Les députés pétitionnaires ont réussi à déposer une pétition contre le Président de l'Assemblée nationale, Vital Kamerhe et quatre membres du bureau, exceptés Jean-Claude Tshilumbayi et Christophe Mboso, respectivement 1er vice-président et 2ème vice-président de la chambre basse du parlement, ce lundi 15 septembre 2025.

D'après le député Samuel Yumba Mwanabute, les pétitionnaires avaient trouvé le bureau fermé, et ont tout fait pour faire venir un huissier de justice pour réceptionner la pétition. Cette dernière contient au total 261 signatures.

"Monsieur Kamerhe a reconnu lui-même les griefs mais il doit savoir que nous ne le pardonnons pas. Qui s'excuse s'accuse. Nulle part dans les règlements on a dit que quand le président demande pardon, il faut le laisser. Après ça, nous allons saisir la justice", a-t-il déclaré.

Pour rappel, le speaker de la chambre basse du Parlement Vital Kamerhe a ouvertement demandé pardon à toutes les personnes " députés" froissées par sa conduite, à la base aujourd'hui, d'un climat de malaise à 'Assemblée nationale . Il l'a dit ce lundi 15 septembre, dans son allocution à l'occasion de la rentrée parlementaire.

Vital Kamerhe a avant tout reconnu la liberté à chaque député de mener une quelconque démarche parlementaire. Cependant, il a fustigé que la motion qui le vise soit transformée en un instrument politique.

Dans son speech, le président de la chambre basse du Parlement a souhaité un fructueux mandat à tous les députés nommés au sein du gouvernement Suminwa 2. Il a expressément loué la nomination d'un ministre d'État en relation avec le Parlement. 

 

Face aux agitations enregistrées sur la pétition, Vital Kamerhe est revenu sur sa propre carrière, tout en rappelant qu'il demeure engagé aux côtés du chef de l'État Félix Tshisekedi pour le développement de la RDC.

Il a enfin appelé les uns et les autres à la vigilance pour la paix et la stabilité au pays. Il a de nouveau sollicité le soutien de toute la population à se dresser derrière les forces armées de la RDC engagées au front.
 
Gratis Makabi


Le chanteur Héritier Watanabe a partagé une bonne nouvelle avec ses fans concernant son groupe La Team Wata. Selon sa récente publication, le collectif est actuellement en mode studio à Paris, travaillant sur le prochain album du groupe.

« Il y a de quoi vous satisfaire. Tenez-vous prêts », a-t-il écrit, laissant entendre que les mélomanes peuvent s’attendre à de nouvelles productions de qualité.

Ce projet promet de renforcer la présence de La Team Wata sur la scène musicale internationale et de ravir les fans avec des titres inédits. Les détails sur la sortie de l’album devraient être révélés prochainement.

Ordi Mande



La première ministre, Judith Suminwa, a déposé ce lundi 15 septembre 2025, au bureau de l'Assemblée nationale, le projet de budget 2026.

Réceptionné par le speaker de la chambre basse du Parlement, Vital Kamerhe, ce projet de budget exercice 2026 est estimé à 20,3 milliards de dollars américains.


‎« Donc, c’est le projet de loi des finances pour 2026. Et donc, nous sommes dans un budget global de 59 milliards FC, donc l’équivalent de 20,3 milliards de dollars, avec un accroissement de 16% », a fait savoir Judith Suminwa.

‎‎A l'en croire, le gouvernement, à travers ce budget, va mettre l'accent particulier sur les questions sécuritaires, sociales et agricoles.



‎« Donc, on a évidemment mis un accent sur les questions sécuritaires, mais aussi sur toutes les questions qui concernent l’agriculture, les infrastructures, l’énergie, l’éducation, la fonction publique. L’agriculture, vous verrez, quand on regarde à première vue, on a l’impression qu’on a baissé, mais il y a une répartition aussi au niveau des crédits d’investissement des provinces pour l’agriculture, ainsi qu’au niveau du PDL, 145T », poursuit-elle 

‎La Première ministre s'est fait accompagner par le vice-premier ministre du Budget Adolphe Muzito et du ministre des Finances Doudou Fwamba.

Roberto Tshahe Da Cruz



Dans son discours prononcé ce lundi 15 septembre 2025, à l'occasion de l'ouverture de session parlementaire, le président de l'Assemblée nationale, Vital Kamerhe, a évoqué la question liée à la pétition initiée contre sa personne et quelques membres de son bureau. 

À l'en croire, nulle ne peut empêcher les députés à exprimer leur droit et devoir légitime et constitutionnel.

« Il s'agit d'un exercice parlementaire légitime », a dit Vital Kamerhe.

Cependant, le speaker de la chambre basse du Parlement  appelle les auteurs de ladite pétition à ne pas freiner le bon fonctionnement de l'institution par la brutalité et la violation de leur propre droit légitime. 

Après avoir évoqué cette question, Vital Kamerhe a été acclamé par quelques élus nationaux et ignorés par les pétitionnaires. 

Roberto Tshahe



La Confédération africaine de football (CAF) a validé, vendredi 12 septembre, la liste des quatre clubs congolais engagés dans les compétitions interclubs pour la saison 2025-2026.

L’instance dirigeante du football africain a officiellement notifié cette décision à la Fédération congolaise de football association (FECOFA) le même jour.

Le FC Les Aigles du Congo et le FC Saint-Éloi Lupopo représenteront la RDC en Ligue des champions de la CAF, tandis que l’AS Maniema Union et l’AS Simba participeront à la Coupe de la Confédération.

Les Aigles du Congo accueilleront Rivers United du Nigeria le samedi 20 septembre au stade des Martyrs. 

« Les programmes inscrits sur la plateforme ont été validés. Nous sommes donc censés jouer à domicile contre Rivers United le 20 septembre. Il n’y a eu aucun rapport ou objection concernant le stade des Martyrs. Nous avons enregistré cette rencontre pour le samedi 20 septembre à 15h30, et la date figure clairement dans les systèmes de la CAF », a déclaré Olivier Pengongo, secrétaire général des Samouraïs.

De son côté, le FC Saint-Éloi Lupopo, de retour à Lubumbashi après un stage à Tunis, recevra El Merreikh du Soudan. Les Lumpas ont renforcé leur effectif pour aborder cette saison avec ambition. 

« L’objectif est d’atteindre la phase de groupes. L’appétit vient en mangeant : en tant que compétiteurs, nous pourrons nourrir d’autres ambitions à partir de cette étape. Nous allons mobiliser toutes nos forces et notre énergie pour y parvenir. Ce ne sera pas facile, car il faudra passer par El Merreikh, qui arrive très vite », a souligné Daniel Ndongo, chargé de communication du club.

En Coupe de la Confédération, l’AS Simba affrontera le FC Djabal des Comores. Le match aller, initialement prévu ce week-end, se jouera finalement le 27 septembre. La CAF a officiellement écrit au club, qui a réussi à enregistrer ses joueurs dans le système CMS. 

« L’équipe est prête à jouer contre Djabal FC. Tous les joueurs, le staff et les supporters sont mobilisés. La CAF nous a accordé un délai de 72 heures pour finaliser l’enregistrement, qui se clôture le lundi 15 septembre. Nous avions déjà 25 joueurs dont les documents étaient prêts », a précisé Gédéon Amalek, chargé de communication.

Enfin, l’AS Maniema Union affrontera Pamplemousses FC de l’Île Maurice. Les Unionistes poursuivent leur préparation à Kinshasa.

radiookapi.net/CC



Vendredi 12 septembre dernier, la Haute Cour militaire a annoncé la réouverture des débats dans le procès opposant le parquet général militaire à l’ancien chef d’État congolais, Joseph Kabila. Cette décision intervient à la suite d’une requête formulée par les parties civiles, notamment la République démocratique du Congo, ainsi que les provinces de l’Ituri, du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, situées dans l’est du pays.

Lors d’une audience tenue à Kinshasa, rapporte l’Agence congolaise de presse (ACP), le premier président de la Haute Cour militaire, Joseph Mutombo, a précisé : « Il était conclu, aujourd’hui, que la Haute cour militaire allait prononcer son verdict, mais hier nous avons reçu une requête des parties civiles sollicitant la réouverture des débats ».

Cette évolution relance un dossier judiciaire sensible, dont les implications politiques et juridiques sont suivies de près par l’opinion nationale et internationale. Les prochaines audiences devraient permettre d’examiner de nouveaux éléments ou de clarifier certains points soulevés par les parties civiles.

Un réquisitoire sévère contre Joseph kabila

Le ministère public avait requis, le 22 août, la peine de mort contre Joseph Kabila, pour trahison, crimes de guerre, organisation d’un mouvement insurrectionnel, et complot, tout en demandant la mise sous séquestre de l’ensemble de ses biens.
Le procureur général, Lucien René Likulia, avait présenté Joseph Kabila comme l’instigateur intellectuel des exactions commises par les rebelles de l’AFC/M23 dans l’Est du pays. Il avait souligné que les violences — meurtres, viols, déportations, destructions — ont causé des préjudices massifs à la République, justifiant une responsabilité pénale individuelle.

Outre la peine capitale, le ministère public avait requis :

  • 20 ans de prison pour apologie de crimes de guerre
  • 15 ans de prison pour complot
  • Arrestation immédiate du prévenu
  • Condamnation aux frais et contrainte par corps.

Les parties civiles, qui avaient déjà réclamé 24 milliards USD de dommages à l’État congolais, ont contesté le réquisitoire et maintenu leurs plaidoiries. Elles insistent sur la requalification des infractions, notamment en espionnage, et sur la déchéance de la nationalité congolaise de Joseph Kabila.

Ce procès, tenu par contumace, reste un moment clé dans l’histoire judiciaire du pays, il suscite une vive attention nationale et internationale. Les proches de Kabila dénoncent une persécution politique, tandis que ses partisans qualifient la procédure de mise en scène orchestrée pour écarter un acteur influent de la scène politique.

radiookapi.net/CC



Me Willy Wenga Ilombe vient de présenter un ouvrage inédit consacré aux immunités et privilèges de poursuite en droit congolais. Dans ce livre, l’auteur apporte des éclaircissements sur une question qui suscite de nombreux débats dans l’espace politico-judiciaire de la République démocratique du Congo.

Véritable abrégé de la Constitution, des lois organiques et des règlements intérieurs du Parlement, l’ouvrage se veut un manuel pratique.

Il expose la nature et la portée des immunités, les conditions de leur levée ainsi que la procédure à suivre pour engager des poursuites contre les personnalités concernées. L’objectif affiché est de dissiper les malentendus et d’éviter l’assimilation des immunités à une forme d’impunité.

« Les immunités et privilèges de poursuite ne se décrètent pas, ils ne sont pas innés ni éternels. Ils sont acquis et peuvent se perdre sauf législation contraire », insiste Maître Wenga, qui souligne que la reconnaissance de ces prérogatives n’est pas d’origine congolaise mais découle d’un système juridique universel.

Dans son intervention, l’auteur a tenu à remercier plusieurs personnalités et institutions qui ont soutenu cette initiative, notamment le Président de la Cour constitutionnelle Dieudonné Kamuleta Badibanga, le 2ᵉ Vice-Président du Sénat, Modeste Bahati Lukwebo, le Député Trésor Mutiki, les Pères jésuites, ainsi que la Radio Top Congo FM pour leur accompagnement.

Préfacé par le Procureur Général près la Cour de Cassation, l’ouvrage s’inscrit dans une démarche pédagogique et réformatrice. Il appelle les chercheurs, parlementaires et praticiens du droit à poursuivre la réflexion sur l’adaptation et l’amélioration du cadre juridique congolais.

« Nous n’avons fait que poser des jalons, le reste appartient aux autres chercheurs et aux institutions de réforme du droit », a conclu Maître Willy Wenga Ilombe.

Avec ce travail, l’avocat espère offrir un outil de référence pour renforcer la transparence et l’État de droit en RDC, tout en encourageant un débat national autour de la levée des immunités et de la lutte contre l’impunité.

Rappelons qu’il s’agit de la sixième publication de Me Willy Wenga Ilombe.

ITK



La province de la Tshopo est secouée par l’affaire FRIVAO, un scandale de corruption et de détournement qui a profondément affecté plusieurs victimes et fragilisé l’autorité de l’État. Face à cette situation préoccupante, le Procureur Général près la Cour de Cassation, Firmin Mvonde Mambu, est arrivé jeudi à Kisangani pour prendre la mesure de la situation et agir en faveur de la justice.

Dans le cadre de sa mission, Me Mvonde a organisé une journée portes ouvertes, offrant aux citoyens l’opportunité de faire entendre leurs préoccupations. Il convient de souligner que de nombreux justiciables ont soulevé des inquiétudes majeures concernant la gestion du FRIVAO (Fonds de Réparation pour les Victimes des Violations Graves des Droits de l’Homme) ainsi que les conflits fonciers, devenus récurrents dans la province.

Les interventions les plus poignantes sont venues des victimes de la guerre des Six Jours, qui continuent de réclamer justice et réparation, plus de deux décennies après les faits. L’une d’elles a témoigné avec émotion : « Je suis une victime identifiée, mais j’attends toujours le paiement qui m’est dû par le FRIVAO. »

Ce cri du cœur illustre le désarroi de centaines de victimes recensées, qui s’interrogent sur la gestion opaque du fonds censé leur être destiné. Plusieurs d’entre elles affirment avoir accompli toutes les démarches requises, sans que les indemnisations ne leur soient versées à ce jour.

Ce sujet sensible a suscité une vive attention lors de la journée, amenant le Procureur Général à confirmer qu’un dossier judiciaire est en cours d’instruction à ce sujet. Il a également révélé que des mesures concrètes avaient déjà été prises, notamment l’arrestation du coordonnateur intérimaire du FRIVAO, un ancien membre du cabinet du ministre démissionnaire de la Justice.

Au-delà de l’affaire FRIVAO, la journée a aussi été l’occasion de recueillir des témoignages sur des conflits fonciers, souvent sources de tensions dans la ville. Me Mvonde a écouté ces récits avec attention et a promis que la justice allait intervenir pour protéger les droits des citoyens et rétablir l’ordre là où les intérêts privés avaient pris le dessus.

« Là où la corruption et le détournement ont tenté de s’implanter, l’autorité de l’État doit reprendre sa place. Les victimes doivent être indemnisées et les auteurs de ces injustices traduits en justice », a déclaré le Procureur Général.

La présence de Firmin Mvonde à Kisangani envoie un signal clair : la justice ne reculera pas face aux scandales et conflits qui minent la confiance dans les institutions. Son objectif reste de protéger les citoyens et de rétablir leurs droits, qu’il s’agisse des victimes de la guerre de Six Jours ou des personnes concernées par les conflits fonciers.

Alors que l’affaire FRIVAO continue de susciter l’indignation, cette démarche témoigne de la volonté de l’État de creuser jusqu’au fond du scandale et de rétablir la légitimité et la dignité de tous les Kisanganais.

ITK



Samedi, 13 septembre 2025-À trois jours de l’ouverture de la session budgétaire de septembre, le gouvernement congolais vient de franchir une étape majeure. Ce vendredi, le vice-Premier ministre en charge du Budget, Adolphe Muzito, assisté de son vice-ministre Elysé Bokumwana, a présenté et obtenu l’adoption en Conseil des ministres de l’avant-projet de loi de finances pour l’exercice 2026.

Ce texte évalue le budget national à 20,3 milliards USD, en équilibre entre recettes et dépenses, soit une hausse de 14,8 % par rapport à la loi de finances rectificative 2025.

Adolphe Muzito a souligné que l’objectif central de ce budget est de doubler les recettes courantes d’ici 2028, passant de 8,5 milliards USD en 2023 – à la clôture du premier quinquennat du président Félix Tshisekedi – à 17 milliards USD à la fin du second mandat.

Pour y parvenir, le gouvernement mise sur une mobilisation accrue des ressources, une réforme structurelle des finances publiques et une pression fiscale de 12,6 %, dans un cadre d’accompagnement avec le FMI.

Les prévisions macroéconomiques pour 2026

– Croissance économique : 5,3 %

– Inflation moyenne : 7,1 %

– Taux de change moyen : 2 900,3 FC/USD

– PIB nominal : 92,7 milliards USD

Les priorités de dépenses

L’avant-projet de budget prévoit : 4,4 milliards USD pour les rémunérations, 6,6 milliards USD pour les investissements publics.

Les axes prioritaires identifiés sont le financement de la riposte à la guerre, le développement des infrastructures et l’amélioration des salaires des agents publics, grâce notamment à des économies issues de la mise à la retraite progressive et du contrôle des effectifs dans l’administration, l’armée, la police et les entreprises publiques.

Un plaidoyer au Parlement

Muzito entend défendre au Parlement une projection rehaussée des recettes courantes, de 11,7 à 12 milliards USD, afin de libérer au moins 300 millions USD supplémentaires pour renforcer les politiques sectorielles.

Il a, à ce titre, sollicité l’appui du gouvernement lors des prochains débats à la Commission Économique et Financière (ECOFIN).

ITK



La CNDH -Commission Nationale des Droits de l’Homme- a procédé, vendredi, à Kinshasa, au lancement officiel du processus d’identification et d’enregistrement des défenseurs des droits de l’homme (DDH) en RDC -République démocratique du Congo-.

La cérémonie, organisée au siège de l’institution citoyenne, a été présidée par Paul Nsapu, président de la CNDH, en présence du rapporteur Kimbumbu Dido et de la commissaire nationale Gisèle Kapinga, chargée des droits de la femme et de l’enfant.

"C’est avec un profond sens de responsabilité et une vive émotion que je prends la parole, en cette journée que nous voulons mémorable, pour marquer le lancement officiel du processus d’identification et d’enregistrement des DDH en RDC", a déclaré Paul Nsapu.

Il a rappelé que cette initiative s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la loi n°23/027 du 4 juin 2024, consacrant pour la première fois un statut juridique clair et une protection légale renforcée aux défenseurs des droits de l’homme en RDC.

Le président de la CNDH a insisté sur le sens de ce processus, destiné avant tout aux DDH. "C’est votre sécurité, votre visibilité et votre légitimité qui sont au cœur de notre action aujourd’hui", a-t-il souligné, ajoutant que l’institution "tend la main" aux acteurs concernés pour avancer ensemble dans un esprit de confiance, de transparence et de responsabilité.

Kinshasa servira de zone pilote avant l’extension de l’opération à d’autres provinces à partir du 25 novembre prochain.

La CNDH a tenu à rassurer que l’identification et l’enregistrement ne doivent pas être perçus comme un mécanisme de contrôle, mais comme un véritable outil de protection destiné à renforcer la sécurité et la reconnaissance des DDH à travers le pays.

Avec ce lancement, la RDC franchit une étape importante dans la consolidation de l’État de droit et dans la protection des acteurs engagés en faveur des libertés fondamentales.

Serge Mavungu 

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