La Cour constitutionnelle a déclaré conforme à la constitution, lors de son audience publique du mardi 23 juillet, le règlement intérieur du Sénat.
 
Cette décision ouvre ainsi la voie à l'élection du bureau définitif de la Chambre haute du Parlement.
 
Le jugement de cette haute juridiction intervient trois semaines après l’adoption du règlement intérieur du Sénat.
 
Le président de la commission spéciale chargée de l'élaboration de ce texte, Christophe Lutundula a expliqué que le sénateur à vie n’est soumis à aucune obligation comme les autres membres de la chambre haute du Parlement. Cette disposition qui figurait dans la première mouture, n'a pas été retenue dans la version finale du règlement intérieur.
 
« Nous lui devons respect, considération et solidarité », a-t-il souligné.
 
Toutefois, souligne le nouveau règlement, le sénateur à vie a l'obligation de sauvegarder à tout instant l'honneur et la dignité de son statut, ainsi que l'image de marque du Sénat.

radiookapi.net/CC



Embouteillages quotidiens, routes délabrées, code de la route pas toujours respecté, transport difficile, … le déplacement de la population dans la ville de Kinshasa, surtout dans les zones attractives les plus fréquentées, n’est pas aisé.

Emprunter par exemple les avenues Kabinda et Kabambare pour un conducteur d’une voiture basse, c’est prendre le risque de ne pas arriver à destination.

Nids de poule et bourbiers font en sorte que seules les motocyclistes tentent de s’y aventurer. Même des piétons s’arment de vigilance pour traverser le tronçon sans incidents.

Une situation qui inquiète usagers et riverains

« Je suis contraint de fermer ma boutique et trouver un endroit où les produits s’ecoulent. L’avenue Kabinda n’est plus fréquentée depuis des mois », se plaint un jeune commerçant.

Des conducteurs se plaignent de l’usure précipitée des pneus et pièces de rechange, à la suite de l’état des routes qui du reste sont impraticables.
« Emprunter les avenues Kabambare et Kabinda est un calvaire. Nous n’avons pas de choix. Notre parcelle est entre ces deux avenues. Mais nous dépensons régulièrement pour remplacer des pièces qui s’abiment rapidement », se plaint un propriétaire de véhicule.

Un réseau routier insuffisant

 Si la construction des sauts-de-mouton a résolu partiellement ce problème, relier deux coins de cette mégapole exige patience et sacrifices.

La croissance rapide de la population face à un réseau routier insuffisant conçu avant 1960, la conception de la ville sous forme d’un entonnoir avec des activités vitales concentrées à Gombe, le centre des affaires, ainsi que l’impraticabilité de la majorité des routes sont les principales causes des embouteillages.

Ajouter à cela, la mauvaise conduite des automobilistes et motocyclistes y compris les autorités qui prennent le sens opposé sans oublier les tracasseries policières.

Conçu avant 1960 pour une ville habitée par 400 000 habitants, le réseau routier de Kinshasa est fréquenté aujourd’hui par plus 15 millions d’habitants.
Malgré cette augmentation exponentielle de la population, le développement des infrastructures de transport n’a pas suivi.

D’après le plan directeur de transport urbain de Kinshasa conçu en 2019 par les Japonais, 80% des routes kinoises sont non bituminées alors que les voies ferrées et fluviales sont inexploitées.
Les quelques routes asphaltées sont en majorité très délabrées et envahies par des nids de poules et cratères sur chaque kilomètre et même des lacs artificiels à certains endroits.

Pourtant, en 2021, le Premier ministre avait lancé le projet Kinshasa zéro trou, avec à la clé un financement de 100 millions de dollars débloqué par le trésor public. Malgré ce programme, certaines avenues sont devenues impraticables.

Conséquences, des bouchons s’observe le matin quand on monte en ville, à midi et le soir, lorsque les habitants regagnent leurs habitations.

Ces embouteillages se concentrent plus sur les tronçons menant vers la Gombe, l’aéroport de Ndjili, Victoire Matonge, ainsi que sur les axes de l’Université de Kinshasa, l’UPN et Kinsuka. Ils sont amplifiés par les tracasseries policière ainsi que l’indiscipline des conducteurs, y compris des autorités qui prennent le sens opposé.

D’ailleurs, la Première ministre, Judith Suminwa a, dans son discours d’orientation du séminaire destiné à l’exécutif, lundi 22 juillet, rappelé à l’ordre les membres du Gouvernement qui prennent souvent le sens inverse dans les artères de Kinshasa.

« L’exemplarité des responsables que nous sommes, nous astreint à être les premiers à respecter nos textes légaux et réglementaires, notamment le Code de la route. Pour cela, je demande au Vice-premier ministre de l'Intérieur, sans délai et de mettre strictement en application les textes qui réglementent l’usage des cortèges d’une part et d’autre part, d’instruire la Police par rapport à l’obligation pour tous du strict respect du Code de la route y compris pour les officiels », a rappelé la Première ministre Judith Suminwa.

radiookapi.net/CC



Le gouverneur Daniel Bumba Lubaki a présidé, lundi 22 juillet, le tout premier Conseil de sécurité de la ville-province de Kinshasa. Au cours de cette rencontre, a fait savoir le ministre de l’Intérieur, sécurité et justice de la ville de Kinshasa, Papy Musey, il était question de passer en revue la situation sécuritaire de la capitale congolaise à ce jour. 

« La rencontre d’aujourd’hui était d’abord une prise de contact entre le Gouverneur de la ville, Daniel Bumba Lubaki, et le Conseil de sécurité provincial. Il était question bien entendu de parler de la sécurité de la ville. Avec cette recrudescence du taux de criminalité et du banditisme urbain, il était important que l’autorité nous donne ses orientations pour pouvoir résorber très rapidement ce problème, aussi le problème des embouteillages, et d’autres qui ont été présentés », a-t-il fait savoir. 

À en croire le commissaire provincial de la Police nationale congolaise (PNC), Blaise Kilimbalimba, l’autorité urbaine, déterminée à en finir avec le problème de l’insécurité dans la ville, a donné des instructions fermes pour que le problème de l’insécurité soit définitivement résolu et que les Kinois retrouvent leur quiétude. 

« Il était question de passer en revue la situation sécuritaire de la province. À l’issue de celui-ci, des mesures ont été prises pour accompagner son Excellence dans sa vision de sécurisation de la ville », a-t-il indiqué.

Ces mesures, a souligné Blaise Kilimbalimba, sont axées sur trois (3) grands problèmes, à savoir : le phénomène Kuluna, les embouteillages, et le phénomène de la grande criminalité.

actualite.cd/CC



L’abbé Jean-Bosco Bahala vient d’être révoqué du poste de coordonnateur national du Programme désarmement, démobilisation, relèvement communautaire et stabilisation (P-DDRCS).

Cette décision du Président de la République, Félix Tshisekedi, est rendue publique à travers une ordonnance lue, en ce début d’après-midi, 23 juillet, sur la télévision nationale par sa Porte-parole, Tina Salama.

Quelques heures avant sa révocation, l’abbé Jean-Bosco Bahala avait fait un communiqué à la presse expliquant qu’il était en mission à Kampala, en Ouganda.  

Cette mission avait pour but, selon lui, d’engager des discussions avec les autorités ougandaises en vue d'obtenir le rapatriement des enfants congolais libérés par les rebelles de la LRA en République centrafricaine.

Il affirmait participer à la présentation des activités de profilage ethnique et identification des LRA congolais dans le cadre du DDRRR. 

Certaines personnes ont partagé, lundi 22 juillet, les informations relatives à une rencontre entre une délégation de l’Alliance fleuve Congo (AFC), rébellion dirigée par l’ancien président de la Commission électorale nationale indépendante, Corneille Nangaa et une délégation du Programme de désarmement, démobilisation, relèvement communautaire et stabilisation (P-DDRCS), à Kampala (Ouganda).

Des affirmations qu’avaient rejetées, le ministre de la Communication et Médias et porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya.

« Aucune personne n’a été mandatée par le Gouvernement pour une quelconque forme de discussion avec les terroristes du M23 à Kampala », avait-t-il démenti.

radiookapi.net/CC



Le Tribunal militaire de garnison de Kinshasa/Gombe autorise à un médecin de l'ambassade  de suivre régulièrement l'état de santé du prévenu Jean-Jacques Wondo qui, selon ses avocats, se trouve actuellement très malade.

C'est le major Freddy Ewume, président de cette juridiction, qui l'a annoncé au terme de l'audience du vendredi 19 juillet dernier à la prison militaire de Ndolo.

"Le Tribunal informe aux parties que nous avions reçu une correspondance entre États via les Affaires Étrangères. Je ne vois pas pourquoi l'auditeur va donner son avis par rapport au prévenu Jean-Jacques Wondo. Ce sont là des demandes entre États. Il y a un médecin qui pourra le voir, ça, c'est entre États, là on informe juste aux parties", a-t-il déclaré.

C'est la satisfaction du côté des avocats de Jean-Jacques Wondo qui réclamaient depuis le début de ce procès la prise en charge médicale appropriée pour leur client, qui, selon eux, se trouve actuellement très souffrant.

Interviewé à la fin de l'audience, Me Carlos Ngwapitshi Ngwamashi a affirmé qu'entre lundi ou mardi, son client Jean-Jacques Wondo sera déjà suivi par un médecin mis à sa disposition par l'ambassade de la Belgique en RDC.

"Le gouvernement Belge, par le truchement de l'ambassade, avait écrit au ministère des Affaires Étrangères pour que mon client Jean-Jacques Wondo puisse obtenir l'autorisation du Tribunal ou de la justice pour que le médecin de l'ambassade puisse le consulter suite à son problème de santé. Je crois que ça va se faire entre lundi ou mardi ", a-t-il souligné.

Analyste et spécialiste des questions militaires, Jean-Jacques Wondo est 
diplômé de l'École Royale Militaire de Belgique. Il est titulaire d'un master en criminologie de l'Université de Liège et d'un post-graduat en science politique de l'Université libre de Bruxelles.

Il est accusé d'être le stratège du mouvement New Zaïre que pilotait  Christian Malanga. Le ministère public le présente comme la personne qui a donné le véhicule à Christian Malanga pour se mouvoir lors de l'opération du coup d'État manqué la nuit du 18 au 19 mai 2024.

Il fait partie de 51 prévenus poursuivis dans cette affaire dite de coup d'État manqué pour les infractions suivantes : 
le terrorisme, la détention illégale d'armes et munitions de guerre, tentative d'assassinat, association des malfaiteurs, meurtre et financement du terrorisme.

ODN

 
 


Connu pour sa franchise, JDT Mulopwe n’épargne jamais ses analyses lorsqu’il s’agit d’évoquer ses pairs de la scène musicale congolaise. Interrogé sur Fally Ipupa lors de son passage sur agenda cultur’a,  » Pa popy » n’a tari d’éloges à l’égard du célèbre chanteur.

« C’est un garçon très courageux et il l’a démontré tout au long de sa carrière et je pense que c’est un modèle pour la jeunesse » a déclaré JDT Mulopwe. Pour lui, Fally Ipupa fait preuve d’une détermination exceptionnelle qui force le respect.

À travers ces louanges, c’est toute la reconnaissance de JDT Mulopwe envers celui qui s’est imposé comme l’une des principales voix de la musique congolaise contemporaine. Un bel hommage JDT pour une carrière exemplaire faite de persévérance.
 


La RDC -République Démocratique du Congo- est, dorénavant, prête à prendre part aux 33èmes Jeux Olympiques prévus du vendredi 26 juillet au 11 août 2024, à Paris, en France.

Quatre athlètes congolais ont quitté Kinshasa, dimanche 21 juillet 2024, dans la soirée pour Paris, selon Alain Badiashile, secrétaire général du Comité olympique Congolais. 

Il s'agit, entre autres des boxeuses Marcelat Sakobi et Brigitte Mbambi, les nageurs Divine Miansadi et Aristote Ipelenge. 

Ces représentants de la RDC rejoignent le judoka Arnold Daso Kisoka et le sprinteur Dominique Laskoni qui sont déjà sur place à Paris. Ils ne seront qu'à six à défendre valablement les couleurs de la RDC dans ces jeux.

Arrivé le 10 juillet dernier à Paris, le judoka Arnold Daso Kisoka, a participé, mercredi 17 juillet 2024, à la 59ème étape du passage de la Flamme Olympique, à Villers-Cotterêts.

Plusieurs personnalités politiques du pays avaient fait le déplacement afin d'encourager le porte-étendard de la RDC pour les JO de Paris. Il s'agit, entre autres, du ministre des Sports et Loisirs, Didier Budimbu, et de l'ambassadeur de la RDC en France, Émile Ngoy Kasongo.

Gratis Makabi 



Une commission des bons offices a été mise en place dimanche 21 juillet soir pour rencontrer les différentes parties au conflit au sein du parti politique l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS). Cette commission va travailler pendant trois jours.

Cette proposition est l’une des résolutions phares de la réunion des députés nationaux et des sénateurs de l’UDPS et Mosaïque, tenue le même dimanche au collège Boboto à Kinshasa. Cette réunion a été présidée par Isaac Jean-Claude Tshilumbayi, cadre de l’UDPS et premier vice-président de l'Assemblée nationale.  

Les députés nationaux Clotilde Kapinga et Jules Lodi ont été respectivement désignés en qualité de président et rapporteur de la dite commission.

« Les élus ont préconisé la résolution immédiate de cette crise afin de ramener le climat de paix au sein de notre cher parti. Pour ce faire, il a été décidé ce qui suit : préparer les conditions de la tenue de la convention démocratique du parti dans le bref délai. Mais aussi de demander aux parties en conflits de s’abstenir de mener la guerre démocratique qui risquerait de compromettre la vie de nos compatriotes », ont recommandé les participants à cette réunion à travers le compte rendu lu par le député Jules Lodi.

Le départ de Kabuya exigé

Une crise secoue, depuis quelques jours, le parti présidentiel. Des frondeurs demandent le départ du président intérimaire du parti, Augustin Kabuya.
Ces frondeurs ont destitué le 18 juillet, Augustin Kabuya, de son poste de secrétaire générale du parti. Ils lui reprochent d’accaparer les postes au sein du Gouvernement à son profit, rapporte Adrien Kalenga, porte-parole, de l’UDPS.  

Ces frondeurs parmi lesquels l’on compte le porte-parole du parti, le président du groupe Forces du progrès et des leaders des jeunes, mais aussi 33 secrétaires nationaux, accusent Augustin Kabuya d’abus, de corruption, de gestion solitaire et personnalisée du parti ou encore de clientélisme. 

Des sorties médiatiques inopportunes, hasardeuses et non concertées, l’absence de vision figurent aussi parmi les griefs mis à charge d’Augustin Kabuya. 

L’ancien ministre de la Santé, Eteni Longondo, mène cette fronde contre le secrétaire général du parti présidentiel. 
Augustin Kabuya, quant à lui, exhorte toute la base du parti à rester unie, sereine et calme.

Le secrétaire général recommande le respect des textes de l'UDPS, qu'il considère comme leur patrimoine commun. Il rappelle aux frondeurs « qu’il a encore la signature et qu’il peut révoquer les fauteurs des troubles ». 

radiookapi.net/CC



Le Président de la République, Felix Tshisekedi, a ouvert, dimanche 21 juillet, les travaux du séminaire gouvernemental, axé sur le thème : "Sceller le pacte d'engagement citoyen par la promotion de la performance dans la gouvernance et l'implémentation efficace des réformes en exécution du PAG (Programme d’action du gouvernement) 2024-2028".

A cette occasion, il a appelé les membres du Gouvernement Suminwa à faire preuve d’une gouvernance efficace :

« Votre rôle est crucial pour assurer une gouvernance efficace, efficiente et orientée vers les résultats. La solidarité gouvernementale, la discipline et l'adhésion sans faille aux rôles de coordination de la Première ministre, cheffe du Gouvernement, sont les éléments essentiels pour garantir le succès de votre action collective ».

Selon lui, les membres du Gouvernement doivent travailler ensemble dans un esprit de coopération, d'efficacité et de transparence. « La réussite de nos politiques publiques dépendra de notre capacité à collaborer de manière harmonieuse, à faire preuve de rigueur et à adopter une approche pragmatique dans la définition et l'implémentation de nos actions », a poursuivi le chef de l’Etat congolais.

Au terme de ce séminaire, chaque membre du Gouvernement recevra une lettre des missions qui permettra de consigner l’ensemble des assignations qui feront l’objet des évaluations trimestrielles.

radiookapi.net/CC



Le Président Félix Tshisekedi tient à la pérennisation du programme de la gratuité de la maternité en République Démocratique du Congo. Dans sa communication lors de la 6e réunion du conseil des ministres tenue vendredi 19 juillet 2024, il a demandé au gouvernement de procéder à l'évaluation globale de cette première cohorte de la couverture santé universelle et d'envisager son extension sur l'ensemble du territoire national.

"Le Président de la République a enjoint le ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévoyance Sociale ainsi que les autres ministres sectoriels concernés, sous la coordination du Premier ministre, à prendre toutes les dispositions idoines pour faire entre autres une évaluation globale de cette première cohorte, envisager l'extension de la gratuité de la maternité et la prise en charge des nouveau-nés sur l'ensemble du territoire national, lancer d'ici la fin de l'année 2025 le paquet des services des soins de santé de base de la couverture santé universelle ciblant prioritairement les militaires, les policiers, les agents publics de l'État ainsi que les couches défavorisées, rendre disponibles les crédits alloués à la Coordination Nationale de la Couverture Santé Universelle afin d'installer les comités provinciaux", rapporte le compte rendu de la réunion.

Il a affirmé que la mise en œuvre de la couverture santé universelle demeure l'une des priorités de l'action du gouvernement. Dans cette perspective, le Président de la République a rappelé qu'il a lancé en septembre 2023 le programme de la gratuité de la maternité dans l'objectif de garantir des soins et services de santé de qualité et gratuits à toutes les femmes enceintes, à celles qui ont accouché, aux nouveau-nés pendant leur premier mois de vie.

"Ce premier volet du paquet des soins destinés à la population vise à mener la lutte contre la mortalité maternelle et infantile comme urgence de santé publique dans notre pays en raison notamment des chiffres alarmants des décès à l'occasion des accouchements. À ce jour, la ville de Kinshasa et 12 provinces sont couvertes et bénéficient effectivement des activités et appuis planifiés dans le cadre de ce programme dont l'efficacité doit être garantie", a recommandé Félix Tshisekedi lors de cette réunion du gouvernement.

La gratuité de la maternité et des soins du nouveau-né est, d'après les autorités congolaises, le premier paquet des soins de la mise en œuvre de la couverture santé universelle. Il s'inscrit dans le cadre de l'un des six engagements du second quinquennat de Félix Tshisekedi en vue de garantir plus d'accès aux services de base.
Dans cet engagement, le Président Félix Tshisekedi compte assurer la réception des soins de santé de qualité et un accès universel à l’enseignement primaire et secondaire, à l’eau et à l’électricité ainsi qu’à la protection sociale.

Clément MUAMBA

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