, le prix du carburant a augmenté, le taux du dollar aussi, la hausse des prix des denrées alimentaires sur le marché, etc.

Sublime Koyi, stagiaire UCC



Le 10 mai, Damso a soufflé ses 32 bougies. L’occasion de se pencher sur la carrière exceptionnelle de l’enfant de Bruxelles. En l’espace de 6 ans, le rappeur belgo-congolais s’est imposé comme l’un des piliers du rap game hexagonal.

Ses albums ont tous décroché les certifications les plus prestigieuses. « Batterie faible » est triple platine, « Ipséité » et « Lithopédion » diamant. Son dernier projet « QALF Infinity » est également diamant. Des scores astronomiques qui en disent long sur son influence.

Avec 2 Victoires de la Musique en poche, Damso détient le record de certifications avec 187 au total, dont 101 disques d’or et 53 de platine de l’artiste belge de sa génération le plus certifié. Son apport unique et ses textes ciselés lui ont permis de marquer l’histoire de l’urbain français.
 
À seulement 32 ans, le parcours de ce touche-à-tout hors pair n’en est sûrement qu’à ses prémices. L’anniversaire de Damso est l’occasion de saluer l’artiste aux multiples casquettes qu’il est devenu.
 
Miguel Jegou Mpiutu


L'artiste musicien français, Matt Pokora, et le célèbre chanteur congolais, Fally Ipupa, ont largué, ce vendredi 10 mai 2024, le single "Chez toi chez moi", sur toutes les plateformes musicales et de streaming.

Les deux artistes dévoilent un nouveau projet, plus de trois ans après la sortie de leur première collaboration, "Juste une fois", tirée de l'album "Tokos2" sorti en décembre 2020. Le clip de la chanson cumule plus de 7 millions de vues sur Youtube depuis sa mise en ligne.

Pour rappel, Fally Ipupa prépare un nouvel opus urbain, qui sera largué au courant de cette année. Plusieurs artistes de renom prendront part à ce projet, dont la superstar franco-malienne, Aya Nakamura.

Gratis Makabi

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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