Un marché pirate érigé au rond-point Pompage, dans la commune de Ngaliema, (Ouest de Kinshasa), en République démocratique du Congo, a été évacué lundi, par la police de la ville lors du suivi de l’opération d’alternance de circulation à sens unique.
« Nous avons constaté un grand marché pirate ici au rond-point pompage. Nous venons de l’évacuer cette fois-ci pour de bon. Nous laissons des dispositions pour qu’il ne puisse plus exister. Cela va permettre aussi la fluidité de la circulation », a déclaré Blaise Kilimbalimba, commissaire divisionnaire adjoint de la police ville de Kinshasa.
« Nous voulons que les usagers puissent respecter le sens giratoire prévu par la Commission nationale de prévention routière. Nous allons laisser un dispositif ici pour que nos mamans qui vendaient ici ne vendent pas sur la voie publique ou sur les artères principales pour leur propre sécurité », a-t-il ajouté.
Selon lui, ce marché pirate a été évacué dans un cadre purement préventif.
« C’est pour l’intérêt de nos mamans vendeuses. Elles doivent comprendre que la voie publique est dangereuse. Elle ne peut pas servir de marché. Il suffit qu’un véhicule en mauvais état puisse faire une fausse manœuvre qui peut faire en sorte que ces mamans ne puissent plus rentrer chez elles. Et là elles risquent de dire que la police ne les a pas sécurisées », a-t-il dit.
Interdiction de déchargement nocturne des marchandises
Sur le plan de la sécurité, le commandant de la police de la ville de Kinshasa a rappelé que les activités de déchargement des marchandises qui s’opèrent nuitamment aux alentours du rond-point pompage, sont interdites.
« Mais compte tenu de la situation, nous venons de prendre des dispositions avec l’autorité communale pour le cas spécial des commerçants de pompage afin qu’ils puissent faire le déchargement de leurs marchandises la nuit mais sous surveillance de la police, cela dans le but de permettre une bonne circulation des personnes pendant la journée », a-t-il noté.
L’évacuation de ce marché pirate au rond-point pompage, précisément sur l’avenue du Tourisme, a coïncidé avec l’itinérance du commandant de la police ville de Kinshasa effectuée dans la partie Ouest de la capitale congolaise dans le but de se rendre compte de l’effectivité de la circulation à sens unique avec alternance décidée le week-end dernier par le ministère des Transports, voies de communication et désenclavement afin de réduire les embouteillages.
ACP/CC
Des véhicules provenant des avenues Nguma, des Ecuries, du Tourisme, de Kasa-Vubu et autres ont été bloqués, lundi 28 octobre dans la matinée, dans un gros bouchon au niveau de Kintambo-Magasin.
Un reporter de Radio Okapi l’a constaté lors de la première journée d’expérimentation du dispositif de circulation alternée mis en place depuis dimanche dans le cadre de nouvelles mesures contre les embouteillages à Kinshasa.
Des agents de la police nationale ont barricadé toutes les entrées secondaires sur l’avenue Mondjiba, obligeant ainsi les véhicules venant du centre-ville à arriver jusqu’à la place Kintambo magasin pour se rendre à Ozone ou Kintambo notamment. Ceux venant de l'Ozone aussi étaient obligés de passer par Kintambo magasin et interdits de prendre des avenues secondaires qui contournent cette place.
Même l’avenue Komoriko était fermée à la circulation comme le boulevard du 30 juin au niveau de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), où l’entrée allant vers l’avenue de la Justice a été barricadée.
Les véhicules étaient contraints de se rendre jusque vers le croisement Boulevard et Wangata pour revenir à l’entrée de l’avenue de la Justice.
Cette nouvelle expérience a cependant produit des résultats escomptés dans certains endroits, par exemple le sens unique imposé sur l’avenue du Tourisme où la circulation a été fluide en allant vers le centre-ville.
Contrairement aux embouteillages qui commençaient déjà vers 5h du matin, sur avenue Nguma qui était transformée aussi en sens unique à partir de la Méteo en montant vers Magasin Kintambo, la circulation avançait bien qu’à pas de tortue, comme le témoigne ce kinois trouvé à bord d’un véhicule sur place à Nguma.
« Nous avançons molo molo mais on prend quand même du temps car depuis qu’on a quitté Méteo nous avons fait plus de 45 minutes pour arriver à Magasin », a-t-il souligné.
Certains Kinois ont été surpris ce lundi par la présence accrue de policiers dans différentes intersections des routes à forte affluence et l’installation d’une circulation alternée dans d’autres.
Ces mesures de la Commission nationale de prévention routière (CNPR) et l'Office des voiries et drainage (OVD), sont prises sous l’autorité du ministère des Transports, du ministère des Infrastructures avec le concours du gouverneur de la ville de Kinshasa et de la police nationale.
radiookapi.net/CC
VC Garde républicaine de la République démocratique du Congo (RDC) a dominé VC Ggsp (Direction générale de la sécurité présidentielle) du Congo, par 3 sets 0, (32-30,25-18, 25-24), lundi, au gymnase Henri Elende de Brazzaville, à la 5ème journée des éliminatoires zone 4 de la Ligue des champions africaine des clubs de volley-ball masculin.
Après avoir arraché 4 victoires consécutives dans cette compétition, la Garde républicaine a fait que confirmer sa suprématie dans ces éliminatoires, en se montrant plus performante devant ce club brazzavillois dans les trois différents sets.
Au premier set, le club de la RDC a pris le dessus sur son adversaire par un score serré de 32-30, avant de creuser l’écart au deuxième set sur la note de 25-18.
Au troisième et dernier set, malgré la réaction du club congolais (Dgsp), la Garde républicaine l’a maitrisé, en s’imposant de nouveau sur le score étriqué de 25-24.
Avec cette victoire, la Garde républicaine a totalisé 14 points, en se classant en première position, en 5 sorties.
Dans le derby entre les deux clubs brazzavillois, le VC Saint Michel de Ouendzé (SMO) s’est incliné devant le VC Inter Club sur le score de 0 set 3.
Après ces deux matches joués, le classement actualisé à l’issue de la 5ème journée de ces éliminatoires zone 4 de la 10ème édition de la Ligue des champions africaines des clubs de volley-ball, en version masculine se présente de la manière suivante : Garde républicaine (RDC) 14 points, Direction générale de la sécurité présidentielle (Dgsp) du Congo, Port autonome de Douala du Cameroun et Litton Team du Cameroun 9 points à chacun, Inter Club du Congo 4 pts, AS Gendarmerie 3 pts, Saint Michel Ouendzé (SMO) du Congo 0 points.
ACP/CC
le clip de la chanson « Bo supporter nga », réalisé par le groupe musical « MPR » (Musique populaire de la révolution) en featuring avec le rappeur Khonee, tous de la République démocratique du Congo (RDC), a été dévoilé lundi, a appris l’ACP, d’une source proche des artistes.
« Le clip +Bo supporter nga+ (supportez moi), un featuring du groupe musical MPR avec Khonee, est déjà disponible sur toutes les plateformes de téléchargement légales », a déclaré Owandji Kabamba, conseiller en charge de la stratégie du groupe « MPR ». « Tout comme +Bomengo +, +Kanda ya vie+, +Mosantu+, +Bilembo+,+Bo supporter nga+ fait aussi partie des chansons de la compilation musicale intitulée +Avant l’album+. Les talentueux artistes du groupe musical +MPR+ lancent un message à leurs détracteurs. Une manière de dire que c’est notre temps, on cartonne. Donc, continuer à nous supporter », a-t-il ajouté.
D’après Owandji Kabamba, le clip de la chanson « Bo supporter nga » est une autre manière d’annoncer l’album en cours de réalisation, et de vanter la qualité du travail et l’aura que le groupe MPR représente dans le ciel musical congolais depuis quelques temps. « Dans le clip, Zozo dit qu’il ne fait pas des feat avec les rappeurs congolais parce qu’il a l’impression qu’ils le copient. Mais, on le voit réaliser un feat avec Khonee, une manière de démontrer que ce dernier est le seul rappeur congolais qui fait de l’originalité et qui ne fait pas du Zozo », a-t-il expliqué.
Initialement connu sous le nom de « Résistance Bantu » (RB) », cet orchestre a été débaptisé « MPR » en 2016 sous la direction de son manager, Mani Loko. Son premier single s’intitule « Na mesana » (Je suis habitué). « Lobela ye français » (Parle lui français), son deuxième opus, est considéré comme le chef-d’œuvre qui a propulsé le groupe au-devant de la scène musicale congolaise.
ACP/CC
Le concert du rappeur de gospel El Georges de la République démocratique du Congo (RDC), est prévu dimanche 24 novembre, à Gombe, dans le nord de la ville de Kinshasa, a appris l’ACP lundi sur sa page Facebook.
« Chers frères et sœurs, ensemble marquons une histoire avec Jésus-Christ (…) je vous invite à assister à mon concert prévu le dimanche 24 novembre à l’Eglise Paroles du salut », a déclaré le rappeur El Georges. « Ce n’est pas qu’un simple concert, mais une collaboration unique contre vous les affranchis et moi votre artiste, votre frère, chaque note, chaque parole que je partage est une offrande, une expression de ma foi en Jésus Christ», a-t-il précisé.
Selon lui, l’engagement du public a toujours façonné sa carrière et va encore la hisser par cet événement. « Ce concert marque le début d’une aventure inspirante avec à la clé une série de concerts inspirant, les espoirs à accomplir ensemble », a-t-il soutenu.
Georges Lusambulu Samba, connu sous le nom de « El Georges » est un chanteur et rappeur de gospel évangélique, auteur-compositeur-interprète congolais de la République démocratique du Congo. Il a participé à la première édition du concours musical dénommée DNC (Découverte des nouveaux talents) à l’issue duquel, il a été vainqueur.
« El Georges » partage la scène avec plusieurs artistes du gospel congolais tels que Lord Lombo, Moise Mbiye et autres. Au cours de l’année 2015, il se fait remarquer par le label « Happy People » et participe à quelques prestations à titre promotionnel, avant de signer un contrat. El Georges lance son premier EP composé de trois titres : « C’est jésus la star », « Boomerang » et « C’est jésus la star » (Remix) avec la collaboration de la chanteuse Dena Mwana.
Quelques mois après, il collabore à nouveau avec cette dernière dans le titre « Emmanuel », faisant partie de son album « Monene ». Il sort le premier single de son futur album « Crescendo » sur les plateformes de téléchargement et signe un deuxième album intitulé « Compté compté » contenant six titres disponibles seulement sur les plateformes de téléchargement.
ACP/CC
Un atelier d’échange sous le thème. « De l’incapacité au leadership : ce parcours est-il possible pour la jeunesse ? » est prévu vendredi 1er novembre, à l’Université de Kinshasa, au centre de Kinshasa en République démocratique du Congo (RDC), a appris l’ACP lundi, au cours d’un entretien.
« L’objectif de cet atelier est de soutenir les jeunes talents, puisque l’auteur est étudiant à l’Université de Kinshasa et également, membre du Cercle des Hommes des Lettres de l’Unikin (CERHOL) », a déclaré Séraphin Mikobi, le coordonnateur du Cercle des Hommes des Lettres de l’Unikin (CERHOL). « A travers cet atelier d’échange, nous allons pousser les étudiants congolais, et les participants, à avoir le goût de la littérature », a-t-il ajouté.
Il a affirmé que cet atelier d’échange s’inscrit dans le cadre de la formation des étudiants au leadership. Cet atelier d’échange, lié au thème abordé dans le livre intitulé « J’ai vu Dieu, de l’incapacité au leadership », sera enrichi par l’intervention de diverses personnalités, notamment Patrick Onoya, professeur des Universités, l’écrivain congolais Christian Gombo Tomokwabini, du dramaturge Félicien Omayete, l’artiste et philanthrope Licelv Mauwa, le député Sylvain Kanyinda, le pasteur Daniel Mbila, Thierry Makobele, conseiller communal de Ngaliema, et de Isaac Kanyinda, bourgmestre adjoint de la commune de Ngaliema.
Cette activité sera sanctionnée par le baptême de la pièce de théâtre intitulé « J’ai vu Dieu, de l’incapacité au leadership » de l’écrivain Félicien Omayete.
ACP/CC
Une exposition pluridisciplinaire intitulée « L’art pour tous pour l’art » est programmée, du 07 novembre au 12 décembre, en vue de rendre l’art plastique accessible à la population rurale, a annoncé le coordonnateur de l’espace culturel « Bakeli » lors d’un entretien lundi avec l’ACP.
« Du 07 novembre au 12 décembre nous avons prévu une exposition sous le concept « l’art pour tous, tous pour l’art ». On se dit d’organiser cette activité où les artistes seront mis en lumière et l’art plus accessible à toute la population désirant collectionner des œuvres d’art », a déclaré l’artiste peintre Benoît Bafiba. Cette exposition, a-t-il expliqué, vient pour éliminer l’idée de considérer les beaux-arts comme réservés aux élites.
« Quand on parle de l’art plastique aujourd’hui, on se dit que cela n’est réservé qu’aux riches. Or c’est faux ! Il est une forme d’art ouvert à tout le monde. Le problème se situe peut-être au niveau du prix. Quand une personne se retrouve devant une œuvre qui coûte très cher et n’arrive pas à se la procurer », a-t-il soutenu. « C’est pourquoi au cours de cet événement, nous allons proposer des objets d’art à moindre coût. Ceci dans le but de permettre à ce public d’avoir ces œuvres sans difficulté », a renseigné Benoît Bafiba.
Selon lui, il est programmé au cours de cette expo quelques activités, afin de faciliter l’accès aux œuvres d’art plastiques. L’équipe organisatrice prévoit également un moment de promotion, l’initiation à l’art et l’apprentissage des valeurs culturelles. Aussi, une mise en lumière des femmes artistes et des personnes à mobilité réduite ainsi que le développement de l’imagination créatrice chez les jeunes sont-ils annoncés.
Quatorze (14) artistes évoluant en peinture et en céramique vont exposer leurs réalisations au sein de cet espace culturel, situé dans la commune de Bandalungwa au centre de Kinshasa. Selon la programmation de cet événement, il sera organisé une activité par semaine, toujours dans l’idée de rendre l’art accessible au public congolais.
ACP/CC
La 3ème édition du festival du rap et slam (Festiras), envisagée du 2 au 3 novembre à Bukavu au Sud-Kivu dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), a prévu de transmettre des messages de paix et du vivre ensemble entre les communautés, a appris l’ACP lundi, de l’organisation.
« Nous voulons consolider la paix en mettant un accent particulier sur le message d’unité dans le contexte actuel de l’est de la République démocratique du Congo », a déclaré Alidor Cibembe, initiateur du festival.
Il a précisé : « le festival se tiendra à l’Athénée d’Ibanda les deux jours à partir de 13 heures (11 heures GMT) ». Selon l’organisateur, il est prévu, au terme dudit festival, une action humanitaire en faveur des populations du Nord-Kivu, région du pays rongée par des massacres.
Il sied de rappeler que le festival du rap et slam est un cadre d’expression qui offre des opportunités pour vulgariser des messages de paix et de l’unité. La première édition a été organisée en 2022 avec la participation du rappeur franco- congolais Youssoupha.
ACP/CC
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) s’est engagé, lundi, à redresser la situation globale des agents et fonctionnaires de l’Etat, lors du briefing spécial tenu à Kinshasa avec comme thème : «Le dialogue social dans le secteur public».
« Pour améliorer les conditions salariales des fonctionnaires, il faut d’abord redresser la situation globale, il faut savoir poser les bons diagnostics et faire en sorte qu’ensemble avec les agents et fonctionnaires de l’Etat, tracer la voie qui peut nous conduire vers l’avenir », a déclaré Jean-Pierre Lihau, vice-Premier ministre en charge de la Fonction publique, modernisation de l’administration et innovation de services publics de la RDC, lors d’un briefing spécial animé conjointement avec Patrick Muyaya, ministre de la Communication et médias, porte-parole du gouvernement.
« Grâce au dialogue social, et je voudrais ici saluer toutes les organisations syndicales de la santé, de l’EPST, du sous-secteur de l’ESU, de l’Intersyndicale de l’administration publique pour le sens de responsabilité dont elles font toujours montre pour ce pragmatisme qui nous permet toujours de prendre des compromis républicains et réalistes », a indiqué Jean-Pierre Lihau.
Et de poursuivre: « Il y a des efforts tendant à améliorer la rémunération actuelle des enseignants et en même temps, conformément à la volonté du Président de la République, de leur accorder le statut général de fonctionnaire pour les voir bénéficier d’un certain nombre d’avantages au regard de ce que leur carrière aujourd’hui est en réalité une carrière assez précaire ».
Pour le vice-Premier ministre, le gouvernement a essayé d’agir pour soutenir le pouvoir d’achat du fonctionnaire et va continuer dans ce sens-là. « La volonté du Président de la République est de ne pas donner des solutions ponctuelles à ces problèmes-là qui ont pris racine depuis des décennies dans notre pays. Lorsque j’ai pris les responsabilités, il n’y avait que 182.000 agents et fonctionnaires de l’Etat qui étaient rémunérés. En trois ans, nous en avons mécanisé 171.000 contre 12.800 agents en 20 ans lors du régime précédent », a souligné Jean-Pierre Lihau.
Le dialogue social, l’arme idéale
« Nous avons considéré le dialogue social comme l’arme idéale pour pouvoir garantir la paix sociale dans le pays; nous avons agi pour faire en sorte que les partenaires sociaux soient respectés; nous nous battons pour améliorer leur situation qui est bien complexe parce que nous héritons d’un passé lourd », a laissé entendre le vice-Premier ministre Lihau.
Pour lui, son ministère continue avec ce processus d’inclusion salariale parce que la rémunération du fonctionnaire congolais aujourd’hui est constituée d’un salaire plutôt faible. Le dialogue social est cette stratégie mise en place par le gouvernement en termes de plateforme d’échanges réguliers avec les organisations syndicales dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’enseignement supérieur et bientôt du régime général.
ACP/CC
La mobilité du personnel de l’Agence Congolaise de presse (ACP) figure parmi les axes prioritaires de cent (100) jours du conseil d’administration de ce media public, a indiqué lundi, son président lors de sa première visite effectuée à la rédaction centrale.
« Il y a trois points dans l’ordre du jour, dans mes 100 premiers jours comme président du conseil d’administration de l’ACP. Il y a notamment, la mobilité des journalistes qui est très importante puisque jusqu’à présent, je n’ai trouvé aucun bus », a déclaré Ali Kalonga.
« Nous devons faire de sorte qu’il y ait des bus », a ajouté le président du conseil d’administration de cet établissement public.
Il a également envisagé de ressusciter le dispensaire de ce média public pour une bonne prise en charge des agents et cadres de l’Etat.
« Il faut ressusciter le dispensaire qui doit fonctionner parce que nous devons avoir les dames et jeunes gens en bonne santé. Il y a aussi le problème de propreté qui doit se faire concomitamment parce que le service d’entretien présente quelques faiblesses », a-t-il noté.
« Notre directeur général doit aller en voyage au Brésil la semaine prochaine après l’étape du Maroc. C’est dans le cadre de l’intelligence artificielle. C’est très important que notre rédaction soit dotée des matériels pour lui permettre de pérenniser avec les autres et de participer au concert des nations », a-t-il laissé entendre.
L’ACP est une agence nationale de la République démocratique du Congo, créée en 1960. Elle fut renommée Agence Zaïre Presse (AZAP) à l’époque du Zaïre. Elle couvre l’actualité aussi bien nationale qu’internationale dans tous les domaines, en textes, photos et vidéos. Son crédo : fiabilité et rapidité. L’ACP s’est donné aussi pour mission de lutter contre la désinformation à travers son service de « fact-checking ».
ACP/CC