L'AS VClub de Kinshasa s'est inclinée devant l'AS Dauphin noir (1-0), samedi 28 décembre 2024, au Stade l'unité de Goma, en match comptant pour la 12ème et dernière journée de la phase aller d'Illicocash Ligue 1, division d'élite congolaise.

Suite à ce résultat, le Président du club Amadou Diaby s'est décidé à donner les moyens à l'entraîneur Youssouph Dabo pour se renforcer sur toute la ligne.

"La phase aller de notre championnat vient de se terminer. Après une analyse approfondie de notre équipe, nous avons identifié nos forces et nos faiblesses. Dès à présent, nous travaillons activement pour renforcer notre équipe. Je souhaite offrir au coach Dabo la possibilité de se renforcer dans toutes les lignes. Notre objectif reste inchangé : atteindre le sommet", a-t-il déclaré dans un communiqué.

Et Amadou Diaby de poursuivre : "Certains joueurs vont partir, tandis que d'autres viendront. Nous avons déjà finalisé plusieurs dossiers, et très bientôt, vous en serez informés. VClub continuera de se structurer et de progresser vers le professionnalisme". 

Il a, en outre, exhorté les dirigeants et les supporters à rester unis pour soutenir l'équipe, et a présenté ses vœux de bonheur pour l'année 2025.

Il est à noter que malgré sa défaite, VClub est en tête du groupe B avec 22 points, juste devant l'AC Rangers et le FC les Aigles du Congo, qui comptent respectivement 20 et 18 unités. Le DCMP et l'OC Renaissance sont actuellement 10è et 11è, avec respectivement 13 et 12 points.

Gratis Makabi



L'ancien président américain Jimmy Carter est décédé dimanche 29 décembre.
 
Il avait dirigé les États-Unis de 1977 à 1981 et était le plus ancien chef de l'État du pays encore en vie.
 
Une nouvelle figure du XXe siècle s'en est allée. Le 39ᵉ président des États-Unis, Jimmy Carter, qui occupa la Maison Blanche de 1977 à 1981, s'est éteint ce dimanche 29 décembre chez lui à Plains en Géorgie. Depuis février 2024, il recevait "des soins palliatifs" chez lui pour "passer le temps qu'il lui reste" après une série d'hospitalisations. À 100 ans, il était le plus ancien président américain à être encore en vie.
 

Prix Nobel de la Paix en 2002

Le démocrate, dont Joe Biden, alors sénateur, fut l'un des premiers soutiens lors de sa course à la présidentielle, fut élu dans une Amérique encore marquée par le scandale du Watergate qui avait poussé le président Nixon à la démission. À la tête des États-Unis, dans un monde encore dominé par la guerre froide, il mit les droits de l'homme au premier plan de sa politique étrangère, poursuivant les efforts d'apaisement des relations avec l'URSS et la Chine. 

Il fut par ailleurs l'artisan des accords de Camp David qui ont abouti, en mars 1979, à la signature du traité de paix israëlo-égyptien. Il était également aux commandes lors de la prise d'otages américains en Iran en 1979-80, qui lui avait valu une réputation de naïveté à l'international et de nombreuses critiques dans son pays.

Après sa cinglante défaite face au républicain Ronald Reagan en 1981, le chef de l'État s'était trouvé une vocation d'homme de paix, multipliant les missions humanitaires et de médiation, de Cuba à la Corée du Nord en passant par l'Éthiopie. Il a notamment fondé le Carter Center en 1982, pour promouvoir le développement, la santé et la résolution des conflits à travers le monde. En 2002, il a reçu le prestigieux Prix Nobel de la paix, récompensant "ses décennies d'efforts infatigables afin de trouver des solutions pacifiques à des conflits internationaux". 

Ces dernières années, Jimmy Carter avait souffert d'une série de problèmes de santé. Après avoir surmonté un cancer au cerveau en 2015, il avait été hospitalisé à plusieurs reprises en 2019 et faisait des apparitions de plus en plus rares. En avril 2021, il ne s'était pas montré devant les journalistes alors que le président américain, Joe Biden, était allé lui rendre visite dans la petite ville de Géorgie où il résidait depuis son départ de Washington. 

Seuls quatre anciens présidents américains sont encore en vie désormais. Il s'agit de Bill Clinton, George W. Bush, Barack Obama et Donald Trump.


Aurélie LOEK avec l'AFP


Un concert du chanteur Héritier Watanabe de la République démocratique du Congo est programmé le 31 décembre à Kinshasa pour clôturer en beauté l’année 2024  », a appris l’ACP dimanche d’un entretien.

 » Nous serons en concert live, à l’occasion d’une soirée de gala mardi, dans la commune de la Gombe, pour offrir un moment de joie et de partage permettant à nos mélomanes de clôturer en beauté l’année 2024  », a déclaré Francis Dibaya, community manager de l’artiste musicien Héritier Watanabe.

 » Le chanteur et la team Wata ont promis d’offrir aux spiritas et passionnés de la musique intelligente un spectacle unique, qui laissera des souvenirs qui dureront toute une vie  », a-t-il ajouté.

Une exploration musicale digne de l’artiste

Pour Francis Dibaya, ce concert du 31 décembre à Kinshasa sera ponctué par des moments inoubliables et illuminé par la revisitation par le chanteur Héritier Watanabe des classiques de la musique congolaise moderne et de ses chansons connues depuis Wenge Musica Maison-mère.

« Les friands de la bonne musique ne manqueront d’écouter en live les tires ‘’ Irremplaçable’’, ‘’Rombox’’, ‘’Novelas’’, ‘’Simba’’, ‘’La Kayotte’’ et autres. Nous allons continuer la célébration des vœux perpétuels le 4 Janvier, dans un concert à Kimpese, devant le bureau de la cité », a-t-il indiqué,

Le chanteur Héritier Watanabe de la République démocratique du Congo, a livré un concert le 20 décembre à Bukavu, chef-lieu de la province du Sud-Kivu, dans l’Est du pays, juste après son spectacle populaire du 7 décembre dernier dans la commune de Kintambo, pour célébrer, avec son public, ses exploits lors de sa tournée européenne. 

ACP/CC

 


Le ministre de la Communication et médias a rendu hommage, samedi, au travail abattu par les journalistes de la direction provinciale de l’Agence congolaise de presse au Kasaï Oriental (centre de la République démocratique du Congo), lors d’une visite effectuée en compagnie du directeur général de ce média public.

« Je voudrais rendre hommage à l’immense travail que vous faites dans des conditions difficiles. Avec la direction générale, nous allons travailler pour rendre effectif le processus de modernisation à Mbuji-Mayi et accompagner le processus d’un nouveau recrutement avec un personnel plus jeune, pour mieux couvrir les trois provinces sous votre juridiction. Tous mes vœux les meilleurs pour 2025 », a écrit Patrick Muyaya, ministre en charge de la Communication et médias.

Après la signature du livre d’or de la direction provinciale de l’ACP/Kasaï Oriental, le ministre Muyaya a, en compagnie du DG de l’ACP Bienvenu-Marie Bakumuanya, visité les différents bureaux, sous la conduite du directeur provincial Ghislain Banza.

Le Chef de l’État congolais avait rassuré de la détermination du Gouvernement à poursuivre son programme de modernisation des médias publics du pays jusqu’en provinces, dans son discours sur l’état de la Nation, devant les deux chambres du Parlement réunies en Congrès, il y a trois semaines.

« Le processus de modernisation de la RTNC et de l’Agence congolaise de presse se poursuivra et va s’étendre à travers les 26 provinces », avait déclaré Félix Tshisekedi, précisant que ce programme s’inscrit dans la vision de rendre plus compétitifs les médias du pays et de les aider à mieux remplir leur mission de production d’une information véridique.

« Trop longtemps notre histoire a été racontée à travers le prisme de la guerre et de la souffrance. Aujourd’hui, nous affirmons notre droit d’écrire notre propre récit, celui d’un peuple résilient, talentueux, riche de sa diversité et ses innombrables opportunités. Nos médias tant publics que privés seront pleinement mobilisés pour remplir cette mission », avait-il dit.

Lentement mais sûrement, l’ACP est en train de reconquérir sa place de média pourvoyeur de nouvelles pour d’autres maisons de presse, grâce à la détermination de son comité de gestion, qui a déjà réussi à mettre en place de nouveaux services de traitement et de diffusion des nouvelles. En dehors de son bulletin quotidien et de son site internet, l’ACP dispose d’un compte X qui, en une année, vient de franchir la barre de 50 000 abonnés.

ACP/C.L./CC

 


Le prix d’un carton des poulets « Wilki » de poids 12 contenant 10 pièces en provenance de la Turquie, est passé de 120.000 à 115.000FC, soit une diminution de 2.5% sur les marchés de Kinshasa, capitale de République démocratique du Congo (RDC), a appris samedi l’ACP dans un entretien avec Rosette Matari, entrepreneure au marché Matadi-Kibala dans la commune de Mont-Ngafula..

« Un carton des poulets «Wilki» de poids 12 contenant 10 pièces en provenance de la Turquie connaît une baisse de prix passant de 120.000FC à 115.000FC, soit 40,35 USD sur les marchés de Kinshasa, au cours de la période allant du 30 novembre au 27 décembre 2024 », a déclaré la mlême source.

Elle a attribué cette baisse de prix à l’abondance des produits sur le marché.

Parcourant les principaux marchés, à savoir Matadi-Kibala, Rond-point Ngaba, Gambela, Liberté, et des chambres froides de la commune de Limete, il s’est révélé en outre, qu’un carton de cuisses de poulet de 10kg en provenance de la Turquie, qui se vendait à 66.000 FC revient aujourd’hui à 62.000 FC, soit 21,75 USD, « sternum » revient à 67.000 FC, soit 23,50 USD contre 70.500FC du prix passé, un carton de Ngolo de 10kg revient aujourd’hui à 63.500FC, soit 22,28 USD, contre 67.000FC, un carton de poumons de 10 kg en provenance de la Thaïlande à 43.000FC, soit 15 USD contre 49.000FC, un carton de foies de 10kg en provenance de la Thaïlande qui se vendait à 63.500 FC, se négocie actuellement à 58.000, soit 20,35 USD.

Dans la même catégorie, un carton des pieds de porc de 10kg communément appelés « Makoso » en provenance de l’Europe est passé de 50.000 FC à 44.000 FC, soit 15,43 USD, un carton des rognons 10kg en provenance de l’Europe qui se vendait à 57.000FC, revient à 55.000FC, soit 19,29 USD, un carton de « Mbanga » de 10kg en provenance de l’Europe se vend à 65.000 FC, soit 22,80 USD contre 70.000FC, un carton des tripes, connu sous le nom de « Mabumu » en provenance de l’Europe est vendu à 68.000FC, soit 23,85USD alors qu’il se négociait à 75.000FC. 

Un carton de «Malangua» de 10kg revient à 60.000FC, soit 21 USD contre 62.500FC, un carton des cotis de viande en provenance de l’Europe est vendu à 105.000FC, soit 36,84 USD, contre 116.000FC, un carton poisson de tilapia de 10kg en provenance de la Namibie qui se negociat à 69.000FC revient à 65.000FC, soit 22,80 USD, un carton de dos de poulet de 10kg appelé communément « mikongo » revient à 43.000FC, soit 15 USD contre 45.000FC, un carton de masque des porcs se vend à 64.000FC, soit 22,45 USD, contre 67.000FC, un carton de cœurs en provenance de l’Europe se négocie à 48.000 FC, soit 16,84 USD, contre 50.000FC, un carton de « mungusu » de 10kg revient à 65.000fc, soit 22,80 USD contre 70.500FC, un carton de filet de porc de 10kg en provenance de l’Europe revient à 105.000FC, soit 36,84 USD alors qu’il se vendait à 110.000FC.

Stabilité de quelques produits

Par ailleurs, quelques produits sont restés stables de prix sur les marchés. Il s’agit notamment du prix d’ un carton de viande « TS » de 20 kilogrammes, en provenance de l’Europe, revient à 300.000FC, soit 105,26 USD, un carton de poissons appelés « mabundu » à 180.000FC, soit 63,15 USD, un carton de poissons salés de 9Kg en provenance de la Namibie est vendu actuellement à 167.000FC, soit 58,59 USD, un carton de cou de dinde revient à 88.000FC, soit 30,87 USD.

D’autres produits en hausse de prix

Par contre, il s’est révélé que d’autres produits ont connu une hausse sur les marchés a cause de la multiplicité de taxes, ainsi qu’à la dépréciation du franc congolais par rapport au dollar américain. Il s’agit notamment d’un carton de gésier qui se vendait à 70.000FC, se négocie a 97.500FC, soit 24,56 USD, un carton des noix de joue de 10kg revient à 120.000FC, soit à 42,10 USD, alors qu’il se négociait à 102.000FC, un carton de poulets communément appelé « nu » de 10 pièces qui se négociait à 78.000FC, revient actuellement à 89.000FC, soit 31,22 USD

En outre, un carton de poissons chinchards de 30 kilogrammes, 20+ communément appelés « Thomson », en provenance de la Namibie, qui se vendait à 260.000FC, revient aujourd’hui à 264.000FC, soit 92,63 USD, un carton de Malua de 20kg qui coûtait 182.000FC, soit 63,85 USD,contre 178.000FC, un carton de jarret de 10kg est passé de 80.000FC à 134.000FC, soit 47 USD, un carton de bambine de 15kg qui se vendait à 103.500FC revient à 105.000FC, soit 36,84USD.

ACP/C.L./CC



En marge de la clôture de l’année 2024, Jean-Claude Bambanze, président de la société civile de Rutshuru, a lancé un cri d'alarme face à la situation sécuritaire dégradante dans l'Est de la RDC -République démocratique du Congo-. Dans une déclaration rendue publique, ce samedi 28 novembre 2024, il dénonce avec la plus grande fermeté l'agression rwandaise et déplore la lenteur des FARDC -Forces Armées de la République démocratique du Congo-, face aux avancées du M23 -Mouvement du 23 mars-.

"Nous assistons impuissants à l'occupation de nos territoires par les Forces Armées rwandaises sous couvert du M23", a-t-il déclaré. 

Et d'ajouter :"Les FARDC semblent dépassées par les événements et ne parviennent pas à protéger les civils."

Bambanze a également fustigé le silence de la Communauté internationale face à cette guerre qui ravage l'Est du pays. "Où est la Communauté internationale ? Pourquoi reste-t-elle muette face à ce génocide qui se déroule sous nos yeux ? Nous condamnons et exigeons des sanctions immédiates contre les autorités rwandaises et leurs alliés qui soutiennent le M23", a-t-il martelé.

Le président de la société civile de Rutshuru a, enfin, appelé le Gouvernement congolais à prendre ses responsabilités et à mettre fin à cette guerre. "Nous demandons au Gouvernement de renforcer les FARDC, de doter nos militaires des moyens adéquats, pour faire face à cette agression et d’imposer une paix durable qui permette à tous les déplacés de regagner leurs milieux naturels", a-t-il poursuivi.

Avant de conclure: "Je demande, enfin, au Gouvernement congolais de bien prendre en charge les déplacés, en disponibilisant de l'aide humanitaire conséquente et de penser à tous les enfants obligés de vivre la mendicité au lieu d'aller à l'école."

Les propos de Jean-Claude Bambanze reflètent la colère et la désolation d'une population qui souffre depuis bientôt trois décennies de l'insécurité. Ses déclarations viennent s'ajouter à celles de nombreux autres acteurs de la société civile qui dénoncent l'impunité dont bénéficient les auteurs de ces crimes.

Prosper Buhuru

 


La ville de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, s’apprête à vibrer, ce dimanche 29 décembre 2024, au rythme d’un concert inédit, consacré au lancement officiel de l’album musical intitulé "Komeza" [entendez: continuer, évoluer en kihutu], par le groupe Nad Muzika.

"Komeza" est un opus composé de six chansons, au nombre desquelles, Besty, Niwe, Asante, Umuntu, Sangira et Tsinda. Son lancement aura lieu à la terrasse de l’Espace TGB, située en face de l’église du Pasteur Jean Omar, non loin du Mosquée Katindo.

Ainsi, la coordination de la jeunesse de l’association culturelle Igisenge Hutu, zone Est de la RDC, invite tous ses sympathisants à participer à cet événement, qui va marquer un tournant dans cette communauté. 

"Cet événement n’est pas seulement une célébration musicale; c’est aussi une occasion de montrer notre soutien à l’art et à la culture dans notre région. Nous vous encourageons vivement à vous approprier ce moment mémorable», explique Innocent Mirama, porte-parole de cette coordination. 

Et d’ajouter : "pour ceux qui souhaitent aller au-delà et soutenir cet événement grandiose, n’hésitez pas à contribuer davantage. Chaque geste compte et contribue à l’essor de notre culture et de nos artistes."

Pour rappel, la place standard pour participer à cette activité est fixée à 3.000 FC, soit 1$, et la VIP est réservée à 10 USD. Ce prix, aussi bas soit-il, vise, selon le groupe Nad Muzika, à permettre à tout habitant de Goma, à participer à ce concert, en vue de se régaler et enterrer bonnement 2024, qui tend à sa fin.

Prosper Buhuru 

 
 


Le gouverneur de la ville province de Kinshasa, Daniel Bumba Lubaki, a instruit un audit administratif général et des compétences assorti d'un contrôle physique et identification biométrique de tous les Cadres et Agents de l'Administration Urbaine.

D'après un communiqué signé par le ministre provincial du Plan, Budget, Emploi et Tourisme, Jésus-Noël Sheke, le premier citoyen de la ville a instruit cet audit dans l'objectif de rationaliser la gestion des ressources humaines par rapport aux différents cadres organiques et ce, en vue de l'adapter à la Loi n°08/012 du 31 juillet 2008 portant principes fondamentaux relatifs à la libre administration des provinces.

Y sont concernés : Le Cabinet du Gouverneur; les Cabinets Ministériels; le Personnel des Régies et services spécialisés de la Ville de Kinshasa; et l'Administration urbaine (Toutes les Divisions Urbaines).

"La maîtrise des effectifs étant un des objectifs majeurs de cette démarche, il est porté à la connaissance de tous les concernés, jusqu'ici bénéficiaires de la paie et de la prime, que les listes déclaratives sont actuellement considérées de caduques. Seules les conclusions de l'audit général administratif décidé par l'Autorité urbaine feront foi pour toutes les opérations de paie à venir, qui, dorénavant, se feront par voie bancaire", indique le communiqué.

Le ministre Jésus-Noël Sheke a, en outre, indiqué que dans un bref délai, le calendrier précis ainsi que les informations pratiques seront communiqués quant à ce.

 Gratis Makabi 



Le bicéphalisme à la SOCODA COOP -Société Congolaise des Droits d’Auteur et droits voisins- appartient dorénavant au passé.

De sources digne de fois, il nous revient qu'un accord d’une transition d’une année est conclu entre les deux parties, en présence des membres du ministère de la Culture, Arts et Patrimoine, initiateur de cette réconciliation, ce weekend, à Kinshasa, capitale de la RDC -République démocratique du Congo-.

À en croire ces mêmes sources, il sera question de fusionner les conseils d’administration Nyoka Longo et Blaise Bula, pour ne former qu´un seul, tout comme la direction générale. 

Ces deux fractions de la SOCODA fusionnées vont œuvrer sous la surveillance du ministère de la Culture, Arts et Patrimoine, au cours d'une année, avant la convocation d´une nouvelle assemblée générale extraordinaire.

Pour rappel, ce bicéphalisme à la SOCODA COOP est né à l'issue de l’Assemblée générale ayant élu Blaise Bula à la tête de cette coopérative en 2023.
Malgré l’arrêt rendu le 09 mai 2023, par la
Cour d’appel de Kinshasa/Gombe, reconnaissant Jossart Nyoka Longo comme seul PCA de cette structure, Blaise Bula continuait à se prévaloir comme PCA.

Serge Mavungu 

 



À compter de ce samedi, une paralysie généralisée des hôpitaux publics est attendue sur l’ensemble du territoire national, suite à l’annonce d’une « grève radicale » décrétée par le Syndicat National des Médecins d’après un communiqué de cette structure.

Ce mouvement social s’explique par le mécontentement croissant envers le gouvernement dirigé par Judith Suminwa, accusé de ne pas honorer les accords passés avec le banc syndical.

Cependant, les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri, sous état de siège, ainsi que les banques de sang, seront exemptées de cette grève.
 
Les médecins, unis derrière leur syndicat, dénoncent un manque de dialogue et des promesses non tenues, soulignant que la situation actuelle comprome non seulement leurs conditions de travail, mais aussi, et surtout, la qualité des soins offerts aux populations souvent déjà vulnérables.

Le Syndicat souligne que les accords précédemment établis avec le gouvernement concernant des augmentations salariales, des améliorations des conditions de travail, ainsi que des investissements dans les infrastructures sanitaires n’ont pas été respectés.

En conséquence, ils estiment qu’une action forte est nécessaire pour faire entendre leurs voix et rappeler au gouvernement ses obligations envers le service de santé publique.
 
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A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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