Le président national du MRPC -Mouvement de réveil et prise de conscience-, Jacky Ndala, va porter plainte contre Denise Mukendi Dusauchoy, suite au viol qu'il a subi pendant son incarcération aux locaux de l'ANR -Agence Nationale de Renseignements-.

Pour Jacky Ndala, c'est Denise Mukendi Dusauchoy qui a commandité cet acte, et elle doit lui dire devant les juges, les raisons de cette cruauté.

"J'ai été effectivement sodomisé, parfois j'ai du mal à m'asseoir. Je ne savais même pas que c'était elle la commanditaire de ce viol. Il faut qu'elle me dise pourquoi elle m'a fait souffert de la sorte. J'ai vu des choses dans ce pays. J'attendais la fin du régime de Tshisekedi, pour traduire l'ANR en Justice ; mais Denise l'a avoué d'elle-même, c'est bon", a-t-il déclaré, lors d'une interview accordée à la journaliste Bibi Kapinga.

Jacky Ndala a, en outre, indiqué que Denise Mukendi Dusauchoy doit être jugée et puis le dédommager en cas de victoire. Il a aussi révélé qu'il habitait avec cette dernière, sur l'avenue Bipemba, dans la ville de Mbuji-Mayi.

Pour rappel, Denise Mukendi Dusauchoy a déclaré, dans une vidéo devenue virale, avoir commandité cet acte; car, elle est du pouvoir.

opinion-info/CC



Les Léopards dames seniors handball débutent, lundi 23 septembre, un stage bloqué de huit jours au Portugal pour préparer la 26e édition de la CAN de leur spécialité.

Cette compétition aura lieu du 27 novembre au 7 décembre prochain, à Kinshasa.

Amos Mbayo, président de la fédération congolaise de handball (FEHAND), a confirmé cette information à l'issue du tirage au sort effectué jeudi à Kinshasa. 

Selon lui, les fauves congolais poursuivent deux objectifs majeurs :

« Se qualifier pour la Coupe du monde. Donc, une fois vous êtes en demi-finale, vous étés qualifié pour la Coupe du monde. Et puis, aller la chercher, cette fois-ci » :

Lors du tirage au sort, les Léopards ont obtenu le groupe B de l'Angola, championne d'Afrique en titre, de l'Ouganda, du Cameroun, de la Guinée et de la Tunisie.

Des adversaires d’un gros calibre pour les fauves congolaises, demi-finalistes lors de la CAN 2014 organisée par l’Algérie perdue contre la Tunisie (20-23), qui vont espérer faire aussi bien que ses deux derniers participation.

radiookapi.net/CC



Le compromis n’a pas été trouvé entre le banc syndical et les autorités provinciales de l'EPST au sujet de la suspension de la grève des enseignants au Sud-Kivu. C’était à l’issue d’une rencontre le vendredi 20 septembre entre les deux parties à Bukavu.

Les syndicalistes ont présenté le calvaire que traverse l'enseignant congolais et ont estimé que seul le vote et la promulgation de l'édit portant fonds pour les frais innovants en province peut sauver cette année scolaire.

« Nous avons échangé avec les autorités provinciales de l’EPST. Elles voulaient qu’on puisse lever la grève. Nous avons dit que nous n’étions pas compétents pour lever cette grève déclenchée dans une assemblée générale par les enseignants. La proposition du Gouvernement est l’octroi de 50 000 francs congolais comme augmentation du salaire des enseignants. Et après calcul, les enseignants se rendent compte qu’ils n’ont même pas atteint 100 USD alors qu’ils demandaient 500 USD. Nous n’enseignerons pas et nous nous soumettrons à la décision de la base », a déclaré Jacques Cirimwami, secrétaire provincial du SYNECAT.

radiookapi.net/CC



La Fondation Bill Clinton pour la paix (FBCP) a mobilisé, lundi 23 septembre, les organisations de la société civiles contre la candidature de la RDC au Conseil des droits de l’homme de l’ONU.

Cette structure a fait cette mobilisation dans un communiqué parvenu à Radio Okapi :

« Nous tenons à réagir à la récente demande de la RDC de siéger au Conseil des droits de l’homme de l’ONU. Si nous saluons cette démarche en apparence encourageante, nous estimons néanmoins que la RDC ne satisfait pas aux conditions nécessaires pour prétendre à une telle position de responsabilité internationale ».

La FBCP a également dit disposer de preuves claires montrant que la RDC viole régulièrement sa propre Constitution du 18 février 2006, notamment dans ses articles 16 et 18, qui interdisent de détenir une personne plus de 48 heures sans présentation devant son juge naturel, et sans contact avec sa famille ou son avocat.

Elle a noté que ces violations ne sont pas de simples erreurs administratives.

« Les multiplications de cachots clandestins, arrestations arbitraires, détentions illégales, tortures physiques et morales, ainsi que des exécutions sommaires, sont autant de pratiques récurrentes qui minent les fondements même de la justice et du respect des droits humains en RDC », a poursuivi cette organisation.

Selon cette structure, il est inconcevable que, dans ce contexte de graves atteintes aux droits fondamentaux, la RDC puisse prétendre siéger au sein d'une institution aussi prestigieuse et cruciale que le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU.

La FBCP a ainsi invité l’ONU, à la Communauté internationale, et à tous les acteurs concernés, à ne pas commettre l’erreur de discréditer cette institution en acceptant la candidature de la RDC :

« Le respect des Droits de l'Homme est un pilier fondamental de la crédibilité de l’ONU, et permettre à un État, qui bafoue les droits de ses propres citoyens, de siéger à ce Conseil serait un signal extrêmement négatif envoyé à l’ensemble de la communauté internationale ».

Cette structure est d’avis que la reconnaissance de la RDC au sein de cette instance internationale serait une trahison des principes mêmes que l'ONU est censée défendre.

C’est en aout dernier que la RDC se portait candidate au Conseil des droits de l’homme et au Conseil de sécurité de l’ONU.

La ministre des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, l’avait même annoncé au cours du conseil des ministres, présidé vendredi 9 aout à Kinshasa par le chef de l’Etat Félix Tshisekedi. 

Les deux candidatures de la République démocratique du Congo, avaient é endossées par l’Union africaine, au cours de la 4eme session ordinaire du conseil exécutif tenu les 14 et 15 février 2024 à Addis Abeba.

radiookapi.net/CC



Le ministre d’État, ministre de la Justice, Constant Mutamba, a adressé une injonction ferme aux procureurs généraux près les cours d’appel de la RDC, leur enjoignant d'engager des poursuites contre les auteurs d'actes de dépravation des mœurs sur les réseaux sociaux, notamment sur des plateformes comme TikTok.

Dans une lettre circulaire, le ministre a déploré la prolifération de contenus immoraux circulant en toute impunité à travers ces réseaux, contenus qui, selon lui, « choquent la société et mettent en mal l'éducation de la jeunesse ». Il a attiré l'attention sur l'Ordonnance-Loi n° 23/010 du 13 mars 2023, qui encadre les infractions commises dans le cyberespace, et a demandé aux procureurs de faire respecter ces dispositions légales.

La directive a été étendue à la police judiciaire des parquets ainsi qu'à la Commission nationale de censure des chansons et des spectacles, leur demandant d'interpeller les contrevenants. Cette mesure vise à préserver la moralité collective, selon le ministre. Les procureurs sont tenus de soumettre des rapports sur l'exécution de cette injonction dans les prochains jours.

Cette initiative intervient dans un contexte tendu, marqué par la récente polémique entourant Jacky Ndala, ancien coordonnateur national de la jeunesse du parti Ensemble pour la République, et Denise Mukendi Dusauchoy, une influenceuse digitale. Mukendi a admis dans une vidéo choquante être à l'origine du viol dont Ndala a été victime lors de sa détention à l'Agence Nationale de Renseignement (ANR). Le Conseil Supérieur de la Communication et des Médias (CSAC) a imposé un embargo médiatique de 45 jours sur toute mention de Jacky Ndala et Denise Mukendi Dusauchoy, interdisant toute diffusion liée à cette affaire sur les médias et réseaux sociaux.

Ce regain de tension autour de la question des droits des détenus et des conditions de détention en RDC soulève de nouvelles interrogations sur la gestion de la justice et la régulation des contenus en ligne.

actualite.cd/CC



La deuxième édition du festival Tombola Danse, organisée par Kongo Danse, s’est déroulée du mercredi 18 au vendredi 20 septembre au centre culturel congolais le Zoo. Ce festival, dédié à la célébration des danses contemporaines et traditionnelles, a offert au public trois jours intenses de performances artistiques, mettant en avant des talents locaux et internationaux.

La soirée de clôture a eu lieu le vendredi 20 septembre à la plateforme contemporaine, et a été marquée par une série de prestations captivantes qui ont couronné ces trois journées de célébration de la danse. Parmi les moments forts, Doudou Saidi a offert une performance saisissante intitulée "Trace", une exploration du mouvement et de l'identité à travers des chorégraphies innovantes.

Ensuite, le public a assisté à un impressionnant face-à-face avec le duo Pepenas, dont la prestation a sublimé l’art du mouvement en duo, mêlant force et poésie. Leur interprétation a marqué les esprits par l’harmonie et la synchronisation parfaite de leurs mouvements, soulignant l’importance de la collaboration et de la complicité dans la danse.

Le festival s’est achevé en beauté avec la présentation de "Ilonga Kolanga Ko’onga", une œuvre magistrale du groupe Ballet Ubunye. Ce groupe a fusionné danse traditionnelle et contemporaine, montrant toute la richesse de l’héritage culturel congolais tout en y apportant une touche moderne. Cette performance a su capter l’attention du public par son énergie et sa profondeur, incarnant parfaitement l’esprit du festival, qui se veut une plateforme d’échanges entre les racines ancestrales et les expressions artistiques contemporaines.

Cap vers la troisième édition 

L’organisateur de l’événement, Fabrice Don de Dieu Bwabulamutima, dans son discours de clôture, a souligné l’importance de tels festivals pour la promotion de la danse en République Démocratique du Congo, mettant en avant le besoin de soutenir les artistes locaux et de créer des espaces où les talents émergents peuvent s’exprimer librement. Il a également exprimé sa satisfaction quant au succès de cette deuxième édition, tout en annonçant que la prochaine édition qui se tiendra du 25 août au 5 septembre 2026, promettant encore plus de spectacles et d’innovations. 

Le Festival Tombola Danse, par son organisation, a permis de mettre en lumière non seulement la diversité des styles de danse, mais aussi le potentiel énorme que recèle la scène artistique congolaise. En clôturant sur cette note haute, le festival a laissé des impressions durables, consolidant son rôle comme un rendez-vous incontournable pour les amateurs et professionnels de la danse dans le pays.

L'attente pour la troisième édition de Tombola Danse est désormais lancée, et l'avenir de la danse contemporaine en République Démocratique du Congo s'annonce plus brillant que jamais.

James M. Mutuba

 



Le ministre de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya, a informé le gouvernement de la clôture du dixième congrès ordinaire de l'Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC), surnommé le "congrès de la renaissance". 

Il a souligné que les deux principaux objectifs de ces assises ont été atteints : la révision des textes statutaires et réglementaires de cette instance d'autorégulation de la presse, conformément aux prescriptions de la nouvelle loi sur la presse et aux recommandations des états généraux de la communication et des médias de janvier 2022, ainsi que l'élection des membres du comité directeur, choisis démocratiquement par les sociétaires pour conduire la destinée de leur structure corporatiste.

"Le ministre de la Communication et des Médias a salué l'arrivée de ce nouveau comité, qui sera l'interlocuteur officiel de l'État dans la dynamique tripartite : gouvernement, Conseil Supérieur de l'Audiovisuel et de la Communication (CSAC) et Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC), en vue d'assainir le paysage médiatique selon le cadre légal en vigueur, lequel nécessite d'être complété par le texte relatif au statut du journaliste congolais, actuellement en cours d'examen au sein des commissions gouvernementales", précise le compte rendu de la réunion lu par le porte-parole du gouvernement.

Le 10e congrès ordinaire de l'UNPC, ouvert le mardi 17 septembre, s'est déroulé sous le thème : « Renaissance, ensemble façonnons l'avenir de notre profession ». Près de 200 congressistes venus de 25 provinces, ainsi que de la ville de Kinshasa, ont participé à ce congrès, dont les travaux ont été ouverts par le ministre de la Communication et des Médias.
Kamanda wa Kamanda, ancien journaliste de RFI, a été élu président de l'UNPC.

Cyrille Kileba, éditeur-fondateur de l’hebdomadaire The Post, a remporté le poste de vice-président, et Marianne Mujing Yav Muland a été élue deuxième vice-présidente. Jasbey Zegbia a été reconduit au poste de Secrétaire Général, avec Ernest Mukuli Kasongo comme adjoint. Rachel Kitsita, fondatrice du groupe de presse Actu 30, a été élue trésorière, et Gino Rhema, de la Radio Top Congo, a été nommé conseiller.

Clément MUAMBA



Dans un communiqué parvenue ce samedi 21 septembre, La Voix des Sans Voix pour les droits de l'Homme (VSV) a annonce le décès inopiné de Dolly Ibefo Mbunga, son deuxième directeur exécutif adjoint.

M. Ibefo est décédé de manière inopinée vendredi à Kananga, où il était en mission de service.

« Le décès de ce vaillant défenseur des droits humains est survenu à Kananga, dans le Kasaï-Central, alors qu'il était en mission de service en lien avec la protection des défenseurs des droits humains », précise le document.

CC



Le monde littéraire accueille un nouveau-né, Course contre la honte, écrit par l’auteure Reinette Mulonda Ta-Kasongo. Ce roman de plus de 200 pages a été lancé ce vendredi 20 septembre à Kinshasa, baptisé par Richard Ali, directeur de la bibliothèque Wallonie-Bruxelles.

Le roman explore les défis et les pressions auxquels les femmes africaines modernes sont confrontées, en particulier en ce qui concerne les attentes sociales liées au mariage et à la réussite personnelle.

« Course contre la honte est un roman avec plusieurs messages clés. Mais si je dois le résumer en un seul, je dirais que la plus belle des réussites se construit au-delà des attentes imposées par les autres. Si on a un but, il doit être personnel, défini pour nous et non pour les autres », explique l’auteure.

Reinette Mulonda raconte l’histoire de Raïssa, une femme d’affaires ambitieuse, qui, malgré sa carrière exemplaire, se retrouve confrontée aux préjugés sociaux qui continuent de faire du mariage un critère majeur de la valeur d’une femme en Afrique. Raïssa cherche à prouver que sa réussite ne devrait pas être définie par un anneau à son doigt, mais plutôt par ses compétences, sa détermination et ses accomplissements personnels.

Ce premier roman met en lumière la quête effrénée de Raïssa pour obtenir une couronne symbolique que la société lui refuse tant qu’elle n’est pas mariée, tout en explorant les sacrifices, les obstacles et les souffrances engendrés par cette quête.

« Ce roman s’adresse à tous : hommes, femmes, parents, jeunes filles, femmes accomplies ou en quête d’elles-mêmes. Il est diversifié et pluriel, chacun y trouvera sa part », a ajouté Reinette.

Un avenir littéraire prometteur

Reinette Mulonda Ta-Kasongo n’est pas une simple nouvelle venue dans la littérature congolaise. Médecin de formation et activiste engagée, elle avait déjà été nominée au prestigieux Prix littéraire Zamenga en 2019 grâce à sa nouvelle Fioti, témoignant de son talent. Avec Course contre la honte, elle poursuit son engagement en faveur de la cause féminine, en remettant en question de nombreuses idées reçues sur la réussite des femmes.

Entre amour, ambition, sorcellerie et trahison, l’auteure entraîne ses lecteurs dans une aventure passionnante, qui incite à réfléchir sur le rôle de la femme dans la société contemporaine. Ce livre est bien plus qu’un simple roman : c’est un cri de ralliement pour toutes les femmes qui, comme Raïssa, veulent prouver que leur valeur ne se résume pas à leur état civil, mais à leur force de caractère et à leurs réalisations.

Une histoire des premières

Après une année d’existence, les éditions Mesdames ont relevé leur premier défi en publiant Course contre la honte, le tout premier roman de Reinette Mulonda et la première publication de cette maison d’édition lancée en 2023.

« Quand j’ai reçu le manuscrit, j’étais assez hésitante, étant donné que c’était notre première publication. Nous avions reçu des tonnes de manuscrits, mais aucun ne nous avait convaincus jusqu’à celui de Reinette. Son texte était à part, particulièrement parce que notre maison d’édition ne publie que des femmes. Le thème osé de Course contre la honte, qui remet en question l’idée que la femme doit nécessairement finir au foyer, nous a semblé un bon choix pour un premier lancement », a déclaré Grâce Bilola Kakera, présidente de l’Ajeco et éditrice en chef des éditions Mesdames.

Cette première publication marque l’entrée de Mesdames sur la scène littéraire. Jusqu’à présent, la maison d’édition ne reçoit que des manuscrits d’auteures féminines, mais elle prévoit d’ouvrir une brèche de six mois pour accueillir des œuvres masculines.

La publication de ce premier ouvrage pourrait bien être le début d’une nouvelle ère pour la littérature congolaise, où les récits féminins ne sont plus marginaux, mais essentiels à la compréhension des dynamiques sociales actuelles.

James M. Mutuba



Accompagné de la Distinguée Première Dame Denise Nyakeru, le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo est arrivé dimanche 22 septembre à New-York.

Le Chef de l'Etat vient participer à la 79ème session de l'Assemblée Générale des Nations-Unies dont  la journée inaugurale est prévue ce mardi 22 septembre.

En sa triple qualité de président de la RDC et président  en exercice de la CEEAC et de la SADC, le Président Félix Tshisekedi devrait prendre la parole du haut de la tribune des Nations-Unies à l'occasion de cette assemblée générale exclusivement en présentielle.

Son allocution intervient dans un contexte national particulier marqué par l'agression avérée du Rwanda ,

les processus de paix de Nairobi et Luanda ainsi que les tumultes sur la présence de la mission onusienne au Congo, la Monusco.

Pour toutes ces problématiques, le Président de la République  Félix Tshisekedi attend  de mobiliser la communauté internationale et obtenir d'elle un soutien multiforme et une réponse claire.

Comme à chaque occasion que les dirigeants du monde se retrouvent, la question climatique revient dans toutes les allocutions et on ne peut évoquer cette problématique sans faire allusion à la RDC présentée comme un pays-solution.

Les dirigeants du monde attendent aussi du Président Tshisekedi un mot sur la production des minerais stratégiques, lui dont le pays est dépositaire de ces matières précieuses rares qui rentrent dans la production des voitures électriques.

Cette année, le Président Félix Tshisekedi fera son 6ème discours devant les Nations-Unies, ce sera le premier discours de l'ONU de son second mandat, suite à sa réélection lors du scrutin démocratique de décembre 2023.

Le bal des discours sera ouvert ce mardi 22 septembre avec le Président du Brésil comme le veut la tradition.

Présidence de la République

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