Le député national Jean-Marc Kabund a été arrêté ce mardi 9 août 2022 après sa deuxième audition par le Procureur général près la Cour de Cassation. Il est placé sous mandat d'arrêt provisoire et acheminé à la prison de Makala. 

Me Henriette Bongwalanga, avocate de Kabund confirme l’arrestation de son client. Un responsable de la police dit avoir reçu l’ordre de l'acheminer à Makala.

Alors qu’il était auditionné, le nombre des jeeps de la police et des agents de l’ordre augmentait progressivement, a constaté Ivan Kasongo, reporter d’ACTUALITE.CD. 

Kabund est arrêté alors que ses immunités parlementaires n’ont pas été levées, pense-t-on. Mais un réquisitoire du PG sollicitant des poursuites et la levée de ses immunités a été adressé au bureau de l’Assemblée nationale. Cependant Kabund, invité à deux reprises pour une réunion avec le bureau Mboso afin de présenter ses moyens de défense au sujet du réquisitoire du procureur général, a décliné l’offre soulignant la nécessité de conclure son audition au parquet. Quoique le règlement intérieur demeure muette sur le refus d'un député de se présenter, l'article 90 dernier alinéa dispose qu'en dehors de la session, "le Bureau de l’Assemblée nationale statue d’office sur toute demande de levée de l’immunité parlementaire"

L’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale est poursuivi pour avoir tenu, au cours d’un point de presse, des propos qualifiés d'injurieux, de nature à alarmer la population et à porter atteinte à l’honneur dû aux institutions publiques et à la dignité du Chef de l’Etat. 

Ancien bras droit de Félix Tshisekedi, M. Kabund s’est érigé en opposant principal de ce dernier et a appelé a chassé l’actuel Chef de l’Etat du pouvoir en 2023. Il considère que Félix Tshisekedi qu’il a qualifié d’incompétant “est un danger au sommet de l’Etat”.

actualite.cd/CC



La ville de Gemena, chef-lieu de la province du Sud-Ubangi, située au Nord-Ouest de la République démocratique du Congo, souffre d'un manque d'infrastructures routières adéquates depuis sa création qui date d'il y a plus d'un siècle.

La quasi-totalité des grandes artères de cette entité congolaise est fortement délabrée. Une situation qui rend difficile la circulation aussi bien des engins roulants que des piétons dans cette partie de la République démocratique du Congo.

Reportage

Les années passent et se ressemblent pour la ville de Gemena. Voici maintenant plus d'un siècle que la ville existe en tant qu'entité, mais aucun kilomètre de route n'est asphaltée. Sur l'avenue Haut-Congo, Philippe Nzanoa, chauffeur de taxi, fait sa manœuvre sur une route poussiéreuse, en terre battue.

Ce père de famille d'une trentaine révolue fait le travail qu'il affectionne le plus malgré l'état des routes, délabrées de la manière la plus criante. Cet automobiliste, comme d'autres, lance un cri d'alarme.

« Nous avons beaucoup de difficultés en ce qui concerne les routes. Elles sont très délabrées. Ici nous sommes sur l'avenue Haut-Congo. Cette route est très dégradée. Nous demandons aux autorités de nous trouver une solution car nous avons du mal à bien circuler dans la ville. Les eaux de pluie qui ne sont pas canalisées ont détruit la route. La route est vraiment coupée. Même deux motos ne peuvent pas passer au même moment », a-t-il déploré au micro de 7SUR7.CD.

Plusieurs cas d'accident de circulation sont souvent signalés sur l'avenue Haut-Congo où les véhicules ne savent plus circuler suite à l'état de délabrement très avancé de cette route.

Pourtant, le tronçon joue un rôle important pour l'approvisionnement de la ville de Gemena en produits agricoles en provenance du secteur de Nguya dans le territoire de Gemena. C'est aussi l'une des voies d'entrée dans la ville de Gemena.

Des érosions récurrentes

Beaucoup d'artères de la ville de Gemena manquent aussi de caniveaux. Conséquence, les eaux de pluie ont du mal à être bien canalisées et débordent pour détruire des maisons d'habitation.

C'est notamment le cas des avenues Gbakombo et Tshisekedi, situées respectivement dans les communes de Gbazubu et Lac Ntumba où plusieurs maisons d'habitation sont détruites suite aux érosions liées au manque de canalisation des eaux de pluie.

Contacté par 7SUR7.CD ce lundi 08 août 2022 sur l'avenue Tshisekedi, Charles Mondulu, un habitant de la commune de Lac Ntumba, dit en être victime. Pour lui, les travaux réalisés par l'Office des voiries et drainage (OVD) pour jeter un pont afin de faciliter le passage sur ladite avenue ont quasiment occasionné des érosions qui détruisent les parcelles environnantes.

« Depuis qu'ils ont réalisé ces travaux de construction du pont, il n'y a rien de bon. Il y a beaucoup d'érosions. Les maisons d'habitation sont pénalisées. Les gens souffrent. Les eaux de pluie débordent et pénètrent dans des maisons et cassent des murs, détruisent des maisons », a-t-il décrié.

Les autorités face à leurs responsabilités

Face à cette situation, des habitants de la ville de Gemena haussent le ton pour interpeller le gouvernement provincial du Sud-Ubangi afin de trouver une solution à ce problème qui impacte négativement sur leur vécu quotidien.

« Je demande au gouverneur et toute son équipe de tout faire pour réaménager les routes. Ce pont [Ndlr : jeté sur l'avenue Tshisekedi] est important. Ça permet de relier le quartier Salongo, COMINGEM (Combinant industriel de Gemena) et le centre-ville », plaide Charles Mondulu, un des habitants de la ville.

Un financement requis

Conscient de la situation, l'Office des voiries et drainage (OVD), direction provinciale du Sud-Ubangi n'a pas manqué de réagir face au cri de détresse des habitants de la ville de Gemena concernant la dégradation de leur voirie urbaine.

« Nous reconnaissons la situation. Cependant, il se pose un problème des moyens. L'OVD ne peut rien faire sans financement. Et nous ne pouvons que travailler sur base des moyens mis à notre disposition », a déclaré en substance à 7SUR7.CD, le directeur provincial de l'OVD au Sud-Ubangi, l'ingénieur Gabriel Kiwonge

D'après le professeur Jeannot Mokili, enseignant dans plusieurs universités de la République démocratique du Congo, la ville de Gemena a été créée en 1921. C'est en cette année, expliquait-il en 2021 dans une conférence-débat animée à l'occasion du centenaire de cette entité, qu'ont eu lieu les tractations qui ont abouti à la délocalisation de l’ancien poste administratif colonial de Kalo (un village jadis dirigé par un certain Ndawo) vers le nouveau site dénommé Gemena.

César Augustin Mokano Zawa, à Gemena



Le comité directeur national de la ligue des jeunes de l'UDPS/Tshisekedi a, dans un communiqué de presse daté du 8 août 2022, dit suivre avec attention toutes les tentatives de déstabilisation de Guylain Nyembo, directeur de cabinet du chef de l’Etat, et cadre du parti présidentiel.

D'après le comité directeur de la Ligue des jeunes de l'UPDS, cette campagne est menée par des personnes non autrement identifiées dont la capacité de nuire ne franchit pas leur propre maison. 

« En effet, depuis l’élection brillante d’une UDPS à la tête de la province de Tanganyika et le décès d’un de 13 parlementaires, fondateur de notre cher parti le regretté Kyungu Wa Kumwanza, certains cadres politiques du HautKatanga vivant à Kinshasa dont le candidat aux primaires et lors des élections, démocratiques et transparentes a été battu au Tanganyika ne cessent de monter des coups bas de tout genre, tous ridicules les uns après les autres contre Monsieur Guylain Nyembo pour le détourner de son devoir qu’il est appelé à accomplir au côté du chef de l’Etat comme directeur de cabinet », lit-on dans ledit communiqué. 

Par ailleurs, la jeunesse du parti au pouvoir lance une mise en garde "sévère à ces détracteurs cachés" qui tentent de déstabiliser l’UDPS au Grand Katanga.

« Nous nous engageons dans les prochaines communications, s’ils continuent dans l’exécution de leur complot contre l’UDPS, de les citer nommément et les mettre définitivement hors d’état de nuire », renchérit le communiqué. 

Le comité directeur de la Ligue des jeunes du l'UDPS appelle le peuple Congolais à soutenir leur parti et la vision du chef de l’Etat, pour l’émergence d’un Congo pacifique, prospère et puissant au cœur de l’Afrique en général, et du Grand Katanga en particulier. 

Jephté Kitsita



La République démocratique du Congo a exporté en 2021 un volume de 31.444 Kg d’or pour une valeur de 1 milliard 268,625 millions USD, selon les données du ministère des Mines.

De ce volume de production, l’or issu de l’exploitation artisanale reste marginal et représente à peine 135 Kg contre 31.308 Kg venant de l’exploitation industrielle de la firme Kibali Gold Mines.

A noter que la production de l’or ne cesse d’augmenter pendant les 10 dernières années grâce à la relance du secteur industrielle nonobstant la baisse enregistrée pendant les 3 dernières années suite à la fermeture des sociétés du Groupe BANRO pour cas de force majeure.

Cette baisse de production de l'or se justifie également par la fraude endémique dans l’exploitation artisanale où la majeure partie est exportée par des canaux non officiels.

En 2021, la majeure partie des exportations de l’or issu de l’exploitation artisanale provient de la province du Sud-Kivu (46%), suivi de la province de Kinshasa (38%), de la Tshopo (13%) et enfin du Nord-Kivu (3%).

DESKECO/CC



Arrêtée il y a deux jours pour injures et propos diffamatoires répétés, Marie Masemi vient d'être libérée ce lundi 08 Août.

Dans une vidéo devenue virale, elle reconnait ses écarts et demande pardon à toutes les personnes qu'elle a insultées, plus particulièrement à la première dame Denise Nyakeru  qui était l'une de ses cibles préférées.

Son arrestation avait suscité beaucoup de réactions dont celle de l'Ecide, parti politique de Martin Fayulu qui l'avait d'ailleurs réclamée comme l'une de ses militantes.

Marie Masemi a aussi, dans cette vidéo, demandé aux journalistes de cesser de l'inciter à la dérive. 

Il faut noter que, dans plusieurs vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux, cette femme a tenu des propos injurieux et diffamatoires à l'endroit du Président de la République, Félix Tshisekedi, Christophe Mboso N'kodia Pwanga, président de l'Assemblée nationale ou encore vis-à-vis de la première dame Denise Nyakeru qu'elle avait, dans l'une de ses vidéos, insulté d'une manière répugnante.

Saint Yannick



Antony Blindent, secrétaire d'État des États-Unis, séjournera en RDC du 9 au 10 août. Son programme prévoit des entretiens avec des membres haut placés du gouvernement congolais et des membres de la société civile pour discuter de l’intérêt mutuel à assurer la tenue d’élections libres, inclusives et justes en 2023, en promouvant le respect des droits de l’homme et en protégeant les libertés fondamentales. Il se focalisera aussi sur la lutte contre la corruption, l’appui au commerce et aux investissements, les actions visant à faire face aux changements climatiques, l’accroissement de la résilience agricole, et il appuiera les efforts africains régionaux pour promouvoir la paix dans l’est de la RDC et l’ensemble de la région des Grands Lacs.

A ce propos, des organisations comme American Jewish World Service, Center for Civilians in Conflict (CIVIC), CREDDHO (Centre de recherche sur l’environnement, la démocratie et les droits de l’homme), FILIMBI, Human Rights Watch, Lucha (Lutte pour le changement), Never Again Coalition, Panzi Foundation, RODHECIC (Réseau d'organisations des droits de l'homme et d'éducation civique d'inspiration chrétienne), The Sentry ou encore UNIS ont signé un communiqué conjoint dans lequel elles estiment  que Antony Blinken devrait clairement affirmer que les États-Unis imposeront des sanctions ciblées aux responsables gouvernementaux et aux autres personnes qui soutiennent des groupes armés qui commettent des abus. 

« Le secrétaire d’État Blinken devrait informer le président rwandais Paul Kagame que les États-Unis ne toléreront aucun soutien au M23, comme l’a fait le président Barack Obama en 2012 », a déclaré le Père Rigobert Minani Bihuzo du Centre d'études pour l'Action sociale (CEPAS). « Il devrait insister sur le fait que le gouvernement congolais doit réformer son armée, notamment en améliorant les mécanismes de lutte contre la corruption, en filtrant et en renvoyant les officiers qui commettent des abus, et en enquêtant sur ceux qui ont été impliqués dans des crimes de guerre par le passé. »

Le communiqué ajoute que le dirigeant américain « devrait également insister sur la nécessité de réformer l’armée congolaise, minée par le favoritisme et les détournements de fonds. Tout règlement des conflits armés dans l’est du pays devrait exclure la possibilité d’amnistier les responsables de crimes internationaux graves, empêcher les commandants qui se sont rendus coupables d’abus d’intégrer les forces armées congolaises, et prévoir un ambitieux programme de désarmement, de démobilisation et de réintégration dirigé par une nouvelle équipe ».

Antony Blinken se rendra ensuite au Rwanda du 10 au 12 août, où il s’entretiendra avec de hauts responsables du gouvernement rwandais et des membres de la société civile pour discuter de priorités communes, y compris les opérations de maintien de la paix. Le secrétaire d’État se concentrera, dit un communiqué de l’ambassade américaine à Kinshasa, sur le rôle que le Rwanda peut jouer dans la réduction des tensions et de la violence actuelle dans l’est de la RDC. Il soulèvera aussi des préoccupations relatives à la démocratie et aux droits de l’homme, comprenant la répression transnationale, la limitation de l’espace pour les opinions divergentes et l’opposition politique, et la détention injustifiée de Paul Rusesabagina, résident permanent légal aux États-Unis.

 actualite.cd/CC



Des anciens « Kuluna » envoyés à Kaniama Kasese, dans le cadre du Service national ( SN), participent activement dans le vaste projet de construction des écoles et des hôpitaux dans le grand Kasaï.

C'est ce qu'a annoncé le numéro un du Service national, le général Jeanne Kasongo Kabwik, au cours d'une interview accordée à la presse le week-end dernier. Il s'est réjoui d'avoir rendu ces jeunes utiles à la nation congolaise.

« Des anciens Kuluna construisent actuellement des écoles et des infrastructures dans le grand Kasaï. Le premier bataillon est constitué des jeunes qui ont été acheminés à Kaniama Kasese au mois de novembre 2020. Ils ont parachèvé leur formation en février et mars 2022. Ils sont actuellement déployés dans le grand Kasaï où ils travaillent notamment comme agents du service national. Une partie est déployée dans le territoires de Kabeya Kamwanga et dans le territoire de Niabi où nous faisons des champs, construisons des écoles et des hôpitaux. Une deuxième partie est déployée au Kasaï Central où il y a une grande ferme et où nous construisons également des écoles. Une troisième partie est restée à Kaniama. Ceux qui ont excellé sont retenus comme instructeurs et encadreurs dans les ateliers de menuiserie et chantiers de construction », a-t-il Indiqué.

Parlant de la nouvelle saison de récolte au Service national (SN), le général JP Kasongo a indiqué qu'elle s'avère toute aussi impressionnante. Des milliers de tonnes de maïs ont été produits à Kaniama Kasese et au centre de Lovo, dans la province du Kongo Central.

« Nous avons lancé la récolte de maïs depuis fin mai. Jusqu'aujourd'hui, nous sommes en pleine récolte. Il y a des dizaines de milliers de tonnes de maïs qui sont à Kaniama Kasese. Il y a des milliers de tonnes qui ont été également produites au centre de Lovo au Kongo Central. C'est la production du Kongo Central qui a permis de ravitailler les cantines militaires », a-t-il affirmé.

Pour le patron du Service national, il n'y a jamais eu rupture des stocks dans les cantines militaires, comme certaines mauvaises langues l’allèguent. Il rassure que ses services travaillent pour qu'il n'y ait jamais rupture des stocks.

« Il n'y a jamais eu de rupture des stocks de maïs depuis le jour où le commandant suprême, chef de l'État avait lancé les cantines militaires. Les cantines fonctionnent normalement. Chaque mois, les familles des militaires sont ravitaillées. Il n'y aura pas de rupture », a souligné le général JP Kasongo.

S’agissant de la répartition de cette importante production de maïs, le général Kasongo Kabwik a affirmé qu'une partie sera destinée au fonctionnement des cantines militaires dans les garnisons qui sont concernées (Kinshasa et Lubumbashi) et une autre partie sera envoyée dans les provinces qui connaissent une pénurie de maïs, notamment le Kasaï Oriental, Kasaï, le Kasaï Central, Haut-Lomami, Lualaba et Haut-Katanga.

Orly-Darel Ngiambukulu



Plus de 125 kilomètres de la route nationale n°4 dans la province du Bas-Uélé, se trouve dans un état de délabrement précisément dans son tronçon reliant la ville de Buta et Aketi. 

Le constat a été fait par une délégation des ministres provinciaux composée du ministre de l'intérieur Jean-Pierre Maziambola, celui des Infrastructures, Travaux Publics et Reconstruction (ITPR) ainsi que de transport. 

Si auparavant les utilisateurs de cette route ne faisaient que 3 heures du temps pour rallier Buta et Aketi, actuellement les voyageurs passent plus de deux jours de route pour rejoindre le chef-lieu de la province du Bas-Uélé. 

Selon le constat fait par ces ministres provinciaux, c'est surtout à 39 kilomètres de la ville d'Aketi plus particulièrement dans la partie communément appelée « Morgue » que l'on trouve de gros bourbiers, des flaques d'eau et tant d'autres anomalies des routes qui laissent à désirer. 

Profitant de la présence de la délégation gouvernementale, les usagers de cette route ont lancé un cri d'alarme au gouverneur Nzanza Bombiti pour la réhabilitation de la RN4. 

« Nous souffrons horriblement sur cette route, nous payons des taxes, qui ne servent à rien. Quel est le rôle de pellage route ? Que les autorités nous viennent en aide », a déclaré l'un des usagers de cette route nationale. 

Il sied de noter que la route nationale n°4 (RN4), longe un total de 600 km. Elle est l’un des axes importants du commerce à l’Est de la République. Elle traverse les villes de Kisangani, Bunia et Beni et revêt un caractère vital pour les populations de ces différentes villes.

Roberto Tshahe



L'artiste musicien, Ferré Gola a bénéficié, ce lundi 08 août 2022, d'une mesure judiciaire lui permettant de quitter la prison de Paris, après deux mois d'incarcération.

Juste après cette libération, l'ancien sociétaire de Wenge Musica Maison Mère et de Quartier latin international devra tourner les clips des chansons telles que Carte rose, Marionnette, Bayuma bavida kala, Toc toc et Bendo, tirées de l'album Dynastie vol1 sorti en mars dernier.

Il sied de rappeler que le premier volume de Dynastie contient 17 titres et un bonus track, avec des tubes tels que "Ba yuma ba vida kala" en featuring avec Innoss'B, "Bendo" en collaboration avec l'artiste franco-congolais Chily, et Toc Toc chanté avec la chanteuse ivoirienne Josey.

Outre ces titres, l'on retrouve plusieurs chansons réalisées en solo, entre autres Marionnettes, Alita, Niveau, Marathon, Ifuniania, Okapi, IGF, Ça pique, Carte rose et Dose unique.

Gratis Makabi



L'Olympique de Marseille a battu le Stade de Reims (4-1), ce dimanche 07 août 2022, au stade vélodrome, en match comptant pour la première journée de Ligue 1 française.

Waout Faes a ouvert le score contre son camp à la 13ème minute de jeu, avant que Nuno Tavares corse l'addition pour les Phocéens dans les arrêts de jeu de la première période.

Au retour des vestiaires, Luis Janvier Suarez inscrit le dernier but marseillais à la 73ème minute de jeu, avant la reddition de score de Reims par Folarin Balogun, à la 84ème minute.

Titulaire, Chancel Mbemba Mangulu a disputé l'intégralité de la rencontre, tandis que son compatriote Cédric Bakambu est entré en jeu à la place de Matteo Guendouzi à la 77ème minute de jeu.

Juste avant cette rencontre, un autre international congolais Gédéon Kalulu et le FC Lorient se sont imposés sur la pelouse du Stade Rennais (1-0).

Totalement contre le cours du jeu, les Merlus ont ouvert le score sur un coup du sort. Sur un centre a priori anodin de Kalulu depuis la droite, le défenseur belge Theate se déchire complètement et trompe son propre gardien à la 69ème minute de jeu.

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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