Dans la cité minière de Durba, en territoire de Watsa, province de Haut-Uele au Nord-est de la république démocratique du Congo (RDC), les activités socioéconomiques sont paralysées depuis le matin de ce lundi 23 septembre 2024. Des activités scolaires et autres n'ont pas bien fonctionné.

En effet, ceci fait suite aux deux journées villes mortes decretées par des jeunes du secteur de Kibali. Plusieurs jeunes sont descendus dans les rues de ladite cité pour protester contre l'insécurité qui sévit dans cette zone orchestrée par des hommes armés qui assassinent actuellement des civils.

Dans un communiqué publié avant la tenue de ces  journées villes mortes, l'autorité territoriale de Watsa avait pour sa part encouragé sa population à vaquer à ses occupations et de ne pas respecter cette mesure.

Des jeunes en colère n'ont pas respecté cette mesure. Ils étaient nombreux ce matin en brûlant des pneus dans des points stratégiques de Durba.

Signalons que ces deux journées villes mortes sont décrétées après le meurtre de deux jeunes hommes la semaine passée.

Reagan Bin kakani, à Durba



Le courant vient d’être rétabli, ce lundi 23 septembre, au dépôt 1 de l’Établissement public Transports au Congo (TRANSCO) après plus de 5 ans de coupure pour insolvabilité, apprend-on, dans un communiqué.

Selon ce communiqué, c’est grâce au management du Directeur général, Cyprien Mbere Moba que cette action a été rendue possible et qui s’inscrit la ligne de la vision du Chef de l’État, Félix Tshisekedi imprimée par la Première ministre, Judith Suminwa sous l’encadrement du Vice-Premier ministre, ministre des Transports, Voies de Communication et Désenclavement, Jean-Pierre Bemba Gombo.

Selon le Directeur Technique Ad-Interim, les groupes électrogènes de TRANSCO consommaient beaucoup de gazole (carburant) au détriment des bus, qui peinaient pour être ravitaillés en carburant, mettant en mal le bon fonctionnement de l’entreprise.

«Bien que c’est l’État qui nous subventionne en carburant, cela ne veut pas dire qu’on peut en faire mauvais usage. On utilisait un groupe électrogène de manière permanente et pourtant c’était un groupe de secours logiquement. Imaginez-vous en terme de consommation ce que ça valait. C’était tout au tour de 14 mettre cube le mois, en numéraire 17.000 dollars environ de dépenses de carburant chaque mois» a-t-il fait comprendre.
 
Pour sa part, le DG Cyprien Mbere Moba a tenu de rendre un hommage au président de la République, Félix Tshisekedi pour sa «noble» vision, tout en remerciant le VPM des Transports, Jean-Pierre Bemba pour ses orientations «stratégiques» et son leadership pour l’avancement de TRANSCO.
 
Les agents TRANSCO ont exprimé leur satisfecit aux yeux de tous à l’endroit de cette énième réalisation de l’actuel comité de gestion de cet établissement public de transports.
 
La même situation décriée au dépôt 1 concerne aussi le dépôt 2, et la situation sera décantée à en croire le DG Cyprien Mberé la semaine en cours.
 

Selon ce communiqué, depuis son arrivée à la tête de TRANSCO, le Directeur Général, le bâtonnier Cyprien Mbere Moba et son adjoint Flory Bwatuka Katema multiplient les actions à «impact visible».

Il s’agit notamment de l’ouverture de plusieurs lignes urbaines et interurbaines, sans compter la création des agences provinciales, le rétablissement de l’eau de la REGIDESO au dépôt 2 après plus de 5 ans de coupure pour non paiement des factures, l’installation d’une cantine sociale, la création d’un centre de formation en conduite automobile et la création d’un centre hospitalier, pour une meilleure prise en charge médicale des agents.

Christian Okende



La diaspora congolaise, forte de millions de personnes à travers le monde, reste un atout largement sous-exploité pour le développement de la République Démocratique du Congo. Malgré une contribution économique significative, des liens fragiles avec l’État et une absence de structuration freinent son impact potentiel. Ce constat soulève une question cruciale : comment mobiliser cette diaspora pour qu’elle devienne un moteur de croissance et de progrès pour la RDC ? Une analyse de LITSANI CHOUKRAN.

La diaspora congolaise est vaste. Elle compte plusieurs millions de personnes éparpillées dans le monde entier. Un potentiel énorme. Pourtant, ce levier reste largement sous-exploité par la République Démocratique du Congo. Les liens entre les Congolais de l’étranger et les institutions du pays sont presque brisés. Une rupture profonde. Résultat : la diaspora peine à contribuer pleinement au développement économique, social et politique du pays. Pourtant, les exemples d’autres pays montrent que la diaspora peut être un véritable moteur de transformation.

Rupture entre la diaspora et l’État

L’histoire récente du Congo explique cette rupture. Beaucoup de Congolais ont fui la répression politique, l’instabilité ou la guerre. Une grande partie de la diaspora est composée de demandeurs d’asile. Le phénomène est connu sous le nom de « Ngounda ». Ces Congolais ont souvent quitté le pays en fuyant des régimes, de Mobutu à Tshisekedi, et surtout celui de Joseph Kabila. Mais il ne faut pas se tromper : la majorité de ces exilés sont des migrants économiques. Pour obtenir l’asile, ils adoptent un discours répressif. Cela renforce leur position d’opposition systématique au pouvoir de Kinshasa, sans réelles divergences idéologiques.

Ce qui accentue la fracture, c’est l’absence de soutien institutionnel. Les ambassades et consulats congolais, censés représenter l’État à l’étranger, sont souvent inefficaces. Les Congolais de l’étranger se plaignent du manque d’assistance administrative et du peu de services fournis. Pas d’aide, pas de soutien. Une vraie coupure. Les institutions sont absentes et la confiance est perdue.

Le poids économique de la diaspora

Malgré tout, la diaspora reste un acteur clé de l’économie congolaise. Chaque année, des milliards de dollars sont envoyés au pays. En 2020, selon la Banque mondiale, la diaspora congolaise a envoyé environ 1,8 milliard de dollars au pays, soit près de 16,82% du budget annuel. C’est une somme énorme, une bouffée d’air pour de nombreuses familles. Mais ces transferts ne sont pas structurés. Ils sont dispersés et servent principalement à des besoins de base : nourriture, éducation, santé, logement. Cela manque de stratégie.

Comparons cela à d’autres pays. L’Inde, par exemple, a su organiser ses transferts de fonds. En 2021, la diaspora indienne a envoyé 87 milliards de dollars. Une grande partie de cet argent a été réinvestie dans des projets d’infrastructure, des start-ups, et le développement rural. Une stratégie nationale a permis de canaliser ces fonds vers des secteurs porteurs. Résultat ? Un impact réel sur l’économie du pays.

L’Éthiopie, elle aussi, montre l’exemple. Le gouvernement a réussi à mobiliser sa diaspora pour des projets de grande envergure, comme le barrage de la Renaissance. En mettant en place des incitations fiscales et des politiques favorables, Addis-Abeba a encouragé sa diaspora à investir dans des projets nationaux. La RDC pourrait s’inspirer de ces modèles.

Le potentiel de transfert de compétences

Mais ce n’est pas qu’une question d’argent. La diaspora congolaise possède des compétences précieuses. Médecins, ingénieurs, enseignants, scientifiques. Ils sont nombreux à exceller dans leurs domaines à l’étranger. En Afrique du Sud, en Europe, au Canada, les Congolais contribuent à des secteurs essentiels. Pourtant, ce savoir-faire est peu utilisé pour le développement de la RDC.

 



L'Ambassadeur de France en RDC -République démocratique du Congo- a, dans le cadre de la cinquième édition du Salon de l'étudiant, prévue les 27 et 28 septembre, à l'Institut français de Kinshasa, co-animé une conférence de presse avec Inès Negrini, responsable de Campus France RDC, ce lundi 23 septembre 2024, à la Halle de la Gombe.

Dans sa prise de parole, le diplomate français a indiqué que cette rencontre annuelle offre aux étudiants une opportunité unique de découvrir les diverses filières professionnelles, facilitant ainsi leur orientation académique, que ce soit en France ou en RDC.

Il importe d'indiquer que cet événement poursuit comme objectif, la promotion des secteurs d’activité générateurs d'emplois en RDC à travers des tables rondes animées par des experts du domaine; la valorisation de l'enseignement supérieur français et congolais; l'accompagnement des candidats dans la définition de leur projet de formation; et la présentation des procédures d’études en France.

Peu avant le représentant d'Emmanuel Macron en RDC, le responsable de Campus France RDC, Inès Negrini, a déclaré que "la tenue de cette rencontre vise à renforcer le lien entre les institutions éducatives locales et françaises, en créant un espace de dialogue et de collaboration entre les établissements de l'enseignement supérieur, les entreprises et les partenaires institutionnels".

Au cours de ce salon, qui va se dérouler sur deux jours, il y aura des conférences débats à la grande halle, dans la salle d'exposition, ainsi que dans différents stands installés à la petite halle.

Serge Mavungu 



Le président national du MRPC -Mouvement de réveil et prise de conscience-, Jacky Ndala, va porter plainte contre Denise Mukendi Dusauchoy, suite au viol qu'il a subi pendant son incarcération aux locaux de l'ANR -Agence Nationale de Renseignements-.

Pour Jacky Ndala, c'est Denise Mukendi Dusauchoy qui a commandité cet acte, et elle doit lui dire devant les juges, les raisons de cette cruauté.

"J'ai été effectivement sodomisé, parfois j'ai du mal à m'asseoir. Je ne savais même pas que c'était elle la commanditaire de ce viol. Il faut qu'elle me dise pourquoi elle m'a fait souffert de la sorte. J'ai vu des choses dans ce pays. J'attendais la fin du régime de Tshisekedi, pour traduire l'ANR en Justice ; mais Denise l'a avoué d'elle-même, c'est bon", a-t-il déclaré, lors d'une interview accordée à la journaliste Bibi Kapinga.

Jacky Ndala a, en outre, indiqué que Denise Mukendi Dusauchoy doit être jugée et puis le dédommager en cas de victoire. Il a aussi révélé qu'il habitait avec cette dernière, sur l'avenue Bipemba, dans la ville de Mbuji-Mayi.

Pour rappel, Denise Mukendi Dusauchoy a déclaré, dans une vidéo devenue virale, avoir commandité cet acte; car, elle est du pouvoir.

opinion-info/CC



Les Léopards dames seniors handball débutent, lundi 23 septembre, un stage bloqué de huit jours au Portugal pour préparer la 26e édition de la CAN de leur spécialité.

Cette compétition aura lieu du 27 novembre au 7 décembre prochain, à Kinshasa.

Amos Mbayo, président de la fédération congolaise de handball (FEHAND), a confirmé cette information à l'issue du tirage au sort effectué jeudi à Kinshasa. 

Selon lui, les fauves congolais poursuivent deux objectifs majeurs :

« Se qualifier pour la Coupe du monde. Donc, une fois vous êtes en demi-finale, vous étés qualifié pour la Coupe du monde. Et puis, aller la chercher, cette fois-ci » :

Lors du tirage au sort, les Léopards ont obtenu le groupe B de l'Angola, championne d'Afrique en titre, de l'Ouganda, du Cameroun, de la Guinée et de la Tunisie.

Des adversaires d’un gros calibre pour les fauves congolaises, demi-finalistes lors de la CAN 2014 organisée par l’Algérie perdue contre la Tunisie (20-23), qui vont espérer faire aussi bien que ses deux derniers participation.

radiookapi.net/CC



Le compromis n’a pas été trouvé entre le banc syndical et les autorités provinciales de l'EPST au sujet de la suspension de la grève des enseignants au Sud-Kivu. C’était à l’issue d’une rencontre le vendredi 20 septembre entre les deux parties à Bukavu.

Les syndicalistes ont présenté le calvaire que traverse l'enseignant congolais et ont estimé que seul le vote et la promulgation de l'édit portant fonds pour les frais innovants en province peut sauver cette année scolaire.

« Nous avons échangé avec les autorités provinciales de l’EPST. Elles voulaient qu’on puisse lever la grève. Nous avons dit que nous n’étions pas compétents pour lever cette grève déclenchée dans une assemblée générale par les enseignants. La proposition du Gouvernement est l’octroi de 50 000 francs congolais comme augmentation du salaire des enseignants. Et après calcul, les enseignants se rendent compte qu’ils n’ont même pas atteint 100 USD alors qu’ils demandaient 500 USD. Nous n’enseignerons pas et nous nous soumettrons à la décision de la base », a déclaré Jacques Cirimwami, secrétaire provincial du SYNECAT.

radiookapi.net/CC



La Fondation Bill Clinton pour la paix (FBCP) a mobilisé, lundi 23 septembre, les organisations de la société civiles contre la candidature de la RDC au Conseil des droits de l’homme de l’ONU.

Cette structure a fait cette mobilisation dans un communiqué parvenu à Radio Okapi :

« Nous tenons à réagir à la récente demande de la RDC de siéger au Conseil des droits de l’homme de l’ONU. Si nous saluons cette démarche en apparence encourageante, nous estimons néanmoins que la RDC ne satisfait pas aux conditions nécessaires pour prétendre à une telle position de responsabilité internationale ».

La FBCP a également dit disposer de preuves claires montrant que la RDC viole régulièrement sa propre Constitution du 18 février 2006, notamment dans ses articles 16 et 18, qui interdisent de détenir une personne plus de 48 heures sans présentation devant son juge naturel, et sans contact avec sa famille ou son avocat.

Elle a noté que ces violations ne sont pas de simples erreurs administratives.

« Les multiplications de cachots clandestins, arrestations arbitraires, détentions illégales, tortures physiques et morales, ainsi que des exécutions sommaires, sont autant de pratiques récurrentes qui minent les fondements même de la justice et du respect des droits humains en RDC », a poursuivi cette organisation.

Selon cette structure, il est inconcevable que, dans ce contexte de graves atteintes aux droits fondamentaux, la RDC puisse prétendre siéger au sein d'une institution aussi prestigieuse et cruciale que le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU.

La FBCP a ainsi invité l’ONU, à la Communauté internationale, et à tous les acteurs concernés, à ne pas commettre l’erreur de discréditer cette institution en acceptant la candidature de la RDC :

« Le respect des Droits de l'Homme est un pilier fondamental de la crédibilité de l’ONU, et permettre à un État, qui bafoue les droits de ses propres citoyens, de siéger à ce Conseil serait un signal extrêmement négatif envoyé à l’ensemble de la communauté internationale ».

Cette structure est d’avis que la reconnaissance de la RDC au sein de cette instance internationale serait une trahison des principes mêmes que l'ONU est censée défendre.

C’est en aout dernier que la RDC se portait candidate au Conseil des droits de l’homme et au Conseil de sécurité de l’ONU.

La ministre des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, l’avait même annoncé au cours du conseil des ministres, présidé vendredi 9 aout à Kinshasa par le chef de l’Etat Félix Tshisekedi. 

Les deux candidatures de la République démocratique du Congo, avaient é endossées par l’Union africaine, au cours de la 4eme session ordinaire du conseil exécutif tenu les 14 et 15 février 2024 à Addis Abeba.

radiookapi.net/CC



Le ministre d’État, ministre de la Justice, Constant Mutamba, a adressé une injonction ferme aux procureurs généraux près les cours d’appel de la RDC, leur enjoignant d'engager des poursuites contre les auteurs d'actes de dépravation des mœurs sur les réseaux sociaux, notamment sur des plateformes comme TikTok.

Dans une lettre circulaire, le ministre a déploré la prolifération de contenus immoraux circulant en toute impunité à travers ces réseaux, contenus qui, selon lui, « choquent la société et mettent en mal l'éducation de la jeunesse ». Il a attiré l'attention sur l'Ordonnance-Loi n° 23/010 du 13 mars 2023, qui encadre les infractions commises dans le cyberespace, et a demandé aux procureurs de faire respecter ces dispositions légales.

La directive a été étendue à la police judiciaire des parquets ainsi qu'à la Commission nationale de censure des chansons et des spectacles, leur demandant d'interpeller les contrevenants. Cette mesure vise à préserver la moralité collective, selon le ministre. Les procureurs sont tenus de soumettre des rapports sur l'exécution de cette injonction dans les prochains jours.

Cette initiative intervient dans un contexte tendu, marqué par la récente polémique entourant Jacky Ndala, ancien coordonnateur national de la jeunesse du parti Ensemble pour la République, et Denise Mukendi Dusauchoy, une influenceuse digitale. Mukendi a admis dans une vidéo choquante être à l'origine du viol dont Ndala a été victime lors de sa détention à l'Agence Nationale de Renseignement (ANR). Le Conseil Supérieur de la Communication et des Médias (CSAC) a imposé un embargo médiatique de 45 jours sur toute mention de Jacky Ndala et Denise Mukendi Dusauchoy, interdisant toute diffusion liée à cette affaire sur les médias et réseaux sociaux.

Ce regain de tension autour de la question des droits des détenus et des conditions de détention en RDC soulève de nouvelles interrogations sur la gestion de la justice et la régulation des contenus en ligne.

actualite.cd/CC



La deuxième édition du festival Tombola Danse, organisée par Kongo Danse, s’est déroulée du mercredi 18 au vendredi 20 septembre au centre culturel congolais le Zoo. Ce festival, dédié à la célébration des danses contemporaines et traditionnelles, a offert au public trois jours intenses de performances artistiques, mettant en avant des talents locaux et internationaux.

La soirée de clôture a eu lieu le vendredi 20 septembre à la plateforme contemporaine, et a été marquée par une série de prestations captivantes qui ont couronné ces trois journées de célébration de la danse. Parmi les moments forts, Doudou Saidi a offert une performance saisissante intitulée "Trace", une exploration du mouvement et de l'identité à travers des chorégraphies innovantes.

Ensuite, le public a assisté à un impressionnant face-à-face avec le duo Pepenas, dont la prestation a sublimé l’art du mouvement en duo, mêlant force et poésie. Leur interprétation a marqué les esprits par l’harmonie et la synchronisation parfaite de leurs mouvements, soulignant l’importance de la collaboration et de la complicité dans la danse.

Le festival s’est achevé en beauté avec la présentation de "Ilonga Kolanga Ko’onga", une œuvre magistrale du groupe Ballet Ubunye. Ce groupe a fusionné danse traditionnelle et contemporaine, montrant toute la richesse de l’héritage culturel congolais tout en y apportant une touche moderne. Cette performance a su capter l’attention du public par son énergie et sa profondeur, incarnant parfaitement l’esprit du festival, qui se veut une plateforme d’échanges entre les racines ancestrales et les expressions artistiques contemporaines.

Cap vers la troisième édition 

L’organisateur de l’événement, Fabrice Don de Dieu Bwabulamutima, dans son discours de clôture, a souligné l’importance de tels festivals pour la promotion de la danse en République Démocratique du Congo, mettant en avant le besoin de soutenir les artistes locaux et de créer des espaces où les talents émergents peuvent s’exprimer librement. Il a également exprimé sa satisfaction quant au succès de cette deuxième édition, tout en annonçant que la prochaine édition qui se tiendra du 25 août au 5 septembre 2026, promettant encore plus de spectacles et d’innovations. 

Le Festival Tombola Danse, par son organisation, a permis de mettre en lumière non seulement la diversité des styles de danse, mais aussi le potentiel énorme que recèle la scène artistique congolaise. En clôturant sur cette note haute, le festival a laissé des impressions durables, consolidant son rôle comme un rendez-vous incontournable pour les amateurs et professionnels de la danse dans le pays.

L'attente pour la troisième édition de Tombola Danse est désormais lancée, et l'avenir de la danse contemporaine en République Démocratique du Congo s'annonce plus brillant que jamais.

James M. Mutuba

 

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