Irène Esambo excelle par une performance jamais réalisée dans la défense et la promotion des Personnes vivant avec handicap (PVH). Le ministère des PVH représente aujourd'hui un portefeuille riche en contenu. Doté d'un secrétariat général (administration), ce ministère qui s'occupe des invalides doit également compter sur de nombreuses et innombrables innovations. Au départ, un rêve nourri par le chef de l'État, aujourd'hui concrétisé par Irène Esambo à la manœuvre pour doter le pays d'une Loi organique portant protection et promotion des droits des PVH, d'une Politique nationale sur les questions liées aux PVH, d'une stratégie nationale d'accessibilité, d'autonomisation et d'inclusion des PVH, ainsi que d'un secrétariat général.

Grâce à cet arsenal, couplé au Fonds de promotion et d'autonomisation, une personne atteinte de handicap peut désormais quitter la marge de la société, pour devenir actrice de son développement.

Irène Esambo persiste et signe : un travail décent permet à chaque personne vivant avec handicap de contribuer au développement de son pays. Il est temps de quitter la mendicité.

Depuis son avènement au sommet de l’appareil étatique en 2019, Félix Tshisekedi a fait de la promotion et de l’autonomisation des Personnes vivant avec handicap (PVH) son cheval de bataille. Le chef de l’Etat congolais a tout de suite signé une réforme, en créant un département gouvernemental dédié entièrement au traitement des questions liées aux PVH, désormais quasiment affranchies du ministère des Affaires sociales. 

Qui pour porter une telle réforme inédite au monde, si ce n’est une dame de fer, réputée pour son combat en faveur des droits des personnes invalides ? L’oiseau rare déniché par Tshisekedi se nomme : Irène Esambo Diata. Cette avocate à la Cour pénale internationale (CPI) a reçu la mission de donner du contenu à un ministère qui, auparavant, n’a jamais existé aussi bien en RDC qu’à travers la planète. 

Pour une dame, elle-même invalide, attaquée par la polio depuis son enfance, qui, pour le bien-être présent et à venir de ses semblables, se doit de surpasser son handicap, la tâche s’annonce bien ardue.

Convaincue que « vivre avec un handicap n’est pas un handicap pour vivre et réussir », Esambo, avec courage et dextérité, s’est jetée à l’eau au point de parsemer de réalisations indélébiles son parcours de cinq ans à la tête du ministère des PVH. 

La première d’entre ces réalisations : la Loi organique n°022/003 du 3 mai 2022 portant protection et promotion des droits de la personne avec handicap. Celle-ci a le mérite, selon la ministre Esambo, de guider la RDC vers une République inclusive, forte de ses innovations aussi bien en termes des droits que des devoirs des personnes invalides vis-à-vis de la nation.

Sur pied de l’article 49 de la Constitution, qui reconnait aux PVH et autres personnes vulnérables le droit à une protection spéciale et à une représentation dans les institutions, la Loi organique du 3 mai 2022, au-delà des innovations, a arrêté des mesures spécifiques pour la jouissance effective desdits droits, permettant, par conséquent, à cette catégorie de la population de « quitter le stade de la mendicité et garantir l’autonomie des PVH ».

L’autonomie étant le fruit du travail, cette Loi consacre une « discrimination positive » par l’introduction, à travers son article 28, du seuil de représentation de la personne avec handicap dans les institutions, l’administration publique et dans les entreprises publiques comme privées. Ce seuil, selon le Décret pris par le Premier ministre à ce sujet, est fixé à 5% pour toute organisation publique et à 3% pour les privés.

Dans l’optique de rendre ces PVH aptes à travailler au sein de ces organisations du secteur public et privé, la ministre Esambo, dans la droite ligne de la vision du Président Tshisekedi, mène un lobby auprès des établissements d’enseignement humanitaire et académique pour la réduction des frais de scolarité en faveur des invalides, tout envisageant que son ministère puisse mettre à la disposition des étudiants avec handicap des kits appropriés à leur état. A cela s’ajoute, conformément aux dispositions de la Loi organique du 3 mai 2022, l’adaptation des infrastructures publiques à la mobilité des PVH.

Création du Fonds national d’appui à l’accessibilité et à l’autonomisation des PVH. Telle est une autre innovation de la Loi organique du 3 mai 2022, concoctée sous la houlette de Me Irène Esambo, et dont l’objectif est de promouvoir l’entrepreneuriat de la personne avec handicap et d’apporter un certain soulagement douanier et fiscal aux opérateurs économiques qui prennent à cœur l’intérêt de cette catégorie de la population vulnérable. Ce Fonds, repris dans le budget 2024, devrait être opérationnel cette année.

Aux côtés de ce fonds dédié à l’indépendance des PVH, la Loi organique du 3 mai 2022 crée un cadre de concertation, dénommé Conseil consultatif des PVH, qui sert d’interface entre le pouvoir public et les organisations des PVH. 

En plus, une médaille de vaillance pour la nation a été instituée en guise de reconnaissance de la patrie aux prouesses des soldats blessés au front. La médaille est accompagnée de divers avantages socio-professionnels. Notamment la réorientation professionnelle et un suivi psychologique en faveur de ces blessés de guerre.

La Loi organique du 3 mai 2022 prévoit tant d’autres innovations comme la création d’un centre de recherche et d’un laboratoire dédié à la fabrication des produits destinés aux albinos, la création d’une académie de la langue des signes qui devrait être admise comme la 5e langue nationale, en vue de faciliter la communication entre les invalides et les valides. 

Au-delà de cette Loi organique, Me Irène Esambo, dans l’optique de baliser et consolider l’indépendance de son département au gouvernement, a doté le ministère des PVH et APV d’un secrétariat général, en cours de mise en place. Un secrétaire général, François Kasanda, une personne atteinte d’albinisme, est en poste depuis septembre dernier, nommé sur ordonnance présidentielle, pour organiser cette administration qui a vu le jour une année plus tôt. 

Ce secrétariat, dont l’une des missions essentielles est de pérenniser les acquis obtenus grâce au travail des titans abattus par Irène Esambo, devra être tenu, selon l’esprit de la Loi organique du 3 mai 2022, par 60% des invalides et 40% des valides.

Les opérations de recrutement, qui se déroulent à travers toute l’étendue du territoire national, sont pilotées par l’Ecole nationale d’administration (ENA), question de composer une administration de qualité avec un personnel suffisamment affuté pour relever les défis.

Aux commandes du ministère des PVH et APV, Irène Esambo, fidèle à la vision du Président Félix Tshisekedi, a offert à la RDC sa Politique nationale sur les questions liées aux PVH, ainsi que la Stratégie nationale d’accessibilité, d’autonomisation et d’inclusion des PVH. Autrement, grâce à Me Esambo, la RDC a un arsenal de taille pour lutter contre toute pesanteur ou blocage à la promotion des personnes invalides. Un mérite reconnu par l’ONU qui a fait de la RDC, pays modèle en matière de protection, de promotion et d’inclusion sociale des PVH, et lui a décerné la mention « Championne africaine de handicap ».

A New-York, à la Convention des PVH, Me Irène Esambo a brillamment défendu ces deux documents sans lesquels il est impossible de faire décoller les PVH vers leur pleine autonomisation et inclusion. 

Faut-il en exiger plus à une dame qui, en cinq ans seulement, et malgré sa condition physique et les turbulences politiques ayant émaillé le premier mandat de Félix Tshisekedi, a donné corps et sens à un secteur jadis inexistant ? Certains défenseurs de la cause des PVH s’accordent à reconnaitre que Me Irène Esambo, désormais, est une bibliothèque, une source où tout le monde pourra puiser dans ce combat en faveur des invalides. Cette avocate de la CPI, sans doute, a encore du jus à donner, ont-ils estimé. Sa page, ont-ils plaidé, ne devrait pas être refermée. « Ce serait allé vite en besogne. Elle est l’architecte du secteur public de promotion des PVH. Elle doit finir son travail, pour y aller avec le sentiment du devoir bien accompli », a confié l’un d’entre ces défenseurs de la cause des PVH, non sans supplier que les jeux des politiques ne puissent pas l’emporter sur les soucis de l’amélioration de leurs conditions, de plus en plus garantie sous les auspices d’Esambo.

Edmond Izuba

 


L’international footballeur belge d’origine congolaise, Romelu Lukaku, s’est exprimé après la défaite des Léopards de la RDC face aux Éléphants de la Côte d’Ivoire (1-0), le mercredi 07 février 2024, au stade Alassane Ouattara d’Ebimpé, en demi-finales  de la CAN -Coupe d’Afrique des Nations-.

L’attaquant de l’AS Rome a salué le parcours des Fauves congolais dans cette fête du football africain, et le geste de soutien aux victimes des provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri.

« Fier de vous les gars, vous avez rendu un peuple entier très fier de vous », a-t-il indiqué.

Il est à noter que les Léopards vont affronter les Bafana Bafana d’Afrique du Sud, ce samedi 10 février, au stade Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, dans le cadre de la 3ème place de cette CAN. La rencontre est prévue à 21h00, heure de Kinshasa.

opinion-info.cd/CC



L’aventure de la RDC à la CAN s’est arrêtée au stade de demi-finales, après sa défaite devant la Côte d’Ivoire par le score étriqué (1-0). Cette remarquable épopée des Léopards à la CAN va rapporter gros à la Fédération Congolaise de Football.

Ayant atteint le dernier carré de la compétition, les Congolais ont empoché la somme de 2,28 millions d’euros soit 2,5 millions de dollars.

Alors que très peu de gens les attendaient à ce niveau de la compétition, les Léopards ont réussi à atteindre le dernier carré de la Coupe d’Afrique. Une seule carte reste à jouer pour les troupes de Sébastien Desabre ; celle d’aller chercher à finir sur le podium. Dimanche, contre l’Afrique du Sud de Percy Tau qui.

actuRDC/CC



La Cour constitutionnelle a demandé, jeudi 8 février, aux ministres, aux gouverneurs de provinces et membres de cabinets politiques élus le 20 décembre 2023 de démissionner de leurs fonctions politiques, sauf s'ils renonçaient à leur mandat électif.

Cette Haute cours a formulé cette requête dans son arrêt rendu en interprétation des dispositions constitutionnelles sur l'incompatibilité des fonctions politiques avec le mandat électif.

Cette juridiction a ainsi jugé non fondée la requête introduite par le chef du gouvernement sur l'interprétation de la Constitution et de la loi électorale concernant l'incompatibilité des fonctions.

Notons que cette décision de la Cour constitutionnelle a malencontreusement été attribuée par les médias dernièrement au Conseil d'État. 

Au pays, certains analystes juridiques ont rappelé le caractère strict de cette interdiction de la Cour constitutionnelle, visant à éviter la confusion des rôles, les dédoublements de paiements aux dépens du trésor public et à prévenir les conflits d’intérêts et à maintenir l’équilibre des pouvoirs, énoncés dans la constitution et d’autres lois de la République. 

radiookapi.net/CC



C’est depuis ce 2 février 2024 que la Société d’Exploitation du Guichet Unique Intégral en RDC (SEGUCE) a accueilli sa nouvelle Directrice générale adjointe dénommée Yolene Kayakez-A-Mutomb. Pour ce faire, une cérémonie de remise et reprise avec son prédécesseur Adelard Matata s’est tenue le même jour dans la salle de conférence de SEGUCE RDC devant tous les membres du conseil d’administration et hauts cadres de cette entreprise.

Prenant la parole, le président du Conseil d’administration, Jean-Baptiste Kongolo Kabila, a présenté les grandes lignes des actions de SEGUCE RDC SA. Ce, avant de mettre l’accent sur les réformes portées par l’entreprise, notamment la dématérialisation des documents règlementaires ou autorisations préalables délivrés par les services compétents pour les opérations d’import-export et de transit des marchandises ; la finalisation des travaux de développement informatique et l’implémentation des modules d’échanges des données entre la DGDA et la SEGUCE RDC SA, particulièrement en ce qui concerne la transmission de la liasse documentaire.

A cet effet, il a réitéré son vœu auprès des cadres notamment : mettre à contribution leur expertise, en vue de permettre ainsi au GUICE de finaliser son objectif principal relatif à être le seul point d’entrée unique et utile aux parties impliquées dans le commerce et ainsi échanger des informations ou documents normalisés afin de remplir toutes les formalités officielles liées à l’importation, à l’exportation et au transit des marchandises.

L’application de ces réformes connaitra désormais le soutien de la DGA Yolene Kayakez-A-Mutomb, qui a été nommé quelques jours seulement après l’investiture du président Félix-Antoine Tshisekedi pour son deuxième mandat. C’est ainsi qu’elle a tenu à remercier le président de la République, chef de l’Etat, pour la confiance placée en sa modeste personne. Elle a profité de cette occasion pour réitérer son engagement à travailler sans relâche pour contribuer activement à la réalisation de la vision du Président de la République en vue du renforcement l’amélioration des performances de SEGUCE.

Avec plus de 12 années d’expérience dans les secteurs de la finance et de l’optimisation opérationnelle acquise lors de son parcours dans plusieurs sociétés multinationales basées en Afrique, en Australie et en Europe, elle s’engage désormais à mettre son expertise au profit de la République démocratique du Congo à travers la SEGUCE.

Rappelons que la Société d’exploitation du Guichet Unique Intégral en RDC (SEGUCE RDC) est chargée de mettre en œuvre la réforme visant à faciliter le commerce extérieur de la République Démocratique du Congo par la mise en place d’une plateforme électronique neutre fluidifiant les échanges entre différents acteurs désireux d’importer ou exporter des marchandises en RDC.

Service de communication/CC



La Cour constitutionnelle de la République Démocratique du Congo a rejeté la requête introduite par le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde au nom des membres à propos du cumul des fonctions.

La Haute Cour siégeant en matière d’interprétation de la constitution estime que le cul des fonctions ministérielle et législative est contraire à la loi fondamentale qui régit le mode d’exercice des fonctions au sein de l’appareil étatiques.

« En conséquence, (La Cour) dit que les membres du Gouvernement, des cabinets ministériels et du secrétariat général du gouvernement nouvellement élus députés nationaux, sénateurs, députés provinciaux, conseillers communaux de secteurs ou de chefferies et qui auront opté pour leur mandat électif, perdront d’office et immédiatement leurs fonctions incompatibles », a indiqué le Président de la Cour constitutionnelle, Dieudonné Kamulete cité par l’Agence congolaise de presse.

Dans la foulée, il a déclaré que leur intérim aux fonctions qu’ils occupaient au sein du gouvernement ou de tout autre organisation publique est de droit assuré conformément à la constitution et aux droit de la République.

Toujours en rapport avec le cumul de mandat, le Conseil d’Etat avait démenti avoir statué sur cette question après une requête du Premier ministre. Cette juridiction précisait cependant que l’avis qui circulait sur plusieurs plateformes faisait référence à la décision rendue en 2019 par cette juridiction dans les mêmes conditions.

Plusieurs membres du gouvernement étant élus députés nationaux ou provinciaux seront frappés par cet arrêt de la Cour constitutionnelle. Il s’agit entre autres du Premier ministre Sama Lukonde, Vice-premier ministre de l’Economie, Vital Kamerhe, du ministre Finance, Nicolas Kazadi, etc.

David Mukendi



La RDC est le champ de bataille des hommes du Rwanda à la vue de toute la communauté internationale, mais personne n’ose poser des actes concrets pour sauver cette nation déchirée par des guerres injustes depuis plus de deux décennies. Alors que le match de demi-finale de la Coupe d’Afrique Côte d’Ivoire 2023, entre le pays organisateur et la RDC devait servir de créneau aux congolais venus dénoncer les atrocités commises par le Rwanda et des groupes rebelles à l’Est du pays, les responsables de la CAF et celles de la Côte d’Ivoire auraient refusé de laisser passer les messages congolais pour des raisons inconnues.

Les panneaux congolais et le groupe de supporters du pays de Lumumba n’ont pas été filmés par les hommes de la CAF dans le but de ne pas passer les révélations congolaises à l’échelle internationale. En RDC, cette politique témoigne la non prise en compte de la situation de guerre en RDC par les institutions et pays du monde.

La RDC ne devrait donc que compter sur elle-même pour le rétablissement de l’ordre social sur son territoire. L’organisation des rangs des hommes en uniforme et les actes politiques de haute facture permettront de débouter l’ennemi actuellement bien assis sur le sol congolais. Le peuple congolais se doit de quitter l’oisiveté afin de sauver sa nation longtemps pris en sandwich entre les groupes rebelles et la politique internationale.

Gaël Hombo/CC



La Cour constitutionnelle a, dans ses arrêts rendus ce jeudi 08 février 2023, rejeté toutes les requêtes des candidats députés nationaux invalidés par la CENI -Commission électorale nationale indépendante-.

Pour rappel, parmi les candidats débarqués des législatives nationales, provinciales et municipales, figuraient trois ministres en fonction, quatre gouverneurs de province, un membre du bureau de l’Assemblée nationale, des mandataires publics et des députés de la législature finissante.

La Cour constitutionnelle a, dans ses arrêts rendus ce jeudi 08 février 2023, rejeté toutes les requêtes des candidats députés nationaux invalidés par la CENI -Commission électorale nationale indépendante-.

Pour rappel, parmi les candidats débarqués des législatives nationales, provinciales et municipales, figuraient trois ministres en fonction, quatre gouverneurs de province, un membre du bureau de l’Assemblée nationale, des mandataires publics et des députés de la législature finissante.

Serge Mavungu 



Les réactions fusent de partout, après la défaite des fauves congolais face l'équipe de la Côte d’Ivoire en demi-finale.

Le chef de l'État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, nonobstant  cette défaite, a adressé ses encouragements aux Léopards.
À l'en croire, les parcours de nos Léopards sont honorables.

Il importe de signaler que, bien qu'éliminée en demi-finales par la Côte d'Ivoire, la RDC va affronter l'Afrique du Sud en petite finale, le samedi 10 février 2024,  au Stade Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan. La rencontre est prévue à 21h00, heure de Kinshasa.

Serge Mavungu 



Le nouvel attaquant du Betis Séville (D1 Espagne), Cédric Bakambu, et les Léopards de la RDC, battus par les Éléphants de la Côte d’Ivoire (0-1) le mercredi 7 février lors de la demi-finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), restent malgré tout en course pour décrocher la troisième place et une médaille, qui constituent désormais un véritable objectif.

Au micro d’ACTUALITE.CD, Cédric Bakambu, meilleur buteur des Léopards actuellement, a déclaré que leur parcours n'était pas encore terminé car ils doivent encore obtenir une troisième place et une médaille.

« C’est vrai, nous avons perdu, mais tout n’est pas à jeter. Le parcours n’est pas fini, il nous reste un dernier match et une troisième place à chercher. C’est le football, aujourd’hui nous sommes tombés face à une belle équipe », a-t-il dit.

Concernant sa performance parfois critiquée, le nouvel attaquant du Betis Séville, conscient de la période difficile qu'il traverse, déclare qu'il ne baissera pas les bras. Il promet de tout donner de la même manière qu'il le fait habituellement afin de retrouver sa meilleure performance pour ce dernier match.

« Je sais que je traverse une saison compliquée. Ça se sent pendant cette CAN. Mais je ne baisserai pas les bras et je veux tout donner comme d’habitude pour ce dernier match qui nous reste », a-t-il poursuivi.

Cédric Bakambu et ses coéquipiers ont brillé avec un parcours remarquable lors de cette compétition. Ils ont réussi à éliminer l’Égypte en huitièmes de finale, puis la Guinée en quarts de finale avant de se frayer un chemin jusqu'au dernier carré de ce tournoi.

La RDC tentera de se réconforter avec la troisième place en affrontant les Bafana Bafana, qui ont été défaits par la sélection nigérienne. Rendez-vous est pris le samedi 10 février prochain pour cette rencontre au stade Félix Houphouet-Boigny à Abidjan.

Fiston MOKILI

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Ali Kalonga

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