C'était dans l'air. Jean-Marc Kabund-a-Kabund a officiellement déposé sa démission jeudi 31 mars au poste de 1er vice-président du bureau de l'Assemblée nationale.

Il évoque, dans la correspondance adressée au président Christophe Mboso, des "raisons de conviction politique", rassurant cependant que "pour le reste de temps de la législature en cours, je vais me consacrer à mon mandat de député national".

En effet, l'ancien président a.i de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) l'a personnellement annoncé sur son compte Twitter en brandissant sa lettre de démission adressée au président de l'Assemblée nationale Christophe Mboso N'kodia. 

"Par la présente et pour des raisons de conviction politique, je vous fais part de ma décision de démissionner du poste de Premier Vice-Président de l'Assemblée nationale. Il va de soi que, pour le reste du temps de la législature en cours, je vais me consacrer à mon mandat de Député national. Veuillez recevoir la présente décision et agréer, Honorable Président, distingué collègue, l'expression de mes sentiments très patriotiques", a écrit Kabund à Mboso.

Il aura fallu attendre plus de deux mois avant que cette démission, annoncée depuis mi-janvier sur Twitter, soit formelle. Et ce, au lendemain d'un tête-à-tête entre le professeur Julien Ciakudia, un opposant à Félix Tshisekedi, et le désormais ex-1er vice-président de la Chambre basse.

Pour rappel, c'est en janvier dernier que Jean-Marc Kabund avait annoncé sa démission via Twitter. 

"En ce jour je prends la décision de démissionner de mes fonctions de 1er vice-président de l’assemblée nationale. Ainsi s’ouvre une nouvelle page de l’histoire, qui sera écrite avec la sueur de notre front, qui coulera chaque jour qu’on affrontera les brimades, humiliations et tortures...", avait-il écrit.

Actuellement, Jean-Marc Kabund se trouve en Grande Bretagne, précisément à Londres, pour soigner son genoux. 

Jephté Kitsita/CC 

 



Dans un entretien accordé à la presse, au terme de la plénière de ce mercredi 30 mars 2022 à l'Assemblée nationale, le député national Léon Tumba a affirmé que la destitution du ministre de l'Économie par l'Assemblée nationale, rentre dans le cadre du travail des parlementaires.

Pour cet élu de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), cette action de la chambre basse du Parlement rencontre les attentes de la population.

"Nous nous avons été élus par la population et cette population voudrait que les prix des denrées alimentaires puissent baisser, que la maman ménagère qui avait l'habitude d'acheter ses mpiodis (chinchards) peut-être à 10.000 francs, mais qu'elle arrive quand-même à garder ce montant là. Mais quand les choses augmentent, ce qu'il y a un problème. Je répondrai directement en disant : nous n'avons pas prouvé nos propres enfants mais, par contre, nous avons fait ce que nous, en tant que députés, parlementaires, devons faire", a déclaré Léon Tumba. 

 À l'occasion, il a mis en garde ce qu'il a qualifié de "brebis galeuses" au sein du gouvernement.

"Nous ne sommes pas au niveau du gouvernement, c'est l'homme qui tombe. Mais s'il s'avère qu'on remarque aussi qu'il y a des brebis galeuses au sein du gouvernement, nous allons aussi entreprendre notre travail. C'est le rôle d'un parlementaire", a lâché ce député national.

Visé par une motion initiée par le député national Crispin Mbindule, le ministre de l'Économie, Jean-Marie Kalumba, a été déchu par l'Assemblée nationale. 

Au cours de la plénière de ce jour, 277 députés nationaux ont pour cette motion de déchéance, 79 contre et 12 se sont abstenus. Il était reproché à ce membre du gouvernement de l'"incompétence". 

Roberto Tshahe

 



Les Léopards de la RDC ont quitté Casablanca ce mercredi matin aprés avoir passé la nuit de mardi à mercredi 30 mars à l'aéroport international Mohammed V de Casablanca, au terme de leur débâcle contre les Lions de l'Atlas du Maroc (4-1/1-1).

Selon des sources sur place, les fauves congolais y sont restés sans une aucune information sur l’heure à laquelle leur avion devrait les prendre.  Ils étaient à l’aéroport peu après minuit jusqu’à 7h30 (heure locale et TU), selon le sga de la Fecofa cité par la radio Top Congo. Mais d'après un conseiller du ministre des sports; cité par la même source, le retard est occasionné suite à des problèmes administratifs entre les deux avions de Kenya Airways affrétés par la RDC et la Royale Air Maroc.

C’est dans ce contexte que quelques joueurs se sont envolés pour leurs clubs étrangers, exceptés Joël Kiassumbwa, Lionel Mpasi, Ikoko Jordan, Meschack Elia, Mpoku José et Vital Nsimba qui ont pris place à bord de l’appareil des supporters qui a décollé ce même mercredi (à 9h45') pour Kinshasa.

radiookapi.net/CC



Linda Thomas-Greenfield, Représentante des États-Unis auprès des Nations unies, s’est exprimée sur la dégradation de la situation séculaire dans la partie Est de la RDC. Elle intervenait à la suite de la présentation de la situation générale par Bintou Keita, cheffe de la MONUSCO, mardi dernier devant le Conseil de sécurité.

« Toutes les personnes présentes dans cette salle et qui nous écoutent aujourd’hui savent parfaitement que le trafic illégal de ressources naturelles dans l’est de la RDC et dans les régions transfrontalières alimente et finance directement des activités qui menacent chaque jour la vie des Congolaises et des Congolais. Ces ressources devraient plutôt être utilisées pour construire un avenir pour le peuple de la République démocratique du Congo », a t-elle dit. 

Elle a particulièrement insisté l’existence d’un réseau plus grand qui entretien la persistance de l’insécurité dans la partie orientale de la RDC.

« Nous sommes préoccupés par la conclusion du rapport du secrétaire général selon laquelle, dans les régions du Sud-Kivu, on constate une présence accrue des groupes armés liés aux groupes criminels régionaux qui orchestrent l’exploitation minière illégale. Nous devons mettre un terme à cela. C’est pourquoi nous restons déterminés à travailler avec les États membres pour recourir de manière résolue au régime de sanctions 1533 du Conseil de sécurité des Nations unies à l’encontre de la RDC ». 

Les USA se sont illustrés ces dernières semaines par les sanctions prises à l’encontre d’Alain Goetz et de son réseau.

L’administration Biden explique cette posture par « sa volonté de mettre au jour et de désorganiser les réseaux de ceux qui veulent en tirer profit au détriment de la sécurité et du développement du pays et de sa population ».

actualite.cd/CC



La Haute cour Militaire qui siège en audience foraine à la prison militaire de Ndolo, a repris avec les débats ce mercredi 30 mars 2022 dans l’affaire du double assassinat de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana. Ces débats portent sur l'infraction de désertion à charge du policier Paul Mwilambwe. Ce mercredi, l'ancien Auditeur Général des FARDC, le Général Joseph Ponde a comparu pour édifier la Haute cour  sur certaines dépositions de Paul Mwilambwe, notamment en ce qui concerne l'implication de Joseph Kabila dans le double assassinat. Le général Ponde déclare que Mwilambwe n'a jamais parlé avec Joseph Kabila à travers son téléphone sur l'affaire Chebeya. Il reconnaît tout de même avoir reçu l’appel du général John Numbi en présence de Paul Mwilambwe dans son bureau.

“Pendant que Mwilambwe se trouvait dans mon bureau, je n’ai reçu qu'un seul coup de fil, c'est celui du général John Numbi. Est-ce que le sénateur à vie Joseph Kabila a appelé l'Auditeur Général ? Je dis non. Pourquoi je dis non ? Parce que justement tout contact entre moi et le Président passait par la maison militaire qui était dirigée par le général Mbala. Contrairement à mes prédécesseurs, particulièrement le Général Likulia qui voyait le président tous les matins, même les missions que je faisais, c'est à Mbala que je faisais d'abord rapport”, a répondu le général Joseph Ponde à une question du ministère public.

Il relate que lorsqu'il avait reçu l'appel de John Numbi, ce dernier lui avait demandé de passer le téléphone à Mwilambwe.

“J'ai reçu l'appel de John Numbi qui me demande si Mwilambwe est dans le bureau je dis oui, et il me demande de le passer au téléphone, je l’ai fait. Entre eux, Mwilambwe et John Numbi parlaient un dialecte que je ne comprenais pas”, a ajouté l'ancien Auditeur général des FARDC pour qui, l'unique fois où Kabila l'a appelé c'est  lors d'une mission qu'il avait effectuée à Lubumbashi.

"J'étais envoyé mener une enquête sur l'affaire Gédéon Kyungu. Le Président de la République m'appelle pour me dire: soyez calme Kikaya Bin Karubi  est en route pour Lubumbashi. Je lui ai remis votre enveloppe de frais service"

Pour sa part Paul Mwilambwe insiste qu'il avait parlé avec Joseph Kabila sur l'affaire Chebeya au téléphone du général Ponde.

“Je voudrais un peu contredire ce que le général Ponde a dit ici. J'ai parlé avec le général John Numbi trois fois au téléphone du général Ponde, et une fois avec le Président Kabila dans le bureau du lieutenant-colonel Ndaka”, a déclaré Paul Mwilambwe devant la Haute cour, en confrontation avec général Joseph Ponde

Lors des audiences antérieures, Paul Mwilambwe avait affirmé que Joseph Kabila lui avait dit de ne rien raconter sur ce qu'il savait de la mort de Chebeya. L’ancien Président de la République lui aurait garanti le voyage. 

Les auditions vont se poursuivre le mercredi 6 avril, avec notamment l'audition du Consul Numbi, Directeur de cabinet de l'AG de l'ANR au moment des faits.

Floribert Chebeya avait été convoqué le 1er juin 2010 à l'Inspection générale de la police à Kinshasa pour rencontrer son responsable, le Général John Numbi, selon plusieurs témoignages. Son corps avait été retrouvé le lendemain dans sa voiture, les poignets portant des traces de menottes à Mitendi, périphérie ouest de Kinshasa. Celui de son chauffeur Fidèle Bazana n'a jamais été retrouvé.

Ivan Kasongo



Jean-Marie Kalumba, ministre de l'Économie nationale a été déchu par l'Assemblée nationale, ce mercredi 30 mars, suite à une motion de défiance initiée contre lui par un groupe d'une soixantaine des députés. A l'issue d'un vote secret,  277 des 368 députés présents ont voté pour l'éjection de ce membre du Gouvernement, 79 ont voté contre, 12 se sont abstenus et 0 bulletin nul.

À leur tête Crispin Mbindule, les députés motionnaires  reprochent à Jean-Marie Kalumba notamment la flambée des prix des biens de première nécessité et la dossier d'importation des chinchards de la Namibie.

Le ministre déchu a 48 heures pour présenter sa démission au Président de la République qui l'avait nommé.

C'est pour la première fois depuis l'événement de la troisième République, qu'un membre du Gouvernement soit démis de ses fonctions par motion de défiance de la chambre basse du parlement.

Au cours de cette troisième législature de la troisième République, un Premier ministre est tombé suite à une motion de censure adoptée par l'Assemblée nationale. Cette déchéance, en session ordinaire de mars 2021  du Premier ministre  de l'époque, Sylvestre Ilunga Ilunkamba emportée avec lui tous les membres de son Gouvernement.

S'il ne s'exécute à la Résolution de l'Assemblée nationale le démettant de ses fonctions dans les 48 heures, il est réputé démissionnaire d'office.

actualite.cd/CC



L'agence événementielle et de sondage "Maxy Agency Event" a decerné le prix de mérite dénommé "femme influente" à la coordonnatrice du Réseau National des ONG pour le Développement de la Femme (RENADEF) Marie Nyombo Zaina pour avoir joué un grand rôle d'influenceuse.

C'était lors d'une cérémonie de reconnaissance des mérites organisée le mardi 29 mars 2022 au siège du RENADEF à Kinshasa.

"C'est une femme exceptionnelle, si vous l'approchez vous allez découvrir beaucoup. Moi-même, elle a influencé mon leadership. On ne pouvait pas se retenir pour pouvoir revenir aujourd'hui vers elle pour l'encourager et lui decerner ce prix surtout que c'est le mois de la femme. Et le prix qu'elle vient de recevoir aujourd'hui c'est un prix de femme influente. Madame Zaina est un modèle, c'est une femme qui a influencé plusieurs et qui continue à influencer que ça soit les hommes, que ça soit les femmes", a déclaré Berry Mutombo manager de Maxy Agency Event.

Une responsabilité de plus dans l'exercice de son travail, à en croire Marie Nyombo Zaina qui a dédié ce prix à toute l'équipe du RENADEF, à ses partenaires ainsi qu'à sa famille.

"Personnellement, je n'avais jamais connu Monsieur Berry Mutombo. Il m'a connu grâce aux interventions sur terrain. Pour le premier prix, j'étais étonnée de voir l'annonce que j'ai été sélectionnée parmi les bénéficiaires et après c'était le deuxième prix. Et aujourd'hui, on me dit c'est le prix femme influente. Je ne peux que dire merci et savoir que c'est une autre responsabilité dans le cadre de mon travail, de l'exercice des droits humains, de protection des communautés. Quand je serai en train de regarder ces prix je vois une charge en moi. Je dois toujours continuer à défendre, je dois toujours continuer à parler par rapport à l'amélioration de leur situation au niveau local, au niveau de la base", a-t-elle reconnu.

Il faut dire que c'est pour la troisième fois que Maxy Agency Event prime la coordonnatrice du RENADEF pour son engagement dans la défense des droits des femmes et personnes vulnérables.

Il s'agit notamment du prix d'ambassadrice du social reçu en 2018 ,et celui de meilleure manager lui decerné en 2021 lors de la 5ème édition du trophée "Mosala Award" de Maxy Agency Event.

Rappelons que l'agence de sondage et événementielle Maxy Agency Event existe depuis 2010. Elle encourage les individus ou personnalités qui se distinguent dans leur domaine pour les mettre devant leur responsabilité mais aussi pour devenir ambassadeurs de ladite agence.

Christel Insiwe



La coordination provinciale de la société civile au Nord-Kivu s'est réunie en urgence, le mardi 29 mars 2022, pour passer en revue la situation sécuritaire caractérisée par l'incursion des rebelles du Mouvement du 23 Mars (M23) en territoire de Rutshuru. Elle a notamment estimé que la résurgence de ces belligérants vise à bloquer l'arrivée du Pape François en République démocratique du Congo. 

Dans un communiqué daté mercredi 30 mars, la société civile du Nord-Kivu lie la réapparition du M23 à quatre motifs « inavoués ». C'est notamment : 

- Bloquer l'arrivée du Pape pour obtenir des négociations entre le M23 et le gouvernement congolais autour de l'accord de Nairobi ;

- Bloquer la reconstruction des routes reliant la RDC et l'Ouganda en phase de lancement ;

-  Obtenir l'entrée des militaires rwandais en concurrence déloyale avec les militaires ougandais qui combattent aux côtés des FARDC contre les ADF et

- Détourner l'attention des militaires congolais face à la guerre contre les rebelles d'Allied democratic forces (ADF) dans l'Est de la RDC. 

C'est depuis le lundi 28 mars dernier que des attaques du M23 contre les positions des militaires des Forces armées de la République démocratique du Congo ont été rapportées à Rutshuru. Une situation qui a occasionné le déplacement des habitants de plusieurs localités, la plupart, vers l'Ouganda. Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont accusé l'armée rwandaise d'être derrière cette rébellion pour déstabiliser le Nord-Kivu. Ce que Kigali a nié. 

Mardi, le porte-parole du gouverneur militaire du Nord-Kivu, le général Sylvain Ekenge, a également chargé le M23 d'avoir abattu un hélicoptère des casques bleus de la MONUSCO dans le Rutshuru. La mission onusienne, elle, n'a pas écarté la piste de diligenter une enquête dans ce crash qui aurait fait 8 morts. 

L'Eglise catholique, par la bouche du Nonce apostolique, a annoncé l'arrivée en RDC du Pape François le 2 juillet 2022. Cette visite, qui ira jusqu'au 5 juillet, se veut être, d'après le Nonce, la CENCO et le Cardinal Ambongo, une occasion de réconciliation et de raviver l'espérance du peuple congolais en quête de la paix, de la sécurité et du bien-être.

Joël Kaseso



Le président de la République, qui devait se rendre mardi 29 mars dernier à Rabat au Maroc assister au match retour comptant pour les qualifications du Mondial au Qatar entre Les Léopards et les Lions de l’Atlas, avait annulé son voyage, d’après plusieurs sources.

Les raisons de cette annulation n’ont pas été dévoilées.

D’après une source, le chef de l’Etat a annulé son déplacement de Rabat pour « se consacrer totalement au « rétablissement de la paix dans le Nord-Kivu après les attaques surprises et injustifiées du M23 à Bunagana et Tchanzu notamment ».

Félix Tshisekedi est déterminé à restaurer la paix par tous les moyens, poursuit-elle.

Selon elle, "la paix et la sécurité des Congolaises et des Congolais demeurent et demeureront la priorité des priorités du chef de l’Etat."

Pour rappel, depuis la nuit du dimanche au lundi 28 mars, des tirs en armes lourdes et légères retentissent dans plusieurs villages du territoire de Rutshuru. Des affrontements entre  M23 et FARDC ont contraint des milliers de Congolais à se réfugier en Ouganda. Les Forces Armées de la RDC ont accusé celles du Rwanda d'être complices de ces rebelles.

7sur7.cd/CC



Trois nouveaux cas de rougeole ont été enregistrés dans la zone de santé de Musienene, au sud de Butembo, dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu). D’après le médecin responsable du programme élargi de vaccination (PEV), Dr Bernardin Siviholya, qui livre l’information mercredi 30 mars, il s’agit des enfants dont l’âge varie entre zéro et 5 ans dans les aires de santé de Kyambogho et Makumo. 

Ces trois cas s’ajoutent au tout premier cas enregistré dans la même zone il y a quelques jours. 

« Actuellement, au niveau de la zone de santé, on est en train de vacciner les enfants de 6 à 59 mois contre la rougeole pour qu’elle ne puisse pas atteindre encore d’autres contrées de la zone de santé. Le 1er cas était de Kyambogho dans le village de Muluvo 2, Kyambogho comme aire de santé et Muluvo 2 comme village de l’aire de santé, le 2e cas était aussi de Muluvo, le 3e cas aussi de Muluvo. C’est seulement le dernier cas qui est sorti maintenant de Masumo », a-t-il indiqué. 

Il rapporte, par ailleurs, que les activités de vaccination sont en cours pour limiter la propagation de cette maladie : 

« Par rapport à ça je sais dire à la communauté de faire vacciner les enfants. C'est le premier conseil que je donne aux parents. Vérifier le calendrier vaccinal de leurs enfants, si on constate que l’enfant n’a pas encore reçu son vaccin contre la rougeole, il faut qu’on puisse l’amener rapidement au niveau du centre de santé pour qu’il soit vacciné. Deuxièmement, il faudrait surtout la distanciation. La rougeole se propage par la toux, par les gouttelettes. C’est comme ça qu’il faut éviter d’entasser les enfants là où il y a maintenant cette maladie-là ». 

radiookapi.net/CC

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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